Césario descendit du train, il scruta le quai machinalement, puis traversa le hall avant de rejoindre le car qui attendait dehors. Après avoir acquitté son billet, il alla sasseoir au milieu du car au milieu des jeunes femmes, et des matrones un peu plus âgées qui remplissaient le bus municipal ce jour de marché. Le bus sengagea dans la vallée pour gripper au village. Césario semblait reconnaître çà et là les bâtisses et les paysages quil avait quittés 4 ans plus tôt. Il avait aujourdhui 18 ans et son baccalauréat en poche. Lépoque du petit adolescent quittant la maison familiale à la mort de sa mère était bien loin. Il revenait au pays, il allait retrouver son grand-père et le domaine. Et enfin lété était radieux.

Césario ne descendit pas à larrêt devant le portail du domaine, malgré larrêt du chauffeur. Il préférait descendre un peu plus loin au moulin. Là, il arpenta le chemin de caillou qui descendait vers la rivière et contourna le bâtiment qui jouxte le moulin. Il grimpa le vieux chêne comme il faisait jadis avec son père, lorsque la chaleur était trop forte et que tous deux venaient faire la sieste à la fraîcheur de la grande citerne. De la dernière branche tendue vers la bâtisse, il se faufila à travers une baie daération pour pénétrer dans la bâtisse juste au-dessus du réservoir. Là il se savait tranquille. Son havre de paix et de sécurité lui permettait de reprendre quelques forces avant daffronter toute la famille.

Césario était couché sur le dos scrutant chaque détail de la vieille charpente quand soudain il fût sorti de sa torpeur par des rires dehors. Le grand portail de la bâtisse sentrouvrit, puis se referma aussitôt en claquant. Quelques secondes suivirent avant que la porte ne se rouvre. Mais cette fois elle resta ouverte. Dans le contre-jour de la baie, Césario aperçut une silhouette masculine. « Tu sais bien que tu vas pas pouvoir téchapper comme ça » Ces quelques mots confirmèrent son opinion, mais si Césario ne pouvait être vu de sa position il ne pouvait pas voir non plus la scène qui se déroulait 4 mètres plus bas. Il entendait bien quelques mouvements en bas mais ne pouvait identifier ce qui sy passait. Il regarda autour de lui et aperçut la passerelle qui joignait le grenier du moulin. Il se dirigea silencieusement vers cet accès. Il scruta à travers les jointures des planches. En bas il voyait enfin un homme plutôt jeune et vigoureux face à langle de la pièce, le pantalon à mi-cuisse. A ses pieds une femme était agenouillée, la tête collée contre la taille de lhomme. Césario était subjugué par la scène. Il venait de passer 4 ans en pensionnat bénédictin. Il avait entendu parler de ces relations un peu particulières, mais il était réellement novice et portait peu de crédit aux récits de ces camarades, à des fabulations plus que réelles. Mais là cela navait plus rien de fantasmatique. Il avait sous les yeux un type en train donduler des hanches, directement dans la bouche dune femme plutôt bien faite. De sa position, il ne voyait pas son visage. Juste les cheveux noirs de la femme serrés dans les mains de son bourreau et de temps en temps ses lèvres autour de la verge luisante. Mais le bruit de respiration des amants, le son de la succion, ajoutés aux brides de scène quil pouvait entrevoir lexistaient sacrément. Césario nosait pas bouger mais sa position était particulièrement inconfortable, à genoux sur les lattes de bois, et la tension de son pantalon demandait à être libérée rapidement. Dans un mouvement hasardeux, Césario appuya son pied sur une latte abîmée qui céda le déséquilibrant. Le brouhaha sortit les deux amants de leur intimité.

Lhomme se rajusta en un instant, et quitta la pièce sans plus se poser de question. La femme releva la tête pour rechercher lorigine du trouble. Césario se savait à labri du regard, il se blottit dans un coin. Mais soudain il vit savancer vers lui léchelle qui était adossée à la citerne. Il se précipita vers lextérieur au travers de la baie daération qui lui avait donné accès au son mirador. Alors quil descendait au plus vite le chêne, mais vit apparaître la silhouette féminine et se sentit piégé. Césario se résigna à descendre de larbre quand soudain il reconnu Lucia, sa tante.

