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mes cousines gourmandes… – Chapitre 1




C’est après plusieurs années sages auprès de ma compagne que me reviennent quelques épisodes coquins qui ont égayé mon adolescence.

En effet, je n’étais pas à priori un cas intéressant pour les filles de ma classe de seconde, dans ce petit lycée breton. Les plus sympathiques étaient forcément les plus moches et ne sintéressaient qu’à mon aide en D.S de maths.

J’avais beau faire le luron, voire l’insubordonné, les plus délurées n’avaient d’attention que pour les deux ou trois sportifs de la classe. Je pris donc mon mal en patience et attendis les vacances d’été pour me dévergonder.

Mon oncle et ma tante n’avaient rien trouvé de mieux que de m’inviter à passer trois semaine chez eux. La campagne ne m’attirait guère, mais mes parents qui travaillaient sans relâche trouvèrent l’idée généreuse et l’affaire fut décidée… Mes trois cousines me firent rapidement oublier les longues journées à… ne rien faire.

En effet, Caroline, l’ainée de 18 ans, en classe de terminale, avait déjà des formes qui éveillaient en moi les souvenirs de revues à pages centrales émoustillantes. J’étais sûr qu’à la sortie des classes, elle avait découvert l’amour avec ce grand escogriffe de Yann, son voisin. Monsieur était en vacances et je pus donc jouer les curieux de tout, posant à Caroline les questions classiques pour mes presque 17 ans.

Lors de nos petites siestes (eh oui, les traditions ont la peau dure), je me rapprochais d’elle pour chuchoter et je crois qu’elle trouvait la situation amusante. Elle confirma mes craintes quant aux approches du beau Yann. Je pense qu’elle en rajoutait, mais cela me convenait. Elle m’expliqua que la plus forte émotion prenait naissance lors du baiser langoureux numéro 1. Elle avait en effet senti une forte chaleur lorsque le footballeur du dimanche lui avait pris la langue pour la première fois. J’étais bien évidemment suspendu à ses lèvres et ma main gauche se promenait sur mon caleçon sans que je m’en aperçoive. Elle devait sentir mon manège car elle se blottit un peu plus vers le centre du lit et le ton de sa voix devint plus complice, plus tendre…

Je crois qu’elle avait l’intention de s’entrainer avec son petit cousin afin de paraître plus "grande" qu’elle n’était lorsqu’elle reverrait le bellâtre… Fort de ce changement d’attitude, je m’arrangeais pour qu’il n’y ait aucune ambiguïté sur ce que ma main farfouillait maintenant dans le caleçon tendu. J’entrepris de faire vibrer en cadence le seul petit drap qui nous couvrait. Elle décida de mettre fin à l’hypocrisie qui régnait en m’embrassant tendrement sur la joue : " tu vois, me dit-elle, la chaleur qui va monter en toi ne s’apaisera que lorsqu’on aura fini la sieste…" elle mit sa main sur ma poitrine imberbe et se pencha de nouveau, mais là nos bouches se trouvèrent, naturellement, sans que la nervosité qui montait en moi ne s’affiche de trop. Ce premier baiser dura une éternité à mes yeux et je croyais que mon caleçon allait exploser tant la "chaleur" me prenait.

Elle profita de ma paralysie passagère pour laisser ses mains courir plus bas, à l’orée du morceau d’étoffe, là où l’élastique décollait d’au moins deux centimètre de mon nombril. J’entrepris moi aussi une exploration des plus lentes, craignant à chaque instant qu’elle arrête là l’expérience par crainte des conséquences ou tout simplement pour se moquer de moi.

Rien en était car elle laissa ma main libre remonter jusqu’à sa poitrine, même si elle était maladroite et peu efficace à procurer du plaisir.

