Narrateur : Aurélie
Je me levai pour aller prendre une douche, j’en avais bien besoin.
Julien rendait le GSM au shérif et celui-ci quitta la pièce sans un mot.
Hubert vint près de moi.
"Tu es une très bonne pute je te félicite !" Je baissai le regard pour ne pas devoir le regarder dans les yeux.
"Va prendre une douche maintenant et apprête-toi pour notre petite sortie de ce soir OK ?" j’acquiesçais de la tête.
Je montai les escaliers quatre à quatre car le sperme coulait maintenant sur mon ventre et mes cuisses.
Je pris une douche bien chaude pour me détendre. Je redoutais ce qui m’attendait ce soir dans ce bar mais j’essayais de penser au moment où nous serons libres. Enfin !
J’entendis la porte de la salle de bain s’ouvrir. Je reconnus la silhouette d’Hubert.
"Tu penseras à t’épiler entièrement salope je ne veux plus un poil OK?"
"D’accord ce sera fait" Je m’étonnai encore une fois de la façon dont j’étais soumise.
Je pris mon temps sous la douche. Une fois sortie, je m’épilai comme Hubert me l’avait demandé.
Je m’appliquais pour que ma chatte soit bien lisse pour que ce porc n’ait rien à redire. Je voulais à tout prix éviter de le contrarier pour qu’il ne puisse prolonger notre séjour chez lui.
Ensuite je me maquillai de la plus belle des manières et je commençai à enfiler mes sous-vêtements.
Des beaux bas autoportants, un porte-jarretelle, un ensemble soutien string le tout en noir. Très sexy je dois bien l’avouer !
Je me regardai dans la glace et j’étais contente de ce que je voyais ! J’enfilai ensuite la robe. Mais là, stupéfaction !
Je passai la robe mais celle-ci était vraiment beaucoup trop courte. Elle s’arrêtait juste en dessous de mes fesses. Le décolleté était lui aussi vertigineux et ne cachait pas grand-chose de mes seins.
La porte s’ouvrit, c’était Hubert, il était 19h30. Il resta planté devant la porte en me voyant.
— "Faatch que t’es bandante comme ça!
— "La robe est beaucoup trop courte" lui dis-je en lui tournant le dos pour lui montrer.
Il rigola et ajouta ensuite "Non c’est parfait comme ça Aurélie"
Il s’approcha de moi pour m’examiner de plus près.
— "Enlève ton soutien" Je m’exécutai.
— "C’est bien mieux comme ça" Je regardai le miroir, un seul faux mouvement et un de mes seins sortait de la robe !
Il passa sa main sous le bout de tissus qui me servait de robe et fraya un chemin vers mon intimité. Il s’assura que j’étais bien épilée et ressortit sa main qu’il sentit à plein nez.
Il me répugnait, quel énorme porc ! Je n’en revenais pas que j’avais pu sucer ce monstre et que j’allais encore sûrement devoir le faire avant notre libération !
Nous étions prêts à partir, je descendis avec Hubert, Julien nous attendait dans le salon. Il avait une petite mine et devait, lui aussi, être au plus mal !
Je voulus prendre une veste pour sortir mais Hubert me l’interdit.
— "Pas question tu vas comme ça pour que tout le monde voie à quel point tu es une salope"
Nous montons dans le pick-up d’Hubert. Je m’installe sur la banquette arrière et sommes en route pour le "bar" qui est à cinq minutes d’après lui.
— "Bon les jeunes je vous rappelle les règles." Il se retourne vers moi.
— "Ce soir tu es mon objet OK ? Je te demande de faire un striptease tu fais un striptease, je te demande de branler tu branles, de sucer tu suces et ainsi de suite. T’as compris le principe ?"
Je baissai la tête et acquiesça. Quelle horreur ! Mais qu’allais-je vivre durant ces prochaines heures ?
Julien ajouta : "Et après nous serons libres ? Vous nous rendrez nos affaires et nous pourrons partir ?"
— "Je n’ai qu’une parole!" et il démarra.
Après deux minutes de route, il mit son clignotant pour rentrer sur le parking d’un petit supermarché. Il gara sa voiture devant les portes.
— "J’ai besoin de faire quelques courses. Aurélie tu descends avec moi pour aller chercher tout ça."
— "Mais vous n’y pensez pas Hubert je suis à moitié nue!?"
— "Écoute salope tu vas pas commencer à discuter dès le premier truc que je te demande quand même ? Allez tu descends avec moi et toi tu nous attends" en parlant à Julien.
Je regardai autour de nous et il n’y avait pas grand monde heureusement. Je descendis donc et me dépêcha de rentrer à l’intérieur. Ouf personne ne m’avait vu !