En bas de larbre Césario fit front à sa tante. Elle le regardait avec interrogation réalisant sur le moment lidentité de son voyeur. « Cest toi Césario Quest-ce que tu fais là ? »

« Je suis ici chez moi. » dit il pour se défendre.

Lucia « Mais enfin tu ne devais arriver que demain. »

Césario « La cérémonie de remise de prix nest que pour les familles. Jétais seul je nai pas attendu, jai pris le premier train je suis arrivé par le corail de 10h00 »

Lucia « et tu étais là depuis longtemps »

Césario remarqua le trouble dans la voie de sa tante. Cela le conforta dans sa position darrogance. Il regarda sa tante dans les yeux, ceux ci était embrumés, Lucia cherchait la déculpabilisation de son neveu. Elle avait une vingtaine dannées de plus qui lui et lavait souvent martyrisé quand sa mère nétait pas là pour le protéger. Elle nétait aujourdhui plus en position de le corriger et Césario venait de sen rendre compte. « Je suis rentré dans la citerne bien avant toi, et jai tout vu si cest cela que tu demandes » asséna Césario à sa tante sèchement. Elle fondit en larmes.

« Non ce nest pas vrai, tu na pas tout vuce que tu a vu ce nest rien … Tu sais ce nest pas ma faute Tu sais comment sont les hommes. Et puis cest la faute à ton grand-père aussi sil nabusait pas des gens » Elle fondit en larmes. Césario nen revenait pas, il marchait tranquillement vers la citerne. Il devait récupérer sa valise. Sa tante marchait sur ses pas telle une mendiante. Elle mendiait son pardon et surtout son silence. Mais Césario nen avait que faire il était en position de force et comptait bien se délecter encore un peu de son nouveau statut. Il grimpa léchelle, récupérera sa valise. Se rajusta en effaçant les traces de poussière sur ses vêtements sans dire un mot. Pendant tout ce temps sa tante toujours en larmes sétait confondue en excuses, prétextant que cétait la première fois, en même temps elle expliquait que les hommes qui vendaient le blé à son grand-père abusaient delle pour se venger de sa position dominante dans le négoce. Et que comme ils la savaient abandonnée, sétait plus facile. Césario finit par regarder sa tante dans les yeux non sans lui porter un regard désapprobateur. « Tu nas rien à craindre. Ce sera notre secret. » A ces mots Lucia fondit en larme et serra contre elle son neveu. Césario se sentit secoué par ce geste. Lui qui manquait tellement de chaleur. Il sentait cette femme, aux formes opulentes contre son torse. Sa chaleur dabord. Lui qui navait jamais serré dans ses bras quelquun dautre. Sa mère avait perdu lesprit bien trop vite à la mort de son père. Il avait traversé une adolescence sans tendresse. Et là il était blotti contre cette femme dune quarantaine dannées, aux gros seins, la taille ferme. Il approcha ses bras pour lui rendre ce geste de fraternité, mais cest autour des ses hanches que ces mains se posèrent, avant de descendre ostensiblement sur la croupe. Lucia resta saisie nosant plus bouger, sans pour autant appréhender le geste de son neveu. « Cest promis, ce sera notre secret. Oui Lucia tout cela restera entre toi et moi. » Césario avait volontairement appelé pour la première fois sa tante par son prénom, en lieu et place du traditionnel Tati qui habituellement marque le respect du rangs dans la famille. Il venait de lui signifier, quelle devait désormais le considérer comme son égal au lieu de le prendre comme un gamin.

