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Sur la route de la dépravation – Chapitre 4




Histoire vraie en partie.

Après une vingtaine de minutes, on entend sonner à la porte. Comme je viens pour me lever et aller ouvrir, Denis me dit de rester là et qu’il va lui-même répondre.

Nadia, extrêmement nerveuse et gênée d’être entièrement nue, court à la chambre et revient après avoir enfilé son peignoir. Elle me regarde d’un air dévasté, ne comprenant toujours rien à son comportement.

Debout en face de moi, elle me regarde silencieusement, un peu tremblante, écoutant les pas s’approcher de la porte du salon.

Denis entre avec son ami, un grand gaillard avec une bonne musculature, cheveux gras, noirs, longs frisés, une barbe de quelques jours. Denis me le présente, Marc, qui me regarde fixement dans les yeux en me faisant un petit signe de tête pour me saluer, sans plus et lui présente ma femme, en la regardant avec un petit sourire narquois.

Denis viens derrière ma femme en regardant Marc et lui dit:

Hé! Je t’avais dit que c’était une belle petite femme.

Elle est à moi, je la veux. (Regardant ma femme droit dans les yeux)

Prends-la, elle est à toi. (Sans se soucier que je sois d’accord ou pas)

Je suis paralysé dans mon fauteuil en les regardant tous les deux s’approprier ma femme. Denis pose ses mains sur les épaules de Nadia et lentement, dénude les épaules de ma petite fleur. Il se penche, l’embrasse dans le cou, une main glisse sur un de ses seins et Marc tire sur le cordon de la ceinture de son peignoir qui s’ouvre instantanément.

Nadia, tremblotante, fixe le regard de son nouveau prédateur, avec un visage anxieux et moi qui suis assis à regarder et sentir mon cur battre alors que ma respiration devient de plus en plus difficile.

Denis glisse le reste du peignoir qui se retrouve au sol, ma femme entièrement nue devant cet étranger, en contemplation de la femelle qui se trouve devant lui, pendant que Denis la caresse. Denis regarde Marc et pousse Nadia délicatement vers lui en lui disant:

Tiens, c’est à toi de t’en occuper. Je vais me chercher une bière.

Marc demande froidement à Nadia d’aller s’asseoir sur le futon. Ma femme lui obéit, prenant place, les jambes un peu repliées sur elle-même. Il s’agenouille devant ma belle, prenant ses chevilles et fermement, étire ses jambes.

Dans un deuxième mouvement, l’écartèle largement. Il se penche entre ses cuisses et entreprend la dégustation de son petit sexe. Nadia sursaute mais, presque instantanément, elle s’abandonne à l’étranger.

Ses deux bras sont venus emprisonner les cuisses de ma chérie, croisant ses mains sur son petit ventre. Nadia regarde comment il la dévore. Sa respiration a déjà atteint son maximum. Ses mains s’agrippent au futon et elle commence déjà à gémir. Tout ce que l’on entend sont les bruits de succion, sinon de voir sa langue entre ses petites lèvres.

Nadia a déjà les yeux qui tournent au fond de sa tête. Son corps réagissant fortement aux caresses buccales de son prédateur, tortille des hanches et gémit sans aucune retenue. Ce qu’elle peut être belle et excitante quand je la vois ainsi se faire dominer.

Je regarde cet étranger étendu à plat ventre sur le plancher du salon, entre les cuisses de ma petite femme qui se dirige tout droit vers un orgasme. Elle gémit ou arrête de respirer, se déhanche comme si elle voulait se libérer de ce plaisir interdit, les mains derrière la tête, s’accrochant à l’appuie-tête, son corps devient raide, des spasmes lui traversent le corps et elle s’abandonne à un orgasme torride.

Je n’ai pas souvent vu ma femme jouir autant, et son corps sursauter à ce point. Elle continue de se déhancher sur la bouche de son prédateur, lui offrant toute la liberté de disposer de son corps comme bon lui semble et Marc a très bien compris dans quel état elle se trouve, restant collé à son sexe en continuant de la dévorer.

Denis qui était toujours dans la cuisine, à texter avec je ne sais qui, revient au salon et constate dans quel état se retrouve Nadia. Marc, apercevant Denis, se lève la tête…

Appelle Fortin et dit lui d’emmener son gros cul sur le champ.

