Depuis plusieurs mois maintenant, Joel avait réussi à obtenir dHector et Serge de pouvoir profiter de moi à la fin de la journée de travail. Parfois dans sa voiture, et moins souvent au taf quand il n’y avait plus personne. Dans sa voiture cela se limitait le plus souvent à une petite pipe. A la banque, mon bureau servait alors de baisodrome. Je ne suis jamais très sereine lorsque cela se passe au boulot, même si nous prenons nos précautions, nous pouvons nous faire surprendre. Le bon côté est que Joel met pas mal d’intensité à baiser celle qui lui donne des ordres la journée, du coup je prends beaucoup de plaisir. Autant mes clients ne se posent pas de questions l’hiver de voir sur mon bureau une boîte de mouchoirs, l’été certains me demandent si je fais pleurer mes clients. Mais mis à part la bite de Joel je ne vois pas.

Et justement un soir, il devait être 19h 19h15, après avoir fermé les portes du bureau, Joël avait débarqué dans mon bureau en fin de journée. Journée durant laquelle je lui avais demandé devant d’autres collègues à plusieurs reprises de m’apporter du café, de faire ceci ou cela…

Il m’avait alors dit :

— Ça t’amuse petite pute de m’humilier devant mes potes ? Viens-là et suce-moi la queue !

Mutine, tout en me mettant à genoux je lui avais répondu qu’il fallait bien cela pour qu’il me donne du plaisir !

A partir de là, rapidement je m’étais retrouvée avec sa queue au fond de la gorge. Joel aime beaucoup me voir galérer à le sucer, avoir du mal à respirer, baver. La bouche ouverte, une de ses mains sous mon menton, l’autre sur ma tête, ses coups de reins suffisaient à le pomper, moi à baver. Malheureusement les bureaux ne sont pas vraiment isolés, et le bruit se propage facilement. Dans ma banque, une cloison sur quatre de tous les bureaux est un grand vitrage. Un grand store vénitien vient occulter les bureaux. Ce store est tout le temps baissé jusquà hauteur du bureau en journée. Face à mon bureau, un autre bureau, occupé actuellement par un stagiaire, Theo, dans la banque depuis trois mois. Plutôt pas mal.

Joel, après cette petite pipe baveuse et bruyante, veut maintenant me prendre en levrette sur la moquette. Rapidement au sol devant la fureur des coups de butoir de Joel, en tournant la tête, je remarque immédiatement que quelqu’un est dans le bureau en face du mien, les stores sont baissés, la lumière est éteinte. Je le remarque car lorsque je tourne la tête, je vois une forme reculer comme pour se cacher dans le noir du bureau.

Là plusieurs choix s’offraient à moi. Bizarrement et sans réfléchir je décide de ne rien dire, car il y a de fortes chances que cela soit le stagiaire. Après tout il ne sait pas que je l’ai vu, je suis sa chef il ne peut rien dire, et de plus je sens immédiatement monter un plaisir intense à la sensation d’être matée en train de me faire démonter devant le regard de cette personne qui est sûrement Théo. Impression qui se confirme lorsque je vois une forme se rapprocher à nouveau pour mieux voir. Sans montrer que je l’ai vu, je peux voir que c’est lui. Je l’imagine en train de se masturber. Je demande à Joel de me baiser plus fort, mais celui-ci n’en pouvant plus, se retire et vient décharger son sperme chaud dans ma bouche.

— Avale mon foutre, salope ! me dit-il

Comme d’habitude, une photo de mon visage un peu défait par cette session envoyée à Serge et Joel. Décoiffée, quelques traces au bord des lèvres, l’effet est souvent fort chez Serge qui me fait l’amour en général ces soirées-là.

En sortant, bien sûr, le bureau en face du mien est plongé dans le noir et silencieux. Un début d’idée vient germer dans mon esprit.

Joel, tout gentleman qu’il est me dépose à la maison. Comme anticipé Serge est très en forme ce soir-là. Pour ma part, j’ai des difficultés à trouver le sommeil, je suis très excitée par ce qui est arrivé, et j’ai une opportunité d’accentuer cette excitation.

