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De Camille à…. Camille – Chapitre 8




Après m’être baignée une dernière fois pour me remettre de mes émotions, je regagne le salon, laissant Caro et ses deux amis à la piscine. Je m’endors rapidement sur le canapé.

Le lendemain, Caro me réveille et nous allons au salon où Corinne lui explique qu’elle doit prendre encore son après-midi pour aller visiter des appartements : elle quitte définitivement son copain.

Nous passons ensuite chez Caro pour prendre une douche et nous changer puis filons au marché, où nous achetons quelques fruits et légumes (avec un fou rire lorsque nous achetons les aubergines et les courgettes) mais aussi des bagues d’orteil très originales représentant des positions du Kamasutra !

Après un petit brunch durant lequel elle me raconte avec beaucoup de détails comment elle s’est fait prendre en même temps par les deux hommes après que je sois allée me coucher, j’accompagne mon amie à son travail où Corinne nous attend.

Les pressions défaites sur le bas de sa blouse me font apercevoir à nouveau son sexe lisse quand elle s’accroupit pour ramasser un stylo… Je sais maintenant qu’elle travaille toujours nue sous sa blouse. En se relevant, elle croise mon regard puis me fixe en souriant.

Je quitte ensuite le salon pour aller me reposer et farnienter sur la terrasse. J’ai envie de me retrouver seule et faire le point. Les images se bousculent dans ma tête et je fais un pacte avec moi-même : ce qui se passe ici doit être considéré comme une parenthèse que je peux vivre complètement et sans retenue.

Je me sens bien au soleil. J’ôte mes vêtements puis enfile mes nouvelles petites bagues d’orteil et m’allonge sur le transat. Après avoir noué mes cheveux avec un élastique, je m’enduis d’huile solaire sans oublier mes parties intimes. Cela me donne envie…Instantanément !

Je repense à la veille au soir, à mon envie encore inassouvie d’être prise par deux hommes en même temps, mon attirance pour Caroline et mes envies de lui donner du plaisir, la sensation du plug dilatant mes fesses l’autre soir… Christophe en moi… devant et derrière… La semence d’Eric que j’ai avalée sans retenue tout en me faisant prendre… La vue du sexe de Corinne et son sourire que je sais être une invitation à recommencer… Ce dont j’ai très envie…

Je ne résiste pas alors à aller chercher le plug en métal qui, sous l’effet de mon excitation et de l’huile, entre sans véritable difficulté. Je vais prendre alors dans la chambre le "transparent" pour remplacer celui en métal…

Je veux me sentir dilatée: Cette sensation si nouvelle me rend folle. En repassant par le salon, je me regarde dans la glace comme l’autre soir. L’huile fait briller mon corps et voyant mes mules à hauts talons, je les chausse pour me regarder à nouveau.

Je me dirige ensuite derrière le comptoir de la cuisine pour me faire couler un café quand on sonne à la porte. Je noue rapidement un paréo sur ma poitrine et j’ouvre. C’est un livreur qui apporte un colis de café pour Caroline.

Il prend son temps pour me faire signer le reçu tout en profitant de la vision que je lui donne en contre-jour. Vision que je ne cherche d’ailleurs pas du tout à dissimuler, bien au contraire, par jeu.

Son regard fait des allers retours entre mes seins et mon entrejambe où mon sexe doit se dessiner précisément en ombre chinoise.

À peine la porte refermée, le paréo ôté, je retourne me mettre au soleil en buvant mon café. Un mms de Caro arrive, la montrant souriante, blouse ouverte comme la veille , entièrement nue dessous avec un texte accompagnant :

"j’ai trop chaud"!

Je lui réponds pour une vue de moi allongée cuisses ouvertes avec "moi aussi" en accompagnement. Mon téléphone sonne en retour avec une vue d’elle, sans la blouse, se pinçant le bout d’un sein les yeux mi-clos.

Je choisis alors de lui renvoyer une photo de mon sexe avec deux doigts en moi et où le plug est bien visible. La réponse ne tarde pas:

"Vivement que je termine ! Rejoins-moi vers 18h30 et… surprend-moi !"

Vu mon état, et visiblement le sien, la surprise semble toute trouvée. Un deuxième texto arrive dans la foulée m’informant que Christophe va sûrement passer dans l’après-midi déposer "des trucs".

Avec un "ps": "soyez sages…ou pas !"

Cela me fait sourire.

Je goûte à la caresse du soleil en réfléchissant à comment surprendre Caroline…

Le bruit de la porte d’entrée me tire de ma rêverie et, le temps d’essayer de renouer mon paréo sur ma poitrine, il est devant moi. Après tout…

Il me dit avoir tapé mais je ne l’ai pas entendu. Il me fait la bise en me disant "tu es superbe". Je lui propose un café, ce qu’il accepte. Je me rechausse et repars derrière le comptoir.

