Mon cadeau d’anniv’
Je m’appelle Luc, j’ai 18 ans demain, super. J’habite avec ma mère, la quarantaine et ma petite sur d’une heure, Nina ma jumelle, avec qui je suis relativement proche. Le père est parti depuis longtemps, pas de nouvelles depuis des années, c’est pas plus mal comme ça, on se débrouille très bien sans lui.
Habiter dans un environnement féminin peut paraître assez perturbant pour un ado, et les pensées relatives à la sexualité sont nombreuses.
Ma mère est jolie, une brune toujours bien habillée, un peu chic, de très belles formes. Ma sur est très mignonne aussi, une petite poitrine, de belles fesses et un joli minois. Je n’ai jamais eu de pensées malsaines envers ces deux femmes qui m’entourent, je n’ai jamais vraiment eu non plus l’occasion de les voir très dénudées. Une ou deux fois en rentrant dans la salle de bains, par mégarde, on aperçoit furtivement un corps totalement nu, mais rien de bien méchant. De quoi confirmer la beauté des deux femmes de ma vie. Jy repense de temps en temps mais sans plus.
Depuis quelques jours, je suis plus attiré par les sous-vêtements. Je ne saurais l’expliquer mais découvrir des petites culottes dans le panier de linge me donnent des fourmillements dans le ventre et forcement le bas du ventre. C’est peut-être ce côté interdit de la chose mais paradoxalement totalement accessible et libre de tout fantasme. Alors un jour j’ai pris au hasard une culotte de ma mère dans le bac, pas la plus belle mais je l’ai porté à mon nez, ce qui a eu pour effet de me transporter littéralement dans un autre univers. J’ai fouillé un peu et trouvé une culotte un peu plus sexy, et la planque dans ma poche pour plus tard…
J’essaie d’être discret et de remettre au plus vite ces trésors dans le bac. Curieusement je n’ose pas prendre de culottes à ma sur pourtant un peu plus coquine je trouve.
Bref, demain c’est mon anniv’. Ma mère vient me voir, un peu gênée :
— Luc, en faisant ton lit, j’ai trouvé ceci sous ton oreiller.
Ma mère me montre une de ses culottes. J’étais rouge de honte, quel con d’avoir oublié de remettre celle-là. Je me suis endormi hier avec et oublié sous mon oreiller.
— Euh. Ben oui …
— C’est ma culotte c’est ça ?
— Oui c’est la tienne
— Mais quest ce que tu fais avec ?
— Ben …
Je n’osais pas répondre, honteux de la situation où je me trouvais
— Tu peux me dire mon chéri tu sais, y a rien de grave, je veux seulement savoir
— Je la prends du bac et j’aime bien la respirer, l’odeur me plait
— Tu aimes l’odeur de mes culottes ? Et bien ma foi, c’est un peu gênant mais c’est aussi flatteur je dois dire. Ca fait longtemps que tu fais ça ?
— Non quelques semaines seulement
— Tu ne fais que les sentir ? Tu te caresses avec ?
— Hein, non, j’aime bien l’odeur c’est tout… Mais c’est vrai qu’elles sont toutes douces et j’ai déjà eu envie de me masturber dedans.
— Allez mon chéri, c’est pas grave, c’est normal à ton âge. Mais sois discret, et veille à bien remettre mes culottes à leur place.
— Oui maman
Je n’en croyais pas mes oreilles, c’est comme si ma mère me laissait faire, et approuvait par la même occasion.
Le lendemain on fête mon anniversaire en petit comité, rien de bien excitant. A part peut-être ma sur. Son pantalon taille basse laisse apparaître l’élastique de sa culotte, et lorsqu’elle s’est baissée j’ai pu voir que c’était un string. Je prendrais bien un de ses strings la prochaine fois, je n’ai jamais encore senti une culotte de ma sur. L’idée me faire avoir un début d’érection.
Je m’éclipse aux toilettes et lorsque je reviens, ma mère m’arrête dans le couloir.