Le lendemain, ma décision est prise, je mets des sous-vêtements hyper sexys, des porte-jarretelles des dessous noirs en dentelle. Une jupe longue à frange qui arrive à mes genoux. Jupe peu affriolante mais elle me permet une grande liberté de mouvement, et assise je sais que j’ai un admirateur dans le bureau d’en face. Passablement excitée, je mouille lorsque je viens lui serrer la main pour lui dire bonjour. Prenant un café avec les collègues, je le sens peu présent aux conversations et un peu plus à moi. Son regard furtif vient se poser sur moi. Je sais déjà que je vais pouvoir en faire ce que je veux. Je sais que je vais devoir le dire à Hector et Serge, mais je décide d’en profiter un peu avant. Ma matinée se passe jambes entrouvertes, assise dans mon bureau. Ma jupe placée stratégiquement, je sais que Théo a sûrement une jolie vue. Les deux fois où je l’appelle pour m’apporter un café, je devine qu’il bande fort, et qu’il en a une très grosse. Je ressens une belle envie de déboutonner son pantalon, de sortir son engin pour en évaluer la longueur, me mettre en bouche.

Je me surprends à m’attarder un peu trop longuement sur son entrejambe du regard. Le silence est un peu long, il laisse place à quelques interprétations. J’ai envie de me le taper mais je dois conserver le pouvoir, je suis au boulot. Je dois réfléchir, prendre mon temps, de façon à le rendre bien obéissant.

Finalement je me dis que si je le surprends en train de me mater, je pourrais garder le contrôle sur ce qui se passera par la suite. A ma pause déjeuner petit détour par la Fnac ou j’achète une caméra, la plus discrète possible. Installée de manière à pouvoir me filmer de dos tout en ayant dans le champ le bureau de Théo. En fin de journée, je ne suis pas surprise en regardant les images découvrir mon stagiaire regarder extrêmement souvent sous son bureau dans ma direction. A un moment on le voit même fermer à clé son bureau, sortir un énorme truc de son pantalon, regarder vers moi en se branlant. Le garçon est coincé et bientôt j’aurai sa queue pour moi… En partant je dépose ma boîte de mouchoir sous son bureau.

Le lendemain je décide de faire redescendre la pression en pantalon, le pauvre il va être frustré. Je passe ma journée à le faire tourner en bourrique, je le sollicite pour des cafés, je lui demande de m’apporter quelques dossiers. Le garçon est aussi hyper gêné, ma boîte de mouchoir est sur son bureau. Je lui demande d’ailleurs de me ramener mes mouchoirs s’il n’en a plus besoin… Le pauvre pique un fard. J’avoue que je ne suis pas très gentille mais j’ai remarqué que lorsque les hommes sont un peu maltraités ils sont d’autant plus de bons amants, à mon goût en tout cas.

Le lendemain je me décide à en parler à Serge, qui me donne son feu vert, cela semble lamuser. Il en parlera à Hector. Je soupçonne que celui-ci voudra me punir… Du coup je préviens Serge que je rentrerai tard dans la nuit.

Pour ma part, pensant déjà à ce qu’il pourrait me faire, je décide de passer la journée avec un plug anal, histoire de ne pas être prise au dépourvu. Je mets de la belle lingerie sous une tenue classique. Un peu étrange de porter bas et porte-jarretelles sous une combinaison intégrale. Je trouve que les combinaisons mettent en valeurs les fesses des femmes. Je pense l’inviter à prendre un verre après le taf. Je me rends compte que la Patricia timide n’existe plus vraiment.

Entre deux rendez-vous, je vais voir Théo dans son bureau, prenant soin de fermer la porte derrière moi. Je lui demande s’il serait intéressé par prendre un verre avec moi après le travail, et d’ensuite aller chez lui pour qu’il me prenne. Théo reste bouche bée, ne sachant quoi répondre. Figé. Pour le décoincer je m’assieds au bord du bureau, porte ma main à son entrejambe tout en lui disant que j’adorerai voir ce qu’il y a sous son pantalon… Avant qu’il ne reprenne ses esprits je suis dans mon bureau.

