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En chaleur – Chapitre 1




Vendredi soir.. Je rentre épuisée du travail. Je m’effondre sur le lit et bientôt je suis tout engourdie et je m’enfonce dans des rêves torrides :

je suis juste en petite culotte et collants noirs et je me promène dans mon salon:

je me sers une rasade de scotch et deviens vite un peu grise… j’ouvre le frigo..

qu’est-ce que je pourrais bien manger… J’aperçois de belles carottes rouges, j’en prends une, mais je ne la porte pas à ma bouche. Je me jette par terre, lève les fesses en l’air, j’imagine que plein d’hommes me regardent en se masturbant à mort, et je fais ma grande salope…. j’écarte ma petite culotte avec une main et de l’autre j’approche la grosse carotte de mon petit cul qui ne demande qu’à être défoncé… J’entends les bruits de queues qui s’agitent frénétiquement et je sais qu’il y en a déjà une qui crache son foutre dans ma direction, pendant que le râle d’un mâle qui jouit déchire l’espace de la pièce.

Sur le sol , je me tortille en disant des cochonneries pour m’exciter et surtout pour entendre tous ces hommes se branler de plus en plus fort : " Regardez mon petit cul, bande de salauds…ça vous fait envie, hein ? Oh oui, branlez vos grosses queues, je veux qu’elles soient dures et brûlantes pour mon petit cul serré. Regardez ce que je fais avec la carotte, je suis une salope, oui..

je l’enfonce tout doucement à sec, par petits coups, un centimètre, deux centimètres, dix centimètres…je deviens folle.. ça vous excite hein..Vous n’en pouvez plus hein ? Vos queues vous font mal tellement le gland est rouge et gonflé.. Vos couilles sont pleines de sperme bouillant qui ne demande qu’à gicler… Alors venez vous venger, venez me posséder comme une chienne en chaleur que je suis, faites n’importe quoi avec moi, je suis à vous, tous mes orifices sont ouverts pour vous, violez moi, je suis saoule, je ne sais plus ce que je dis, je suis folle, je veux des grosses queues en moi, dans ma chatte, dans ma bouche et dans mon cul, je veux vos bites bandées à mort dans mon cul, venez bande de vieux salauds , je suis là juste pour vos phantasmes… "

  Je sentis bientôt trois grosses queues vibrantes et humides s’exciter sur mes fesses. Elles étaient vicieuses, elles se prélassaient sans vergogne dans les recoins les plus intimes, en faisant exprès de ne pas me pénétrer. Je sentais en même temps les mains qui les secouaient de plus en plus vite. Les glands énormes et brûlants caressaient mon clito, se glissaient entre les lèvres de ma petite chatte qui n’en pouvait plus de mouiller, s’amusaient à vouloir me sodomiser…

Soudain , une énorme plainte, je sens une queue qui crache son jus brûlant entre mes fesses écartées par des mains brutales. Une autre queue , sans gêne aucune vient s’enduire de ce foutre, et quand le gland est bien gluant, je sens brusquement le membre me pénétrer les entrailles violemment et s’enfoncer en moi en me dilatant délicieusement, j’ai l’impression que ça n’en finit pas tant la queue du mâle est longue. Pour finir, pour m’achever , l’homme me donne un grand coup de rein, un coup de grâce pour moi, je sens ses couilles bien fermes et chaudes rebondir sur mes fesses. Je me tortille de plaisir , je tends bien mes fesses vers le haut, je me sens soumise et heureuse de l’être, mon souffle s’accélère mais la queue qui vient d’éjaculer a décidé de se faire sucer. Alors, je l’enveloppe de ma langue vicieuse, lèche le sperme qui dégouline au bout du gland, pendant que l’autre homme a décidé de défoncer mon petit cul, il va et vient à une vitesse folle entre les fesses que j’écarte de mes propres mains. Une troisième queue avide défonce ma chatte, je ne sens plus que ces trois membres bandés violemment en moi: dans mes fesses , je sens les deux queues complices qui se frottent l’une contre l’autre, seulement séparées d’une fine membrane ultra-sensible. Soudain, tout se dérègle et s’affole, je sens maintenant deux queues qui se battent dans ma chatte, puis deux membres qui veulent abuser de moi, me déchirer, me faire hurler. Je masse mon clito inondé, il n’y a plus que de la chair excédée, qui demande qu’on la soulage.,,, Brusquement, c’est la délivrance, je pousse un hurlement de douleur et de joie, je sens mon corps se contracter, puis parcouru de grandes blessures stridentes et douces, des queues odorantes se libèrent dans ma bouche, dans ma chatte, je sens le sperme chaud se mêler à mes fluides, il y a des bruits obscènes et des râles masculins.. Je me sens inondée par la vie, libérée de ma honte, je jouis, oui, je jouis , je suis à l’extrême pointe de ma féminité, le sperme gicle, je suis la naissance future, je suis la joie… ET le dernier homme résiste encore, les autres s’étant retirés, et il dilate le plus étroit des mes orifices, une partie de mon corps attend encore le plaisir, je suis tendue, attentive, je ressens toute la force de ce mâle qui veut prouver le plus longtemps possible sa puissance. Il sort son membre, il regarde fièrement son oeuvre, je le laisse profiter de moi de bonne grâce, je joue le jeu de l’homme, qu’il regarde! J’écarte bien mes fesses pour qu’il voie tout, je suis sa petite pute et en même temps la première femme s’offrant au premier homme… Il plonge à nouveau, s’arrête en moi, il maîtrise parfaitement sa force. Soudain , un deuxième orgasme se tend en moi, j’entre mes doigts devenus fous dans ma chatte emplie du sperme de l’autre homme, et …. c’est l’illumination : pendant que je me cabre et me tortille sous l’emprise d’une électrocution fatale, un énorme gland dilaté fouille au plus profond de ma pudeur, en en déchirant les derniers voiles, et soudain explose, gicle, m’inonde, l’homme sort sa queue baveuse et brûlante, gicle encore sur mes fesses, entre mes fesses, replonge. gicle encore en moi… Je sens sa queue s’agiter encore, se ramollir délicieusement, redevenir gentille, pour finalement, à contre-coeur, me quitter pour de bon.

Les deux autres hommes ont regardé toute la scène en se masturbant. Ils se branlent à nouveau avec application pendant je m’offre à leurs regards à nouveau brillants, ouverte, pleine de leur plaisir que je sens s’écouler de moi.

Et je sais qu’ils veulent me prendre encore, et que je vais me donner , encore et encore. VIRILO

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