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Pervertie – Chapitre 11




En rentrant chez moi ce soir-là, je pris grand soin de faire le moins de bruit possible. Je ne voulais pas déranger ma mère. La vérité est que je ne voulais pas voir la déception se reflétait dans son regard, je nétais pas prête. Mais il fallait bien que jassume mes paroles. Et mes actes. Demain, nous étions dimanche et je risquais sans aucun doute de la croiser. Je me glissais silencieusement dans ma chambre où je me déshabillais complètement, revêtant uniquement une chemise de nuit dune blancheur opaque et une culotte en coton. La lumière de la lune qui filtrait par la fenêtre éclairait suffisamment ma chambre pour que je puisse contempler le plafond qui me faisait face, allongée dans mon lit. Je tentais dassimiler les évènements de ces derniers jours, sans succès. Je nen demandais pas temps lorsque je réfléchissais à la manière dont je pourrais passer mes vacances. Je me rendis compte que javais grandement besoin de me détendre avant daffronter la journée qui mattendait demain. Mes doigts, crispés, tentaient de calmer mon corps tendu par mes nerfs en pelote. Ma robe relevait sur mes hanches, je passais ma main sur mon ventre, en remontant jusquà mes seins que je caressais sans vraiment y faire attention.

Je ne nourrissais alors aucune idée coquine jusquà ce que mon corps réagisse facilement à mon toucher. Je laissais échapper un soupir daise en oubliant instantanément les problèmes du jour. Jessayais de me rappeler les ébats fiévreux que mavait offerts Daniel malgré le ressentiment qui métreignait à son souvenir. Ses mains expertes qui se frayaient un chemin entre mes cuisses, sur mes seins. Sa manière brutal mais oh tellement agréable de mempoigner les hanches alors même quil me pénétrait sans relâche. Le hoquet de surprise que jeus lorsque je découvrais pour la première fois sa colonne de chair dune taille plus que raisonnable. Lenvie alors de la sentir au fond de moi. Jen salivais même à l’idée du plaisir quil pouvait me procurer. Tout chez lui respirait le sexe à plein nez. Je crois que cest ce qui mavait plus lorsque je lavais vu ce premier jour, à la brasserie, où la chaleur mais aussi lappréhension et enfin le désir avaient rendu mes mains moites et tremblantes. Je prenais mes seins à pleine mains, les paupières mi-closes, que je malaxais à sa façon. Comme il aimait me le faire jusquà men laisser des marques de doigts qui seffaçaient rapidement grâce aux caresses qui sensuivaient. Une de mes deux mains se dépêcha de rejoindre ma culotte qui cachait mon sexe mouillait de désir. Je la passais sous le fin tissu bleu où je rencontrais mon bouton de plaisir qui ne demandait quà être réveillé. Je passais la paume de ma main sur celui-ci pour quainsi mes doigts arrivent à lentrée de mon trou en feu. Jy introduisis mon majeur tout en frottant ma paume sur mon clito. Le souvenir de sa queue qui me remplissait difficilement jusquà ce quil puisse rentrer comme dans du beurre dans ma chatte déclencha quelque chose en moi qui me poussa à accélérer les mouvements. Mes gestes désordonnés et frénétiques memmenèrent rapidement au septième ciel et marrachèrent un orgasme puissant qui menvahit sans crier gare. Jattrapais mon coussin pour y planter mes dents et étouffer mon cri qui menaçait de réveiller ma mère. Je me recroquevillais sur moi-même et mendormis presque immédiatement, des images perverses plein la tête.

En ce dimanche matin, face à mes incertitudes, je me trainais hors du lit jusquà la salle de bain où je pris une agréable douche qui finit de me réveiller. Les cheveux mouillés, je descendis en catimini jusquà la cuisine où lodeur du café massaillie, signe que ma génitrice ne dormait plus. Je me sentis tellement coupable, perdue dans mes pensées, que je nentendis même pas Tom discutait avec ma mère. Je fis mon entrée dans la pièce lumineuse vêtue uniquement dun mini short et un tee-shirt ample. Il me détailla rapidement du regard avant de reportait son attention sur ma mère non sans mavoir salué. Je lançais un coup dil timide à ma mère puis je me servis rapidement des céréales que jengloutis rapidement. Je ne voulais pas mattarder plus longtemps en leur compagnie, ils avaient visiblement des choses à se dire.