— Tiens mon chéri, bon anniversaire, me dit-elle en tendant un petit cadeau, c’est pour toi, tu es assez grand maintenant et je vois que tu as certains besoins. Tu l’ouvriras tout seul ce soir dans ta chambre, il ne faut pas que ta sur le voie.
— Merci maman, mais qu’est-ce que c’est ?
— Tu verras ce soir… Je l’ai portée toute la journée, dit-elle en m’embrassant la joue tout au bord des lèvres. C’est rien que pour toi, tu en fais ce que tu veux.
Sur ce, ma sur déboule dans le couloir à toute allure :
— Qu’est-ce que vous faites-la tous les deux, poussez-vous je dois aller aux toilettes, dit-elle en commençant à déboutonner son pantalon. Je l’imagine s’asseyant en catastrophe. « Aaaahhh ! » fit-elle en commençant à uriner sur la cuvette.
Ma mère s’en retourne et je ne sais pas ce qui m’a pris mais je suis resté à proximité de la porte pour écouter ma sur, jusqu’à qu’elle tire la chasse. Je m’en vais vite fait avant d’être surpris.
J’ai toujours le cadeau de ma mère dans ma poche et rien que d’y penser je bande fort. Allez j’en ai marre, je dis bonne nuit à tout le monde et je file dans ma piaule.
— Bonne nuit, Nina.
— Déjà, tu vas te coucher ? Eh ben c’est tôt pour ton anniv
— Je suis un peu fatigué c’est tout. Bonne nuit maman
— Bonne nuit mon chéri, dit-elle en m’embrassant
Puis elle me chuchote à l’oreille : « Ce soir tu vas sentir maman. »
Clairement, il fallait que je me soulage rapidement après ses paroles qui ont fait exploser mon slip.
Je me faufile sous ma couette et ouvre le papier cadeau. J’y trouve un petit shorty en dentelle et en soie rouge et noir. Je m’empresse de le porter à mes narines :
— Mmmm ça sent trop bon
Je l’observe sous toutes les coutures et prends des énormes respirations. Je suis totalement excité.
Je me décide alors à faire ce que je n’avais jamais fait, je la porte à ma queue et commence à me caresser avec cette culotte toute douce. Ca fait du bien. J’imagine ma maman qui la met le matin, et qui la retire avant de l’emballer et de me l’offrir.
Et là, le drame. Ma sur qui déboule dans ma chambre sans frapper. Juste le temps de passer mes jambes sous la couette.
— On t’a jamais appris à frapper aux portes ! Lui fis-je un peu en colère
— Boh relax frangin, pourquoi tu veux que je frappe, c’est nouveau ? Toi non plus tu tapes pas à la porte de ma chambre.
Un point pour elle, effectivement, étant vraiment proches, on ne s’embête avec ces détails. Mais là elle vient de rentrer en petite tenue, petit débardeur noir et culotte assortie. Culotte légèrement échancrée sur les fesses. Très joli. Ca ne calme pas mon entrejambe
— Qu’est-ce que tu faisais ?
— Ben rien, je regardais des conneries sur le téléphone.
— Qu’est-ce qu’elle t’a donné maman tout à lheure ?
— Comment ça ? Rien.
— Ben si dans le couloir, je vous ai vu. Allez dis !
— Ben elle m’a fait un cadeau c’est tout, mais c’est secret
— Luuuuuc, on se cache rien d’habitude, dit-elle en se mettant à côté de moi en tailleur, me laissant une magnifique vue sur son entrejambe. Sa petite culotte est légèrement transparente sur le dessus et je reste malgré moi bloqué sur son pubis que je devine tout épilé. Je suis pris en flag’
— Oh frangin, mais qu’est-ce que tu regardes ?
— Hein quoi, rien
— Ben si t’étais en train de … de me mater.
— Baaah… Euhh… J’avoue oui un peu
— Mais c’est dégueu, je suis ta sur. Je vais le dire à maman
— Mais non, arrête j’ai rien fait, c’est bon.