Une fois à l’intérieur, Hubert salua le caissier et me donna une liste de quatre ou cinq éléments à aller chercher. Le magasin était presque désert et comportait trois ou quatre rayons maximum. Avais-je peut-être de la chance ?
Je rentrai dans le premier rayon pour aller chercher des chips barbecue. Évidemment il y avait deux jeunes qui étaient en train de regarder les bouteilles d’alcool. Ils me remarquèrent directement. Je m’arrêtai aux chips et j’entendis qu’il parlait tout bas entre eux tout en s’approchant de moi.
— "Eh ben on a chaud mademoiselle ?" Ils rigolèrent.
Ils devaient avoir 18 ou 19 ans. Ils avaient des boutons partout sur le visage et n’étaient pas forcément beaux.
Je me contentai de sourire en guise de réponse.
L’un deux, sans doute encourager par mon manque de révolte, me tapa sa main au cul. Je ne savais pas quoi faire. Si je m’énervais et faisait un esclandre j’allais peut-être énerver Hubert donc je ne bougeai plus.
A ce moment-là Hubert arriva dans le rayon. Il cessa et ils reculèrent d’un pas en arrière.
"Tu te dépêches oui ou merde tu vas nous foutre en retard salope !"
"Oui monsieur" répondis-je.
Je dus me baisser pour prendre le paquet de chips et, paralysé par la peur, j’oubliai que je ne portais qu’un bout de tissu sur les fesses.
Ce mouvement eut pour effet de soulever encore un peu plus ma robe et les deux jeunes derrière moi eurent tout le loisir de se rincer l’il.
"Oh putain quel cul !" Je pris vite le paquet de chips et me releva, leur faisant fasse.
Hubert arriva à notre hauteur : "Alors les jeunes on se fait plaisir je vois ?"
"Dé… désolé Monsieur c’est votre femme?" balbutia le plus jeune des deux qui avait l’air un peu timide.
Le deuxième était plus grand et paraissait plus sûr de lui. Il n’arrêtait pas de regarder mes seins je ne savais plus où me mettre.
"Non pas du tout gamin. Pourquoi elle vous plaît ? Si vous voulez en voir plus je vous invite au Corner Bar tout à l’heure !" Il lança un clin d’il aux jeunes qui voulait tout dire.
"On peut pas Msieur on na pas 21 ans." Il y eut un blanc.
J’en profitai pour m’éclipser prétextant le fait que je continuais les courses demandées. Ouf j’étais sauvée !
Après cinq minutes passées dans le magasin pour tout trouver, je me dirigeais vers la caisse.
Un client était rentré et discutait avec le caissier en buvant une bière. Il avala de travers en me voyant et toussa à s’étouffer.
— Putain mais José (le nom du caissier je suppose) c’est un strip club ton épicerie maintenant ? Ils s’esclaffèrent. Quelle classe !
Je déposai mes articles quand j’entendis Hubert m’appeler de quelque part dans le magasin. J’y allai.
Il était encore avec ces deux jeunes à la même place que tout à l’heure.
"Bon écoute ma jolie ces deux jeunes n’ont pas 21 ans et n’ont donc pas la possibilité de venir profiter de tes charmes tout à l’heure c’est dommage non ?"
"Oui c’est dommage pour eux" dis-je. Mes yeux fixés sur le sol.
Au fond de moi j’étais soulagée en fait je ne voulais pas être l’objet de ces deux puceaux de course.
"Alors voilà je leur ai proposé un deal financier qu’ils ont accepté : tu vas les soulager ici tout de suite cela nous fera tous gagner du temps."
Je regardai Hubert pour me plaindre et lui dire que je ne pouvais pas faire cela en plein milieu d’un magasin mais je compris à son regard que cela ne valait pas la peine.
Mais où cette histoire allait-elle s’arrêter ?
Je m’abaissai et posa mes genoux à terre, résignée. Je m’approchai des deux jeunes garçons qui restaient debout, mains sur les hanches et sourire jusqu’aux oreilles en me regardant.
Hubert cria : "José tu peux fermer ton magasin quelques minutes stp ?"
Leurs pantalons et slips sur les chevilles, je découvris leur membre respectif.
Le plus timide avait une verge normale, ni trop épaisse, ni trop fine et d’une longueur d’environ 15 cm. Le grand sûr de lui avait lui une bite assez longue mais surtout très épaisse alors qu’il ne bandait pas encore.
Ce dernier lança : "Allez ma beauté enlève nous ta belle robe!" Il prit ma robe par dessous et l’enleva, donnant le bout de tissus à Hubert qui regardait la scène.
