La nuit sécoule calmement. Avant de sombrer dans le sommeil, jai beau tendre loreille pour déceler des bruits venant de la chambre qui jouxte la nôtre, je ne perçois aucun son suspect. Au matin je constate cependant que la panière na pas été utilisée. Xénos a donc dû dormir avec Catherine! Cette constatation évidemment me ravit, mais je me fais peut-être des idées fausses.
Tout le monde se retrouve au petit déjeuner que nous faisons un peu traîner pour retarder le douloureux moment de la séparation entre Catherine et Xenos.
Vers 10 h 30, bien plus tard quelle nescomptait, elle nous fait un dernier signe de la main avant de passer la grille de notre propriété, au volant de son auto. Le Golden regarde séloigner le véhicule en gémissant un peu, mais cependant, il reste à mes pieds, comme le lui a ordonné sa maîtresse. Japprécie énormément lobéissance de ce chien, remarquablement bien dressé, voilà qui promet de bons moments.
Le week-end se passe sans histoire. Nous prenons nos marques, faisons mieux connaissance, Xenos et moi. Dès le départ de Catherine, il ne me quitte plus, me suit de partout. Dès que je me lève pour telle ou telle raison, il fait de même et me colle aux talons. Il semble avoir fait un transfert de Catherine vers ma personne. Mon mari lui ne sen occupe pas le moins du monde, il me laisse lentière responsabilité de la garde, ce qui ne me contrarie guère, bien au contraire.
Le lundi 10 juillet, je me lève vers 8 heures, mon mari est déjà parti au boulot. Je trouve Xenos sagement allongé sous la table de la cuisine. Il se lève à mon apparition, remue la queue, viens me faire fête. Je suis en long tee-shirt, sans aucun autre vêtement. Le chien cependant redevient vite calme après cette petite effusion de bienvenue. Pour tester son état desprit, je saisis sa tête et dirige sa truffe entre mes cuisses, sous mon tee-shirt. Il me renifle longuement, mais ne semble pas y prendre goût. Je ninsiste pas, un peu dépitée. Me serais-je fait des idées à propos des relations de Catherine avec son compagnon à quatre pattes?
Je minstalle pour le petit déjeuner que mon mari ma gentiment préparé. Xénos sallonge sagement sous la table, entre mes pieds nus. De temps en temps, je lui caresse de la main le sommet du crâne, il me montre sa satisfaction en me la léchant, ce qui me fait un peu frissonner, mais je résiste. Entre deux biscottes je caresse son ventre de la pointe de mes orteils nus. Il les lèche également, mais sans grande conviction, comme une simple politesse. Je suis de nouveau un peu déçue de ce manque denthousiasme. Malgré tout, japprécie ses délicieux petits coups de langue de soumission entre mes orteils. Ma collation terminée, je me lève, me dirige vers la salle de bain pour prendre ma douche. Pendant que leau gicle sur mes seins, Xenos assis sur le pas de la porte me regarde faire, sans broncher.
Je me caresse un peu, mais sans insister, jai bien mieux à faire.
Je ferme les robinets, me sèche soigneusement. Xénos est toujours aussi attentif, à lentrée de la salle de bain. Il doit sentir que ce domaine ne lui est pas réservé, il mattend donc sagement. Toujours nue je mapproche de la porte. Le chien se lève pour me livrer passage. Je me dirige vers la chambre, il me suit. Je mallonge sur le lit, mais une fois encore, il demeure sur le pas de la porte, comme intimidé. Dès que je lappelle, il remue la queue et vient au pied du lit.
Je le regarde, il me regarde, essayant de comprendre ce que jattends de lui. Du plat de la main, je linvite à monter sur le lit. Il nose pas, malgré mon insistance. Jai beau le solliciter du geste et du verbe, il est encore intimidé ou tout simplement trop bien dressé. Pourtant, je suis sûre quil couche avec Catherine, cela ne fait plus aucun doute dans mon esprit.
Je vais devoir lattirer dune façon ou dune autre. Je passe mes doigts sur ma chatte et les lui présente, tout parfumés de mon désir. Il renifle sans enthousiasme, donne un coup de langue rapide, simple politesse et repose son arrière-train sur la moquette.
Il va me falloir utiliser les grands moyens. Je me lève, me dirige vers la cuisine, Xenos me suit. Je fouille les placards et finis par dénicher un pot de beurre de cacahuètes, dans le bas du réfrigérateur. Je le passe quelques secondes au micro-ondes, histoire de le ramollir et de le réchauffer un peu.
Je plonge mon index dans le beurre, lenduis grassement, le présente à Xenos qui ne se fait plus prier Ravie de ma bonne idée, je fais un bref détour par la salle de bain, me saisis dune serviette, retourne dans la chambre où je létale sur le lit. Xénos bien plus empressé, la queue battant la mesure ne ma pas quittée dune semelle, lorgnant le pot avec intérêt La gourmandise va être ma meilleure alliée, tant pis pour les recommandations de Catherine au sujet de son régime.
