Marsajean le 23/09/06
Dès le premier jour, cela se passa mal entre mes cousines et moi. Elles étaient de trois et quatre ans mes aînées et voilà qu’on leur imposait une petite gamine qu’elles devaient garder et amuser pendant deux mois. Elles avaient plutôt envie de rencontrer des garçons et de faire les folles.
Pendant deux jours elles me firent visiter les environs mais dès qu’elles croisaient un beau jeune homme, elles me laissaient seule assise à une table de café, à les attendre.
Le malheur voulu que ma tante passa une fois, alors que j’étais attablée seule, et elle comprit immédiatement que ses filles m’avaient abandonnée pour aller courir les garçons.
Le soir elles se firent sévèrement réprimander par leur mère et durent faire la promesse de ne plus me quitter de toutes les vacances.
On s’en doute, les deux jeunes filles furent assez mécontentes et se vengèrent sur moi dès le lendemain.
A peine avions nous franchit le seuil de la maison que Julie m’attrapa le bras.
— ? Tu vas nous le payer, me dit-elle. Tu n’imagines pas de quoi nous sommes capables ma soeur et moi. On va t’en faire baver ! ?
Elle m’encadrèrent et je dus les suivre dans la montagne où ma tante avait un petit chalet a flanc de coteau. Sans un mot, elles me poussèrent dans l’unique pièce du chalet et refermèrent la porte derrière elles.
— ? Maintenant tu vas voir ce qu’on fait aux chipies dans ton genre ? grogna Julie.
Elle me poussèrent vers la table où Françoise me prit par les bras pour me faire passer par dessus. Elle arrêta de me tirer quand mes pieds quittèrent le sol. Julie passa derrière moi et se mit à me frapper les fesses avec un tuteur de plante. Je criais, me débattais, mais Françoise tint bon tout le temps que sa soeur me fessa.
— ? Aie ! Ouille ! Lâchez moi. Aie ! Aie ! Je dirai à Tante Marie ce que vous me fait !
Françoise se pencha vers moi, les dents serrées :
— ? Si tu oses ouvrir ta petite gueule, je te jure que tu ne pourras plus t’asseoir pendant le reste des vacances tellement tu auras les fesses en feu. ?
Puis s’adressant à sa soeur :
— ? Attends, relève lui sa jupe et baisse sa culotte.
Aussitôt dit, aussitôt fait !
Malgré mais ruades et mes protestations, je me retrouvais les fesses à l’air et Julie se remit à me fesser.
Après une bonne vingtaine de coups, elle jeta le tuteur et Françoise me lâcha enfin.
Je tombais sur le sol et me recroquevillais afin de ne pas toucher le sol avec mes fesses à vif.
Pendant ce temps, Françoise ramassa ma petite culotte.
— ? Elle a pissé dans sa culotte ? dit-elle à sa soeur en lui tendant le chiffon blanc, taché entre les jambes.
Julie examina longuement ma culotte avant de se tourner vers sa soeur.
— ? Ce n’est pas de la pisse, elle a mouillé sa culotte la salope. Regarde, c’est de la mouille qui est sortie de sa chatte de petite pute. ?
Françoise se saisit de la culotte.
— ?Mais c’est vrai ma parole, ça la fait mouiller, la petite garce, que tu la fesses.
Dans mon coin, j’étais morte de honte car elles avaient raison. Malgré la douleur j’avais senti ma chatte s’humidifier et suinter.
Je me mis à crier de plus belle en voyant les deux jeunes femmes se pencher vers moi. Mais que pouvais-je faire à deux contre un…
Elles eurent tôt fait de me maîtriser et purent à loisir passer leurs doigts entre mes cuisses et constater que ma chatte dégoulinait de cyprine.
Il ne leur fallut que quelques minutes pour m’allonger sur la table et m’attacher les poignets et les chevilles aux pieds de celle ci.
J’étais totalement à la merci de mes cousines, les cuisses largement écartées. Et je ne pouvais que pleurer en les suppliant de me laisser tranquille.
— ? Laissez moi, je vous jure que je ne dirais rien à tante marie, je vous en supplie, laissez moi tranquille. Je n’ai jamais voulu vous mettre dans l’embarras et si je l’ai fait, c’est malgré moi et je vous demande pardon. ?
Pour toute réponse, Françoise attrapa ma culotte et en fit une boule qu’elle m’enfonça dans la bouche.
— ? La ferme, salope, on va bien s’occuper de toi maintenant qu’on sait que tu aimes ça, on ne va plus te lâcher. ?
Julie avait pris mon clitoris entre 2 doigts et le caressait doucement. Malgré moi, mes fesses se trémoussaient au rythme de cette caresse. Bientôt j’ai senti le plaisir monter et me suis cambrée. La jouissance me submergeait et je poussais des grognements incompréhensibles, la bouche toujours envahie par ma culotte.
