Le jour fatidique arriva finalement.
Les résultats du bac, j’espérais de tout cur avoir la mention bien pour pouvoir baiser ma prof sur qui je bande depuis 3 ans maintenant
Chaque jour, je repensais au moment ou j’ai pu touché sa merveilleuse poitrine.
Je me prépare pour aller au lycée, les résultats devaient sortir à 10h.
9h30, je suis au lycée, il n’y a personne, à part le CPE et des professeurs, à vrai dire c’est normal, c’est plus rapide de regarder sur internet, mais moi j’avais une prof à baiser !
Je me promène dans le lycée en cherchant ma prof de français.
Je la trouve finalement, seule dans la cafet avec son café, je m’assois devant elle, elle était vêtue d’un débardeur blanc, pas de soutif, je pouvais apercevoir ses beaux tétons, une minijupe en jean, et des talons hauts noirs, j’avais déjà la trique
— Bonjour Madame ! lui dis-je avec un grand sourire
— Oh ! Antoine, alors nous ne sommes pas revus depuis la dernière fois.
— Oui, c’était très agréable la dernière fois, j’y repense chaque jour
— J’imagine oui, j’espère pour toi que tu as eu la mention bien, sinon tu passerais à côté de ma belle poitrine et de ma chatte dit-elle en rigolant
— Je me suis donné à fond exprès.
— Je n’en doute pas une seule seconde.
10h, l’heure des résultats.
Le CPE affiche les résultats par classe, quelques élèves étaient arrivés entre temps.
Vient ma classe, ma prof se tenait derrière moi, grand sourire, je cherchais mon nom, parcours la ligne et je vois, que je suis admis mention bien.
Victoire ! Je vais pouvoir baiser ma prof, vous ne savez pas à quel point j’étais heureux.
Elle regarde à son tour, se retourne, me sourit et me fait un grand clin d’il.
Nous nous sommes éloignés de tous le monde, elle me félicita et me donne un baiser sur la bouche.
Heureusement que personne n’a vu ça.
— Bien, je dois tenir ma promesse maintenant je crois
— Oh oui madame, j’attends tellement ça depuis longtemps si vous savez !
— On pourrait aller dans une salle, par contre le lycée ferme à midi.
— Oh vous savez, ça ne me dérangerez pas d’être enfermé avec vous dans un lycée seul, nous pourrons baiser tout le temps sans être dérangés. Dis-je en rigolant
— Je sens que tu vas me laisser aucun répit toi, suis-moi mon petit chéri.
Je la suis, on trouve une salle sans fenêtre menant au couloir du lycée pour pas qu’on nous voit.
Seul une grande fenêtre menait sur la rue, il n’y a que l’immeuble d’en face qui pouvait nous voir baiser.
L’idée que des inconnus puissent voir un élève baiser sa prof m’excitait au plus au point, je ne sais pas pourquoi.
Elle ferme la porte à clé, je la prends par la taille et je l’embrasse langoureusement.
Mon dieu, se baiser, si magnifique, nos langues se lient avec une intensité que je ne peux décrire, je commence à descendre ma main vers ses fesses, je les caresse sensuellement et je relève sa mini-jupe tout en continuant à l’embrasser.
Elle se retire et glisse sa main vers ma bite, je bandais déjà pas mal.
J’enlève complétement mon jean, je voulais me la faire, j’étais tellement excité, je retire aussi mon caleçon, laissant place à mon sexe.
— Mon dieu Antoine, tu as une belle grosse bite à ce que je vois, j’aurais su, je t’aurais laissé me baiser avant !
Elle enlève son débardeur, laissant place à sa magnifique poitrine que j’avais déjà touché avant et retire complètement sa mini jupe, elle n’avait pas mis de culotte aussi, elle était en chaleur, elle savait que j’allais la baiser.
Elle se met à genoux, bouche ouverte, attendant ma bite.
Elle commence à me faire des bisous sur le bout du gland et petit à petit, met en bouche mon gland et fait tourner sa langue autour, elle savait y faire.
