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Histoires de cocus (extra)ordinaires – Chapitre 1




Il y a peu, l’un de mes bons amis s’est retrouvé cocu. Sa femme l’a trompé, puis l’a quitté pour aller vivre avec son amant, puis, au bout de quelque temps elle est revenue. Il l’a accepté. L’amour peut rendre fou comme il peut tout pardonner.

Quoi qu’il en soit, le monde est plein de cocus. Mon pote n’est pas le premier. Le cocu est une figure de la littérature, il est même le héros du vaudeville. En France, on aime les cocus, surtout quand ce sont les autres.

Il arrive que le cocu nous apitoie ou qu’il nous laisse indifférents, on peut même se réjouir de son infortune. Souvent, cependant, il nous amuse.

Dernier, la plupart du temps, à connaître son malheur et pouvant l’ignorer sa vie durant, il refuse son déshonneur ou l’accepte ou, encore, le subit. Parfois il le recherche. Mais est-ce encore alors un cocu ?

J’ai donc entrepris, amis lecteurs, amies lectrices, de raconter quelques histoires de maris trompés, sans liens les unes avec les autres. Chaque chapitre sera donc unique et sans suite par rapport au précédent.

Et, sait-on jamais, je pourrais écrire la mésaventure de ceux qui le voudraient.

Si j’ai préféré m’intéresser aux hommes dont la femme a regardé ailleurs, ne vous interdisez pas Mesdames ou Messieurs de me dire votre intérêt pour le sujet et si vous voulez que je narre aussi les outrages de femmes bafouées, dites-le-moi.

Et maintenant, aux cocus… ceci est leur histoire.

Chapitre 1

Où Jean-Claude découvre que le meilleur ami de l’homme est le meilleur amant de sa femme.

C’est une banale histoire de vol annulé. Problème technique. Pas d’avion avant 18 heures, donc retour à la maison.

La porte du garage qui s’ouvre en silence. Je m’y range, descends et je monte l’escalier sans faire de bruit. Béatrice dort peut-être encore. Il lui arrive de faire la grasse matinée.

Et puis les gémissements. Ils me parviennent étouffés mais je comprends tout. Elle est au lit avec un autre homme.

Ma vie bascule s’arrête. Je suis tétanisé, je maffaisse et m’écroule sur les marches en béton.

J’entends les plaintes, les râles et les encouragements :

— Vas-y mon gros loup, elle est bonne ta queue. Prends-moi bien mon amour !

La voix résonne un peu. Elle doit être dans la salle de bain et pas dans la chambre. Je les imagine sous la douche mais je n’entends pas d’eau couler.

Chaque parole me fait mal, chaque mot me transperce. Les compliments qu’elle adresse à l’homme ne soulignent pas seulement son infidélité, ils appuient sur l’inégalité de nos performances sexuelles. Elle ne cesse de vanter la taille de sa bite, la caresse de ses poils sur son cul, le balancement de ses boules qui frôlent les chairs… j’entends tout. Je pleure de rage.

L’homme reste silencieux. Il ne dit rien. Le seul autre son qui me parvienne c’est celui du chien qui halète. Ah, s’il pouvait parler ! Il m’aurait prévenu de mon malheur… d’ailleurs je le trouve étrangement calme… c’est que vraisemblablement il connaît l’amant.

Alors j’imagine… un voisin… un ami… Quelqu’un de proche assurément.

Je dois en avoir le cur net. Il faut que je m’approche. Je vais les surprendre puis je partirai. En attendant mon avion je trouverai bien un petit studio à louer rapidement où je pourrais ressasser mon chagrin et survivre le temps du divorce. Car, n’en doutez pas, je vais demander le divorce.

Je me relève péniblement, mes jambes flageolent, gravis lentement les dernières marches qui me séparent du couloir, pousse la porte entrouverte.

Les cris de ma femme sont de plus en plus audibles maintenant bien sûr. Elle parle à peine. Elle jouit, elle jouit comme il y a belle lurette que je ne l’ai entendue jouir… C’est vrai qu’elle jouissait comme cela au début de notre relation, bruyamment, longuement…

La moquette étouffe mes pas. J’hésite encore. Comment vais-je réagir devant l’homme qui baise ainsi ma femme ? Et si c’est un ami ? Je me laisse rarement aller à la colère, encore moins à la violence, mais vais-je supporter de voir ce que je vais voir ? Mais il serait encore plus insupportable de rester dans le doute. J’y vais.

Ce que je découvre est un cauchemar !

Je me recule contre le mur et m’effondre jusqu’au sol. Ma femme ne m’entend pas, elle ne me voit pas, elle me tourne le dos.

Elle a étalé sur le carrelage et le tapis de la salle de bain des serviettes pliées pour poser ses genoux au sol. Elle est à genoux et s’appuie sur le banc-coffre. Elle est en levrette, le chien la monte. Elle lui a mis des chaussettes aux pattes (de vieilles chaussettes qui m’appartiennent) sans doute pour qu’il ne la griffe pas et ne raye pas le meuble.

Je peux voir les couilles du chien (il a de belles coucougnettes Wévos- c’est son nom-) qui pendent bien et se balancent au rythme de ses coups de reins très rapides qui me font penser à la machine à coudre de ma mère par la régularité de son tac-tac.

Elle jouit, elle jouit encore, sans retenue… Quelle humiliation ! Elle prend son éclate avec mon chien ! Elle le préfère ! J’ai un nud dans la gorge, elle en a un dans le cul ! J’ai une boule au ventre, elle en a une paire aux fesses…

Au sol, une petite marre s’étend régulièrement malgré l’absorption du liquide par les serviettes.

