Morgane m’a dit qu’elle serait à moi toute la nuit et de me mettre à l’aise. Je me fous torse nu et je m’allonge sur le lit. Dans ma tête je vois encore Morgane se faire baiser par Bernard et tout en me disant que c’est une belle salope qui n’hésite pas à se faire baiser pour obtenir un contrat, je caresse doucement mon sexe qui déforme mon pantalon et qui n’arrive pas à débander depuis que je suis entré dans sa chambre.
Il me faut attendre ¼ d’heure pour voir réapparaître Morgane sur des hauts talons, dans une nuisette transparente qui me permet de voir qu’elle a aussi une lingerie fine en dessous et un porte-jarretelles qui retient des bas fumés, ce qui met encore plus en valeur sa beauté que si elle était nue.
Aucune trace de ses galipettes précédentes. Elle s’approche du lit et voyant la grosse bosse qui repousse le tissu de mon pantalon, elle me dit.
— Eh bien, mon cher Alex… je vois que tu n’as pas l’air de trop m’en vouloir…
Elle s’assoie près de moi et caresse ma poitrine et mon ventre.
— Tu dois voir ça comme une prestation professionnelle. Pour le boulot, je suis prête à tout et tu dois absolument comprendre que cela ne doit pas entacher le respect que nous avons l’un pour l’autre.
Je confirmai d’un hochement de tête, seule réponse possible, car sa main posée sur mon ventre frôle le haut de mon sexe en érection.
— Beaucoup d’hommes que je rencontre dans ma profession ont envie de me baiser. Je vois dans leurs yeux qu’ils aimeraient que je sois leur joujou, leur poupée d’amour, pour me soumettre à leurs désirs pervers.
Ses doigts emprisonnent le bas de ma queue et elle me regarde avec un sourire si sexy que ma bite frémit dans sa main.
— Avec toi, Alex, c’est différent. Tu ne m’as jamais forcé à quoi que ce soit et je me donne à toi par plaisir… par amour. Je suis même disposée à être ton esclave… tu peux faire tout ce que tu désires avec moi.
Ceci dit, elle retire ses hauts talons et s’allonge à côté de moi. Elle écarte ses jambes pour me permettre de voir son string et j’ai le sang qui me monte à la tête lorsqu’elle écarte encore plus ses cuisses, pour voir une ligne verticale rouge plus foncée entre ses lèvres intimes humides.
J’arrache mes yeux de son entrejambe et avec un sourire malicieux elle ajoute.
— Tout ce que tu veux… Alex…
Je saisi son visage dans mes mains et je l’embrasse passionnément.
Morgane m’a révélé beaucoup de choses ce soir. Elle m’a montré sa force et ses faiblesses, et je suis honoré de sa confiance. Ma langue tourbillonne sur la sienne et elle subit cette agressivité linguale en plantant ses ongles dans mon dos.
Ma patronne, mon fantasme, ma déesse, va de nouveau être à moi et de son propre aveu, mon esclave sexuelle… et j’ai envie de faire tant de choses avec elle.
Je vis un rêve, je suis au-dessus de Morgane, nos bouches pressées l’une contre l’autre et nos langues dansent à l’unisson ? M’a-t-elle vraiment dit qu’elle sera mon esclave, prêt à faire tout ce que je veux… cela ne semble pas possible.
Je regarde Morgane dans les yeux, mes doigts dans ses cheveux si doux et je lui dis.
— Je veux juste te faire plaisir, te rendre heureuse. Pas mon esclave.
— Fais-moi plaisir, Alex. J’en ai assez de jouer les femmes fortes, les patronnes tyranniques.
J’ai souvent ce fantasme, me faire dominer, être soumise à un homme pervers qui m’obligerait à faire ce qu’il a envie, juste pour son plaisir. Ce soir tu seras mon Maître. Défoule-toi Alex, profites-en, tu n’auras peut-être plus cette occasion de posséder ta patronne comme tu le veux… dans tes fantasmes…
Si elle veut jouer à ce jeu je ne vais pas m’en priver.
Je me détache d’elle et j’admire… mon esclave.
Morgane a ses cuisses largement écartées, la chair grasse de ses grandes lèvres ressort sur le côté de son slip qui s’insinue dans la fente de sa chatte.
— Lève-toi.
Mes yeux ne voudraient pas quitter cette belle vue de son entre cuisse mais je vais jouer le petit jeu « Maître-esclave » désiré par ma patronne.
Elle se soulève du lit mais je trouve qu’elle va trop vite.