-Ooooh oui, continue, tu sais tellement y faire.
Elle commence à faire entrer ma bite plus profondément dans sa bouche, accentuant les vas-et-viens.
Les ¾ de mon sexe était en dans merveilleuse bouche.
Ma main sur sa tête, l’autre sur son sein, je titillais son téton.
J’étais sur le point de tout lâcher, je donne un coup sec pour enfoncer ma bite tout au fond de sa gorge et je lâche ma semence au fond d’elle.
Elle se retire, essayant de reprendre son souffle.
— Ton coup m’a un peu surprise, mais qu’est-ce que c’était bon, ta bite est si bonne, si grosse et ton sperme, mmmm j’ai envie que tu me pénètres Antoine.
Après tant d’années passé à regarder des films de cul, je savais comment m’y prendre, je la prends pour la mettre sur le bureau, je lui écarte ses jambes et m’agenouille.
J’approche ma tête entre ses jambes et commence à jouer avec son clitoris, elle adore ça, et crie de plus en plus fort. Je lui mordille les lèvres, son clitoris et enfin j’enfonce ma langue dans sa belle chatte.
Elle eu un orgasme d’un coup, elle crie de jouissance.
Je me relève, prépare ma bite et enfonce ma bite dans son trou d’amour.
-Mmmm.. Antoine, vas-y fais moi jouir avec ta grosse bite !
Comme pour la fellation, j’enfonce ma bite d’un coup sec tout au fond de son vagin, et commence à faire des vas-et-viens plutôt doux.
-Putain Antoine, continue, plus vite, je suis toute à toi.
Elle se caresse le clito au rythme de mes vas-et-viens qui devenaient de plus en plus puissants et rapides.
Elle criait de plus en plus fort.
-Tu aimes ça hein ma salope. Dis-je sous le coup de l’excitation.
-Oh que oui, j’aime ça, j’aime ta grosse queue, je suis ta salope Antoine, mmmmm continue.
Je lui dis de se mettre à 4 pattes, elle s’exécute, laissant place à son cul et son anus.
-Hmmm, tu voudrais me prendre le cul c’est ça hein, mais pas maintenant, continue à baiser ma belle petite chatte Antoine.
Déçu de pas pouvoir lui enfoncer ma bite dans son beau trou du cul, j’allais lui laisser aucun répit, j’allais la démonter !
Je lui mis une petite claque sur les fesses et recommence mes vas-et-viens dans sa chatte.
-Tu es une bonne grosse salope enfaite hein, tu aimes ma bite, tu aimes sentir ma queue au fond de toi.
-Ouiiiiii, mmmm, je veux que tu me baises toujours, mmmm, tu es si bon
Je gémissais de plus en plus fort, j’avais une vue incroyable sur son cul, pour augmenter le plaisir, j’attrape ses cheveux et je les tire en arrière plutôt fortement.
Elle jouissait si fortement, j’avais peur qu’on nous entend tellement que c’était fort et intense.
Mes vas-et-viens étaient puissants et rapides, j’étais au maximum, je lui tirais toujours la tête en arrière, elle adorait ça, quelle salope.
J’étais sur le point d’éjaculer, je me lève et elle se met à genoux, elle léchait mon gland pour m’aider à tout faire sortir.
J’éjacule dans sa bouche, pas une goutte était tombée, elle avale toute la semence que je lui ai offert.
-Putain qu’est-ce que c’était bon Antoine, ça te dirait qu’on remette ça un jour ?
-Oh que oui, avec grand plaisir, je veux baiser ton trou du cul la prochaine fois !
-Pas de soucis mon chéri, il faudrait se dépêcher, il est 11h45, le lycée va bientôt fermé.
Nous nous rhabillons et je l’embrasse langoureusement en lui mettant une claque sur les fesses.
Je passais les vacances d’été sans revoir ma prof de français, chaque jour, je repensais à cette baise si intense et magique, j’espère la rebaiser un jour.