Lennui me gagna définitivement après quelques minutes passées face à la télé. Passer ses vacances à regarder la télé, cétait vraiment nulle comme idée. Sans avoir aucune idée de mon programme de la journée, jenfilais la première robe qui me tombait sous la main. De couleur beige, elle marrivait juste au-dessus du genou. La ceinture fine que je décidais de porter avec elle me la raccourcit de quelques centimètres. Sans compter les fentes découpées sur les côtés de la robe et qui dévoilaient de mes cuisses plus que ne le voudrait, sans aucun doute, ma mère. Les ballerines noires qui mattendaient à la porte dentrée accompagnèrent ma tenue.

Pour la première fois de ma vie, je sortais chez moi sans porter de sous-vêtements. Jesquissais un demi-sourire en imaginant lapprobation que je pourrais lire dans le regard de Daniel sil me voyait aussi effrontée. Je le chassais de mes pensées rapidement en mefforçant doublier quil partait demain et me faufiler à lextérieur sans faire de bruit. Au moment même où je tournais le coin de la rue, je reçue un sms, il était de lui ! Cétait une photo de son sexe quil tenait à la main accompagné dun « Elle a envie de remplir ta petite chatte ». Merde. Je me dépêchais de ranger mon téléphone non sans avoir regarder sa queue qui me donnait des idées plein la tête. Je serrais les cuisses et me dépêcher lorsque je heurtais de plein fouet un gars. En levant les yeux, je le reconnu immédiatement. Le gars de la boîte de nuit ! Au vu de son sourire, je compris quil mavait lui aussi reconnu.

— Tiens Lola, comme on se retrouve ! Cest pour moi que tu es habillée comme une trainée ?

Un sourire malicieux se dessina sur ses lèvres. Sans prendre la peine de lui répondre, je reprenais ma route mais il ne me laissa pas faire. Il mattrapa le bras et mobligea à me retourner.

— Où est ce que tu vas comme ça petite pute ? me demanda-t-il à voix basse.

— Lâche-moi, tu me fais mal !

Il sera un peu plus ses doigts

— Viens avec moi plutôt, daccord ?

Ce nétait pas vraiment une question.

— Va te faire foutre !

Je sentis sa main arrivait trop tard. Il me gifla, il semblait en colère comme sil navait pas lhabitude quon lui résiste. Les passants nous regardaient, suspicieux.

— Je te jure que si tu ne me laisses pas tranquille, je hurle.

Javais vraiment peur à ce moment-là mais je ne devais pas le laisser faire sinon jétais fichue. Tandis que je réfléchissais à la manière de lui échapper, je le vis écarquiller les yeux en regardant par-dessus mon épaule. On me bouscula et je vis Daniel abattre son coup de poing sur son visage. Lautre se tint le visage à deux mains en reculant, il essaya de séchapper mais mon sauveur lui demanda :

— Alors, quest-ce que ça fait dêtre frappé espèce de fils de pute ?

Il lui assena un second coup de poing à lestomac. Lautre se plia en deux en commençant à chialer. Des larmes coulaient sur ses joues, il essaya de se protéger comme il le pouvait.

— Je te jure que si tu la touches encore, même du bout des doigts, tu auras affaire à moi, compris ?

Sans même attendre sa réponse, il mattrapa la main et mentraina à sa suite.

— Ça va ?

— Oui, ça va. Merci pourça même si tu nétais pas obligée de le tabasser !

— Je lai à peine touché.

Le regard sombre, il me traina à sa suite, jessayais de retirer ma main mais il la tenait fermement, pour qui il se prenait

dabord ? Et doù est ce quil sortait comme ça ? Sans men rendre compte, nous nous retrouvions en bas de chez lui. Je marrêtais net, en le dévisageant.

— Je ne vais pas monter chez toi Daniel ! Tu sais que tes un salaud de la pire espèce ? Et cest quoi ce mms que tu mas envoyé tout à lheure ? Tu te prends pour qui ? Tes quun pauvre pervers lubrique !

Je ne pouvais mempêcher de penser à la façon dont il me traitait et ce que javais découvert la veille.

— Putain mais quest ce qui te prend ? Tu veux bien monter quelques secondes quon en discute ? Je ne veux pas me donner en spectacle en pleine rue.

