Après cette folle soirée en boîte de nuit, il se réveille sans la moindre idée de la véracité de ce qu’elle lui a raconté. Ce dont il est certain, c’est que cette baise sur la plage a sons doute été la plus intense et la plus jouissive de toute leur vie de couple et de toute sa vie à lui. Il se réveille et enlace sa belle. Malgré l’engourdissement matinal, elle lui rend son baiser. Leurs corps s’unissent et il s’apprête à la pénétrer fébrilement. Elle se dérobe et lui souffle « ne bouge pas … reste raide ». Elle file à la salle de bain et il l’entend faire couler une douche. Quelques instants plus tard, elle revient, fraîche et souriante.

Elle se glisse dans le lit contre lui et murmure « ou on en était ? ». Elle reprend leur tendre câlin et il ne tarde pas à entrer dans son sexe bouillant et trempé. Soudés et amoureux, elle lui murmure à l’oreille « c’est de m’imaginer avec tous ces hommes qui te fait me désirer autant ? ». Il ne répond pas, mais accentue ses coups de reins. Elle caresse ses cheveux « Tu sais, je t’ai dit qu’ils m’avaient pris les fesses. Tu aimerais ? Ça te plairait ? ».

Il sent son sexe tressauter et frémir à ces mots. Tout en continuant à pénétrer sa douce, il laisse glisser ses mains dans son dos. Lui caresse ses fesses au galbe si parfait. Ses doigts s’approchent du petit trou qu’il désire depuis si longtemps. Il arrive enfin au trou palpitant d’envie et … enduit de gel. Voilà la raison de cette douche subie. Son excitation n’en fait que redoubler et d’un geste habile et décidé et retourne sa femme pour se mettre en cuillère derrière elle. Il pose son gland sur le petit illet palpitant et commence lentement à entrer, coordonnant son avancée aux frissons du corps de sa femme. Elle se crispe un peu avant de progressivement cambrer ses fesses pour venir à la rencontre du sexe de son amoureux. Ils synchronisent progressivement leurs mouvements. Accélèrent. Il caresse son clitoris tandis qu’elle enfonce fébrilement deux puis trois doigts dans sa chatte dégoulinante.

La situation la met en transe. Elle commence à gémir de plus en plus fort. A pousser des feulements rauques. Puis à hurler. Des propos de plus en plus obscènes. Elle l’invite à la baiser, la défoncer, ne pas la ménager, la traiter comme « la salope que je suis putaiiiiiinnnnn houuuuuuuuiiiiiiiiiiiiaaaaaannnnnn ». Il se crispe alors qu’elle jouit sous ses coups de boutoir puissants. Il mord sa nuque en essayant de ne pas lui faire mal, mais il frissonne tant l’orgasme est intense. Dans un râle rauque, il éjacule de lourdes traînées de foutre dans le cul de sa femme.

Putain quel réveil. Ma femme est ma salope.

Je t’aime mon chéri. Encore une semaine. Je t’aime.

Cette semaine se poursuit sur des bases tout aussi torrides. Elle continue à meubler les moments où ils ne se voient pas de récits tellement détaillés et si inventifs que jamais il ne parvient à avoir un avis sur la véracité des faits. Il lui raconte ses nouvelles rencontres avec la fée clochette et ses amies venues ici entre copines « pour s’éclater » et il jubile quand il perçoit une pointe de jalousie, de soupçon ou de tension dans le regard de sa chérie. Le sexe entre eux n’a jamais été aussi fréquent, puissant et jouissif. C’est à regret qu’ils quittent cet hôtel pour se rendre à l’aéroport.

L’avion dans lequel ils rentrent en France est un gros porteur. Un de ces avions à deux étages. Suite à une erreur sur leurs billets, les voilà surclassés dans une classe dont ils ne veulent même pas connaître les tarifs. Toujours est-il qu’ils ont pratiquement un steward à disposition et qu’ils s’amusent à l’appeler pour n’importe quelle futilité. Celui-ci ne semble pas s’offusquer et au contraire semble partager la bonne humeur communicative des deux jeunes gens. Il semble aussi ne pas dédaigner les charmes montrés par ce petit débardeur blanc sous lequel un soutien-gorge n’aurait sans doute pas été superflu, mais aurait été moche. Ils se lassent progressivement de ce jeu et discutent avec enthousiasme de leurs vacances, de plein de projets. Ils finissent par se plonger dans leurs livres et magazines avant qu’il ne commence progressivement à sombrer dans les bras de Morphée. Pour un bon moment.

