Léa – Mon esclave
Chapitre 5
Cela fait maintenant plusieurs mois que Léa est devenue mon esclave à part entière. Elle a accepté sa condition, et apprécie d’être devenue mon jouet. Nymphomane, elle en redemande (presque) toujours …
Etant donné qu’elle n’est jamais très heureuse de servir de vide couille à son frère, car ce dernier fait bien attention à ne jamais la faire jouir, elle fait tout pour me rendre heureux, et ne refuse rien au risque de retourner à la maison familiale.
En outre, malgré le contrat permettant à son frère de prêter sa sur à autrui, lors de gangbangs notamment, celui-ci n’en fit jamais usage. J’ai donc fini par me décider, il fallait apprendre à Mademoiselle à ouvrir ses cuisses à tous ceux que j’eus choisis.
Quoi de mieux qu’une petite soirée chez moi pour avoir une excuse d’humilier Léa … J’invitai donc trois de mes amis proches. Eddy, Maxence et Olivier avec lesquels j’avais récemment partagé notre secret. Tous très excités par les anecdotes que je leur ai racontées, ils n’hésitèrent pas deux fois quand je leur proposai de venir tringler ma chienne. Cette dernière n’étant point au courant de ce qui allait se passer, se prépara comme à son habitude. Elle se mit sur son trente-et-un, une robe moulante dans les tons mauves faisant bien ressortir ses formes, sans sous-vêtements, un petit plug anal assorti à la robe et un maquillage soigné.
Il était aux alentours de vingt heures lorsque mes convives arrivèrent, tous avec le sourire jusqu’aux oreilles.
Un petit verre pour chacun, je leur offris une pilule bleue pour être certain que la soirée ne se termine pas à 20h30. Léa se demanda très vite se qui était en train de se passer :
C’est quoi que tu leur donnes ?
Un petit cachet de Viagra, car ce soir, c’est toi ma chienne qui va être notre centre d’attention.
Ses yeux s’écarquillèrent, et je crus que sa mâchoire allait se décrocher telle fut sa surprise.
J’ai préparé un jeu de dés pour savoir dans quel ordre, qui ma chienne sucera en premier.
Tous tirèrent les dés, Maxence fut le vainqueur, suivi d’Oliver et du pauvre Eddy qui devra malheureusement attendre patiemment.
Mes convives s’installèrent sur le canapé en cuir du salon, je pris le fauteuil d’à côté et laissa surgir ma queue bandée à la vue de tous.
Viens ma pute, viens sucer ton maître pendant que je t’explique les règles.
Léa tremblait comme une feuille, encore sous le choc de la révélation.
Elle s’agenouilla devant moi, et commença une lente fellation, me lançant des regards d’incompréhension et de haine.
Alors tu vas commencer par tous nous sucer bien comme il faut, car tu dois leur montrer que je t’ai bien éduquée. Ensuite, lorsque tu auras fini ta besogne, nous te banderons les yeux.
Nous te ferons mettre à quatre pattes sur la table basse juste derrière toi et nous t’enfilerons tous un par un. Cependant, applique-toi à bien nous sucer d’abord, car tu devras deviner qui te laboure la chatte ! En cas de bonne réponse, tu te verras accorder une courte pause ou un orgasme, c’est au choix. En cas de mauvaise réponse, nous te ferons quelque chose que tu n’aimes pas, ou qui te dégoûte, ou simplement pour satisfaire nos envies du moment.
As-tu bien compris les règles du jeu ?
Léa leva les yeux, et me fit comprendre que oui par son regard. Elle me lécha la queue de bas en haut, et se leva pour aller inspecter le membre de Maxence.
Les deux autres commençaient déjà à se palucher, en observant le spectacle qui s’offrait devant eux.
Je me rendis derrière Léa, et lui retroussa sa robe jusqu’à la taille, faisant apparaître son beau fessier bien rond et son bijou anal qui sortait légèrement de son anus. Une bonne fessée lui fit rougir le petit cul et lui fit se rappeler de garder les cuisses ouvertes en présence de son maître. Mes doigts allèrent donc tâter le terrain, voir si ma petite chienne se plaisait dans ces conditions : sa vulve dégoulinante de mouille ne pouvait que trahir ses sentiments, elle était surexcitée.
Je décidai de la doigter un peu, ne serait-ce que pour lui voler de doux gémissements qui ne se firent pas attendre.
Oh bordel, qu’est qu’elle suce bien !
lâcha Max.