— ? Putain, t’as vu ça, elle m’a joui sur les doigts la pouffiasse. ?
Elle essuya ses doigts sur ma jupe et vint se pencher sur moi pour défaire les boutons de mon chemisier. J’étais maintenant nue, écartelée sur la table, mes petits tétons bien dressés.
— ? T’as vu ses nichons, ils sont minuscules par rapport aux nôtres mais elle a les bouts bien développés pour son âge, ils sont presque aussi gros que mon petit doigt.
En parlant, Julie prit les petits tétons foncés entre ses doigts et commença à serrer de plus en plus fort jusqu’à me faire pleurer de douleur.
Françoise souriait en regardant sa soeur me brutaliser.
— ? A partir de maintenant tu vas devenir notre petite chienne. Tu vas nous faire jouir avec ta petite langue de salope. Si tu promets de ne pas tenter de t’enfuir, on te détache. ?
Que pouvais-je faire d’autre qu’acquiescer… La mort dans l’âme je fis signe que oui, j’acceptais ; et elles me délivrèrent. Quand je fus debout, nue comme un vers, Françoise alla s’installer dans un des fauteuils et Julie me prit par les cheveux et m’obligea à m’agenouiller entre les cuisses de sa soeur. Celle ci venait de baisser sa culotte et je me retrouvais avec la chatte de ma cousine devant les yeux. Je me suis penchée et j’ai léché cette touffe odorante avant d’attraper son clitoris et de le sucer Elle a joui sous le regard amusé de sa soeur.
Je dus satisfaire Julie de la même manière avant qu’elles ne me laissent me rhabiller.
Au moment de quitter le chalet, Julie me prit le bras :
— ? N’oublie pas, si tu ouvres ta petite gueule de pute pour cafarder à la mère, tu passeras un sale quart d’heure !
— ? Je ne dirai rien, je vous le jure, mais promettez moi de me laisser tranquille. ?
— ? Ca ma belle, compte pas trop dessus, tu vas devenir notre petite chienne privée, tu m’as trop bien fait jouir pour que qu’on ne remette pas ça. D’ailleurs toi même ça t’a plu. ?
— ? Non, c’est faux ? rétorquais-je, peu convaincante.
— ? Mais si tu aimes ça ! La réalité c’est que t’es une maso. ?
Je baissais la tête, incapable de démentir. Au fond de moi je savais qu’elle avait raison. J’avais pris autant de plaisir qu’elles, si ce n’est plus.
Nous sommes rentrées en silence chez Tante Marie et je sus tenir ma langue. J’affirmais même que nous nous étions pas mal amusées au chalet.
— ? D’ailleurs, tante Marie, si tu es d’accord, on aimerait bien passer deux ou trois jours comme des grandes au chalet. Il y a le téléphone, on pourra donner des nouvelles tous les jours.
Mes cousines étaient ébahies par ma demande et, prenant la balle au bond, insistèrent auprès de leur mère pour qu’elle nous accorde ce plaisir
— ? Dis oui Maman ! C’est une bonne idée. On en profitera pour nettoyer le chalet. ?
— ? Pour ça ? rétorqua ma tante, ? il vous faudrait au moins une bonne semaine. ?
— ? Mais oui ! On pourrait passer une semaine au chalet, cela nous ferait de super vacances ? ajouta Françoise.
— ? Bon d’accord. Passez autant de temps qu’il vous plaira au chalet. Moi je n’en ai pas beaucoup à vous consacrer de toute façon, je suis débordée de travail. ?
— ? Parfait ?, dit Julie, ? dès demain on monte au chalet et on te donne un coup de fil tous les jours et quand tu voudras qu’on descende tu nous le diras. ?
— ? Ca me va ?, répondit ma tante, ? Et comme ça a l’air de faire plaisir à Aline… ?
Passer une semaine ou plus avec mes cousines me faisait certes un peu peur, mais je ne pouvais plus reculer étant la première à en avoir émis l’idée.
— ? Oui ! ajouta Françoise, on a plein de choses à se raconter toutes les trois. ?
Quand nous fûmes seules, Julie se tourna vers moi.
— ? Qu’est-ce qui t’as pris ? Tu es folle ou quoi. ?
Je la regardai droit dans les yeux :
— ? Tu m’as dis que je devais assumer, j’assume. ?
— ? Tu ne sais pas ce qui t’attend là haut. Sache déjà une chose : ce n’est pas nous qui allons nettoyer le chalet, ça c’est pour ta pomme. ?
Elles filèrent dans leurs chambres préparer leurs affaires.
Je tremblais un peu en me dirigeant vers la mienne.
Je préparais des vêtements en sachant que je n’en aurai probablement pas besoin.