Je ne sais pas combien de temps je suis resté là, prostré. C’est elle qui m’a tiré de ma léthargie. Alors l’idée me vient de prendre mon portable et de filmer.

— Oh oui, c’est bon, c’est bon je sens que tu vas jouir mon gros, remplis-moi de foutre, pousse bien !

Peut-être le chien a-t-il accéléré un peu, je n’en sais rien. Mais elle sent quelque chose. Elle passe sa main droite sous son corps, pour se caresser le clito et explose.

— Ouiiiiiiiiii, c’est bon, ouiiiiiiiiiiii, il est bon ton sperme, remplis-moi….. oh oui, oh oui, oh oui… je le sens là, je le sens…

Puis le chien s’arrête mais elle ondule encore du cul.

— Tu es bon, tu es chaud, tu es gros… hmmmm… encore, encore.

— Tu n’en as pas eu assez ? dis-je.

Elle fait un effort pour se retourner mais le chien est toujours sur elle et elle n’y arrive pas complètement.

— Qu’est-ce que tu fais là ? Dit-elle affolée.

— Je regarde ma salope de femme se… se… se faire saillir… comme une chienne… une grosse chienne en chaleur… t’es qu’une pute de chienne.

Ça y est les digues lâchent, je déverse ma rancur par un flot d’insultes. Je me suis approché et suis devant elle, debout. Elle est toujours en levrette à mes pieds. Cela m’énerve encore plus !

— Mais putain, tu pourrais t’arrêter au moins quand je te parle ! Tu n’as vraiment aucun amour propre pauvre traînée !

— J’peux pas minaude-t-elle, il est bloqué.

— Il est bloqué, il est bloqué, quoi qui qui est bloqué ?

— Wévos, il est bloqué. J’peux pas me dégager.

— Comment ça il est bloqué ?

— Oui sa boule est encore gonflée… il ne peut pas encore se détacher.

— Sa boule, quelle boule ?

— Son knot.

— Son knot, c’est quoi ça ? C’est quoi tes bouffonneries qu’est-ce que tu me bassines ?

— C’est la grosse boule qu’il a à la base de la pine. Elle gonfle au début de l’érection pour qu’il reste verrouillé à l’intérieur…

— Ah ta gueule… passe-moi les détails.

— C’est toi qui as demandé… répond-elle dans un souffle.

— Et… il y a rien à faire pour que tu cesses de… de te vautrer… Ah si on te voyait !

Et je la prends en photos sous toutes les coutures, je m’approche même de la vulve gonflée, obturée par le chien… mais qui dégouline de jus.

— Tiens ! Regarde-toi.

Au même moment, le chien se détache et je regarde à nouveau. Sa longue queue rouge entraîne dans son sillage de longs filaments blancs comme de la glu qui pendent jusqu’au sol avant de se détacher du pénis. Et, avant que ma femme se redresse il lui lèche la chatte. La chienne gémit.

— Debout salope, debout !

Elle se lève, ses jambes ruissellent.

Elle pleure.

J’ai envie de la gifler mais non. Je la regarde d’un air de dégoût…

Aujourd’hui, je ne suis pas fier de moi… de ce que j’ai fait ce jour-là. Je l’ai insultée une dernière fois et lui ai craché au visage et suis parti…

Nous avons divorcé ensuite par avocat interposé. La dernière fois que je l’ai vue avant le divorce c’était pour lui dire, mesquine vengeance, que je gardais le chien. Elle n’a rien pu dire. J’avais les images.

Le temps a passé et puis le chien… le chien que j’aimais tant me rappelait sans cesse ce que j’avais vu… en plus il dépérissait à vue dil…

Alors un soir je suis allé chez elle.

— Je te ramène le chien !

Vous auriez vu sa tête !

— C’est vrai… tu me…

Et elle s’est baissée pour se jeter à son cou. Réalisant ce qu’elle faisait, elle s’est dégagée, très gênée.

— Je te le ramène à une condition !

— Laquelle ?

Il y avait de la défiance dans sa voix.

— Je veux… je veux savoir comment ça se passe au début…

— Au début de quoi ?

— Quand tu… quand tu le fais avec lui ?

— Tu veux que je t’explique ?

— Non, je veux que vous le fassiez devant moi.

Elle m’a interrogé longuement du regard puis elle a dû conclure que j’étais sérieux. Mais elle ne disait rien.

— C’est comme ça ou je repars avec.

— Qu’est-ce qui me prouve que tu me le laisseras après ?

— Je te signe un papier.

— Et si tu me fais chanter ?

— Tu as ma parole d’honneur.

Elle a hésité mais le chien continuait de s’agiter et de lui faire fête.

— Tu veux maintenant ? A-t-elle questionné

— Maintenant.

— C’est d’accord.

Je suis entré. Elle s’est déshabillée et a écarté les jambes. Le chien est immédiatement venu lécher et très vite elle a oublié ma présence. Quant à Wévos, sa queue s’est tendue tout de suite. Elle s’est mise à quatre pattes. Il savait exactement ce qu’il devait faire. Il l’a grimpée, elle a attrapé le pénis et l’a guidé en elle. J’ai regardé le tube grossir. Je l’ai entendue jouir et quand le chien a éjaculé, je lui ai mis une petite tape sur la tête.

— Adieu mon toutou. Sois heureux.

Je suis parti et ne les ai jamais revus.

Fin de la première histoire.

Et maintenant amies lectrices, amis lecteurs, à vous de me dire si vous voulez d’autres histoires de cocus…

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