Un gros chapitre qui me change de mes habitudes en ce sens qu’une fille se retrouve aux prises avec plusieurs partenaires masculins.

Attention! SM très hard à éviter si âme sensible.

Une fois libérée de mes liens, je repris seule le chemin de la rivière, à la clarté de la pleine lune. L’eau glacée d’un torrent de montagne, c’est idéal pour retrouver ses esprits et se purifier.

Cette journée folle avait radicalement changé ma perception de ma sexualité. Un démon qui sommeillait dans mon ventre s’était brutalement réveillé. Ce qui n’était encore ce matin qu’un innocent jeu de séduction avait pris la tournure sadomasochiste étourdissante que j’espérais depuis si longtemps.

Je ne me savais pas capable d’un tel degré de provocation pour arriver à mes fins. Jamais non plus, je n’aurais cru possible de me laisser prendre par sept hommes de suite. Maintenant, il va falloir assumer tout ça mais je me sentais de taille.

Aucun regret ne m’effleurait à partir du moment où je savais que ce rôle d’esclave sexuelle cadrait parfaitement avec les aspirations de l’homme que j’aimais.

Je pressentais depuis longtemps que Pascal était rongé par l’idée fixe de m’offrir à son cercle d’amis. Je trouvais terriblement grisant quand il s’évertuait à asseoir son emprise sur moi en cherchant à m’emprisonner dans une relation maître-esclave. Trop accaparée par mes études, je gardais mes distances avec ses fantasmes, souvent très corsés, mais toujours en accord avec les miens.

La force de notre couple résidait dans l’absolue confiance que nous nous faisions. Je connaissais tout de ses lectures, des films SM qu’il chérissait et de ses fréquentations parfois borderline.

Il n’ignorait rien de la cour intensive que je subissais journellement de la part de mes camarades de cours ou de mes professeurs. Loin de s’en offusquer, il m’encourageait à emballer les hommes sans rien leur donner en retour.

Je n’oublierai jamais le jour où il m’avoua s’être inscrit, comme membre d’honneur, dans un club répondant au nom très suggestif de "Torquemada".

Rien que du virtuel, affirmait -il pour me rassurer. Je ne fus pas autrement surprise quand il me sollicita pour prendre des centaines clichés de sa naïade nue. Le résultat était extrêmement séduisant. Il n’y avait rien à jeter. Pascal était parvenu à transcender mon sex-appeal.

Je fus plus circonspecte quand il m’implora de les poster sur le site. J’ai été horrifiée en découvrant que la moitié de sa rédaction y était inscrite. En épluchant le site, je suis restée bouche bée en voyant les cruautés que ces machos imposaient aux femmes soumises. Etonnée voire incrédule de constater qu’elles y prenaient beaucoup de plaisir. Très fière quand je fus élue la plus belle et la plus désirable. Vigilante quand j’ai lu les supplices que mon anatomie inspirait. Surprise quand Pascal mit mon corps au enchères. Remplie d’orgueil quand un membre proposa d’échanger sa Mercedes AMG avec moi pour une seule journée. Défiante, trop défiante sans doute, quand Pascal me proposa le deal. Honteusement émoustillée et désinhibée quand j’appris dans l’avion que les leaders de son club m’attendaient sur le tarmac de Socotra.

Un craquement suspect m’arracha de mes fantasmes.

Mon petit baluchon, où ai-je fourré mon petit baluchon?

Une dramatique angoisse me noua la gorge lorsque je vis que mon sac et mes chaussures de marche avaient disparus dans lintervalle. Nous avions été observés et volés pendant nos élucubrations communautaires ! Vite prévenir les autres!

    *

— Mais bon sang! Veux-tu bien m’écouter! Je t’assure que nous sommes observés.

Trop occupés à préparer ma literie pour la nuit, Pascal, Eddy et Pierre remarquaient à peine ma présence.

— Allume la lampe camping-gaz et avance un peu la pierre plate! Il ne faut pas qu’elle soit installée trop confortablement non plus. Plus son bassin sera surélevé, plus ses orifices seront béants. Pierre, ton lubrifiant, je le pose où? C’est quoi? Ca sent drôlement bon.