Pâteux, il ouvre les yeux. Il tourne la tête et ne la voit pas. Son estomac se serre, mais il sent aussi une pointe d’excitation. Une nouvelle histoire va bientôt lui être racontée. Il a besoin d’un verre d’eau et de se rafraîchir. Il appelle alors le steward, mais celui-ci est introuvable. À contrecur il se résout à aller se servir lui-même. Amusé, il réalise à quel point on s’habitue vite aux privilèges et au luxe. Titubant un peu, encore mal réveillé il se lève pour se rendre aux toilettes. Lorsqu’il arrive devant les cabines, toutes les portes sont fermées et occupées. Il s’accoude à la paroi pour attendre et des sons étouffés lui parviennent de la cabine la plus proche. Des sons qui ne laissent que peu de doutes à ce qui se passe là-dedans.

Parfois, des chocs sourds contre le mur se font entendre et ils sont accompagnés de gémissements et de bribes de paroles … « baise … hummmmm … salauuuuud … ouiiiiii … cooommmmmeee çaaaa … … ta puteeee hummmmm … t’aime mon trouuuuu hummmm … j’adoooreee … vas-y vas-y vas-y vas-y … salauuuuuuddddddd… » et d’autres mots et phrases du même acabit.

Il s’imagine que c’est sa chérie derrière ce mur. Il la voit dans toutes les positions que l’exiguïté du lieu permet et cherche à accorder les images qu’il se crée aux sons qu’il entend. Son excitation est à son comble et il sent son sexe prendre un volume considérable. Il meurt d’envie de le sortir pour se branler quand soudain il réalise qu’il est dans un lieu extrêmement public et que la situation pourrait devenir compliquée.

Aussi confus qu’excité, il retourne à sa place. Le trajet est difficile tant son érection gêne chacun de ses pas. Il cherche à la camoufler aussi bien que possible, mais certains regards en coin un peu ironiques voire intrigués ou même, lui semble-t-il gourmand de certaines passagères lui font bien comprendre que son état ne passe pas inaperçu. Il s’assied dans le confortable fauteuil de sa rangée. Quelques minutes plus tard, toute pimpante et fraîchement maquillée, ou alors remaquillée, elle arrive et s’assied à ses côtés. D’un ton enjoué, elle lui demande « tu ne veux pas savoir où j’étais ? », un sourire aux lèvres et des paillettes plein le regard. Il frissonne. Si elle lui raconte une histoire sur les toilettes avec par exemple un ou des membres de l’équipage, par hasard ce steward au regard baladeur du décollage et introuvable depuis, si elle raconte ça le doute risque de ne plus être permis. Veut-il cela ? Il reste songeur un petit moment.

Il repense alors à la dernière phrase de l’un de ses films fétiches. Shutter Island : « Vaut-il mieux vivre en monstre ou mourir en homme de bien ? ». Si sa situation est autrement moins dramatique, il entend cette phrase dans sa tête pendant quelques instants. Il ne l’avait jamais aussi bien comprise.

Mon chéri ? Tu vas bien ? Alors tu veux que je te raconte ?

Non mon amour. Pas cette fois. J’espère qu’on continuera ce petit jeu une fois en France. Tu sais, jamais je n’avais connu une telle intensité sexuelle. Un tel plaisir.

Moi non plus mon amour. J’ai hâte de continuer notre nouvelle vie. Ces vacances étaient parfaites.

Ils s’embrassent et il se sent parfaitement détendu. Il ferme les yeux. S’endort. Et ses rêves sont peuplés de sa femme honorée par de multiples bites, parfois, souvent, la sienne. Un sourire béat se dessine sur ses lèvres dans son sommeil.

FIN…

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