— Bon écoute, si tu me montres ton cadeau je lui dirai rien
— Mais… Bon d’accord, lui dis-je un peu dépitée
Je sors ma main de sous la couette et lui présente la culotte
— C’est ça.
— Maman t’a offert une culotte ? Mais pourquoi ?
— Ben c’est une culotte à elle, et j’aime bien ça.
— Ah bon, je savais pas. Mais pourquoi t’aimes ça ?
— J’aime bien les sentir. Celle-ci maman l’a portée toute la journée
— Et ça sent bon ?
— Ben oui
— Fait voir…… ça sent bizarre
— Là je t’avoue que je l’ai enroulée autour de ma… De mon…
— De ton zizi ? Ca sent la culotte de maman avec l’odeur de ton zizi ?
— C’est un peu ça oui
— Et ça t’excite ?
— Oui un peu
— Fais voir, me dit-elle les yeux écarquillés
— Quoi mais t’es folle !
— Allez montre-moi ta queue frangin. Comment tu fais pour te caresser avec la culotte ? Montre-moi
— Ca va pas !
— Alleeeeeeez. Je te propose quelque chose. Si tu me laisses regarder te masturber, je me caresse le minou avec toi et je te donne ma culotte.
— Tu veux te caresser devant moi, et me donner ta culotte ensuite ?
— Oui, ça te plait ?
J’enlève la couette et dévoile ma queue à ma sur. Ma bite était en train de reprendre de sa vigueur.
— C’est chaud, mais oui ça me plait, ça m’excite beaucoup même.
— Tiens reprend la culotte à maman alors.
Je commence doucement à me caresser, avec des va et viens lents et appuyés. De son côté, ma sur s’est mise sur le côté et a commencé à se caresser à travers sa culotte.
— Ca va mon frère ? Ca te plait de voir ta petite sur se toucher ?
— Mmmm oui, c’est super excitant
— Moi j’aime bien te voir te branler. Ca me fait mouiller la chatte.
— Tu mouilles déjà là ?
— Tiens attend, dit-elle en se mettant à genou et en se rapprochant. T’aimes bien sentir les culottes ? Vas-y, sens-moi.
Elle rapproche son bassin de mon visage, appuie derrière ma tête et dirige mon nez vers son minou.
— Alors frangin, ça sent bon ?
— Oui c’est exquis ma sur
— Tu vas l’avoir la culotte après. Tu pourras la sentir autant que tu veux. Ca sentira mon minou tout trempé.
— Oh oui Nina j’attends que ça
— Mmmmm. Je vais jouir dans ma culotte Luc. Je veux te voir éjaculer dans la culotte à maman. Haaaan, ouiiiii, j’imagine déjà ma culotte autour de ta bite.
J’accélère mes mouvements et voir ma sur se toucher à quelques centimètres de mon visage me fait jouir de suite. Je m’empresse de mettre le shorty au bout de ma queue et lâche tout dans la partie avant, là où il y a la chatte de ma mère.
Ma sur se met également à jouir. La main dans sa culotte, elle pousse des gémissements jusqu’à son orgasme.
— Oh ouiiii, c’est trop bon frangin. Je suis toute mouillée …
— Tu vas me donner ta culotte alors ?
— Chose promise. Attend je vais bien la plaquer sur mon minou, histoire que tu en ai le plus possible
Sur ces paroles, elle retira sa culotte me dévoilant son petit abricot encore ouvert et brillant
— Tiens frangin, tu peux déjà la sentir
— Mmmmm ça sent bon
— Hihi, t’en as un peu sur le nez
— Un peu de ?
— Un peu de ma mouille, j’en ai mis plein dans ma culotte. Bon anniv’ frangin, dit-elle en m’embrassant directement sur la bouche.
Ma sur quitte la chambre discrètement et je finis par m’endormir.