— Secret de fisteur pour relâcher les sphincters additionné de quelques extraits de plantes urticantes pour exacerber la sensibilité des muqueuses.

— Pascaaal!

— Oui, il faudra assurer un tour de garde. Pose ton cul sur la pierre et passe tes chevilles dans les anneaux! Tirez, vous autres! Encore! Ses jambes doivent être écartée à cent cinquante degrés! C’est marqué sur le schéma.

— Mieux vaut que son coccyx déborde de la pierre. Oui comme cela! Eddy, attrape la sangle! Il faut la poser juste au dessus du bassin et serrer à fond.

Ma peau du ventre se tendant, je me sentais m’ouvrir comme jamais. Mon clitoris, pris dans la manuvre se décalotta et se dressa à la verticale. Sans perdre une seconde, Eddy sortit tout un attirail et commença par poser une pompe à vide sur mon bouton qui enfla en m’inondant de sensations ahurissantes.

Pascal me passa les menottes et les attacha à un piquet, loin derrière ma tête.

— Si elle crie trop, bâillonnez-la!

Petit Pierre me doigtait simultanément mon anneau vaginal et anal. Jamais je ne lui avouerai combien sa pommade était magique. Pas la peine, d’ailleurs, il avait compris qu’il était déjà le maître de mon plaisir.

— Regardez comme elle s’ouvre bien! Je n’en espérais pas tant. Son point G est encore plus envahissant que tout à l’heure. Au moindre attouchement, son vagin se contracte puis ballonne comme avant l’orgasme. Je ne me lasse pas rapidement des jeunes filles quand elles sont prévisibles. Rien ne m’amuse plus quand je peux moduler à ma guise leur jouissance. La nuit va être nettement plus intense que prévu, poupée.

Depuis que je lui avais avoué mes tendances masochistes, Pascal ne manifestait plus à mon égard le moindre geste tendre. Pire, il ne voyait plus en moi qu’un exutoire à ses fantasmes les plus dépravés.

— Cette garce n’est elle pas la plus désirable femelle de la terre? Je ne regrette pas de l’avoir encouragée à entretenir encore davantage sa condition physique. Les corps de sportives, pourvues de cuisses bien musclées et de mamelles solidement plantées, m’insufflent des idées de supplices indicibles . Et puis, les sportives savent bien souffrir. C’est bien connu. Celle-ci a déjà prouvé son endurance. D’ailleurs, elle n’a pas été élue, à l’unanimité, "égérie de Torquemada" pour rien.

Un seau à chaque bras, les quatre reporters retardataires se placèrent à coté de moi. Frank délaya un kilo de sel dans quelques seaux.

— Si tout le monde est là, nous pouvons commencer.

Vous avez tous été mis au courant que la dénommée Chloé s’est inscrite sur notre site dans la liste encore vierge des femmes qui consentent à offrir leur corps aux supplices les plus atroces sans bénéficier d’un password.

Dès qu’elle a eu connassance d’avoir été choisie pour sa beauté, elle a exigé que son statut d’égérie lui permette d’être offerte au gratin de nos Maîtres.

Il lui a été demandé de fixer une date et une durée pour sa soumission. Ayant choisi à dessein le cinq juillet pour une période de durée illimitée, elle est donc arrivée sur cette île en toute connaissance de cause.

Sous un pseudo d’emprunt, elle a rempli le questionnaire qui permet aux femmes qui acceptent la torture, de refuser certains traitements qu’elles jugeraient trop cruels.

Dans un élan dédaigneux inacceptable vis à vis des soumises actives, elle a sciemment quémander que lui soient prodigués tous les supplices, sans exception, que les autres avaient refusés.

Dans un premier temps, le questionnaire lui a été renvoyé pour s’assurer de son identité d’abord, et ensuite, de la réalité de ses désirs. Une copie de sa carte d’identité et le même questionnaire nous est revenu dans la minute. Une ajoute signée "Certifié sincère et véritable" y était jointe.

