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Mes premiers congés payés – Chapitre 10




Jeanine mavait prêté un survêtement de son fils et un caleçon, « pour pas que tu ais froid » avait-elle dit, lorsque nous arrivâmes au stade, Bernard sortit de la voiture et Brigitte me retint par le bras, il se retourna « bon alors vous venez ? »

Brigitte : « on arrive, jai quelque chose à lui demander » puis se tournant vers moi et montrant son dos à Bernard elle posa sa main sur le survêtement à hauteur de mon sexe et tout en commençant à le caresser me dit « si tu vois une petite bonne femme presque aussi large que haute qui vient discuter avec mon père, essayes découter, je tassure que tu verras que jai raison », puis me laissant en plan avec une érection qui commençait à déformer le survêtement, elle partit vers le gymnase.

Je rejoignis Bernard et nous arrivâmes rapidement sur le stade, où appuyées sur les barrières quelques mamans encourageaient leur progéniture. Au moment ou nous approchions, une des mamans se détacha de la barrière et vint vers nous, me toisant elle dit « bonsoir, vous êtes nouveau ? » cest Bernard qui répondit « un cousin de Jeanine en vacances pour quelques jours » puis à moi « Micheline, la trésorière du club », sans gêne, elle me déshabilla du regard, me fit un grand sourire et dit « ben bonnes vacances alors » puis se tournant vers Bernard « il faut quon aille au bureau, jai des papiers à te faire signer pour le déplacement de ce week-end » et sans en dire plus elle se dirigea vers un petit bâtiment jouxtant le terrain, Bernard me dit « va regarder les gamins, je nen ai pas pour longtemps » et il suivit Micheline.

Je les laissais rentrer dans le local puis je décidais de les suivre comme me lavait conseillé ma cousine, je franchis la porte dentrée puis longeant un petit couloir, je vis les vestiaires juste après les douches, au fond je marrêtais ne sachant si je devais aller à droite ou à gauche, jentendis les bruits dune conversation sur ma droite, je pris cette direction et au fond je tombais sur une porte entrouverte, je mapprochais doucement et poussais doucement la porte pour voir ce quil se passait derrière, Bernard était de dos et faisait face à Micheline, celle-ci parlait dun ton sec

« jen ai marre, je ne te vois que le mardi et les we et encore seulement si il y a un déplacement, ta bite me manque, tes coups de reins aussi, je veux que tu me baises plus souvent, tu me dis que ta femme ne te donne pas ce que tu veux et moi oui, alors il faut te décider, moi je veux faire ta queue nimporte où et nimporte quand, avec mon salopard de mari qui me fait cocu plusieurs fois par semaine, notre ville est petite et quand je sors, je vois les sourires sur les lèvres et jentends les vannes du style « alors ton facteur de mari dépose ses colis un peu partout ? » ou bien « dis donc il met plus de temps que lancien facteur pour faire sa tournée, il est aux ptits soins pour ses clientes », je suis sur que même mes parents qui habitent juste à côté de chez toi le savent et qui sait il vient peut-être soccuper de ta femme aussi »

Bernard en se rapprochant delle et la prenant dans ses bras : « grand bien lui fasse, vu ce quelle me fait si il a essayé il a du être déçu, et pour tes parents, tu nas quà leur demander tu verras bien, en tout cas ce qui est sur cest que jadore baiser la grosse salope que tu es, jadore te dévorer, le minou, plonger ma queue dans ta chatte brûlante et ensuite te limer ton gros cul et lastiquer, tout comme jadore aussi sentir ta bouche de pute mavaler la queue et me sucer à fond puis ensuite avaler mon foutre »

Micheline : « jadore quand tu me parles comme ça, jaime être ta grosse salope, ta pute, ton jouet, ton sac à foutre » puis saccroupissant très facilement pour sa corpulence elle rajouta « donnes ta bite, limes moi la bouche avec et vides toi dedans »

Bernard la repoussa et lui dit « tu es grosses truie et jadore ça, mais les gamins mattendent, et ils pourraient venir me chercher »

Micheline lui baissant son survêt dun coup sec se pencha en avant, je devinais sans problème ce quelle était entrain de faire, tout en discutant ils sétaient mis un peu de profil et je voyais la queue de Bernard coulisser dans la bouche de Micheline et commencer à prendre une taille honorable, je souris car je compris pourquoi Jeanine me disait quelle nétait pas satisfaite, sa bite était soit un peu plus large que la mienne mais plus petite aussi, je décidais de mamuser un peu, je reculais dans le couloir puis à haute voix « Bernard tu es où, les enfants tattendent » puis traînant des pieds pour faire un peu de bruit jarrivais près de la porte et la poussais, je faillis éclater de rire, Micheline était toujours accroupi comme si elle allait pisser et Bernard était entrain de remonter son survêtement, il me toisa en colère « on ne tas jamais appris à frapper à une porte ? » je le regardais en souriant et répondis « ben si, mais quand elle est fermée, je déranges peut-être ? » en même temps je voyais la bosse qui déformait le devant de son survêtement et je souriais, il ouvrit la porte en grand et dit « non pas du tout on était entrain de préparer le déplacement de ce week-end, tiens tu nas quà aider Micheline, elle a des papiers à trier et à ranger »

