Marié à ma mère depuis que jai 16 ans, mon beau-père constitue lhomme parfait, milieu quarantaine, tout comme ma mère, grand, bâti, cheveux bruns, et surtout, très sexy. Depuis toute petite, ma mère sefforce de faire en sorte que notre famille, aux yeux de la société, sy reflète comme étant la famille idéale. Ma mère, grande femme aux longs cheveux noirs jais, au teint pâle, aux yeux perçant et possédant un corps très sexy elle aussi fait retourner plusieurs têtes. Très fidèle à son mari, Marc, elle se concentre sur son travail, qui loblige à se déplacer aux quatre coins du pays, lui laissant à peine le temps dêtre à la maison quune journée par semaine. Vient ensuite mon demi-frère, Alex, jeune homme de 21 ans, à luniversité souhaitant faire carrière en médecine. Le portrait tout craché de son père, mis à part ses yeux, où une intense lueur vicieuse sy trouvait. Et puis moi, jeune femme de 19 ans, grande, au teint basané, tout comme mon père, et au corps, en faisant rêver plus dun.
Jai toujours été une petite agacée, qui, devant ma mère, pour protéger son image de famille parfaite, jouais la fille timide et réservée, tout comme elle. Autrement, mon string était toujours apparent, mes seins à moitié cachés par mes chandails qui en laissaient voir beaucoup. Nétant plus vierge depuis longtemps, je me plaisais à essayer toutes sortes de nouvelles expériences sexuelles.
Cétait il y a quelques mois, lorsque je me livrais à une toute nouvelle expérience, me faire lécher mon sexe à grand coup de langue par le berger allemand de la famille, que mon beau-père entra, sans prévenir,dans la chambre. Marc ferma la porte et se dirigea vers moi avec cette lueur nouvelle que porte son fils dans le regard. Mintimant de me taire, il expliqua alors que je lui serais soumise à toutes heures du jour et de la nuit, sans quoi il irait raconter à ma mère laffreux spectacle dont il a été témoin. Nayant aucune issue, et ne craignant que de devoir faire les tâches ménagères, jacceptais loffre. Cest alors quil détacha sa ceinture et mintimida de caresser son sexe déjà bien dressé devant moi. Ayant un mouvement de recul et voyant la peur sur mon visage, il me gifla et me saisit violemment par les cheveux en me forçant de le prendre à pleine bouche. Cest alors que jai compris que jétais devenue le jouet de mon beau-père.
Au fil de la semaine plusieurs séances, comme il aimait les appeler, eurent lieu. Un jour, il me força à me déshabiller devant lui. Entièrement nue sous son regard de vicieux, il entreprit de me peloter les seins, de me flatter la croupe, pour finalement introduire un doigt dans ma petite chatte étroite. Nétant jamais allé jusquà me pénétrer dune quelconque manière, je me reculais brusquement au contact de sa main sur mon intimité. Détachant sa ceinture, il me la claqua violemment sur les fesses. En larme, je me fis donc violer par ses affreux doigts. Puis, il enleva son pantalon et me poussant sur le mur, il me pénétra dun seul coup. Me tirant les cheveux dune main et me pétrissant un sein de lautre, il accumulait les va-et-vient brutaux. Dans un grognement, il se retira et me força à me mettre à genoux devant son membre fièrement dressé. Puis, saidant dune main, il me gicla sa semence au visage, se rhabilla et sen alla. Pendant plus dun mois je fus violée plusieurs fois par semaines, et même plusieurs fois par jour.
Un matin, réveillée par les claques au visage que moffrait Marc, jai commis lirréparable. Me tirant du lit, me retirant ma nuisette, il mobligea à me mettre à quatre pattes dos à lui. Cest alors quil me dit quétait venu le temps pour moi de massumer dans mes choix zoophile. Jack, le chien de la maison se précipita à ma rencontre, me reniflant lentre jambe. Marc, mon maître, me força à écarter mes jambes, afin de mieux offrir mon intimité à Jack. Cest alors que vint les longs coups de langues répétitifs, et, pour la première fois depuis des semaines, je sentais lorgasme venir. Me traitant de pute et de vraie chienne, mon maître enfonça sa longue queue dans ma bouche. Gémissant, me tortillant et me cabrant, jeu du mal à supporter lorgasme dont venait de moffrir Jack. Honteuse, je vins pour me relever lorsque je sentis de grosses griffes sur mon dos. Puis, dun seul coup, Jack était tout entré dans mon anus. Criant et suppliant Marc darrêter Jack, jentendis mon demi-frère ricaner à lentrée de la porte. Quel beau spectacle il devait avoir, son père se faisant bouffer la queue par sa belle-fille, et sa demi-sur se faire défoncer le cul par leur chien.
Sapprochant de nous, il nous annonça quil allait publier sur Internet la petite vidéo de nous quil avait eu le temps de prendre. En panique, je fondis, nue, sur lui, limplorant de ne rien faire. Il me cracha alors au visage puis regarda son père et lui dit que nous serions désormais ses jouets à lui.
Le soir même, ma mère encore absente, mon frère nous appela dans le salon