Il marquait un point. Honteuse, je le suivais chez lui. Il me servit un verre deau et je lui ai tout déballé : Le fait quil se soit comporter comme le pire des cons et sa relation avec Lisa. Impassible, il ne protestait même pas, ce qui avait le don de vraiment ménerver. Pas de regret, rien.

— Quel est le problème exactement ?

— Comment ça, quel est le problème ?! Cest la femme de Tom ! Tu ne mavais pas dit que cétait ton ami, denfance qui plus est ?

— Et alors, cest vraiment ce qui te dérange ? Jaime beaucoup ce que tu portes.

Son regard ségara sur mes jambes. Du fait que je sois assise, celle-ci était un peu plus relevé, elle ne cachait désormais rien de mes cuisses, sur le côté. Sans même lui répondre, je me levais. Ce mec-là se laisser dicter sa conduite par le sexe, il se foutait de blesser qui que ce soit. Et si ce jour-là, Tom les avait surpris à ma place ? Je nimagine même pas les dégâts.

— Et quest-ce que tu faisais en bas de chez moi déjà pour nous voir ?

Il sourit un instant avant de se lever à son tour. Quel imbécile.

Il sapproche de moi et me coince contre le mur avec son corps. Décidément, il aimait ça, les murs ! Je sens sa bite dure comme de la pierre contre ma hanche quil frottait sur moi pour intensifier son désir. Il me dit que cest leffet que je lui fais quand je suis en colère. Il me fixe un instant, en attendant de voir ma réaction. Je lui lance dans un murmure, que jessaie de rendre convaincant, que je ne lui permets pas de me toucher. Je savais moi-même que quand il me touchait, jétais perdue. Il me répond quil nen a rien à faire, quil ne me demande pas mon avis. Ses mains saisissent mes poignets quil bloque contre le mur, au-dessus de ma tête. Ça me fait mal, jessaie de protester, de lui dire que je ne lui permets pas quil pose ses sales pattes sur moi mais il me dit de la fermer. Il se met alors à me retourner contre le mur, dos à lui. Une de ses mains se précipitent sur le bas de ma robe, il me dénude mon cul, je le sens respirer brusquement dans mon dos. Jessaie de lui jeter un regard par-dessus mon épaule. Sa façon de me tenir, de prendre le contrôle me trahis entre les jambes. Sa main passe entre celles-ci, il constate létendue de mon excitation. Il devient rouge de désir.

— Daniel, ce nest pas raisonnableSil te plaît.

— Pourquoi tu fais ça ?

— Je fais quoi ?

— Tu me supplies.

Il sort sa queue raide et la frotte entre mes fesses. Ses mains, libres, attrapent mes seins quil masse brutalement.

— DANIEL ! Sérieusement ? Sil te.

La supplique meurt entre mes lèvres. Je ne fais rien pour arranger létat dans lequel il se trouve. Mon corps et ma tête ne réagissent plus ensemble. Lun veut ce que lautre refuse catégoriquement. Comme si le bien et le mal saffrontent en moi. Il met alors sa main sur ma bouche pour me faire taire tandis quil me penche en avant.

— Quest-ce que tu veux me faire ? Je pensais que nous étions passés à autre chose !

— Je ne suis jamais passé à autre chose. Ce que je veux te faire ? Te faire crier mon nom espèce de chienne.

Il senfonce brutalement dans ma chatte sans penser un instant quil pourrait me faire mal. Il attend quelques secondes, se réhabitue à létroitesse qui lenserre. Mes halètements et ses grognements sintensifient. Il se met alors à me bourrer la chatte. Ses grands coups de reins me secouaient complètement. Il sagrippe fermement à mes hanches, ses doigts senfoncent dans ma peau jusquà me griffer.

— Je veux te défoncer, jusquà ce que tu ne puisses plus marcher pendant des jours.

— – TuTu ne peux pas me dire ça comme ça.

Je ne pensais plus, je vivais. La seule chose qui mimportait, cétait sa bite qui me donnait tant de plaisir, qui me faisait mouiller comme une vulgaire pute en manque.

— Oh si Lola, je le peux et je le fais. Je veux te faire gueuler, que tu me supplies.

— AArrête.