Caroline me guida alors et les cercles se firent plus efficaces, plus lents. Quand mes doigts atteignirent les petits boutons de mes fantasmes, ils les trouvèrent tendus et le soupir qu’elle émit confirma ce que je pensais : ma cousine était vraiment une gentille salope…

"Viens, me dit-elle, embrasse-moi encore et laisse-toi aller". Je n’en demandais pas tant. Mon autre main lâcha mon petit mat de cocagne pour se diriger vers ses fesses. Le short en toile qui les couvrait fut vite déboutonné et mes caresses approchaient de son petit illet, tant elles étaient appuyées. "Doucement, ne fais pas n’importe quoi…", me souffla-t-elle. Je me calmai et la laissais reprendre l’initiative. Elle ne perdait pas le nord et avait déjà mon sexe en main : "Mais qu’il est dur !" fit-elle en faisant mine d’être surprise, "Il ne faut pas te laisser comme ça, c’est peut-être dangereux…".

Elle entreprit de faire le tour de la chose avec un doigt, sans appuyer, et la sensation me paru beaucoup plus douce (et insoutenable aussi) que lorsque je me donnais du plaisir moi-même. Elle continua son manège alors que ma main droite s’occupait toujours de ses tétons durcis. Je l’embrassai à nouveau et l’échange de salive nous chavirait l’un comme l’autre. Les roulades se firent plus soutenues et le drap s’envola. Nos shorts aussi, d’ailleurs.

Ses jambes étaient collées aux miennes, et l’intérieur de mes cuisses sentaient la douceur de ses petits poils bien entretenus. Je sentais alors un liquide couler contre ma jambe sans vraiment savoir à quoi il correspondait. Je me détachais de son corps brulant pour aller voir de plus près l’objet de mes désirs. Elle me laissa approcher maladroitement les doigts de sa vulve déjà trempée, puis ma bouche que ne demandait qu’à aspirer ce fruit jusqu’alors défendu.

Son petit bouton se dressait vers mes lèvres et je me demandais si mon plaisir n’allait pas éclater stupidement entre ses doigts. Elle du penser la même chose et ralenti mon ardeur. Elle me plaqua sur le dos et entrepris elle aussi un petit "tour du propriétaire". Je pense qu’elle contemplait la chose sans oser y déposer les lèvres.

Ma main rejoignit la sienne pour imposer un rythme plus soutenu et elle osa enfin prendre l’extrémité de mon sexe qui semblait la supplier. Sa langue ne tarda pas à faire le tour du petit gland et sans ordre précis, elle nettoya mon sexe frémissant des petites gouttes qui suintaient sans cesse. "Je trouve ça un peu sucré", me dit-elle. Tu avais déjà goutté ???". Je lui dit que non (sans la convaincre) et elle m’embrassa pour tenter de me faire partager le fruit de sa collecte.

Je reconduisis sa tête vers mon bas-ventre à l’aide de mes deux mains nerveuses et ma respiration saccéléra. De peur d’être privée du bonheur, elle se retourna et m’offrit son intimité à gouter… Je crois que j’ai compris alors que c’était le meilleur fruit qu’il me serait donné de lécher, de mordiller et d’aspirer pour le reste de mes jours…

Nous avons jouis ensemble et les décharges de son corps ont fini de m’enivrer. Elle n’a pas avalé mon sperme, mais je n’ai quant à moi pas perdu une goutte de ce que je pouvais soutirer de son petit abricot. Par la suite, nous avons continué nos tendres galipettes, sans aller plus loin, mais avec à chaque fois des sensations nouvelles, plus approfondies. J’ai intérieurement remercié le gars Yann qui avait déclenché la curiosité chez ma tendre cousine, même si je devinais qu’elle n’allait pas tarder à lui montrer ses progrès rapides…

Ma seconde cousine Pauline avait un mois de moins que moi (soit 16 ans et des brouettes, presque 17) et paraissait beaucoup trop "jeune" pour mintéresser.

Je ne sais si sa sur avait osé lui raconter quelques bribes de nos siestes, mais elle me regardait bizarrement depuis.

Après huit jours de vacances, nous avions trouvé une occupation saine : la pêche à la grenouille.

En effet, l’étang du grand-père était à deux kilomètres de leur maison et nous y allions en vélo, tous les quatre : Caroline, Pauline, Mathilde et moi.

