Il fait chaud. Nous sommes en août 2018, et je profite d’un après-midi ensoleillé au bord de ma piscine à lire et siroter un délicieux mojito fait-maison.

Je m’appelle Florent, 21 ans à l’époque, 1m80, 65 kilos, blond, musclé, mais pas trop. En bref, un mec normal si on oublie ma bisexualité.

En ce bel après-midi, je reçois un SMS d’une amie, Mina. Elle et ses parents reviennent d’un séjour en Grèce et se sont arrêtés dans un camping près de chez moi pour passer la nuit avant de reprendre leur route.

N’ayant rien à faire de ma journée, je lui propose de passer la voir, ce qu’elle accepte avec joie.

Après 20 minutes de route sous un soleil de plomb, j’arrive enfin au petit camping de campagne.

Mina m’attend sur le parking et affiche un grand sourire en me voyant arriver.

C’est une fille vraiment charmante, habitant à 500 kilomètres de chez moi, nous nous sommes rencontrés sur le Net et avons toujours une relation de franche amitié, du moins jusqu’à ce jour.

Elle est brune comme je les aime, petite, pas spécialement un canon de beauté, mais très mignonne avec de gros seins se dessinant sous sa robe décolletée.

Bonjour Florent ! Je suis trop contente de te voir. Tu as fait bonne route ?

Salut Mina ! Ouais, je suis très heureux de te voir aussi, ça faisait longtemps qu’on ne s’était pas vus !

Après un échange de compliments l’un envers l’autre, nous nous faisons un chaste câlin et elle m’invite à rencontrer ses parents.

Mina voyageait avec son père, sa mère et ses deux petites surs. J’ai trouvé bizarre qu’ils soient si accueillants avec moi, m’invitant à prendre un verre avec eux et manger ensemble alors qu’ils ne m’avaient jamais vu, mais j’ai beaucoup apprécié rencontrer la famille de Mina.

Mina, ça te dirait que je te fasse découvrir ma ville une fois qu’on aura fini de manger ?

Oui avec plaisir !

Mais sur le retour, un énorme orage éclate et nous décidons de conduire jusque chez moi plutôt qu’en ville puisque mes parents n’étaient pas là.

Une fois arrivés, je nous sers des Corona et nous continuons de nous raconter nos vies.

L’alcool montant, je me surprends à plonger mes yeux dans son décolleté, ce qu’elle a très bien remarqué vu la teinte rouge que son joli visage a pris.

Florent, tu pourrais me masser s’il te plaît ? On a roulé toute la journée et j’ai le dos en compote.

Elle avait déjà goûté à un de mes massages lorsque j’étais venu lui rendre visite dans sa ville. Cela a dû lui plaire vu le nombre de fois où elle m’a répété que j’avais des doigts de fée.

Avec plaisir ma belle, lui dis-je avec un grand sourire aux lèvres.

Elle me rend mon sourire et nous montons dans ma chambre où je l’installe sur mon lit après un bisou sur le front. Je sors une huile de massage, comestible bien sûr, et je la place à ses côtés avant de commencer un massage de la nuque et des cheveux.

Puis rapidement, je descends la fermeture éclair du dos de sa robe et lui verse de l’huile de massage sur le dos.

Le contact de sa peau brûlante avec le liquide froid la fait frémir, puis mes mains prennent rapidement le contrôle de son corps.

Qu’est-ce que tu détends putain…

Elle avait l’air d’apprécier beaucoup ce traitement, mais son soutien-gorge me gêne pour poursuivre mon exploration.

En bon gentleman, je lui demande avant de l’enlever.

Ton soutien-gorge me gêne trésor, ça te dérange si je l’enlève ?

Mhmmmm…

Je lui dégrafe d’une main puis reprends ma tâche en mettant plus de force dans mes mains.

Une fois que je la sens à point, je joins ma langue à mes mains, lui parcourant sensuellement le dos avec.

Elle a d’abord l’air surprise par cette initiative, mais se met rapidement à gémir sous mes coups de langue, surtout quand elle passe au creux de ses reins.