— Ça fait des semaines que jai envie de te dresser, de te traiter comme la dernière des putes, de faire de toi mon objet.

— Putain, Daniel !

Je gémissais à ses paroles tandis quil continuait à me prendre encore et encore. Je le sentais jusquau fond de mon sexe en chaleur.

— Je veux te sodomiser, tu te rappelles ? Te montrer que tu mappartiens.

— Je ne tappartiens pas. Et tu sais que je ne ferai jamais ça !

— Tais-toi.

Il se retira de moi et glissa sa bite pleine de ma mouille sur le mauvais trou. Il voulait me dilatait !

— Je tinterdis de toucher à mon cul putain !

— Je te garantis que tu vas aimer. Sois patiente. Si ce nest pas le cas, jarrête.

Est-ce que javais le choix de toute façon ? Il glissa son doigt dans ma chatte avant de me masser lanus jusquà y introduire son majeur. Cétait vraiment bizarre de sentir son doigt en moi, par là. Il se mit alors à genoux en mécartant les fesses. Sa langue est venue sucer et lécher ma chatte et elle remonta jusquà mon petit trou. Je sursautais en sentant le bout de sa langue me titillait mais ce nétait pas désagréable. Je me cambrais en écartant bien les cuisses pour lui facilitait le chemin. Je passais ma robe par-dessus ma tête et la balancer sur le sol. Il réussit à fourrer deux de ses doigts dans mon cul au bout de quelques minutes. Il entrait et sortait pour lélargir tout en continuant à me lécher la chatte. Mes gémissements lexcitaient, il me sucer avec plus de vigueur. Il se releva et se positionna juste à lentrée de mon cul.

— Comme tes encore vierge du cul, je vais y aller doucement. Putain ce cul, cest une incitation au viol.

Son sexe plein de ma mouille se fraya un chemin centimètre par centimètre dans mon cul. Ça commençait par me faire mal mais je serrais les dents sans protester. Ça avait du mal à rentrer, il me dit à quel point mon cul serré lui faisait du bien à la bite. Il réitéra lopération plusieurs fois jusquà réussir, enfin, à sintroduire complètement en moi. Son torse en sueur collé contre mon dos, sa bite profondément ancré en moi. Il attendit quelques secondes et lentement, il commença à aller et venir en moi. Je ne prenais aucun plaisir jusquà ce quil passe sa main sur mon clitoris quil caressa langoureusement, doucement. Deux de ses doigts à lentrée de ma chatte me pénétrèrent. Je me sentais remplie de partout, cétait incroyable et totalement nouveau pour moi.

Mes gémissements se transformaient en cris que jessayais de réprimer, en vain.

Jallais à la rencontre de son bas ventre, je commençais vraiment à prendre mon pied. Il simmobilisa et me laissa faire. Je bougeais moi-même sur son manche.

— Doucement ma belle, tu vas me faire jouir.

Je ne lécoutais plus, je ne lentendais plus. Tout ce qui comptait, cétait son gros sexe qui me remplissait et ses doigts entre mes jambes

— Putain, cest tellement bon ta bite en moi Daniel !

— Merde, tu deviens une vraie petite cochonne, me dit-il en ricanant.

Il finit par reprendre le contrôle, il pose sa main sur mon épaule, lautre sur ma hanche et accélère le mouvement. Je me joins à lui en re glissant deux de mes doigts en moi. Je voulais jouir, crier, prendre un pied denfer ! Je ne me contrôlais plus, je me foutais du reste. Il se lâcha en moi et seffondra sur le sol en mattrapant autour du ventre et mentraina dans sa chute. Nous nous retrouvions au sol, lui assis, moi sur lui, sa queue en moi. Plus il se déversait en moi et plus je me déchainais sur son sexe comme possédée, mes cris rejoignant ses gémissements… Je me laissais alors tomber sur son torse, à bout de souffle. Mon vagin remplie de son sperme et enfin calmé. Ses baisers sur ma nuque, mon cou, mon épaule lui redonnaient de la vigueur. Jessayais de me retirer de lui, ça me faisait super mal. A quatre pattes, le cul en feu, javançais jusquà la salle de bain sous son regard de mâle satisfait mais encore brulant de désir. Je me laissais tomber dans la baignoire et me faisait couler un bain chaud pour pouvoir récupérer.

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