Je vois Denis grimacer, ce qui me donne l’idée que ce n’est peut-être pas bon signe, mais ne discute pas la demande de Marc.

Nadia relève la tête brusquement, ayant l’air de s’interroger. Marc la regarde un moment et recommence à la dévorer… A peine quelques secondes et ma femme se fait de nouveau envahir par des spasmes.

La pauvre semble déjà à bout de souffle alors que Marc redouble d’ardeur. Ma femme se tord à nouveau de jouissances, mettant ses mains sur la tête de Marc pour le repousser, mais ses efforts sont inutiles. Il la maintient toujours prisonnière entre ses bras de façon à ce que son bassin ne puisse s’échapper de son prédateur.

Je la regarde se tortiller et je n’ai pu m’empêcher de sortir mon sexe et me masturber lentement, en la regardant.

Son corps s’arc-boute, sa respiration est irrégulière et à nouveau, elle est foudroyée par un nouvel orgasme, mais cette fois-ci, Marc reste accroché à son sexe et la dévore avec une telle ardeur que Nadia reste accrochée à cet orgasme, comme s’il prolongeait ou contrôlait sa jouissance.

Elle tente de s’échapper en poussant avec ses bras, mouvements du désespoir, mais peine perdu, il continue son cunnilingus et c’est pratiquement de la torture. Nadia a des orgasmes à répétition et n’offre plus aucune résistance, soumise et sombrant dans la dépravation.

La sonnette de la porte se fait entendre et Marc relâche finalement Nadia qui demeure inerte sur le futon, complètement vidée de son énergie. Alors que je suis un moment seul avec, je m’approche pour lui demander si ça va. Elle me regarde, totalement épuisée.

Chéri, je suis vidée. J’aimerais qu’ils partent, je n’en peux plus.

J’aimerais bien, mais tu sais qu’ils ne mécouteront pas, mais je vais demander à Denis s’il peut intervenir et leur demander de partir.

S’il te plaît, mon chéri.

On les entend arriver au coin de la porte du salon et lorsque Nadia aperçois le gros Fortin, elle me sert la main avec force, me regarde et ses yeux me supplie d’intervenir.

C’est effectivement un gros avec cheveux frisés, assez long, dans la cinquantaine, avec une barbe sel et poivre, un cou épais ne voyant presque pas de menton. Il lui manque une dent et il a un il qui louche légèrement.

Denis ne semble pas trop le connaître, ce qui m’inquiète davantage. Marc invite Fortin à venir faire connaissance avec la femelle offerte. Nadia se tourne vers moi, l’air complètement affolée. Je vois son corps trembler, même si elle est recroquevillée sur elle-même.

Fortin se met à genoux devant ma femme et leurs regards restent accrochés pendant de longues secondes, comme s’il voulait l’intimider.

De ce regard quai menaçant, sa grosse main empoigne les cheveux de ma chérie et il se penche pour lui foutre sa langue dans sa bouche. Un baisé qui dura quelques secondes interminables pour ma femme.

La maintenant toujours par les cheveux, il approche son nez à deux centimètres de celui de ma femme et lui dit:

Demain soir, c’est moi qui va mener le bal. Tu vas faire connaissance avec mes amis, p’tite pute. Mais avant on va tester tes capacités.

Fortin se relève, déboucle sa ceinture et en un rien de temps, il se libère de son jeans et boxer. Denis est très nanti par la nature mais Fortin n’a rien à lui envier en constatant ce qui lui pend entre les jambes. Un sexe moins long que Denis, mais tellement plus large.

Il s’approche de Nadia et lui demande de se mettre à genoux. Devant la prestance de ce nouveau prédateur et de la façon dont il s’est présenté, ma femme obéit sur le champ et sans qu’il lui demande, prend la grosse tige entre ses mains et débute une lente masturbation.

Marc, tu as eu une bonne idée de m’inviter. La petite va être parfaite pour demain. Elle est plus docile que je ne le croyais.

Le sexe de Fortin commence à durcir et je peux déjà voir trois grosses veines parcourir le membre de ce gros porc. Nadia a toujours su comment faire avec le sexe d’un homme et une fois semi bandé, elle décalotte le gland, ouvre la bouche et commence à le sucer sans attendre qu’on lui demande.