Peux-tu nous répéter ce postscriptum?

— Vraiment?

— Oui, vraiment!

— A l’intention de l’équipe de journaliste qui accompagnera Mr Pascal Lemaitre, mon concubin, sur l’île de Socotra. Je ne peux pas, Pascal. Je ne peux pas.

— N’aggrave pas ton cas et continue!

— Si Pascal s’oppose à mes souhaits, négligez ses ordres, quitte à utiliser la contrainte. Signé "Petit Poisson".

— Rien ne s’oppose donc à ce qu’elle subisse la totalité du programme que nous avons élaboré à son intention.

Un silence assourdissant tomba sur la montagne de Socora.

Pascal me souleva la nuque et la reposa sur mon sac de couchage roulé en boule.

— Ainsi, tu ne manqueras rien du spectacle.

Mes jambes hâlées et écartelées étaient exquises dans cette position. Eddy s’amusait à tapoter mon clitoris qui lui répondait par des oscillations spasmodiques qui se répercutaient jusque dans ma matrice.

S’adressant à ses complices, Pascal plaisanta.

— Quand demain, nous en aurons terminé avec la déesse de la sensualité et de la luxure, je vous prédis qu’elle sera nettement moins fringante que ce soir. Insistez bien sur ses jambes et ses seins!

Munis de gants parsemés de minuscules aiguilles, mes quatre bourreaux exécutèrent le redoutable et très excitant peeling intégral de ma peau cuivrée. Pour avoir suivi toutes les tortures affligées aux soumises de "Torquemada", je savais pertinemment qu’aucune femme n’avait supporté, ne fut ce que cinq minutes, ce qui allait suivre.

Je me trompais lourdement car un esprit malin avait introduit une subtilité de plus dans le supplice.

— Vérifie les accus! Non, pas le 120. Celui là est trop doux pour son cuir. N’utilisez que le 40!

Deux robustes ponceuses triangulaires abrasèrent superficiellement ma peau, n’épargnant aucun parcelle. Pascal se chargea personnellement de me polir le sillon inter fessier. Quand il s’attaqua au pubis et à la chair tendre péri vaginale, mon sexe le gratifia d’une coulée intense.

– Toi qui connais mieux que personne les supplices qui t’attendent, sache que l’idée de te poncer au papier de verre vient de moi! Ne me remercie pas! Tu remercieras Eddy qui, à l’eau salée, a préféré l’application directe du sel sur tes micro éraflures. La façon désopilante de le faire pénétrer est sortie de l’esprit tordu de Frank. Il a parié avec Petit Pierre que tes douleurs seront si intenses qu’il ne parviendra plus à te faire jouir. Si tu jouis malgré tout, tu recevras vingt coups de ce battoir de cuir sur ta chatte pour autant qu’ils ne l’aient pas déjà déchiqueté sur tes belles cuisses.

— Les pinces à vis que ces deux là cachent dans leurs mains, ça sert à quoi ? Ne me dis pas qu’ils comptent vous en servir pour punir mon petit poisson !

— Ton petit poisson ?

— Ben oui ! Cest comme cela que jappelle mon clitoris car il frétille quand il est heureux.

Quand ils m’ont passé ces grosses pinces nanties le longues aiguilles devant les yeux, je me suis dit que mon petit poisson ne nagerait plus jamais aussi bien.

J’étais presque rassurée quand ils les ont posées sur mes tétons, préalablement allongés à l’extrême.

Au premier tour de vis, une douleur fulgurante investit ma poitrine.

Quelque chose explosa dans ma tête, quelque chose de géant et de nouveau, un sentiment exaltant dimpuissance et de soumission. Incroyable comme les douleurs vives avaient sur moi un étourdissant effet aphrodisiaque!

Pascal vérifia que les pinces soient serrées à fond et s’amusa à me passer méticuleusement au papier de verre le petit bout de pointe qui émergeait encore.

