Mamie Geneviève 23

Surprise d’entendre la voix de son mari, ma fille Agnès sort de mon lit d’un bond, pour partir à la recherche de ses habits. Je lui chuchote : «  Ne bouge pas, je vais voir ce qu’il veut ».

Ma fille est encore troublée par la correction que je lui ai donnée il y a peu.

Je me réajuste, remets mes cheveux en place, m’essuie la bouche avant de rejoindre mon gendre. Curieusement, Gilles a pris l’habitude de me tutoyer et de m’appeler « Maman » dès lors qu’il est dans une phase d’excitation sexuelle.

Alors que d’ordinaire, il est courtois, m’appelle Geneviève et me vouvoie.

Donc mon gendre est chaud bouillant en revenant de chez leurs nouveaux voisins.

Il me paraît surexcité, quand je lui apparais, il me dit alors:

— Oh maman, tu es là

— Qu’est-ce qu’il y a mon chéri ? (J’entre dans son jeu)

— Jacky et Michelle, les voisins, sont vraiment géniaux !

— Raconte à ta maman !

Les yeux brillants d’excitation, Gilles me fait un étrange récit :

« Après les avoir aidé à faire le béton de leur terrasse, tous deux m’ont remercié chaleureusement. Michelle m’a alors proposé de partager un thé avec eux et, bien que je n’en sois pas amateur, j’ai accepté pour leur faire plaisir.

Si j’ai déjà bu des thés parfumés, celui-là était particulier. A la fois fruité et un peu amer, qui me laissait un arrière-goût inconnu dans la bouche, sans que cela soit désagréable.

Alors que nous dégustions le breuvage, Jacky et Michelle me fixaient. Je n’étais pas gêné d’être la cible de leurs regards, car j’y ressentais beaucoup de bienveillance.

Je ne sais pas ce qu’elle a mis dans le thé, mais une sorte d’ivresse m’a saisi. Je me sentais comme sur un petit nuage, une chaleur montait en moi et m’empourprait les joues.

Autre chose montait en moi, c’était le désir, un appétit sexuel qui me faisait bander sans raison.

Je voulais revenir ici te rejoindre, pour te faire l’amour, mais Michelle ne m’en a pas laissé le loisir. Elle m’a pris la main et m’a fait me lever. Elle m’a enlacé et son mari nous a rejoint. Jacky était derrière moi et se collait lascivement, sans que ça ne me dérange d’être ainsi serré par un homme.

Nos corps se frottaient délicatement l’un contre l’autre et je bandais terriblement contre elle.

Alors que Jacky s’est éloigné, Michelle m’a déshabillé très lentement, avec une grande douceur, puis m’a conduit vers leur salle d’eau.

Jacky était déjà sous la douche et se savonnait le corps.

C’est une douche à l’italienne, avec une grande cabine. A l’invitation de la femme, j’y suis rentré pour rejoindre Jacky.

Ce que je n’avais pas remarqué chez lui et qui m’a troublé, c’est de constater qu’il est complètement glabre. Pas un seul poil, que se soit sur les bras, le torse, le pubis ou les jambes.

Face à mon air ahuri, il m’a tendu la main en souriant et m’a invité à m’approcher alors que Michelle se déshabillait.

Il m’a savonné tout le corps et sa femme nous a rejoint. Elle aussi, est totalement dépourvue du moindre poil.

Je bandais, mais je l’ai laissé me savonner de la tête aux pieds. Il n’insistait pas particulièrement sur mon sexe bandé et, ni l’un ni l’autre, ne semblait offusqué par mon émoi.

Michelle m’a ensuite frictionné avec un gant de crin et m’a soufflé à l’oreille :

— Pourquoi gardes-tu tous ces poils ? Ce n’est pas très beau

— Je je ne sais pas ! Ai-je répondu, en bredouillant

— Veux-tu faire comme nous et t’en débarrasser ?

Pourquoi j’ai répondu « oui », je n’en sais rien !

Ils m’ont alors proposé de me sécher, d’enfiler un peignoir et de les suivre vers une pièce attenante.

Je suis entré dans une grande pièce, où règne une ambiance orientale, à la japonaise, avec des tatamis au sol, une table très basse et au centre, un tapis épais caoutchouté, un peu comme dans les salles de sport.

Après avoir enlevé mon peignoir, Michelle ma invité à m’asseoir sur le tapis. Le contact sur ma peau m’a surpris, c’est doux et chaud comme du velours.