Fais bien tourner ta langue comme ça, là… oh oui putain !
Te décharge pas de suite, il faut encore quelle s’occupe de nous …
intervint Eddy impatient.
Lorsque vint le tour d’Oliver, Maxence ne se fit pas prier pour venir ôter le reste de tissu que possédait Léa, et venir s’amuser avec les tétons de ses deux gros seins. Je sentais ma soumise prendre tout son temps à faire ses fellations, voulant m’amuser avec elle, je titillai son clitoris en le faisant rouler entre mes doigts. Cela ne faisant pas 15 minutes que nous avions commencé et elle était déjà prête à exploser. Je ralentis doucement le rythme pour la garder au bord du précipice, la faisant s’acharner sur la bite de mes amis comme pour y trouver le plaisir manquant à sa délivrance.
Quand vint le tour d’Eddy, Olivier prit la place de Max, et celui-ci vint embrocher la demoiselle sans semonce. Il la prit d’un grand coup de reins, lui coupant le souffle. Elle tentait de s’appliquer à lécher Eddy, mais Max ne lui rendait pas la chose très facile.
Je vins lui placer le bandeau sur les yeux, pour réellement débuter notre soirée. Nous la plaçâmes sur la table basse, un plaide sous ses jambes pour surélever ses hanches. Max s’essuya la queue avec la robe de Léa laissée par terre et vint se replacer à l’entrée vaginale de cette dernière.
Il entra doucement pour feindre un nouvel arrivant. Après quelques va-et-vient, notre objet de satisfaction tenta sa chance :
– Hum… c’est doux, … euh je sais pas … hum … Eddy ?
Wouuuuhou ! Félicitations, ma chérie, ce n’est absolument pas lui !
rigolai-je
Nous commençâmes tous à rire de la difficulté de la tâche.
Maxence ! mexclamai-je. Que souhaites-tu lui faire subir ?
On peut lui remplacer son petit plug par quelque chose de plus sérieux ?
Est-ce que ce godemichet de 20 centimètres satisferait le désir de Monsieur ? lui dis-je en lui tendant le plus petit de la collection. (faisant 5 centimètres de large, il ne passera pas non plus inaperçu)
C’est un bon début ! réagit-il en souriant jusqu’aux oreilles.
Il lui enleva doucement le plug, la faisant couiner quelques instants.
La vache ! On dirait pas qu’elle se fait souvent enculer ! Même après avoir porté un plug ,son anus est super serré ! dit-il avant de cracher sur sa rondelle comme s’il était dans un porno.
Il prit le temps de bien se positionner avant d’insérer l’engin. Il le fit entrer relativement doucement, sans à-coup, et sans s’arrêter en chemin. Il poussa le gode jusqu’à sa garde, faisant geindre de douleur ma chienne qui pensait avoir le temps de s’y habituer. Léa se mordait les lèvres, la tête baissée et tentait de retrouver sa respiration nominale.
Wow, je n’aurai jamais cru que ça rentrerait ! Tu n’y es pas allé de main morte, regarde-la, elle pleure déjà, dit Olivier, inquiet.
Elle a la larme facile, lui répondis-je en approchant ma queue du visage de ma pleureuse. Celle si revint rapidement à ses esprits et me prit rapidement en bouche, tout en s’excusant de me faire honte.
Je suis navrée de vous forcer … à vous expliquer … maître ! S’il … vous plaît, … punissez-moi de ne pas avoir été … suffisamment … courageuse, sanglota-t-elle entre deux coups de langue.
Essayait-elle d’impressionner mes amis ? En tout cas, ça fonctionnait : Eddy prit la place d’Olivier.
Du moment quelle garde les cuisses ouvertes, moi ça me va ! dit-il en enfonçant sa queue jusqu’à la garde en un grand coup de reins.
HUMMMM… hurla-t-elle d’un cri étouffé par ma queue.
Eddy commença à la labourer. Nous pouvions tous entendre ses couilles claquer contre sa chatte.
Olivier et Maxence ne semblaient ne pas savoir quoi faire, alors je leur laissai ma place : elle aura donc pour la première fois, deux queues à satisfaire avec sa bouche en même temps.
Elle se débrouillait plutôt bien, ne laissait jamais l’une trop longtemps attendre ses coups de langue. Elle semblait assoiffée, mais surtout au bord de l’orgasme.
Alors que ma main s’approchait de son anus pour aller y faire mouvoir l’intrus, elle hurla le nom d’Eddy. Nous nous regardèrent tous surpris. Elle avait vu juste, certes il avait parlé, mais ce n’était pas contre les règles.