Mathilde, "jumelle" de Pauline était un vrai garçon manqué et passait son temps à préparer les gaules, les petits bouts de tissus rouges, les sacs en toile, afin que la pêche soit prolixe. J’avoue que je n’y connaissais pas grand chose en grenouille et qu’en ce moment je me voyais plus chasseur que pêcheur…

"Alors ? lança Mathilde, on attaque ?".

Caroline souhaitait faire plaisir à tout le monde et prit un bambou afin d’ouvrir la séance "batraciens". Elle en attrapa deux coup sur coup et les plaça dans un sac en toile. En parlant de toile, son corsage à fleur ne cachait que très peu sa poitrine généreuse et mon regard avait du mal à se fixer sur l’étang.

Elle avait perçu mon manège et se tournait régulièrement afin de montrer un maximum de ses charmes. La "Pauline" aussi avait vu qu’il se tramait quelque chose et ses performances en capture se faisaient rares. Elle n’avait pas trouvé mieux que de tendre au maximum son tee-shirt déjà un peu juste et l’absence de sous-vêtement laissait apparaitre ses tétons juvéniles.

Sa poitrine était déjà bien formée, mais pas trop quand même. Je ne savais pas comment me tourner afin que mon "émotion" naissante ne scandalise Mathilde, ou ne donne des idées aux deux autres.

Malgré ma prudence et mon ardeur à la tache (j’avais déjà au moins cinq grenouilles à mon compteur), je constatai que Pauline passait plus de temps à mater mon entrejambe que les roseaux. Les grenouilles pouvaient se réjouir de son inefficacité…

Nous décidâmes de faire deux équipes et de prendre des directions opposées pour se rejoindre de l’autre coté de l’étang : ainsi, les prises seraient plus nombreuses et on se marcherait moins les uns sur les autres. Caroline choisit d’accompagner Mathilde, la plus motivée, et Pauline accepta ma compagnie avec plaisir.

Nous n’avions pas fait cent mètres que la jeune effrontée jeta sa gaule; feignant une égratignure au mollet : "Si, si, je te jures. Regarde, je me suis fait "hyper" mal !". Je me baissai donc pour jouer les infirmiers amateurs.

Je ne vous ai pas encore décris Pauline, mais sachez qu’elle avait déjà de longues jambes (elle frôle actuellement le mètre soixante-dix !) et des hanches un peu élargies. En cherchant l’hypothétique "bobo" sur son mollet, j’avais la tête pile au niveau de sa jupe. Je devrais dire "jupette" car celle-ci me semblait tout à coup bien courte. Je ne sais si c’est moi qui ai frôlé volontairement l’étoffe, ou si l’intrépide me la collée sur le visage, toujours est-il que j’ai senti la fermeté de son pubis sur ma joue offerte.

J’ai du bouger un peu pour mieux voir la "blessure" et là, les choses se sont compliquées. En effet, je ne trouvais aucune marque sur le mollet, mais le mouvement qu’amorçait la cousine me rappelait les envies pressantes, voire d’autres envies plus inavouables. Je relevai les yeux vers son petit minois et vis qu’elle se mordait la lèvre inférieure en exprimant nettement son envie d’en "découdre". "Mais tu n’a rien à la jambe, Pauline !" me décidai-je à lâcher.

"Si, regarde un peu plus haut." rétorqua la joueuse. Je décidai alors qu’il était temps de jouer mon "va tout" et remontai la jambe avec ma main droite. J’étais prudent cependant et vérifiais lentement la progression : je m’arrêtai à cinq centimètre de sa culotte et entrepris de redescendre lentement. Sa main s’abattit brusquement sur la mienne et l’obligea à s’arrêter, puis à faire carrément demi-tour.