Je me retrouvais donc à genou, au sol, en plein milieu de ce supermarché, en string et porte-jarretelle en guise de vêtements, prête à soulager ces deux jeunes hommes.
Le plus timide posa ses genoux à terre à côté de moi et se rua sur mes seins déjà nus.
"Houaw John t’as vu cette paire de seins ?" dit-il au grand en m’empoignant les seins à pleine main.
"Eh ouais Timmy comme dans les films de cul. Cette salope a une belle grosse paire de seins siliconés. Allez prend moi cette queue en bouche maintenant.
Il était méprisant et ne me respectait pas du tout. Qui pourrait me respecter dans la position dans laquelle j’étais en même temps !?
Il vint sur ma droite pour laisser son pote tout le loisir de jouer avec mes mamelles. Il léchait maintenant à pleine bouche mes tétons.
J’attrapai sa queue à pleine main et commença un va-et-vient rapide, je ne voulais pas rester dans leurs griffes longtemps.
Je le regardais droit dans les yeux pour faire monter l’excitation plus rapidement. "Allez pompe moi maintenant!"
Je pris sa bite en bouche. Elle avait maintenant une taille assez impressionnante et j’avais du mal à la mettre entièrement entre mes lèvres.
Son pote se releva et vint se mettre côte à côte avec son pote. Je le pris en main et commença à lui faire une branlette pendant que je suçais l’autre.
Je m’occupais de deux bites en même temps, et même si c’était dégradant au plus haut point pour moi, je devais bien avouer que cela me plaisait de donner du plaisir ainsi à deux mâles en même temps.
J’alternais dans ma bouche la bite de Timmy et celle de son camarade John. Et pendant que je suçais l’un, je branlais l’autre. Le tout, en les regardant droit dans les yeux. Je comptais arriver rapidement à mes fins grâce à cette technique. Mes seins balançaient au rythme de ma nuque.
Ils étaient gentils ces deux gosses, l’un essayait de se donner un air de bad boy en m’insultant mais il n’était pas méchant !
Hubert intervint : "Bon les gars va falloir penser à juter parce quy en a d’autres qui aimeraient prendre votre place. Elle est pas douée ou quoi ?"
"Rhooooo si elle suce comme une reine monsieur" dit Timmy. J’enlevai sa queue de ma bouche pour lui lancer un "Je te remercie" suivi d’un grand sourire.
John prit sa queue en main pour se masturber à quelques centimètres de mon visage. Il n’allait pas tarder à venir.
Je m’écartai un petit peu et me plaça entre eux deux à une vingtaine de centimètres de leurs sexes. Ils se masturbaient tout en me regardant.
Ils savaient qu’ils allaient bientôt m’inonder de leur semence et cela les remplissait de joie. Je jouais le jeu pour que cela aille plus vite.
Je les regardais droit dans les yeux avec un regard de chienne en chaleur tout en tripotant mes tétons.
Mon petit jeu eut raison d’eux. Timmy, le plus timide, lâcha un râle brouillant et quelques secondes après, un long et épais filet de sperme vint s’échouer sur mes seins.
Cela devait faire longtemps qu’il ne s’était plus vidé car une quantité impressionnante de foutre se répandait sur moi. Je récoltais le précieux liquide en serrant mes deux globes l’un contre l’autre.
A cette scène excitante, John se rapprocha de moi et sans prévenir me lança un puissant jet de foutre au visage suivi de deux plus épais mais moins puissant.
J’eus un mouvement de recul mais il m’attrapa par les cheveux pour me garder à distance de sa queue. J’en avais partout, le foutre dégoulinait de mon visage et de ma poitrine sur le sol.
Je n’eus pas le temps de reprendre mes esprits que Hubert lâcha :
— Ok les gosses allez passer une bonne soirée. Grosse pute lève-toi on s’en va !!!
— Hubert je peux m’essuyer quand même je suis remplie de foutre !? Dis-je énervée.
— On na pas le temps je te dis et puis …. Il fut coupé par John qui était resté debout avec son short sur les chevilles.
— Tu n’as qu’à récolter notre semence avec tes doigts et l’avaler pour éviter que cela ne tache le sol du magasin. Il me regarda avec un regard pervers tout en tendant un billet de 50 dollars à Hubert.
Ce dernier éclata de rire
— Hahahahaha tu as raison. T’as entendu bac à sperme ? Récolte le sperme avec ton doigt et nettoie toi le corps et vite !
Je n’en revenais pas. A quoi pouvais-je bien ressembler ?
Je m’appliquai donc à racler tous les amas de sperme qui se trouvaient sur mon visage, mes seins et mon ventre.
A suivre ?