*****
Le lendemain matin, c’est ma mère qui vient me réveiller. Elle entre doucement dans ma chambre. Elle porte une robe de chambre en soie rouge. C’est extrêmement sexy mais ne laisse rien transparaitre. Elle se pose sur mon lit juste à côté de moi
— Ca va mon chéri, tu as bien dormi ?
— Oui maman merci
— Tu es content du cadeau de maman ?
— Oui, il est chouette
— Tu veux bien dire à maman ce que tu as fait avec ?
— Ben je l’ai senti un moment, et l’odeur m’a tellement excité que …
— Que quoi ?
— Je l’ai enroulé autour de ma queue pour me caresser avec.
— C’est bien mon grand, ça t’a plus.
— Oui beaucoup
Elle détourna légèrement le regard et découvre surprise une autre petite culotte.
— Mais, c’est pas à moi ça, c’est une culotte de Nina.
— Euh oui
— Tu lui as piqué aussi ?
— Ben non, c’est elle qui me l’a donné hier soir.
— Ah ben bravo, mais pourquoi
— Ben… je lui ai dit que j’aimais bien ça
— Il y a quelques traces au fond, qu’est ce qu’elle a fait
— En fait elle s’est caressée dedans pendant que je me masturbais dans ta culotte, ça m’a tellement excité, que…
— Qu’est-ce que tu as fait ?
— J’ai joui dans ta culotte maman.
— Ahh ! Montre-moi ça.
Je lui présente la culotte souillée de mon sperme. Elle la prend et la sent brièvement
— Ah oui effectivement ça sent, et il y a encore des traces. Et donc ta sur t’as donné sa culotte mouillée ?
— Oui pour que je me caresse avec.
— Ah bon. Eh ben tiens regarde celle-ci mon chéri.
Elle écarte doucement les pans de sa robe de chambre et desserre ses cuisses laissant apparaître un string très peu opaque. Je vois que ma mère est bien épilée aussi mais un petit filet de poils pubiens reste présent sur le dessus.
— Tu l’aimes bien celle-ci, Luc ?
— Elle a l’air douce.
— Tu peux la toucher si tu veux
J’approche délicatement ma main et caresse maladroitement la culotte. Ma queue est raide comme pas possible.
— Je vais te soulager un peu mon petit chéri.
Sur ces paroles, elle prend la culotte de ma sur et l’enroule autour de ma verge. Elle commence ses vas et viens. C’est trop bon.
— Mmmmm, maman, c’est bon ce que tu fais
— Tu aimes bien ça, j’essaie de faire au mieux tu sais, je fais pas souvent de masturbation.
— C’est excellent.
— Tu veux aussi sentir maman quand elle te branle ?
— Comment ça ?
Elle stoppa ses gestes, et commença à descendre la culotte qu’elle portait. Mais sans me laisser voir sa chatte.
— Tiens mon chéri, celle-ci je l’ai mise cette nuit. Elle aura une autre odeur.
— Mmm, elle sent bon aussi, mais oui elle n’a pas la même odeur.
— J’ai pensé à toi cette nuit et je t’ai imaginé en train de sentir mes culottes et de te toucher avec, ça m’a fait un peu mouiller. Elle sent la chatte humide de maman cette culotte.
Sur ces paroles elle appuya ses mouvements. Rien que d’y penser ça m’a fait monter la sauce.
— Mmmm, hann, maman, je vais tout lâcher
— Oui mon fils vas-y, jouit ! Jouis dans la culotte de Nina. Mets tout ton sperme dans la culotte de ta petite sur qui s’est caressée dedans. Pense à sa petite chatte qui l’a toute mouillée.
Ca m’a terminé. J’ai tout giclé dans la culotte. Maman en avait qui coulait sur ses doigts, elle a utilisé sa culotte pour s’essuyer.
— C’est bien mon grand, maman est fière de toi. Tiens je te laisse la culotte, ou peut être que tu préfères la rendre à Nina.
— Je sais pas, je lui demanderais
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