Histoire de sexe fétiche Histoires de sexe de vacoisins

Mémoires d'un vieux cochon – Chapitre 3




ANONYME N° 1

Ce que jestime intéressant dans les rapports amoureux outre le plaisir sexuel quon en retire ce sont les circonstances qui précèdent lacte par lui-même ; je mexplique. Finalement, on en arrive toujours à la même chose : faire coulisser une bite dans un endroit (que ce soit une main, un vagin, lespace entre deux seins ou un rectum) jusquà faire jaillir sa semence. A mon avis, les préliminaires comptent beaucoup dans lexcitation qui précède la phase mécanique. En voici un parfait exemple.

Un samedi après-midi de lété 1967, je voyageais en train pour rejoindre Sylviane, avec qui je devais passer le week-end. Les compartiments étaient pris dassaut, si bien que beaucoup de voyageurs devaient rester debout dans le couloir ; cest là que je me trouvais. Je sentis bientôt un corps contre le mien, qui me touchait par intermittence à la faveur des cahots ; je ny fis tout dabord pas attention. Guettant du coin de lil, je maperçus quil sagissait dune jolie adolescente. Les contacts entre nos corps dus à son initiative car ils se produisaient même en labsence de tout cahot se faisaient de plus en plus fréquents et de plus en plus longs, jusquà ce quelle se colle contre moi et pose sa tête sur mon épaule. Comment résister à une telle invitation ?

Je la pris par la main et, sans dire un mot, lentraînai jusque dans les toilettes situées à une extrémité du wagon. Enfermés dans le réduit, sans échanger la moindre parole, nous avons commencé à explorer nos corps tout en nous embrassant à perdre haleine. En ces temps-là, les filles portaient rarement des pantalons ; je neus quà relever sa robe jusquà la taille et à faire glisser sa culotte le long de ses jambes (quelle avait fort belles) pour avoir accès à sa chatte. Mes doigts rencontrèrent ses lèvres gonflées par le désir et dégoulinantes de mouille Sans perdre un instant car je devais descendre à la gare suivante, une vingtaine de minutes plus tard je pris ma verge en main pour faire glisser mon gland le long de sa fente détrempée, en insistant sur son clitoris. Quelques mouvements suffirent pour porter notre excitation à son paroxysme, et je mintroduisis en elle, dans la chaleur humide de son jeune vagin bien étroit.

Nous étions debouts, de face ; cette position ne me permettait pas de la pénétrer profondément avec ma modeste verge, et nous étions déséquilibrés, tant par les cahots que par la force dinertie dans les courbes. Je massis sur le siège des WC et pris la jeune fille sur mes genoux. Nous baisâmes ainsi, puis je la fis se relever et prendre appui contre le lavabo pour me présenter son joli petit cul. Debout derrière elle, jeus quelque peine à introduire mon gland (qui est assez volumineux) dans son fondement ; mais, dès que la couronne eut dépassé la barrière de son sphincter, le reste de ma queue sengouffra dun trait dans son rectum soyeux.

Tout en faisant glisser ma bite davant en arrière dans ce cul bien cambré, je jetais de temps en temps un coup dil à ma montre pour ne pas dépasser la gare où je devais descendre A un moment, alors que je la besognais avec acharnement, des coups métalliques résonnèrent sur la porte : cétait le contrôleur qui frappait avec sa pince pour poinçonner mon billet. Je dus alors déculer pour le lui passer sous la porte ; il me le restitua par la même voie. Dès quil fut parti, jenculai à nouveau la belle enfant. Alors que le plaisir montait de plus en plus fort et que jallais bientôt me vider les couilles dans cet accueillant boyau, jentendis un voyageur mécontent demander derrière la porte si javais bientôt fini ! Oui, javais presque terminé Quelques mouvements supplémentaires nous amenèrent simultanément à la jouissance.

Nous nous rajustâmes rapidement, et quittâmes ensemble le réduit sous les regards médusés du râleur et dautres voyageurs qui attendaient que les toilettes se libèrent ! De retour dans le couloir, nous commençâmes enfin à échanger quelques paroles. Ma prestation avait dû plaire à la belle, car elle a passé les cinq minutes qui restaient avant que jarrive à destination à me harceler pour que je reste avec elle tout le week-end.

Lorsque je descendis du train, Sylviane mattendait sur le quai de la gare

Related posts

Fellations familiales – Chapitre 2

historiesexe

Les aventures d'Annick – Chapitre 1

historiesexe

Le petit bois, la petite maison de bois et le petit pont de bois. – Chapitre 2

historiesexe

Laissez un commentaire

Ce site Web utilise des cookies pour améliorer votre expérience. Nous supposerons que cela vous convient, mais vous pouvez vous désinscrire si vous le souhaitez. J'accepte .