Bonjour à toutes et tous
Tout dabord merci pour vos messages.
Reprenons la suite.
Après un réveil difficile et beaucoup de questions, Nathalie vint frapper à ma porte et m’empêcha de trop réfléchir.
A ses dires, les garçons étaient prêts à me donner les vidéos et surtout la clef de ma cage de chasteté.
Je ne vais pas vous refaire toute l’histoire mais en l’espace d’une soirée, tout avait basculé. J’avais tout accepté, jusqu’à me faire prendre par mon meilleur ami et Jean-Marc. Ce gars-là, je le détestais, et pourtant c’est à lui que j’avais le plus obéi.
Après avoir descendu les escaliers de mon immeuble, j’arrivais dans la rue.
Hier encore, je ne pensais pas que j’aurais eu le courage de sortir ainsi.
Les garçons voulaient me voir habiller en secrétaire. J’avais été surprise de leur choix, mais ça me rassurait de ne pas sortir habillée en chienne en chaleur.
Ils m’avaient envoyé un taxi pour venir me chercher.
A peine sortie dans la rue, le chauffeur la quarantaine, sortie lui aussi de son véhicule et m’interpella.
— Bonjour, vous êtes Julie ?
De peur de parler, je lui fis signe oui de la tête.
Il m’invita à m’assoir à l’arrière du véhicule.
Nayant pas l’habitude, je m’aperçus qu’en m’asseyant ma jupe remonta au-dessus de la lisière de mes bas. Il ne rata rien du spectacle. Un sourire aux lèvres, il referma la porte.
Une onde de chaleur me parcourut le corps sans que je puisse dire pourquoi.
Il démarra la voiture et au bout de la rue, le taxi m’annonça que nous devions aller chercher une autre personne.
Je n’osais même pas demander de qui il s’agissait, toujours de peur de parler.
La voiture roulait doucement dans les rues de Paris. A plusieurs reprises, je surpris mon chauffeur me regarder via son rétro intérieur.
Pour vous le décrire, il était brun, cheveux courts, yeux clairs entre le bleu et le vert assez trapu et grand, un bon mètre quatre-vingt-dix.
À côté de lui je me sentais encore plus femelle. Enfin femme pardon.
Un vrai mâle…
Perdu dans mes pensées, je n’avais pas fait attention que la voiture venait de s’arrêter devant un grand immeuble.
Je ne connaissais pas du tout cet endroit.
Le chauffeur descendit du taxi et attendit devant la porte de l’immeuble.
Qui allait bien pouvoir sortir de cette porte.
À vrai dire j’appréhendais beaucoup.
L’attente ne fut pas longue. La porte s’ouvrit et le voilà qu’il sort. Jean-Marc était là. Tout sourire.
Le chauffeur et lui se dirigèrent vers la voiture. J’aurais voulu m’enfuir à ce moment-là.
Arrivés à la voiture, le chauffeur ouvrit la porte arrière et Jean-Marc s’engouffra.
Je venais pour le voir, pour lui parler le raisonner, et voilà qu’il était tout sourire devant moi.
Le chauffeur monta dans la voiture.
Il allait démarrer lorsque Jean-Marc prit la parole.
— Attendez cinq minutes avant de démarrer.
— Alors ma belle, je vois que tu es venue comme je te l’ai ordonné.
Il sadressa à nouveau au chauffeur.
— Comment la trouvez-vous ? Et soyez franc et direct. Elle aime ça.
Je le fusillais du regard. Je le détestais.
Mais je savais qu’il avait l’emprise sur moi.
Le chauffeur un peu gêné.
— Eh bien votre amie est superbe bien foutue et surtout elle sait s’habiller, dessus comme dessous.
— Dessus comme dessous ? Expliquez-vous demande Jean-Marc.
— Eh bien dessus mademoiselle est superbe une vraie secrétaire et dessous, j’ai eu la chance de voir qu’elle portait des bas et sûrement un porte-jarretelles car jai vu les attaches.
Jean-Marc se tourna vers moi
— Eh bien ma salope, on perd pas de temps je vois !!!
— Je n’ai pas fait exprès, cest en m’asseyant que ma jupe est remontée !! Osais-je dire.
Jean-Marc n’apprécia pas du tout ma réponse. Sans que je voie venir quoi que ce soit, il me gifla. Cette gifle nétait pas forte du tout, mais elle mit les choses au point directement.
Ç était lui qui était à la manuvre et il valait mieux que je me taise.
Jean-Marc venait d’appuyer encore plus son emprise sur moi.
Il regarda le chauffeur. Et lui dit:
— Vous avez mal vu, mais Julie va vous montrer mieux que ça.
S’adressant à moi.
— Tourne-toi et mets-toi à quatre pattes.
Et tout doucement tu vas remonter ta jupe jusqu’aux hanches ma cochonne.
Le chauffeur n’en revenait pas de ce qu’il entendait et surtout de ce qu’il allait voir.
Je me retournais comme une automate, la tête en direction de la vitre arrière.
Pour pouvoir remonter ma jupe je me cambrais ce qui me valut une tape sur la fesse de Jean-Marc.