Je vois ses lèvres envelopper le gros morceau violacé et j’ai peine à croire de la voir s’appliquer autant, suçant et léchant le gland comme un cornet de crème glacé.

Il ne fallut que peu de temps pour que le sexe de Fortin soit dressé à son maximum et l’entendre gémir de satisfaction. Fortin se tourne vers moi pour la première fois, me regarde avec son sourire imbécile et me dit:

Hey mon cocu, je pense que tu viens de perdre ta petite femme car je pense bien l’adopter et avec le corps qu’elle a, tu vas être cocu plusieurs fois, je te le promets. Il y en a plusieurs qui vont vouloir s’occuper de ta beauté.

Il me passa un long frisson dans le dos et Nadia cessa aussi sa fellation. Elle me regarda, affolée, un début de larmes aux yeux et recula au fond du futon. Je regarde Denis et lui dit:

Il va falloir que tu arranges ça. Tu nous as vraiment mis dans la merde avec ces gars-là.

Denis me regarde, l’air étonné et me répond:

Rappelle-toi lorsque je t’ai demandé qu’elle m’appartienne et d’en faire ce que je veux, tu te souviens et quelle a été ta réponse, hein ! Alors ne m’en veut pas. Tu as ce que tu voulais et je t’avais bien averti. A partir de maintenant, je suis désolé, mais je ne contrôle plus rien. Il fallait y penser avant et je te conseille fortement de ne pas t’imposer devant ce genre de gars. Alors tu laisses aller et tu vas enfin avoir ce que tu voulais, voir ta belle petite beauté de femme se faire dominer.

J’étais sur le cul, effondré, sentiment de regret de m’être laissé emporter par l’excitation de voir sa femme se faire baiser. De toute évidence, veux, veux pas, elle allait y passer sans que je puisse intervenir. Les avertissements de Denis étaient plus que sérieux.

Fortin saisit Nadia par les chevilles et l’attire vers lui comme une poupée de chiffon. Ses bras sur sa poitrine, elle le regarde lui écarteler les jambes, se pencher en enfouissant sa grosse tête entre ses cuisses et à son tour, bouffe sa petite chatte.

Nadia a pour réflexe de lui pousser sur la tête, de s’esquiver de la bouche de ce prédateur, mais en vain. Il applique la même prise que son prédécesseur en la retenant pas les hanches. Nadia, moitié assise moitié couchée, regarde le gros la dévorer. Elle tente de se libérer comme pour garder le contrôle de son corps, mais à peine quelques longues secondes, je la vois cesser de combattre. Elle me regarde un moment comme pour me demander pardon et ses yeux se retournent au fond de sa tête. Elle recommence à gémir et s’enlise dans la domination.

Fortin se réjouit de la voir s’engloutir, relève la tête quelques secondes pour la regarder.

T’aurais pas dû nous provoquer, on va te casser ma petite salope.

Ses yeux se tournent à nouveau vers moi avec un air de découragement alors que Fortin replonge entre ses cuisses. Nadia continue de me regarder avec la grosse tête entre ses cuisses. Ma belle recommence à gémir de plus bel et en quelques minutes, elle subit un nouvel orgasme aussi puissant qu’avec Marc.

Fortin se relève, bandé comme un âne, va prendre une longue gorgée de bière et en revenant vers ma femme, fait un clin d’il à Denis.

Il se laisse aller sur ses genoux avec cette grosse queue dressée, prête à exploser. Se positionne entre les cuisses de ma femme. Je le regarde se pencher sur ma chérie et s’étendre de tout son long sur son corps qui disparaît sous le tas de graisse.

Marc et Denis, prenant une bière silencieusement, savoure de voir cette jeune femme qui était pratiquement encore saine, il y a quelques jours, se faire défoncer par un motard sans aucune morale.

Nadia est écartelée très largement par la posture de Fortin. La vue que j’ai est démoniaque. Ses cuisses sont de chaque côté de son gros ventre et le pieux du gros, toujours bandé à son maximum. Je peux voir son énorme gland s’appuyer sur les petites lèvres de ma chérie qui n’a pas le choix de lui être totalement soumise. Je le vois pousser ses hanches bien lentement et j’observe le gland en progression, alors que les lèvres du sexe de ma femme se dilatent et enveloppent le morceau de chair. Ma femme commence déjà à gémir alors que Fortin force le sexe de ma femme à s’adapter à sa virilité.