Je mallonge sur le lit, cuisses ouvertes, je me tartine la chatte de beurre encore tiède, sur le pubis, entre les lèvres, dans le vagin, sur mon anus que jenduis copieusement, sans oublier la raie des fesses. Cette tartinade consciencieuse me chauffe un peu les sangs. Je présente dans un premier temps mes doigts gras au chien qui se charge de les nettoyer en trois coups de langue Il est à ma merci!!!
Xénos me regarde pour en avoir encore. Je nhésite pas, je mallonge sur la serviette, au bord du lit, jécarte les jambes au maximum et jattends le museau de Xenos avec excitation. Mes seins sont tendus, je sens que je coule, ma mouille se mélange au beurre darachide. Je caresse mes seins, je pince légèrement mes tétons, tire dessus, les graissant de cacahuète. Xénos lèche timidement, au début. Son museau appuie sur mon sexe, sa langue large et puissante se régale, moi de même. Par moment elle vient frôler mon bouton, me procurant un long frisson de bonheur. Jouvre mon sexe de mes doigts. Je sens la langue du chien sur mes lèvres coulantes, mon clitoris est bandé comme un arc, je le sens durcir, la truffe de Xenos le titille avec rudesse, ce qui déclenche des spasmes de plaisir dans mon ventre. Je ne veux pas que cela cesse, je donnerai tout pour quil poursuive son délicieux festin.
Avec une main jessaie de maintenir les lèvres ouvertes, pendant que je calme mes seins avec lautre. La langue de Xenos me procure un plaisir extraordinaire, jouvre ma raie, la langue du chien lèche entre mes fesses, une nouvelle extase menvahit lorsquil insiste sur mon anus. Xénos se retire, je le prie de continuer :
— Allez, Xenos, sois gentil, lèche-moi bien mon toutou !
Il replonge son museau entre mes jambes, je pense que je vais défaillir de bonheur. Je me glisse au pied du lit, la croupe relevée, fesses offertes, fesses ouvertes, à quatre pattes, la joue sur la moquette, comme une chienne en chaleur. Xénos tourne autour de moi sans comprendre ce nouveau jeu, me laissant dans un état de frustration insupportable. Je lincite à revenir entre mes jambes, avec de petites claques sur mes fesses.
Il revient, et repart, revient, repart, cest horripilant. Toujours à quatre pattes, je glisse une main entre mes cuisses, enfonce trois phalanges dans mon vagin et me masturbe pour parer à lurgence. Xénos cherchant mes doigts encore parfumés se place derrière moi. Je ne le vois plus, je suis absorbée par ma branlette. Soudain je sens de nouveau sa langue, il me lèche lanus et lensemble de lentrejambe. Je me masturbe plus violemment, sa langue insiste alors sur mon anus qui nest pourtant plus enduit de beurre. La joue posée sur la moquette, je glisse mon autre main entre mes jambes et titille mon bouton. Une explosion de jouissance me secoue, cela part de mon entrecuisse et remonte à lintérieur de mon ventre vers mes seins.
Je bave de plaisir, cest trop bon. Xénos entre deux coups de langue tourne autour de moi, indécis. Je reste dans cette position, à le regarder. Il est beau, avec ses muscles saillants, ses grands beaux yeux tendres. Je reprends mes esprits après un long moment. Mon calme revient peu à peu, il sallonge près de moi.
Je massois à côté de lui, enserre son cou entre mes bras. Il se redresse sur se pattes, me lèche le visage, je mêle ma langue à la sienne et me relève en embrassant sa truffe.
Alors quil est près de moi, je profite de son calme pour passer ma main sur son ventre. Dabord près de la base de son poitrail, puis comme il semble ny trouver rien à redire, de plus en plus bas entre ses pattes arrières. Ma main caresse son ventre à présent. Ses poils se font de plus en plus doux au fur et à mesure de la progression de mes doigts. Ma main passe près de son sexe, le contourne sans le toucher. Elle atteint ses testicules gonflés, je les presse doucement avec une infinie précaution, jen rêvais depuis hier ! La queue de Xenos qui battait lair cesse soudain son mouvement de métronome. Le chien simmobilise, attentif à ce que je lui fais, surpris de cette caresse incongrue. Je pense quil a compris que le repas est terminé, que jattends de lui une prestation bien différente. Mes doigts malaxent ses boules grosses comme de belles prunes. Elles sont couvertes dun fin duvet très agréable au toucher. Je les sens vivantes sous mes pressions. Je les imagine pleines dun bon sperme chaud et épais, abondant. Mes sens chavirent à cette perspective. Les papillons familiers investissent mon bas ventre qui se contracte. Je me sens devenir femelle en chaleur au contact de ce mâle docile qui se laisse tripoter, à lécoute de ses propres sensations. Il a un peu écarté les pattes arrière. Ma main abandonnant ses couilles, glisse doucement vers son fourreau poilu. Je le saisis, il est dune incroyable douceur. Je le presse en un lent mouvement de masturbation. Xénos lève un peu la patte gauche en un mouvement saccadé, il a lair daimer ça. Je presse davantage, jaccélère encore, jai une furieuse envie de voir sa bite sortir de son étui de peau poilue. Mes efforts sont enfin couronnés de succès lorsque je vois une jolie tétine rose pointer enfin, faisant un magnifique contraste avec ses poils fauves.
à suivre