Pendant que Michelle préparait une mixture avec du miel, Jacky, lui, prenait quelques accessoires dont de l’huile parfumée et un masque de nuit, comme il y a dans les avions.

Il m’a caché les yeux avec le masque et je me suis allongé sur le tapis, complètement détendu, en attendant gentiment la suite. L’un des deux a mis une musique douce, très zen et je me suis senti comme dans un cocon.

Puis l’épilation totale a commencé. On me badigeonnait d’une substance tiède. C’était tantôt une jambe, un bras, le torse, le dos, tout y est passé sans que je ne souffre trop quand ils enlevaient les bandes épilatoires.

Sous les bras, ils m’ont rasé et je me suis totalement laissé faire.

Je ne savais pas qui opérait, les deux probablement.

J’ai eu droit à une autre tasse de thé, que j’ai bue, toujours avec les yeux bandés ! J’ai apprécié davantage ce breuvage au goût étrange et me suis laissé bercer par la musique.

J’étais si bien que, quand des mains se sont affairées sur mon corps, je me suis abandonné.

L’un et l’autre m’oignaient d’une huile douce qui sentait bon. Quatre mains couraient sur moi, agissaient simultanément pour me masser partout. On me tournait, me retournait avec délicatesse. Ma bandaison est revenue et, progressivement, je sentais que l’on touchait de plus en plus souvent mon sexe.

Je me dandinais pour mieux apprécier les caresses en particulier celles dans le sillon de mes fesses. Plusieurs mains manipulaient ma verge d’une façon exquise, puis un doigt fin m’a pénétré l’anus, après de longs effleurements. Je me suis senti fouillé et j’aimais ça !

Je n’ai éprouvé aucune douleur d’être pénétré, comme si j’attendais avec impatience cette visite intime. Une bouche a gobé mon gland pour le sucer.

Le doigt qui me fouillait a été remplacé par un autre, plus gros celui-là, par un doigt d’homme. Là encore c’était délicieux d’être pénétré de cette manière.

Pendant ce temps, mon membre passait d’une bouche à l’autre.

Jacky m’a alors enculé avec son doigt et, quand il me suçait, c’était divin, très différent de Michelle qui préférait me lécher. Même aveugle, j’ai su discerner qui faisait quoi.

Elle préférait laisser glisser ses seins sur mon torse ou mes jambes. Je sentais la douce pression de ses tétons qui glissaient sur moi.

Mon orgasme étant sur le point d’éclater, Michelle m’a prise en bouche et a accepté volontiers ma liqueur qu’elle a dégustée

Je laisse mon gendre reprendre son souffle et lui demande :

— Pourquoi es-tu revenu si c’était si bien ?

— Parce qu’en éjaculant, je t’ai appelée. Quand Jacky m’a ôté le masque, il m’a demandé si tu souhaiterais te joindre à nous. C’est pour ça que je suis là !

— Je vais réfléchir, en attendant va te changer, tu es sale comme tout avec ces habits de chantier !

— Oui maman ! Tu viendras, hein ?

Alors qu’il s’éloigne, je réfléchis à sa proposition. C’est tentant comme expérience, mais j’ai bien envie de garder mes poils, surtout ceux de ma chatte,qui est si fournie. D’autre part, je souhaite rester avec ma fille, que j’ai peu vue depuis mon arrivée chez eux.

Alors que je pense à ça, Agnès sort de ma chambre et, comme elle s’est rhabillée, on ne peut deviner que je lui lacéré le dos à coups de ceinture. Je remarque quand même qu’elle grimace au contact du tissu.

Elle intercepte son mari et lui dit :

— Comme tu vas retourner à coté, je vais demander à Mélanie, la femme de ma vie comme tu le sais à présent, de venir ici. Elle en sera ravie.

— Si tu veux, fais comme il te plaît Mais ta mère peut-elle m’accompagner chez nos voisins ?

— Non ! Maman restera avec nous, entre filles.

Ma fille a décidé pour moi ! Loin de me vexer, j’en suis ravie.

Quelques minutes plus tard, Gilles plus correctement habillé, n’ose par interrompre le baiser que j’échange avec ma fille. Mais, prenant conscience de sa présence, nous nous tournons vers lui et l’invitons à passer des moments agréables en compagnie des voisins.

Il nous quitte tout souriant, déjà ravi par ce qui l’attend

Je suis heureuse que les choses se passent si bien entre ma fille et son mari. Chacun d’eux accepte les choix de l’autre, leur divorce en sera facilité.