Au fur et à mesure de mon exploration, je laisse mes mains et ma langue descendre toujours plus bas dans son dos, jusqu’à finir par titiller la base de ses fesses.

Entendant ses gémissements se faire de plus en plus fort, je me mets à lui masser les fesses de mes mains tout en laissant ma langue se promener entre ses reins.

Sa robe me gêne, je ne prends plus de précautions et la fais glisser le long de ses jambes avant de la balancer à l’autre bout de la chambre d’un geste animal, avant de la retrouver en culotte face à moi.

Mes mains se font de plus en plus pressantes sur ses fesses, les malaxant, les écartant, parfois donnant de petites fessées.

Parfois, quelques doigts s’aventuraient sous le tissu, se dirigeant entre ses jambes, mais sans aller jusqu’au bout, lui arrachant un long soupir qui ne manquait pas de me remplir de fierté.

Après quelques minutes de ce supplice, je lui demande d’un ton doux, mais ferme :

Retourne-toi.

Elle prend quelques secondes d’hésitations, mais finit par se retourner.

Je la regarde, l’admire, puis descends mes lèvres vers les siennes pour l’embrasser passionnément. Nos langues entament leur valse un long moment, avant que je décide de couvrir son cou de baisers.

Puis je me relève, prends l’huile de massage et lui en mets sur tout son corps.

Elle est électrisée par ce contact, et je commence à m’occuper de ses gros seins qui me narguent depuis trop longtemps.

Je les presse, les lèche, les masse, m’occupe de ses tétons en les coinçant entre mes dents. Elle m’enlace de ses bras.

Mhmmm c’est bon chéri…

Je retourne l’embrasser passionnément, puis reprends l’exploration de son corps, cette fois-ci en descendant progressivement.

Mais une fois ma langue arrivée au-dessus de sa culotte, elle me stoppe en fermant ses jambes.

Qu’est-ce qu’il y a chaton ? Ça ne va pas ?

C’est pas ça… tu vois ça fait 3 semaines que je suis sur la route… et je n’ai pas eu le temps de m’entretenir.

Je comprends son malaise, je la savais vierge, elle avait sûrement peur que je n’aime pas ce que j’allais trouver sous le tissu et avoir une mauvaise première expérience.

Ne t’en fais pas pour ça mon cur, ce soir tu es ma reine, et ce ne sont pas quelques poils qui vont m’enlever l’envie de te donner du plaisir.

Je m’installe à ses côtés et nous nous embrassons tendrement. Pendant que nos langues continuaient de se chamailler, ma main redescendait tout doucement son corps, jusqu’à arriver sur sa culotte.

Je commence à la caresser par-dessus le tissu pour qu’elle reprenne confiance. Ma main la caressait d’abord sur ses lèvres de haut en bas, puis se faisait plus insistante sur son clitoris.

Ma belle finit par lâcher de longs soupirs, étouffés par notre langoureux baiser.

Une fois de longues minutes de ce traitement écoulées, je passe lentement ma main sous le tissu.

En effet, les poils étaient présents, et ça faisait bien plus de 3 semaines qu’elle s’en était occupée, mais qu’importe.

Ma main recommence son traitement, transformant ses soupirs en gémissements.

Je me redresse, retire ma main de sa culotte et la lui enlève délicatement.

Je me place entre ses jambes, et les embrasse tout en descendant progressivement. Elle se tortille et n’attend qu’une chose, mais pour la frustrer davantage, je lui souffle délicatement sur sa chatte.

S’il te plaît mon cur… j’ai tant envie de ta bouche.

Sur ces mots, ma langue se place à la base de ses lèvres que je remonte lentement. Arrivant sur son clitoris, je commence à le sucer, le lécher de haut en bas, tourner autour. Ma main ne reste pas inactive et je rentre un doigt dans son vagin pour aller exciter son point G.

Mina se tortille dans tous les sens, plante ses ongles dans mon dos et gémit de plus belle.

Mhm t’es aussi bon avec ta langue qu’avec tes doigts !

Je lui rentre un deuxième doigt, pendant que mon autre main vient masser son pubis.