— Tu es assez intelligente pour avoir saisi qu’elles ne se détacheront pas facilement, même quand j’exercerai un traction vigoureuse via les anneaux scellés aux deux extrémités. Quand à ton petit poisson, s’il bande encore au petit matin, Eddy lui a préparé une gâterie dont il te réserve la surprise. Tiens, le voilà justement!

Eddy sortit un énorme paquet de gros sel du sac que j’avais porté toute la journée. Pas étonnant qu’il fut si lourd. Il renversa les cinq kilos qu’il contenait sur mon ventre qui était déjà en feu.

— Le clitoris est un excellent moyen d’administrer de grandes voluptés comme tu ten es déjà rendu compte. Très bientôt, tu constateras qu’entre mes doigts, il deviendra un moyen très efficace pour te faire endurer de grandes souffrances sans abîmer ta plastique de top modèle.

Pascal et Frank se munirent d’un gant de crin et d’un gant parsemé de micro aiguilles à chaque main.

— Au premier cri, ta chatte y passe aussi. Au second, ce sera le tour de ton vagin. Un bon conseil: ne transpire pas trop et surtout garde toute ta conscience! Si tu syncopes, je te balance un seau d’eau.

Le gros sel possède un effet abrasif qui s’ajouta aux multiples traitements que ma peau de velours avait déjà subis. Je me sentais littéralement aspergée d’eau bouillante. Je me maudissais de m’être lancée tête baissée dans cet aventure. Pascal et Frank n’en finissaient plus d’étaler le gros sel en espérant de ma part un cri que je me refusais obstinément de pousser. Chaque seconde qui passait renforçait ma volonté de résister une seconde de plus qu’Olga qui avait crié grâce en moins d’un quart d’heure. Finalement, tout bien réfléchi, Olga allait gagné. Je tentai mon dernier atout en risquant un coup de bluff…stupide.

— Oh oui, Frank ! Insiste bien sur mes cuisses! Plus fort! Pascal adore voir mes cuisses toutes rouges. Je crois que je viens de dire une sottise, non?

— Oui! Ton corps est aussi blanc qu’une saline asséchée. C’est moche d’ailleurs. Voilà ce que c’est de poncer à sec. Balance lui un seau d’eau pure !

Mon cri fut sans doute inaudible mais ma perte de conscience officialisée. Quand je sortis du coma, j’eus l’impression de souffrir du coup de soleil de ma vie. En fait, c’était la poitrine qui me faisait le plus souffrir. Pour être honnête, mon petit vagin et mon rectum se portaient bien et me procuraient de douces sensations.

— A quoi servent nos battoirs sinon pour faire rougir ses belles cuisses?

— Non! Pas question de la toucher tant que Pierre ne l’aura pas réanimée.

J’ouvris furtivement un il. J’étais débarrassée de mes pinces à vis. Petit Pierre avait mis une paire de gants en latex et s’en prenait simultanément à mes deux orifices.

— Je crois qu’elle commence à remuer.

Pas question de me passer de cette divine récompense! Je fais la morte.

Le tremblement de mes jambes s’accentua. Je poussai un petit grognement et je sentis, avec effroi, une humidité coupable envahir ma vulve qui commença à ruisseler de plus belle.

— Je l’ai, Pascal.

— Prend ton temps ! Rien ne presse. Fais la venir tout doucement!

— Son petit poisson recommence à frétiller. Eddy, occupe t’en!

Se servant de son pouce et de son index comme dune pince, Eddy agaçait de ses ongles mon bouton. Terrible de chez terrible ce qu’il me faisait. Faire la morte et résister encore! Ne surtout plus ouvrir les yeux!

— Je n’imaginais pas combien c’était excitant d’abuser d’une fille dans un état de semi-conscience! Il parait que certaines filles jouissent très fort dans leur sommeil. J’ai la conviction que celle-ci serait capable de jouir aussi énergiquement en étant à moitié dans les vap. Les contractions réflexes de sa musculature sont si puissantes qu’elles me briseraient les doigts. Branle lui le clito, Eddy!

— Doucement! Tout doucement, Pierre! Je ne me lasse pas vite de la regarder couler.