Agnès me dit alors :

— Ça ne t’ennuie pas si Mélanie se joint à nous ?

— Pas du tout, au contraire, je l’aime bien cette petite !

— Tu sais J’aime énormément cette fille et je ne souhaite pas qu’il y ait de quiproquos.

— Comme quoi, par exemple ?

— Je n’ai pas envie que tu me la voles.

— Te la voler, moi, une vielle femme !

— Maman, ne le nie pas, tu rayonnes tellement, que tout le monde est aimanté par toi. Comment aurais-je pu imaginer embrasser ma mère ou que mon mari puisse coucher avec toi !

— Ton mari est heureux maintenant. Tu le seras aussi bientôt avec cette femme. Elle te fait bien l’amour ?

— Superbement ! Elle sait être douce, mais aussi très habile !

— Un sexe d’homme ne te manque jamais ?

— Parfois j’aimerais qu’elle ait une bite et me prenne comme un homme. Je me suis renseignée sur Internet et je sais où acheter ça en ville, c’est à coté de chez Mélanie, mais je n’ose pas entrer toute seule dans cette boutique. Mélanie est encore réservée à propos de l’usage d’un tel artifice pour m’aimer.

— Allons-y toutes les trois ! Demande à Mélanie de nous rejoindre à proximité du magasin.

— Tu es géniale, maman ! C’est une excellente idée ! Je l’appelle

Les retrouvailles avec Mélanie, si jeune et si belle rousse, sont chaleureuses, nous nous comportons comme de vieilles amies alors que cela fait si peu de temps que nous nous sommes rencontrées. C’était dans cet avion qui m’emmenait ici.

Ma fille et elle forment un couple charmant et j’en suis ravie pour elles !

Trois générations de femmes, qui entrent dans un sex-shop, ce n’est pas banal !

Les quelques clients sont étonnés, mais la surprise passée, chacun retourne à ses occupations.

Notre trio de choc s’amuse à examiner nombre de gadgets exposés et finit par s’arrêter face au rayon dédié aux pénis artificiels.

Il y en a de toutes les tailles, même un modèle monstrueux qui doit faire au moins 50 cm de long. Nous pouffons de rie toutes les trois, mais sommes vite embêtées pour choisir. Si la préférence s’oriente vers quelque chose à lanières, faut-il vibrant, en quelle matière Bref tout un tas de questions pratiques ?

Une jolie petite vendeuse vient à notre rescousse pour nous conseiller.

Comme elle s’approche de moi, presque à se coller pour me demander ma préférence, je lui précise que je dois reprendre l’avion et que je me vois mal expliquer ce que ferait un tel objet au contrôle de mes bagages.

Les filles choisissent chacun le modèle que portera l’autre. Mélanie reste modeste mais pas ma fille qui préfère un machin imposant.

Avant de régler, je remarque un martinet et le joint aux achats. Plus étonnant, c’est que la vendeuse ait griffonné son numéro de téléphone sur la facturette qu’elle me tend en souriant de façon explicite.

Mélanie s’interroge sur ce choix d’acheter un martinet et je la rassure en lui disant qu’elle comprendrait vite pourquoi. Agnès devient rouge comme une pivoine en regardant son amante qui semble comprendre qu’elle aura à jouer un autre rôle dans leurs relations futures.

En sortant, nous allons directement à l’appartement de la belle rousse, vraiment très proche de la boutique. Mélanie nous propose un rafraîchissement et je vois Agnès la rejoindre et l’enlacer. Les deux femmes s’embrassent langoureusement, puis ma fille, à voix si basse que je ne puis entendre, donne des explications à son amie, puis montre son dos et surtout les traces rouges des coups de ceinture que je lui ai donnés.

Mélanie reste incrédule et me regarde avec étonnement. Un peu par provocation, je sors le martinet du sac et l’agite dans sa direction.

Les deux femmes éclatent de rire et me rejoignent avec les verres.

Tout en nous désaltérant, nous déballons les accessoires et Agnès me surprend en me tendant la grosse bite et propose à son amante de prendre le petit modèle.

Ma fille nous surprend encore plus quand elle dit :

«  J’ai toujours eu pour fantasme d’être prise en double pénétration. L’occasion est unique pour le faire et surtout avec les deux femmes que j’aime.

Aimez-moi ou forcez-moi, mon corps est à vous ! »

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