— Stop ! Quand je te demande de faire quoi que ce soit, fait le comme une esclave soumise mais contrainte. Tu le fais lentement pour que je profite de ton corps sexy que tu m’offres. Compris ?
L’iris des yeux de Morgane se rétréci et je crains un instant qu’elle va remettre en question mon autorité en tant que maître, mais elle ébauche un sourire et me répond docilement.
— Bien sûr, Maître, j’aime quand vous me regardez…
Malgré son désir de soumission, je détecte un soupçon de faible impudence dans sa voix. Bon dieu que j’aime la force de cette femme. Elle me défie et elle me teste en même temps.
— Excellent ! Maintenant, s’il vous plaît, lève – toi lentement.
Je lui caresse sa joue en la regardant avec un sourire un soupçon carnassier car la partie de l’animal primitif qui est dans tout homme, ressurgit de mon moi profond.
Reniflant sa délicieuse odeur de femme qui se dégage de son corps je lui ordonne.
— Retire ta nuisette.
Sans reculer et rompre le contact visuel avec moi, elle soulève sa nuisette avec un air de défi.
— Lentement ! Et ne me fais plus répéter !
— Oui… Maître, je suis désolée.
Ses cuisses entièrement dévoilées sont superbes avec leurs rondeurs harmonieuses qui filent vers sa taille étroite. Son ventre qui apparaît ne présente aucun défaut et le léger bombé appelle la caresse d’une main ou d’une bouche.
La nuisette glisse sur ses seins encore à moitié couverts par son soutien-gorge rouge un peu transparent, déformé par ses tétons érigés sous le fin tissu, assorti à son string qui ne cache que l’entrée de sa chatte.
Elle respire lourdement en me révélant sa nudité comme la première fois il y a presque un an. Je me retiens pour ne pas me pencher et mettre ma bouche sur ses aréoles et sucer ses beaux tétons qui sont si sensibles.
Avant qu’elle ne laisse tomber sa nuisette par terre je la saisis et lui ordonne.
— Tourne-toi,
Elle se retourne lentement et je glisse sa nuisette sur son dos et de ses bras. Je la porte à mon visage et respire profondément, inhalant son parfum si capiteux qui imprègne le tissu. Avec un doigt je caresse sa peau entre ses omoplates et je descends le long de sa colonne vertébrale jusqu’à la petite fossette au-dessus de sa raie des fesses. Ses muscles se contractent légèrement, mais elle se détend tout aussi rapidement.
— Ça ne te dérange pas si je te touche, toi, mon esclave ?
— Bien sûr que non, maître.
— Tu aimes ?
— Oui… Maître.
— Alors, Dis-le !
— J’aime ça, Maître…
— Qu’est-ce que tu aimes ?
— J’aime quand vous me touchez, maître. J’aime sentir vos mains sur moi.
Je m’approche très près d’elle, mon souffle chaud sur son cou et je fais sauter rapidement le fermoir de son soutien-gorge entre mes doigts et elle laisse échapper un petit cri de surprise.
Je me penche lentement pour déposer un baiser dans son cou et je lui dis dans le creux de son oreille.
— Retourne-toi.
Elle expire sous mon souffle qui doit la chatouiller en haussant légèrement ses épaules.
Elle se retourne lentement. Le soutien-gorge dégrafé n’est maintenu que par les fines bretelles et ses seins se sont affaissés que très légèrement.
— Enlève-le, esclave !
Dans une infime et délectable provocation, elle garde son menton légèrement relevé, mais elle obéit à mon ordre. Elle lève lentement ses deux mains et accroche ses pouces dans les bretelles. Elle fait une pause comme pour me taquiner, avant de les tirer vers l’avant et libérer ses seins magnifiques aux tétons tous tendus et durs.
Sans vergogne je reluque sa poitrine aux courbes si harmonieuses et je pose mes deux mains sur ses bras. Elle respire profondément, anticipant mes caresses mais je lui murmure.
— Tourne-toi.
Elle semble agacée par ma demande mais, là encore, elle se maîtrise et répond simplement.
— Oui, maître.
Elle se retourne lentement et elle me présente son dos à la peau crémeuse et si douce.
Je fais courir le bout de mes doigts de sa nuque au creux de ses reins. Au souffle de sa respiration je comprends qu’elle aime ce subtil contact.
Je me mets à genoux derrière elle.
Son slip forme un petit triangle rouge au sommet de son cul, et le mince tissu de son string est profondément enfoui entre ses fesses.