Micheline : « cest gentil ça, ben je tattends après l’entrainement pour quon continu ce quon a commencé »

Bernard quitta le bureau en marmonnant « oui, cest ça », puis Micheline se tourna vers moi et me toisa comme elle lavait fait au bord du terrain, c’est-à-dire quelle me déshabilla carrément du regard, ce que je navais pas prévu, cest que de les voir quelques minutes auparavant avait fait naître un début dérection que le survêtement que je portais ne pouvait cacher, je sentis que je rougissais et pour essayer de calmer la situation, je demandais à Micheline, « quest ce que je peux faire pour vous aider ? »

Micheline : « déjà pour commencer tu vas me tutoyer, bon tu vas trier le courrier déjà, les pubs dun côté, les lettres de lautre, pendant ce temps je vais essayer de trouver une autre chaise, on est pas très riche en sièges ici » puis elle quitta le bureau et jentendis son pas séloigner, je masseyais à la table qui servait de bureau et commençais à trier le tas de courrier, quelques minutes à peine, après son départ, jentendis son pas qui se rapprochait, je levais la tête au moment ou elle apparu, elle regarda les deux tas que javais fais en disant « déjà, ben dis donc tu ne chômes pas toi au moins, pas trouvé de chaise, on va faire sans » elle se rapprocha du bureau, et sappuyant dessus elle se pencha en avant, me mettant sous le nez un décolleté fort généreux, je plongeais le regard dedans et au bout de quelques secondes Micheline me sortit de ma contemplation « ben ça va te fais pas chier, mâtes moi les nibards pendant que tu y es » rouge de confusion et aussi parce que je sentais que je bandais, je répondis « non, non, je ne regardais pas » Micheline éclata de rire « allons pas la peine de rougir, tu sais cest agréable de voir quon attire les regards, je ne suis pas trop habituée à ça », je fis mine de reprendre le tri du courrier, Micheline marrêta « cest bon laisses moi faire, tu nas quà aller faire un pour voir comment sont les vestiaires », je sautais sur loccasion en décidant den profiter, après tout, depuis 48h javais baisé la femme de Bernard, sa voisine qui se trouvait être la mère de sa maîtresse aussi, et je métais fait branler et sucer par sa fille, alors pourquoi pas essayer de mamuser avec sa maîtresse ?

Je demandais à Micheline en me levant « jai vu quil y avait des douches, je peux aller en prendre une ? »

Micheline ne regardait plus que lérection qui déformait mon survêtement elle balbutia, sans quitter mon entrejambe des yeux « oui, oui, vas-y »

Moi : « par contre je nai pas de serviettes »

Micheline levant des yeux brillants vers moi « ben vas-y jen sors une et je te lapporte », je partis rapidement vers les douches et me déshabillais, quand Micheline arriva, je lui faisais face et ma queue bien dure pointait dans sa direction, elle sarrêta net en disant « oh excuses moi, je ne pensais pas te trouver déjà nu », puis sapprochant « en tout cas tu tiens la grande forme, cest mon décolleté dans lequel tu as plongé tout à lheure qui te met dans cet état ? »

Moi : « ben oui »

Micheline se rapprochant de moi « ben si cest de ma faute il faut que je me fasse pardonner »

Moi : « ben ce que tu faisais à Bernard tout à lheure ne me déplairait pas »

Micheline me fixant « et quest-ce que lui faisais ? Quas-tu vu ? »

Moi : « tu lui suçais la queue, et tu avais lair daimer », je tentais le tout pour le tout, soit je prenait une baffe soit elle me taillait une pipe, il y eu un petit moment de silence puis Micheline saccroupit comme je lavais vu faire un peu plus tôt et prenant ma bite dans sa main la guida vers sa bouche, elle commença par sortir sa langue et lécha mon gland puis avec un soupir de satisfaction lenfourna entièrement dans sa bouche et commença à la faire coulisser doucement », cétait un vrai bonheur et je le lui dis « tu es la reine des pipes, vas y doucement sinon je vais jouir tout de suite »

Micheline sortant mon sexe de sa bouche mais le gardant en main me demanda « ce nest pas ce que tu veux ? Menvoyer ta purée dans ma bouche ? »,

Moi : « ben on peut aussi faire autre chose, au point où on en est »

Micheline me fixant avec des yeux brillants denvies et de plaisir « à quoi tu penses petit cochon »

Moi : « ben je glisserais bien ma queue ailleurs que dans ta bouche, entre tes cuisses par exemple »

Micheline : « tu veux me baiser, tu sais que si je dis oui, je ne serais pour toi quune grosse salope ? » me rappelant quelle aimait être traitée vulgairement je lui répondis « jadore les grosses salopes, les truies qui naiment que se faire fourrer et se faire remplir de sperme ».