Le lendemain nous avons pris le chemin du chalet avec chacune un sac au dos.
Cela commença à mi chemin du chalet, Françoise déposa son sac et s’assit sur une pierre.
— ? Tu as mis une culotte ? ? me demanda-t-elle, un sourire aux lèvres.
Je fermais les yeux et tentais de faire cesser les battements de mon coeur pour lui répondre.
— ? Oui ! ?
— ? Enlève la. ?
Lentement, en m’y reprenant à deux fois je fis glisser mon sac sur le sol et passant les mains sous ma jupe, je fis descendre ma culotte. Julie me l’arracha des mains et la fourra dans la poche de son jean.
Puis Françoise s’adressa de nouveau à moi :
— ? A partir de maintenant, plus de culotte ! D’ailleurs, dès qu’on sera au chalet tu te foutras à poil et tu attendras nos ordres. On ne te laissera pas tranquille une seconde. ?
Je ne pris pas la peine de lui répondre je me penchai légèrement pour prendre mon sac et le remettre sur mon dos avant de reprendre la marche vers le chalet.
La sensation de nudité sous ma jupe m’excitait terriblement et j’eus peur de sentir la mouille couler le long de mes cuisses.
Arrivés au chalet, nous posâmes nos sacs chacune sur une couche. Puis, anticipant leur demande, je me déshabillais complètement. Une fois nue, je me tournai vers mes cousines.
— ? Comment dois-je vous appeler ? ?
— ? Mademoiselle suffira pour le moment ?, me répondit Julie.
— ? Commence par faire nos lits. ?
Je m’avançais vers les lits choisis par les deux soeurs et commençais à étendre les draps et les couvertures.
Françoise me saisit le bras :
— ? Arrête et viens me faire jouir, salope ! D’ailleurs ce sera ton nom ici : salope ! ?
— ? Bonne idée ? ajouta sa soeur. ? Et quand tu auras fait jouir Françoise tu t’occuperas de moi. ?
Pendant l’heure qui suivit je m’appliquais à faire jouir mes deux cousines avant de reprendre la confection des lits. Le mien ne fut fait que symboliquement puisqu’elles décidèrent que je coucherais à même le sol, entre leurs lits.
Une dure semaine de labeur, de souffrance et d’obéissance absolue aux deux soeurs commença.
Plusieurs par jour, je me retrouvais entre les cuisses de l’une ou de l’autre avec ma langue titillant leur clitoris ou s’engouffrant entre les lèvres de leur chatte.
Quand elles dormaient, je devais nettoyer le chalet avec une petite lavette et juste une petite boîte de conserve pour stocker l’eau.
Dès qu’elles ouvraient les yeux elle riaient de me voir nue, à quatre pattes en train de frotter centimètre carré par centimètre carré le sol du chalet.
Naturellement j’étais de corvée de repas et je devais les servir comme des princesses pendant qu’elles me pinçaient les fesses, les seins ou le clitoris.
Tout était prétexte à me punir : de la nourriture renversée, la vaisselle qu’elles estimaient mal faite etc…
Parfois, l’une m’attachait à une poutre du chalet, tandis que l’autre allait chercher de fines branches pour me fouetter.
Les premiers jours elles se contentèrent de mes fesses, puis vinrent les seins et le ventre ce qui me faisait hurler comme une bête.
Elles prenaient un plaisir sadique, après m’avoir fouetté jusqu’au sang, à me faire jouir comme une folle.
La nuit j’étais couchée entre leurs lits et il leur suffisait de me donner un coup de pied pour que je rampe comme une chienne pour les satisfaire l’une après l’autre.
Je passai une semaine d’enfer ! Pourtant je ne regrettais rien, au contraire, je me sentais à ma place et je fus un peu triste de devoir rentrer chez ma tante.
Je regrettais presque qu’elle ne fut pas au courant de ce que ses filles me faisaient subir. Cela m’aurait plu qu’elle se joigne à elles pour m’humilier….
Il nous fallut attendre près de deux semaines avant de pouvoir retourner au chalet pour quelques jours.
Bien évidemment, je repris avec plaisir ma place de salope…
C’est avec regret que je vis arriver la fin des vacances et que je dus rentrer chez moi pour reprendre une vie normale.
L’année suivante, je retournai chez ma tante mais bien des choses avaient changées. Françoise était fiancée et Julie fréquentait deux jeunes hommes sans savoir lequel choisir.
Tante Marie avait trouvé un compagnon et n’avait toujours pas de temps à me consacrer. Quand je proposais de passer quelques jours au chalet les cousines refusèrent sous divers prétextes fallacieux.
Moi qui m’étais faite une joie de retrouver mes cousines et de passer quelques jours ensemble au chalet, je passais des vacances mornes et insipides et je repris le chemin de la maison avec trois semaines d’avance.