— Venez voir comme elle s’ouvre! Son poing G est énormissime. Jamais vu ça de ma vie et Dieu sait si j’en ai branlée. Celle-là, je pourrai la faire délirer à tous les coups jusqu’à la conduire dans un orgasme expansif.

Les comparses se régalaient du spectacle liquoreux des replis nacrés de mon vagin.

— C’est à dire?

— Qu’avec une petite préparation, je pourrai très facilement la faire orgasmer non stop et de plus en plus intensément.

— Je te fais confiance. Passes-y ta main! Ou les deux si tu y parviens! Non! Attend! Frank! Donne-moi ton battoir!

C’est maintenant ou jamais qu’il faut que je morde sur mes dents. D’une dizaine de cinglées bien appuyées, Pascal me tua l’intérieur des cuisses. Dieu merci, je réussis le miracle de ne pas broncher.

— Ca va. Elle ne simule pas. Restons prudent! Michel, l’hypnose, c’est ta spécialité, non? Mets la en condition si son état semi comateux le permet.

— Dans son état de conscience, elle sera encore mille fois plus réceptive à l’hypnose. Je vois où tu veux en venir. Tu veux répéter le supplice de Maureen. N’as-tu pas oublié que la pauvre a divagué ensuite plus d’une semaine!

— Quel souvenir! Notre plus grande réussite! Eddy et moi l’avons maintenue un quart d’heure dans état d’orgasme permanent. La semaine suivante, je l’a croisée en rue. En nous reconnaissant, elle s’est mise à courir en suppliant de ne plus la toucher. Et toi, Michel, raconte-nous ce qui s’est passé à la caisse du super marché!

— J’allais régler ma note. J’avoue que je draguais un peu la caissière. Quand je lui ai dit " Merci pour votre sourire!", Maureen, qui se trouvait dans la file d’à côté, a littéralement grimpée sur son caddy pour se masturber. Je dois à la vérité de dire que j’avais choisi " Fais-toi sourire" comme expression gâchette pour déclencher ses orgasmes.

Tout comme Pascal, je ne connaissais pas l’anecdote.

— Michel, rends moi un service! Je sais que tu peux le faire. Si tu pouvais lui suggérer, chaque fois qu’elle entendra un mot clé, de se déshabiller et de se faire mousser. Je veux dire que j’aimerais qu’elle s’envoie en l’air mais sans s’autoriser à jouir. Qu’elle soit toujours sur des charbons ardents, prête à l’emploi, en quelque sorte!

— Comme elle est blonde et semi comateuse, ce n’en sera que plus facile pour moi. Je te suggère comme starter "Jade" comme la couleur de ses yeux, " Petit poisson" chaque fois que tu l’autoriseras ou l’obligeras à jouir, et "vilaine fille" enfin pour couper la connexion. Retiens bien. "Vilaine file", c’est le seul moyen pour qu’elle cesse et se rhabille.

— Tu es un vrai ami, Michel.

C’est inhumain. Ils veulent me rendre folle mais l’hypnose, vous savez, je n’y crois pas trop. Michel se pencha à mon oreille et me conta ses balivernes. Tout ce qui m’intéressait, à vrai dire était le double fisting dément dont Pierre me gratifiait. Il pressurait mon point G comme une éponge et je me sentais monter à vitesse grand V dans la stratosphère. Pascal avait engagé ses amis inactifs à me masser le corps avec un baume apaisant dont il gardait le secret. Comme c’était bon de se sentir prisonnière de toutes ses mains délicates. Soudain, une étoile filante traversa mon champ de vision et un monstrueux spasme pré-orgasmique annonça le début du supplice.

— Ses contractions vaginales ont redoublé, Pascal. Elle est prête pour le divin sacrifice de sa chair. Ah! Il n’y a rien de comparable à la douceur des muqueuses juvéniles. Observe bien comment un professionnel peut embrasser ta super femelle tout en gardant le contrôle de son plaisir!

Une pieuvre géante avait pris possession de mon vagin. Je la voyais très clairement s’installer et coller ses ventouses sur la paroi la plus sensible de ma grotte d’amour. Pourquoi donc avait-elle besoin de sortir ce tentacule pour martyriser mon bouton.