"Regarde ce que tu as fait : je suis toute rouge maintenant !" me dit-elle en regardant sa jambe "blessée", examinant soigneusement l’intérieur de celle-ci. Ma main étant toujours à cinq centimètres de son petit trésor, je feignis à mon tour d’observer les conséquences de ma maladresse. "En effet, tu es un peu rouge, mais laisse moi voir un peu plus haut…

"Je crois que tu as raison, me dit-elle, écartant brusquement l’élastique de sa culotte blanche."

J’étais sidéré, stupéfait et presque bloqué. En effet, le coton immaculé maintenant replié me dévoilait un trésor plus qu’attirant. Son sexe était plus enivrant que celui de sa sur ainée. Ses grandes lèvres bien développées ornaient une vulve parfaitement épilée: "Tu vois, je me suis préparée pour la sortie. Je savais que tu craquerais au bon moment".

Ma bouche rejoignit ma main tremblante et je ne pus répondre à la vilaine. Son jus sécoulait déjà de la petite fente et mon baiser s’accélérait au fur et à mesure que les senteurs me grisaient. Ma langue s’activait et je voulais tout aspirer, me délecter jusqu’à plus soif. Ma cousine gloussait à présent, émettant des petits cris de satisfaction. Je ne sais combien de temps dura cette dégustation, mais elle y mit fin brusquement en m’ordonnant de me relever rapidement.

Je croyais-qu’elle avait vu quelqu’un autour de l’étang, mais non, elle n’avait d’yeux que pour la bosse qui ornait mon short en jean, pourtant assez serré. Elle se jeta sur les boutons et réussi à extirper la bête. "Tu sais, c’est la première fois que j’en vois une en vrai. Je ne savais pas que c’était si gros…". Je la rassurais en lui disant qu’elle était tout à fait normale, ne souhaitant pas leffaroucher. Comme sa sur, elle entreprit des mouvements lents sur la colonne de chair, sans s’affoler, comme si elle voulait marquer sa mémoire de cette image. "Tu veux que je te lèches ???" osa-t-elle.

Je ne répondis pas mais ma main plaquait déjà sa tête contre mon ventre, sans la brusquer. Elle comprit vite mon intention et sortit sa langue pour laper les petites gouttes qui perlaient déjà du méat. "C’est vraiment bizarre, continua-t-elle, c’est du sperme ?". "Non, ne t’inquiète pas, c’est juste le début du plaisir : nous allons continuer la leçon en accélérant. Je te rappelle que tes surs nous attendent de l’autre coté. "Tu as raison, montre-moi tout…"

Je pris tendrement sa tête à deux mains et entrepris d’accentuer la pression. Elle écarta ses lèvres et mon membre pénétra sa bouche si sensuelle. "Tu me fais tourner la tête depuis deux jours", avouais-je en continuant mes mouvements langoureux. "Je crois que nous allons bien nous entendre…".

Elle parut acquiescer car c’est elle qui accéléra encore un peu. Je lui fis signe que j’allais jouir en marquant un mouvement de recul. Elle l’ignora et sa main gauche s’empara de mes bourses tendues pour les masser fermement. Je ne tardai pas à exploser dans sa bouche, en de long jets puissants. Elle hésita un peu puis avala tout ce qu’elle pouvait, en plusieurs fois. Elle s’expliqua au bout d’un moment : "Je pense que j’aurais eu l’air malin si tu avais explosé sur mon tee-shirt rose, tu sais !". Elle avait bien raison, mais j’en était tout ému : "tu sais, c’est la première fois que je jouis réellement dans une bouche. C’était… vraiment génial, vraiment génial…".

Nous nous remettions de nos émotions en tentant de défroisser nos tee-shirt quand nous entendîmes Mathilde s’écrier : "Ben ça alors, Nous avons fait presque les trois-quarts du chemin. Vous avez pris combien de grenouilles ?".

Nous lui avons fait croire que j’avais perdu le petit tissu rouge et que Pauline avait mis dix minutes à réparer l’engin. Je crois que Caroline n’était pas dupe, vu le regard qu’elle adressait à sa jeune complice de sur…. Mais bon, je n’avais pas l’intention de jouer très longtemps les hypocrites…

… à suivre ???

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