Je veux jouir le plus fort possible sans que vous touchiez au gode, en suçant l’un de vous, reprit-elle, toute fière.
Les règles sont les règles, nous choisîmes deux d’entre nous par les dés : je serais dans sa chatte et Maxence dans sa bouche. Nous la retournâmes sur le dos pour que les deux malheureux puissent tout de même s’amuser avec son clitoris et ses deux grosses mamelles.
Son con s’ouvrit plus difficilement que pour mes convives, mais son excitation était un excellent lubrifiant. Je la pris sans ménagement, comme elle aime, sans y aller trop fort non plus, mais de tout mon long. Eddy vint jouer avec son clitoris comme je lui avais appris durant mes récits, en le faisant rouler entre ses doigts tandis qu’Oliver, lui, décida de ne point ménager ses tétons. Il adore les grosses poitrines, et n’hésita pas une seconde à venir lui gober ses pointes avec sa bouche, léchouillant et mordillant ces derniers. Maxence lui était aux anges, il semblait particulièrement apprécier les fellations prodiguées par ma soumise.
En quelques dizaines de secondes, elle montrait déjà des signes de plaisir intense. En quelques minutes, elle hurla à l’orgasme, se cambrant sous mes coups de boutoirs dont j’avais accéléré le mouvement. Elle ne fut pas la seule cependant à lâcher un râle de plaisir, Maxence était en train de décharger de gros jets de foutre directement dans la bouche de Léa. Elle dut déglutir plusieurs fois avant de pouvoir à nouveau respirer.
Ne m’étant pas vidé les couilles de la semaine, j’ai presque cru que tu allais t’étouffer avec ! lança-t-il rieur.
Léa tremblait de l’orgasme qui venait de traverser tous les muscles de son corps.
Olivier vint prendre discrètement ma place, après que Maxence ait pris soin de replacer le bandeau privant Léa de sa vue.
« – Si tu ne devines pas celui-là, la seule chose que tu auras le droit d’avaler ce soir devra sortir d’une de nos queues, donc ça ne laisse que deux choix possibles ! Mais ça devrait être simple, étant donné que ce n’est pas moi et que tu as Maxence encore dans ta bouche…
Ahhh faites la arrêter de me sucer s’il vous plaît, il faut que j’aille pisser, je me retiens depuis qu’on est arrivé, tellement que j’avais envie de baiser, mais là… j’en peux plus !
Et bah, ça tombe bien, elle a un choix à faire : si elle se trompe, tu peux lui pisser dans la bouche, lui répondis-je.
Quoi ?! Mais on va quand même pas lui pisser dans la bouche, ça doit être dégoûtant ! me lança Max.
C’est une chienne, elle avale si tu lui dis d’avaler, peu importe si c’est de l’eau, du sperme ou de la pisse. Elle doit satisfaire ses maîtres, et mettre de côté ses valeurs, lui expliquai-je.
N’est-ce pas Léa ?
Elle fit la moue, s’apprêtant à pleurer de nouveau.
Oui Monsieur, je ne suis rien d’autre qu’un objet fait pour vous satisfaire, dit-elle en éclatant en sanglots. Si je me trompe, vous pourrez faire vos besoins là où vous le souhaitez.
woahh je te pensais pas comme ça Lea… tu l’as vraiment bien dressée ! dit Eddy.
Oh putain ! Bah dépêche-toi de décider parce que je vais pas atteindre les toilettes sinon !
Olivier, silencieux, faisait de lents va-et-vient dans son vagin trempé. Paniquée, Léa lança le prénom de son frère… Tous se regardèrent d’incompréhension alors que je leur expliquais que je l’avais offerte à son frère il y a quelques semaines, et qu’il l’avait beaucoup tourmentée.
A peine eus-je pu finir d’expliquer la situation que Maxence se déchargea la vessie dans la gorge de Léa. Elle but sa pisse pendant plusieurs dizaines de secondes qui semblaient durer plusieurs dizaines de minutes. Nous nous demandions tous quand il aurait fini, car elle n’en pouvait plus d’avaler.
Quand il se redressa, Léa prit une immense inspiration comme si elle était en apnée depuis des heures. Elle toussa, et eut du mal à se remettre de ses émotions. En même temps, boire autant d’un coup, et sur le dos… elle était devenue une experte pour ne pas en avoir gâché une goutte.
— Suite au prochain chapitre.