Dès que Pierre devina les prémices du l’orgasme, il fit signe à Eddy de pincer cruellement mon clitoris turgescent.

— "Jade". Excuse-moi, Michel mais j’aimerais vérifier un petit détail d’importance!

— Tu tiens une perle, Pascal. Si elle continue, elle va me briser les os de la main ou expulser son utérus tant sa musculature se crispe.

Pas moyen de me débarrasser de ce céphalopode. Il le faut pourtant ou il va me rendre aliénée.

— Je suis trop bien accroché, ma belle. Continue comme ça et mouille! Essaye de te débarrasser de ma main!

— Elle est déchaînée. Resserrez sa sangle abdominale ou elle va se briser les reins!

— Tant qu’elle sera sous le charme de "Jade", elle me fera que grimper dans les tours. Je t’avais prévenu. A ta place, j’en profiterai pour stimuler copieusement toutes ses zones érogènes.

Eddy ajouta.

— Et sans risque qu’elle se lâche. Quelle opportunité, Pascal. Qu’en dis-tu?

— J’aurai besoin de toutes les mains. Eddy! Utilise la ponceuse triangulaire pour polir sa petite queue d’écrevisse. Avec le lubrifiant de Pierre et sans papier de verre, bien entendu.

Le céphalopode avait convié toute sa tribu au festin. Un petit nouveau se nourrissait de mon petit poisson qui se défendait vaille que vaille. Deux autres me butinaient les seins. J’en avais partout, en fait.

— Maureen n’en reviendra pas. Il y a plus d’une heure qu’elle se tortille dans ses liens.

— Jamais vu ça. Le sortilège de Michel commence à montrer ses limites. La petite éjacule un petit jet toutes les trente secondes. Regardez, elle vient d’ouvrir les yeux et elle révulse! Elle parait si heureuse.

— Retire ta main! Il me semblait bien. Elle est assez ouverte pour introduire une tête de ponceuse triangulaire et son point G. Eddy! Mets tes lunettes et cercle-lui clitoris! J’avais promis une surprise à son "petit poisson".

Une pluie d’étoiles filantes se dirigeait vers l’épicentre de mes sens sans que je ne puisse m’y opposer. Chaque fois que l’une d’elle pénétrait mon vagin, un orgasme surpuissant m’emportait. La pluie devenait de plus en plus drue. Mes orgasmes de plus en plus rapprochés et intenses. Pitié! C’est trop fort. Sortez-moi de là! Un frémissement généralisé me saisit sans qu’il me soit possible de me reprendre. Je mépandis dans un flot de mouille ininterrompu et saccadé. Plus je tentais de m’opposer à cette excitation, plus l’orgasme qui suivait était dune violence inouïe.

— Pascal. Notre égérie n’en finit plus d’éjaculer. Un véritable puits de désir inassouvi, ma parole. Si tu veux mon avis, elle vient de tomber dans un état orgasmique permanent. Il vaudrait mieux la libérer pour préserver son cerveau. Elle essaye de parler maintenant.

— Pitié ! Laissez-moi ! Ca narrête plusPas ça !!! Ca recommenceoui, oui, ouiiiii !!!

— Elle a dit oui, si je ne m’abuse. Je refuse que vous la lâchiez avant qu’elle n’ait exprimé sa dernière goutte. Ta ponceuse possède quatre vitesses, Pierre. Je ne sais pas si tu sais. Passe la deuxième!

— Cest terrible comme ça. Ooooh ! Cest encore plus fortJe vais mourir si vous continuezIiiiiihIiiiihIiiih

— Tu vois ce que je disais. Sa première leçon nest pas encore terminée. Elle mouille toujours et en veut toujours plus. Embraye et passe tout de suite la quatrième! Une sportive, il ne faut pas avoir peur de la forcer.

— Trente minutes, elle a éjaculé trente minutes.

— C’est peu mais elle fera mieux la prochaine fois. Balancez-la dans la rivière!

    *

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