Et comme il me l’avait demandé, tout doucement je remontais ma jupe.
Celle-ci arriva au haut des bas, découvrit mes attaches de mon porte-jarretelles, puis le bas de mes fesses et arriva à mes hanches.
Ils voyaient maintenant mon string noir et rouge me rentrer dans les fesses.
Le coup de grâce arriva lorsque Jean-Marc écarta mon string pour montrer mon bijou anal au chauffeur.
— Cest une vraie salope, vous savez. Hier encore elle s’ignorait et regarder là maintenant elle vous montre son cul.
— Tourne-toi et écarte bien les jambes.
J’obéis. Il me prit une jambe et la posa sur les siennes et m’ordonna de lui montrer mon sexe.
Doucement je glissais ma main entre mes jambes et écarta mon string pour lui montrer ma petite bite dans sa cage de chasteté.
— On dirait pas comme ça hein !!! Mais avant elle se prenait pour un mec. Regardez là maintenant !!!!!!
Jean-Marc tendit un bout de papier au chauffeur.
— Vous pouvez démarrer maintenant.
Ah, oui prenez votre temps !!!
J’allais pour enlever ma jambe et me rhabiller, mais il bloqua celle-ci avec sa main.
Il sortit son téléphone de sa poche et lança une vidéo avec le son à fond.
On me voyait dans la voiture de Sebastien, à quatre pattes avec mon visage au-dessus de la grosse queue de Jean-Marc. On entendait les commentaires des trois hommes m’accompagnant hier soir.
Le chauffeur ne voyait rien mais il ne perdait rien des commentaires.
Jean-Marc s’en rendit compte et lui lança
— Vous me donnerez votre portable je vous enverrai quelques vidéos.
S’adressant ensuite à moi
— Tu vois comment tu étais hier soir ?
Pas le temps de répondre quil me prit par la nuque me forçant à me mettre à quatre pattes la tête au-dessus de son entrejambe.
— Ouvre mon pantalon !! M’ordonna-t-il
Résignée mais aussi excitée je m’exécutais.
— Sors ma queue et branle-la devant ton visage salope !!!!
Je plongeais ma main dans son pantalon. Le contact de sa queue sur mes doigts m électrisa.
Comme ordonné je sortis sa queue qui grossissait à vue d’il et me mis à la branler devant mon visage.
Je ne le voyais pas mais j’étais sûr que le chauffeur ne perdait rien du spectacle.
Quel spectacle j’envoyais !!!?
Jean-Marc se cala bien au fond de son siège, et me dirigea de la voie.
— Branle-moi moins vite pétasse !!! Humm voilà comme ça.
— Sens ma queue, renifle là !!
— Avec ta langue lèche là de bas en haut et tout doucement.
Je l’entendais grogner de plaisir sous ma langue. Moi qui étais venu pour tout arrêter et récupérer clef et vidéos, j’étais en train de le lécher dans un taxi devant le chauffeur.
— C’est bon ça, j’ai plein de choses prévues pour toi ma salope !!!
— Allez suce moi et applique-toi, jai les couilles bien pleines.
Comme il me l’avait ordonné, je pris mon temps de le sucer doucement, alternant les coups de langue.
Sa queue commençait à tressaillir dans ma bouche. Il m’appuya bien sûr la tête pour que je ne m’échappe pas.
Il m’explosa dans la bouche en poussant un grognement.
— Avale tout ma salope.
Ce que je fis sans broncher. Et pour être franche avec un immense plaisir.
— C’est bien ma cochonne, nettoie moi bien la queue et range la.
Après lavoir bien aspiré et léché, je remis sa queue pendante dans son pantalon.
Presque synchrones, la voiture s’immobilisa.
Jean-Marc me laissa me redresser.
J’étais à nouveau perdu, dans ma tête tout se bousculait.
Décidée, j’étais venu tout arrêter et pourtant là j’étais fière de moi de lui avoir donné du plaisir.
Jean-Marc me sortit de mes pensées.
— Nous voilà arrivé ma belle. Tu as un entretien pour un poste de secrétaire.
Tu as intérêt à être à la hauteur car c’est mon père qui va te recevoir !!!
— Mais je peux pas, j’ai même pas d’expérience dans ce poste et tout le monde va voir que je ne suis pas une femme !!!
Sans tenir compte de mon avis, il ouvrit la porte et me poussa pour que je sorte de la voiture.
Le chauffeur était déjà dehors. Jean-Marc lui demanda si cela lui posait un problème de nous attendre.
Il lâcha,
— Vous ne le regretterez pas !!!
Vous vous doutez de la réponse du chauffeur.
Jean-Marc me prit Le Bras et me guida à l’intérieur d’un immense immeuble vitré.
Arrivé devant laccueil, il s’adressa à l’hôtesse.
— Nous avons rendez-vous avec M. LEJOLIEDRAGON.
En espérant que cette suite vous a plu
Nhésitez pas à me dire ce que vous en pensez
J’en profite pour remercier mon maître leJoliedragon.