Elle mouille abondamment sous mon cunni et mes va-et-vient. Je sens sa jouissance arriver alors que ma langue et mes doigts augmentent leur cadence.

Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiii…

Elle est en transe, je me relève et viens lui faire un câlin pour lui tenir chaud.

Nous nous embrassons passionnément tandis qu’elle reprend ses esprits.

C’était vraiment bon mon ange, je suis très heureuse d’avoir eu mon premier orgasme avec toi.

Prête à en avoir beaucoup d’autres ? La nuit ne fait que commencer.

Elle sourit et m’embrasse.

Je dirige ma main vers ma table de chevet et en sors un préservatif que j’enfile directement.

Nous nous embrassons de plus belle et je me dirige entre ses jambes, présentant mon gland à son entrée.

Je ressens un peu d’appréhension dans son regard quand elle le dirige vers ma bite. Je n’ai pas un calibre si imposant (16/4,5), mais sûrement assez pour impressionner une vierge lors de sa première fois.

Je l’embrasse tendrement, me redresse et lui souris. Elle me rend mon sourire, ce que je prends pour un oui.

Je fais glisser mon engin délicatement dans son antre et retourne l’embrasser quand j’ai atteint le fond. Elle se crispe, puis se détend au fur et à mesure que son corps s’habitue à être rempli.

Je commence un léger va-et-vient, d’abord doux en passant ma langue dans son cou, puis j’accélère la cadence en lui arrachant de petits gémissements.

Elle enroule ses bras autour de moi et tente de m’embrasser. Je fais mine de répondre à son baiser, puis au premier contact de nos lèvres, je me redresse en continuant mes profonds va-et-vient.

Elle est frustrée par ce refus, alors je la comble en accompagnant la pénétration d’un doigt titillant son clitoris. Elle se cambre dans tous les sens et gémit de plus en plus fort, lui arrachant un deuxième orgasme.

Très excité de la voir se cambrer sous mes assauts, je finis par jouir en elle et nous reprenons un tendre câlin, toujours l’un dans l’autre.

Après un long moment sans rien dire à se câliner, elle reprend avec un regard de défi :

Allez, cette fois-ci, c’est à moi d’être au-dessus !

Elle enfile une nouvelle capote sur ma bite qui a retrouvé sa vigueur puis se place au-dessus de moi, prête à s’enfiler sur mon engin.

Après un moment d’hésitation, elle décide de la faire glisser en elle doucement.

Je la laisse prendre ses marques et commencer ses lents va-et-vient en griffant mon torse.

Elle commence à gagner en assurance et accélère la cadence. C’est le moment que je choisis pour entrer en scène.

Je la plaque contre mon torse, l’embrasse passionnément, ramène mes talons vers mes fesses, et commence à la pilonner violemment.

Ma bite entre en elle à une vitesse folle et elle a du mal à contenir son plaisir. Mes boules et mes mains claquent ses fesses, lui arrachant de petits cris.

Après de longues minutes de ce traitement, je la bloque contre moi et nous soulève. Je descends du lit pour la baiser debout en la portant.

Dans cette position, chaque fois que ma bite cogne au fond d’elle, cela lui arrache un cri et elle finit rapidement par jouir en m’embrassant.

Je la repose sur le lit en levrette et place mon gland à son entrée. Je la pénètre d’un coup sec et entame de puissants va-et-vient.

Oh oui baise-moi ! Mets-la-moi au fond !

J’augmente encore la cadence et accompagne ma levrette de claques sur ses fesses rebondies.

Je continue de la pilonner de longues minutes et nous finissons par jouir presque en même temps.

La nuit continuera pendant plusieurs heures, dont un passage sous la douche où je lui ai appris l’art de la fellation.

Elle a eu une bonne dizaine d’orgasmes et nous avons remis le couvert au réveil.

Le lendemain, je l’ai déposée dans le camping de ses parents et elle a pris la route la larme à l’il.

Par la suite, nous avons entretenu une relation à distance pendant 1 mois, avant de nous séparer dans une violente dispute, pour ne plus jamais nous reparler par la suite.

Je garde malgré tout un beau souvenir de Mina et de la nuit de rêve que nous avons passés ensemble.

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