Du coup, j’en refais couler un pour moi pendant que Christophe s’assoit sur le canapé. Je me trouve encore en contre-jour et il ne se cache pas pour me détailler.

— Tu as au moins reçu le texto de Caro ? me demande Christophe.

Sans réfléchir je lui réponds :

-Oui, les deux !

Devant sa mine entendue je comprends qu’il est au courant du "soyez sages…Ou pas" et je me sens rougir.

-Et alors ? Tu…?

Je ne sais que répondre et devant mon immobilisme il se lève et dénoue mon paréo, me disant que je suis encore plus belle ainsi. Il m’attire alors vers lui et m’embrasse dans le cou tout en caressant mon dos et mes hanches. Je réponds à son baiser en caressant son entrejambe déjà tendu.

Il ôte alors son tee-shirt et son jean et je m’agenouille sans attendre pour le prendre en bouche, lentement et profondément, jusqu’à ce qu’il butte sur ma luette. Après quelques minutes durant lesquelles il me guide doucement avec ses mains sur ma tête, il me relève pour m’embrasser à nouveau et me soulève pour m’asseoir sur le comptoir.

Il écarte alors mes cuisses pour me lécher avec une infinie douceur.

-"Tu le quittes plus ce plug on dirait…"

Je me contente de sourire en guise de réponse.

Me souvenant d’une scène d’un film X, jouvre le plus possible mes cuisses et écartant mes lèvres de mes doigts je dégage totalement mon clitoris puis plaque sa bouche sur mon sexe. Il me lèche divinement bien.

Rapidement au bord de la jouissance je l’écarte de moi et lui demande de me prendre. Il m’aide à descendre du comptoir puis me prend par la main pour me mener sur la terrasse. Je lui demande de s’asseoir de sorte que je vienne sur lui et je le guide en moi.

Je retrouve la sensation de plénitude de la veille, ouverte sur un sexe qui me dilate divinement et je guide la danse, l’enfonçant tantôt au fond de moi, tantôt le maintenant à l’entrée. Il me tient par les hanches et aspire mes bouts, les lèche…les mordille…

Je sens mon plaisir monter, monter encore et ralentis le rythme pour éviter de jouir. Je veux que ça dure, qu’il me baise longtemps. Je le veux aussi encore dans mes fesses…

Je me dégage alors de lui et me mets entre ses jambes pour le prendre entre mes seins huilés puis à nouveau dans ma bouche… Lentement et profondément.

Puis je me redresse et me collant a nouveau contre lui je lui demande à l’oreille de me prendre par derrière. Je me positionne alors à quatre pattes sur le transat, et il se met derrière moi.

Il s’introduit dans mon sexe, butant totalement en moi et après quelques aller retours, je le repousse. J’ôte mon plug sous son regard.

-"Viens…Prend moi comme hier.."

Je sens alors son gland contre mon anus et, lui demandant de me laisser faire, je m’empale doucement sur lui. Préparée et excitée comme je le suis, l’introduction se fait d’un trait, jusqu’à ce que je sente son bassin contre mes fesses.

Jamais je ne me suis sentie aussi femelle et je veux lui donner énormément de plaisir. Ayant entendu Caroline parler crûment et bien que ce soit nouveau pour moi j’ose lui dire :

-"Encule moi… Bien à fond, défonce moi"…

Et je découvre en fait que j’aime parler ainsi dans ces moments là. Je sens mon plaisir monter inexorablement et j’ai l’impression que je vais jouir de manière anale.

-"J’aimerais te prendre comme ça mais debout…"

-"Viens alors…"

Je me redresse et vais m’appuyer contre la baie vitrée. Il se positionne derrière moi et après avoir un peu cherché son chemin, il me pénètre à nouveau. Je me cambre le plus possible et collant ma poitrine sur la vitre j’écarte mes fesses à deux mains.

Prise debout ainsi, baisée comme une chienne…

Purement divin.

Christophe me dit qu’il ne va pas tarder à venir et presque immédiatement après je sens son sperme jaillir dans mes reins. Il n’arrête pas pour autant ses va et vient et plaque sa main sur mon clitoris.

Ma jouissance est instantanée et pour la première fois de ma vie je crie mon plaisir sans retenue…

Christophe sort de moi délicatement et m’embrasse du bout des lèvres. Je lui propose de se rafraîchir et après s’être rhabillé, il me demande mon programme du lendemain.