Le soir après le repas, la conversation entre Césario et le grand-père se porta sur le domaine. Le travail été difficile dans le domaine. Le grand-père de Césario ne voulait pas le voir affecter à des tâches douvrier. Il était destiné à un avenir de médecin. Le futur notable de la famille ne devait pas travailler avec les ouvriers, ni avec les bêtes du domaine. Cest Césario qui se proposa de prendre en main le négoce du grain. Les autres producteurs de la région amenaient le blé au moulin, le domaine le rachetait à bon prix. Sa tante Lucia nétait pas favorable à cette incursion dans le domaine quelle pensait sien mais elle nétait pas en position de revendiquer quoique ce soit. Les choses étaient dites.

Le lendemain la tante et le neveu se retrouvèrent à laube pour faire le tour du moulin, la pesée, les silos, lempaquetage de la farine. Lucia voulait montrer à Césario que la tâche était rude et quil ferait mieux de changer tout de suite doptique. Mais Césario connaissait tout les recoins de son enfance et le travail qui était jadis celui de son père. Le père de Césario était mort à la guerre. Loncle Umberto, le frère de son père avait lui reçu un éclat de bombe qui avait emporté son esprit. Celui-ci travaillait toujours au domaine, mais comme gros bas. Il était le molosse de 1.85m, et 110 kg, affecté aux travaux difficiles mais ses agissements étaient ceux dun enfant. Il avait épousé son épouse au départ à la guerre mais navait jamais pu être réellement lépoux de Lucia. Pour finir la mère de Césario avait sombré dans le désespoir à la mort de son mari, et finit par mourir 10 ans plus tard laissant un adolescent de 12ans que lon traîna décole en pensionnat pour en faire quelquun.

Mais Césario était décidé à reprendre sa place, à celle qui avait abusé de sa faiblesse denfant. Ne serait ce que pour lété. Ils reçurent dans la matinée les différents producteurs. Césario sappliqua à montrer quil était le fils de la famille, malgré son jeune âge, reléguant sa tante à la position secondaire. La fin de la journée arriva et Lucia lui montrait les dernières tâches à effectuer pour maintenir les blés secs, mais aérés pour éviter la fermentation. « Voilà la journée est finie, dit enfin Lucia dans lespoir de se libérer de son emprise. « Je crois pas non. Hier je tai vue faire des choses que tu nas pas encore faites aujourdhui. » répondit-il toujours sur le même ton directif. Lucia regardait son neveu en écarquillant les yeux. Il lui faisait du chantage. Elle baissa les yeux, et Césario sapprocha delle. Il saisit ses cheveux et força sa tante à descendre jusquà sa taille. Elle restait immobile mais comprit rapidement quelle devait montrer de la bonne volonté. Elle défit la ceinture puis la braguette et fit descendre le pantalon devant elle. Elle écarta le pan du caleçon et découvrit une bite de belle taille. La longueur était assez correcte mais cest par le diamètre que celle-ci sortait de lordinaire. Lucia regardait la verge de Césario avec ravissement, mais celui-ci ne sen aperçut pas. Il tira sur le cou de sa tante pour approcher de sa bouche. Celle-ci finit par la prendre délicatement entre ses lèvres. Elle lavala et fit délicatement coulisser la verge dans sa bouche. Césario venait de relâcher la pression de sa main. Il avait pour la première fois sa verge dans une femme, même si cétait une bouche et il se délectait de cette sensation nouvelle. Lucia ressentit le jeune homme se détendre dans sa bouche. Elle avait la bouche particulièrement distendue par la largeur de celle-ci mais la douceur de sa peau, lodeur délicate, et la relative naïveté du jeune homme lui faisait un certain effet. Elle glissa sa main vers son entrecuisse et commença à se caresser, tout en accélérant le mouvement sur le membre. Elle ferma les yeux et se voyait avec cette verge plantée au plus profond de sa vulve. Lidée la fit jouir immédiatement et cest en chancelant sur ses jambes quelle reçu les premières salves de son neveu. Il éjacula en éructant sans même se rendre compte du trouble de sa parente. Il se rhabilla abandonnant sa tante à sa position dobjet assise sur le dallage, du foutre dégoulinant sur ses joues et dans ses cheveux, les cuisses ruisselantes également. (A suivre)

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