Cela étant, un mec est un mec. Quand il y a une occase de baiser, peu d’hommes passent leur tour, surtout quand il s’agit de moi en plat principal. Lui ayant envoyé par mail le bar où je lattendrai, Théo est déjà présent quand j’arrive. Quelques verres puis nous allons chez lui, un petit studio, 30m2 à peine. Notre discussion au bar était restée convenable, maintenant j’avais très envie de l’être moins. A peine arrivé, je commençais à déboutonner son pantalon, à glisser ma main dessous. Sentir ce truc énorme dans ma main me ravit, et je le lui dis. Je l’embrassai tout en le branlant doucement, il était déjà bien dur. Ma main ne se refermait pas en entier sur cette chose. Je lui susurrais à l’oreille que je voulais qu’il me prenne comme une chienne, qu’il ne devait pas avoir de tabou car je n’en avais pas. Je fus contente d’entendre qu’il avait compris le message, il me dit :

— J’ai rêvé de t enculer toute la semaine, te voir te faire prendre sur la moquette m a beaucoup plu l’autre jour. Si tu es d’accord j’aimerais venir sur ton petit visage de Vietnamienne.

En baissant son pantalon il s’assied sur le fauteuil, me demande de me dévêtir. Il continue à se masturber tout doucement en me regardant ôter ma combinaison, me demande de garder mes sous-vêtements.

Je sens son regard changer, le stagiaire a laissé place à un mec bien dominateur. Il me lance :

— Viens me sucer petite pute. Montre-moi tes talents, tu m’as l’air d’un vrai garage à bites.

Etant passablement excitée, je m’agenouille et commence à lui lécher les couilles, à les attirer dans ma bouche. J’apprécie qu’il se rase, cela est beaucoup plus sympa sans poil. En recommençant à lui lécher la queue je lui demande s’il a une copine. Il me répond que oui mais qu’elle ne rentre que dans deux jours. Il trouve que je parle trop, magrippe les cheveux et me force à mettre sa queue dans ma bouche.

— Contente-toi de me pomper !

Moi qui aime et attire les mecs dominateurs, je suis servi, je n’avais pas du tout perçu cela chez lui. On ne se refait pas. Je suis contente d’avoir une petite vidéo pour le contrôler.

— Et toi ton mec sait que tu es une petite salope qui se tape tout ce qui bouge…

Qui ne dit mot consent, mais là en l’occurrence je ne pouvais plus répondre, assez occupée que j’étais à avaler le plus possible de cette énorme queue. Je dus réprimer, chose assez rare, quelques haut-le-cur.

— Je veux te prendre le cul direct, viens avaler ma queue avec ton petit trou… Montre-moi comme tu sais y faire patronne.

En enlevant mon plug, je me fis encore insulter de chiennasse. Heureusement que j’étais dilatée comme il fallait, mon sphincter ne résista même pas lorsque je m’empalais sur son chibre. Il m’emplit toute mon ampoule rectale. Ouf pas de merde en vue. Accroupi sur lui, en m aidant de mes pieds je m’engageais à imprimer un petit rythme tout en laissant échapper quelques râles :

— Ta queue est tellement bonne en moi, est-ce que tu prends du plaisir à sodomiser ta patronne ?

— Oh oui patronne ! Alors ton mec sait que tu es là ce soir ?

— Oui je lui en ai parlé

— J’ai trouvé une perle rare on dirait.

Me retournant il me prit le cul en missionnaire, le garçon me fit crier. Après quelques minutes d’un traitement intense, il vint sur mon visage, comme promis, en longs jets bien blancs et épais. J’étais ravi…

En allant dans la salle de bain, je pris une petite photo de mon visage encore plein de sperme et envoyai la photo à Serge avec la légende.

— Mon cul est en travaux ce soir, je t’aime.

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