Le porte-jarretelles rouge en dentelle, collé à sa taille au-dessus de son slip et les jarretelles qui couvrent verticalement ses hanches et le haut de ses cuisses, subliment les formes de son cul, et donne à ses cuisses une apparence en forme de cône.
Le fin duvet sur ses fesses me donne envie de mettre ma bouche sur son cul. Pour l’embrasser, le mordre, le lécher, avant de faire courir ma langue le long des sangles de la jarretière. De tirer l’élastique dans ma bouche avec mes dents, pour lécher ses fesses comme des grosses boules de crème glacée et goûter le jus sucré qui coule entre elles.
Mais je dois continuer mon rôle de Maître.
Je me relève lentement derrière elle.
— Tourne-toi.
Cette fois -ci, elle se retourne rapidement et elle frappe ma poitrine, se révoltant clairement de la faire languir. Réalisant qu’elle sort du jeu Maître -esclave, elle mord sa lèvre inférieure alors que je chéri son impudence.
Je prends sa main sur ma poitrine avec ma main gauche et avec la droite je la tire vers moi en écrasant ses seins contre ma poitrine.
— Vilaine fille ! Une esclave ne peut frapper son Maître ! Jamais !
Je tiens fermement son corps contre le mien, nos visages à cinq centimètres l’un de l’autre, ses seins pressés contre moi.
— Mais je peux te pardonner si tu me rends service.
Elle mordait encore sa lèvre inférieure, et répond.
— Je suis désolée, maître. Ça ne se reproduira plus. Que puis-je faire pour votre service ?
Je la relâche et je ramasse ses hauts talons.
— Mets ça, s’il te plaît.
Lui demandai-je poliment, en lui remettant ses chaussures.
Elle obéit sans un mot, et la vue de ses seins qui dansent doucement avec chaque mouvement qu’elle fait pour enfiler ses hauts talons, fait encore plus raidir ma queue dans mon pantalon.
Lorsqu’elle a enfilé ses chaussures, elle se tient fièrement debout et demande.
— Et maintenant, maître ?
Rien que d’entendre sa voix et de la voir ainsi, les seins nus et arrogants il me faut toute ma volonté pour ne pas la jeter sur le lit et la baiser immédiatement, sauvagement et profondément.
Mais je veux savoir jusqu’où elle peut aller dans ce jeu maître / esclave, même si elle est incroyablement sexy et désirable dans ses bas et hauts talons, les seins nus.
— Eh bien, Morgane, la journée a été longue. Je pense que nous pouvons fêter ton succès. Dans le Mini-bar il y a une bonne liqueur, mais le problème c’est que nous n’avons pas de glace.
L’expression du visage de Morgane devient interrogative.
— Chaque étage dans cet hôtel dispose d’une machine à glace… Peux- tu prendre le seau sur le bureau là-bas et aller dans le couloir pour me rapporter un peu de glace pour nos boissons ?
Quand j’ai fini ma demande, Morgane me regarde avec un air un peu affolé.
— Je suis presque nue, Maître. Puis-je me couvrir un peu ?
Je suis sûr qu’elle connaissait la réponse à sa question avant de la poser, mais elle veut entendre ma réponse.
— Non, je suis désolé, mais la machine à glace n’est pas loin, tu ne rencontreras probablement pas quelqu’un à cette heure tardive. Si par hasard tu croises une personne, il ou elle, sera enchanté de te voir dans une tenue aussi sexy. Considère ça comme une pénitence pour te faire pardonner.
Morgane cligne ses yeux lentement et baisse la tête.
— Oui, maître… vous êtes bon… mon Maître.
Elle récupère le seau à glace sur le bureau et puis elle se dirige lentement vers la porte. Elle tourne la poignée et ouvre tout doucement la porte. Elle me regarde par- dessus son épaule et par défi, elle me sourit d’une manière indescriptiblement érotique avant de franchir la porte pour aller dans le couloir.
Je n’en reviens pas qu’elle fasse ça ! Cette femme respectée et professionnelle se balade quasiment à poil sur des hauts talons, telle une callgirl d’hôtel de passe. C’est fou !
Elle aurait pu refuser, dire que le jeu a ses limites et que ça allait au-delà de celles-ci. Et bien sûr, j’aurais fini par céder, je ne l’aurais pas forcée.
Mais elle n’a pas refusé. Bien sûr, les chances d’être vue par quelqu’un sont infimes et il lui faut peu de temps pour aller prendre de la glace.
Je vais rapidement à la porte pour la regarder et ce n’est pas facile avec l’érection que j’ai dans mon pantalon. Elle est à mi-chemin et ses superbes fesses rebondissent légèrement à chaque pas. Elle doit m’avoir entendu respirer car elle s’arrête et me regarde avec un sourire narquois avant de continuer.