Micheline gémit, se releva, et se déshabilla, elle arracha presque ses vêtements puis elle me tourna le dos et se penchant en avant me dit « baises ta grosse truies, mon ptit cochon, fais la reluire, et hurler et remplis là avec ton foutre, je veux que tu men mettes partout » je mapprochais delle, posait mon gland sur ses lèvres poussais un peu pour les écarter et dun coup de reins je la pris en levrette, elle hurla « Ouiiiiiiiii, remplis moi bien, mets moi tout, oh cest trop bon je te sens bien, vas y défonces moi la chatte » je la limais en accélérant mes coups de reins et alors quelle jouissait, je sentis le plaisir monter, je me retirais dun coup « nonnnn, tu nas pas le droit reviens je veux sentir ton foutre gicler au fond de ma chatte, je veux que tu me remplisses », je ma rapprochais à nouveau et posais mon gland sur son anus et dun puissant coup de reins de lenculais, elle ouvrit la bouche mais seul un feulement en sortit, puis alors que je commençais à lui limer le cul elle repris la parole avec le vocabulaire quelle adorait « vas-y mon enculeur chéri, sodomise moi, déchires moi le cul, défonces ta salope, ta truie, je suis toute à toi » entre les grands coups de reins que je donnais et ces paroles, je ne pus me retenir plus longtemps, jéjaculais au fond de son cul en gémissant, Micheline continuait à parler « vas-y mon chéri, remplis moi de ton foutre, remplis ta grosse pute, mets moi tout, vides toi les couilles » et à peine sa phrase fini elle hurla, à nouveau, de plaisir.

Le moment de furie sexuelle passé, je regardais Micheline se redressée, elle était toujours de dos, elle avait de grosses cuisses qui ballotaient au gré de ses mouvements, de même que ses fesses, puis elle se tourna et me fit face en disant « tu mas défoncé, cétait trop bon mon chéri », là je vis ses gros seins qui tombaient sur son ventre tout aussi gros, et je me dis que par rapport à mes rencontres habituelles, jétais carrément sortie des normes, je navais jamais baisé une femme aussi grosse, elle sapprocha de moi et tout en caressant mon torse elle me dit « merci, cétait vraiment génial, jai adoré, et jai pris mon pied comme jamais », je lui dis « tu aimes vraiment te faire insulter pendant que tu fais lamour », elle me regarda et dit « même si ça parait aberrant, oui, jadore ça et là aussi tu mas soigné, tu nas pas hésité ».

Je pris un air sévère et rajoutais « alors la grosse truie que tu es va me nettoyer le zob, allez à genoux et nettoie la bite qui ta fourré la chatte et ton cul, prends la dans ta bouche et astiques la » elle me regarda surprise par le ton très dur que jemployais puis se mettant à genoux elle me pris en bouche et commença à me sucer « et fais ça bien grosse salope, comme une vrai bonne pute que tu es, nettoies moi bien partout » elle me sortit de sa bouche et dit « comment ça partout », je lui mis une petite gifle et lui dit « partout cest partout, tu nettoies ma queue, et mes couilles et ensuite tu me bouffes le cul pour quil soit tout propre » ses yeux sagrandirent et brillèrent encore plus, je lui appuyais sur la tête fortement, elle ouvrit la bouche et me nettoya la queue et les couilles, puis me tournant et mappuyant au mur, je dis simplement « bouffes moi le cul grosse truie », elle se jeta entre mes fesses, les écarta et sa langue commença un balai magique, qui en quelques minutes me fit rebander, elle le vit et sarrêtant de me lécher le ptit trou, elle me dit « encule-moi encore sil te plaît, défonces le cul de ta chienne, fais moi du bien », comment résister, je fis ce quelle me demandait et elle hurla à nouveau son plaisir, puis nous allâmes prendre une douche et là elle me dit « tu sais jai pris un pied fantastique, je ne pensais pas quun gamin de ton âge serait aussi bon baiseur, je ne sais pas quand tu pars mais il faut quon se revoit avant, puis nous finîmes notre douche juste pour la fin de l’entrainement et le retour des gamins aux vestiaires.

Brigitte était dehors à côté de la voiture, et elle me dit « alors tu as pu les voir » je lui répondais « jai fait mieux, mais attends quon soit seuls » Bernard amena son sac et nous dit « je retourne au bureau jen ai pour ½ heure tout au plus des papiers à signer, attendez-moi là ». Plus de voiture sur le parking en dehors de la mienne et nous étions tous les deux, Brigitte posa sa main sur mon entre jambe en disant « racontes » ce que je fis sans omettre aucun détails le seul commentaire quelle fit cest « putain, la grosse salope, jamais je naurais cru ça delle, et en plus cette pute ta vidé les couilles » depuis que je parlais elle essayait de me faire bander sans succès, Bernard revint avec un air satisfait et nous rentrâmes à la maison.

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