Je n’ai rien de prévu, et de ce que je sais Caroline non plus. Il me demande alors si je peux passer une partie de la journée chez lui car une entreprise doit passer pour réparer l’arrosage. J’accepte sous réserve de la disponibilité et de l’envie de Caro .

Une fois Christophe parti, je file à mon tour sous la douche et m’allonge ensuite sur le transat pour sécher. Sur la vitre je peux voir les marques distinctes que mes mains et mes seins ont laissé, ce qui me fait sourire.

Mon envie est retombée et le "surprend moi" de Caroline me semble tout à coup décalé… Mais j’ai plus que tout envie de lui faire plaisir aussi. Il me reste à choisir comment m’habiller avant de la rejoindre.

Il me faut traverser une partie de la ville aussi… Seule. Short ? Jupe ? Talons ? Sandales ? Quel haut mettre ? Je lui envois un texto lui demandant si je peux puiser dans sa garde-robe et sa réponse est un "ok" laconique.

Elle doit être occupée.

Je reprend ensuite une douche bien fraîche avant de me préparer.

J’opte pour garder une paire de mules à talons hauts et après avoir fouiné dans les affaires de Caro sans trouver l’inspiration je choisis finalement une robe à moi, droite, en coton bleue marine, zippée dans le dos.

Je l’avais emportée avec moi "au cas où" car je l’ai toujours trouvée bien trop courte. Elle me découvre bien au dessus de mi cuisses et rend toute position assise très périlleuse. Debout, quand j’ai à lever les bras, elle dévoile presque le bas de mon sexe et mes fesses.

Une fois enfilée, mon reflet dans la glace me plaît. J’attache mes cheveux et opte pour un chignon.

L’envie de remettre le plug me titille et je succombe à mes envies. Après le traitement que m’a fait subir Christophe, il entre en moi sans aucune résistance…

Puis je me dirige dans la salle de bain et prend un peu de baume chauffant que j’applique sur mes lèvres intimes mais aussi à l’intérieur de mon sexe. Cette sensation de picotements et de chaleur est terrible !

Après avoir jeté un dernier coup d’il à mon apparence dans la glace de la salle de bain, vérifiant aussi que le plug ne se voit pas, je claque la porte et descends les escaliers.

Je ne croise heureusement personne en descendant les marches.

Une fois dans la rue, je me rend compte que je ne passe pas inaperçue auprès des passants masculins et dissimulée derrière mes lunettes de soleil , je jubile et bombe le torse pour faire encore plus saillir mes seins qui balancent librement sous le fin tissu à chacun de mes pas.

Marcher ainsi et "habitée" est un véritable délice. Je sens mon excitation monter à chaque pas et décide de me rendre au salon en flânant.

Chemin faisant, je passe devant la boutique d’Eric que je trouve devant sa porte. Après avoir échangé quelques banalités avec lui et un couple de clients, ces derniers prennent congés.

Il me complimente sur ma robe et me dit :

-"Tu es encore plus sexy qu’hier soir"…

Et sans réfléchir je réponds en éclatant de rire:

-"…et encore tu as pas tout vu !"

-"Ha oui ? Tu caches quoi dessous ?"

-"Rien…Enfin…. Si… Mais"…

"-Montre-moi."

Il me prend la main et m’entraîne dans sa boutique. J’entre dans une cabine d’essayage et ôte ma robe sans fermer le rideau.

-"Je pensais bien que tu étais nue mais je voulais en être certain !"

Voulant le provoquer, je me tourne alors afin de lui présenter mes fesses et lui montrer mon bijou. Cela le laisse sans voix et une large bosse déforme désormais son pantalon en lin.

Je lui fait signe de s’approcher et après l’avoir un peu caressé, je sors délicatement son sexe et m’agenouille.

-"Tu n’auras encore que ma bouche aujourd’hui…"

Je le prend lentement jusqu’a ce que mes lèvres butent sur la base, puis, alternant entre de profonds mouvements et juste des petits coups de langue sur son gland tout en caressant ses couilles, je l’amène rapidement au point de non retour. Je sens aux spasmes qu’il vient et je garde ma bouche sur lui pour qu’il se vide en moi en gémissant…

Après l’avoir bu mais aussi soigneusement nettoyé, je me relève et m’assois sur le petit tabouret quand j’entends la porte du magasin qui s’ouvre. Il se reboutonne maladroitement, referme le rideau de la cabine et va à la rencontre de la cliente.

Je reste là quelques instants puis enfile ma robe. Quand je ressors de la cabine, Eric est déjà en train de montrer des maillots à sa cliente et je le salue en partant, comme si de rien était.

Je sens que mon sexe est à nouveau bien humide…

Je me dirige vers le salon de Caroline.

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