Elle atteint le coin du couloir où la machine à glace se trouve et elle disparaît de ma vue. J’entends le claquement des glaçons qui tombent dans le seau à glace puis elle réapparaît en venant vers moi.
Ses seins nus tressautent légèrement à chaque pas, et ses tétons sont tendus et relevés. Avec un sourire provocateur elle garde ses yeux fixés sur les miens sans jamais briser le contact visuel ou les détourner une fraction de seconde.
Tout à coup, à quelques mètres de ma porte, l’ascenseur sonne. Quelqu’un est sur le point de sortir à notre étage. Je mattends à se qu’elle court vers moi mais elle s’est refusée à accélérer et elle continue à marcher tranquillement vers moi.
Les portes de l’ascenseur s’ouvrent et j’entends la voix d’un homme et une femme parler à l’intérieur. Lorsqu’ils sortent de l’ascenseur, Morgane est passée devant moi et elle est entrée dans notre chambre. Je regarde le couple qui est sorti de l’ascenseur et la femme qui s’est tournée immédiatement vers moi en sortant.
Je suis presque certain qu’elle a aperçu Morgane car je vois cette lueur de surprise dans ses yeux. Je ne pense pas que l’homme ai vu Morgane car son visage s’est tourné vers moi alors que Morgane passait devant moi. Je les salut d’un signe de tête et la femme me fait une rapide coup d’il avec un sourire qui en dit long sur ses pensées.
Dans la chambre, je m’exclame en riant.
— Putain ! C’est dingue !
Morgane ne rit pas et reste stoïque et provocante au milieu de la pièce, le seau à glace dans ses mains.
— J’ai fait exactement ce que mon Maître m’a demandé.
Elle arrive à rester sérieuse et joue parfaitement son rôle de soumise.
— Eh bien… tu as fait un excellent travail, et d’une façon incroyablement sexy. Tu as gagné un verre. Choisis ce que tu veux.
Elle va au Mini-bar et se penche pour l’examiner. J’en ai plein les yeux ! Quel cul elle a !
Elle prend deux petites bouteilles de scotch.
— Je pense que nous avons gagné le meilleur… si mon maître est d’accord.
Je prends deux verres en plastique et je mets deux glaçons dedans.
— Ton Maître est d’accord.
Nous prenons tous deux une généreuse gorgée de scotch, et je sens la brûlure agréable qu’elle fait en coulant dans ma gorge. Débordant d’amour pour elle, je me penche rapidement et je l’embrasse sauvagement sur les lèvres. Tout d’abord surprise par mon agressivité elle me rend mon baiser avec ardeur. Je me recule et je lui dis.
— Je suis ton Maître et je peux t’embrasser quand je le veux.
— Bien sûr, vous pouvez faire tout ce que vous voulez… Maître.
Je l’embrasse encore profondément et nos langues dansent dans la bouche de l’autre sous l’agréable saveur du scotch.
— Viens, suis-moi. Je vais te montrer quelque chose. Prend ton verre.
La prenant par la main je la conduis vers la porte fenêtre. J’ouvre les stores et la fenêtre qui donne sur la ville. La chambre est au troisième étage, au- dessus de la rue encore un peu fréquentée à cette heure. Nous ne sommes pas très haut et l’on pourrait nous voir de la rue ou d’un bâtiment en face.
Au début, elle hésite à approcher sa nudité de la fenêtre, mais je tire doucement sa main et elle finit par céder et vient à côté de moi.
— Belle vue, n’est-ce pas ?
— Oui, c’est toujours beau la nuit avec les lumières.
— Mais vous êtes beaucoup plus belle.
— Merci… Alex.
Je suis content qu’elle laisse tomber le « Maître » car en embrassant ses épaules nues je lui dis.
— Détends-toi et profite de ta boisson pendant que je t’aime.
Je passe derrière elle, j’embrasse son cou, sa nuque et je descends plus bas jusqu’à son slip.
Je me laisse tomber sur mes genoux et j’admire son joli cul avant de poser mes mains sur ses deux hanches, pour les presser doucement. Puis mes lèvres caressent ses fesses d’une infinie douceur avant d’embrasser son cul plus sérieusement, poussant mes lèvres dans sa chair molle. Je lui fais plein de baisers sur ses deux fesses en la tirant sur moi avec mes mains sur ses hanches. Instinctivement, elle cambre son dos et pousse son cul sur ma bouche.
A suivre