Fortin pousse son bassin encore plus loin et instinctivement, Nadia ouvre les cuisses encore plus largement. Je l’entends se lamenter et je vois ses mains s’agripper au dos de ce gros salop. Il pousse un dernier grand coup, ce qui coupe le souffle de ma femme.

Le gros répète les mouvements sur sa petite victime qui ne lui oppose aucune résistance. A ma grande surprise, Nadia ouvre instinctivement les cuisses et laisse cet intrus se servir de son corps à volonté. Fortin relève la tête vers Marc…

Elle promet la p’tite. Les gars vont s’amuser avec elle demain soir.

Vas-y Fortin, montre lui comment on fait jouir une petite pute.

Marc me regarde…

Et toi, t’as rien contre ça mon cocu, de toute façon elle nous appartient maintenant.

Fortin, sous les encouragements de ses deux amis, se réinstalle sur le corps de ma douce, bien décidé à lui montrer ce qu’il sait faire. Après quelques coups de bassin, faisant que ma femme recommence à gémir de plus belle, il passe ses deux mains sous les fesses de ma chérie et s’enfonce d’un grand coup, étouffant instantanément les sons qui pouvaient sortir de cette petite femme.

Je la regarde basculer la tête de gauche à droite, les yeux revirés et ses mains agrippées aux épaules du gros et en même temps, j’avais le regret d’avoir fait confiance à Denis alors que j’ignorais qu’il côtoyait ce genre de gars.

Fortin reste enfoncé en basculant toujours son gros cul pour bien lui faire sentir sa virilité. Ma femme, emprisonnée sous le corps de son prédateur commence à tortiller des hanches, faisant sourire diaboliquement le gros Fortin. Les deux corps suivent la même cadence alors que le gros accentue les mouvements de va-et-vient, jusqu’à ce que ma femme soit foudroyée par un orgasme tout aussi violent que les précédents.

A peine deux ou trois minutes de plus et j’entends le gros laissant aller des grognements virils, se redresse sur ses genoux, empoigne me femme par les cheveux pour lui relever la tête et enfonce sa queue au fond de sa gorge en faisant quelques mouvements de va-et-vient et là, je suis stupéfait de voir ma femme prendre sa grosse queue entre ses mains et commencer à le pomper vigoureusement jusqu’à ce qu’il éjacule tout son foutre dans sa bouche alors qu’elle continue de le sucer, ne laissant échapper aucune goutte de son jus. Fortin la regarde, alors qu’elle termine d’avaler son sperme et lui donne deux petites tapes sur la joue en lui disant qu’elle est une bonne pute.

Fortin se relève et va vers la cuisine se chercher une bière alors que Denis et Marc se rapprochent de ma femme. Marc lui présente sa queue et sans protestation, elle commence une vive fellation. Denis, lui, a choisi de s’installer entre ses cuisses. Sa grosse queue s’enfonce bien lentement, lui arrachant quelques lamentations étouffées par la queue de Marc dans sa bouche. Je les regarde, tous les deux se servir du corps de ma petite chérie et en quelques minutes, éjaculent tous les deux presque simultanément. Comme avec Fortin, Nadia avale toute la semence de Marc alors que Denis fini de se vider dans sa petite chatte.

Les trois lascars terminent leur bière en regardant ma femme et en la complimentant de ses talents de femelle. Denis vient me voir…

Dans les circonstances, je pense que je vais vous laisser seuls pour le reste de la nuit, histoire de laisser Nadia récupérer pour la soirée de demain et soit pas choqué, mais je n’ai plus donné de ma potion à ta petite chérie depuis un bout de temps. C’est certain qu’elle na plus aucun effet.

Il me fait un clin d’il et un sourire narquois avant de prendre le chemin de la porte. Le gros Fortin, avant de partir s’est approché de ma femme pour lui dire de se préparer pour demain soir et qu’il viendrait nous chercher en fin d’après-midi.

A suivre…

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