Histoires de sexe Histoires de sexe de vacoisins

Le goût du jeu – Chapitre 2




Episode n°3 : Le goût du jeu

Nous restons sans bouger, nous venons de prendre conscience que cette voix venait d’en face de nous. Ce qui laisse penser qu’elles nous regardent et nous écoutent depuis le début.

— Quand nous vous disons de faire connaissance, ça ne veut pas dire de vous sucer comme des chiennes que vous êtes ! Dit Maîtresse Anne.

Pris la main dans le pot de confiture, nous ne pouvons rien dire de plus, mais seulement faire acte de contrition après avoir commis un tel délit de désobéissance.

— Nous avons tout vu, et même filmé vos ébats, petites salopes ! Vous avez de la chance de ne pas vous être faits jouir l’un l’autre, sinon vous auriez eu droit à une punition très sévère ! Ce qui ne va pas vous empêcher d’être punis tous les deux, affirme Maîtresse Sandrine.

— Anne, que proposes-tu comme châtiment pour ces deux chiennes ? Reprend-elle

— Nous allons leur faire « le goût du jeu», dit Maîtresse Anne sur un ton souriant.

— C’est quoi ce truc ? Demande Maîtresse Sandrine

— Nous allons définir des choses à faire ou des situations à réaliser, que nous écrirons sur des petits bouts de papier et chacune notre tour nous ferons tirer un papier à l’un des soumis. Chaque papier définira le nom de celle de nous deux qui accomplira le gage avec la chienne qui aura tiré le papier. Qu’en penses-tu ? Répond jovialement Maîtresse Anne.

— Super idée ! Allons-y mettons nous au travail pour définir tout ça, réplique Maitresse Sandrine avec une voix trahissant son excitation.

— Pendant ce temps, vous, les salopes, vous allez vous mettre à quatre pattes, cul contre cul et on va vous mettre ce double gode. Vous n’aurez aucunement le droit de jouir, mais juste celui de vous exciter l’un l’autre en vous prenant le cul. Qu’en dis-tu Anne ?

— Hum, cool ton idée ! Préparons-les et mettons-les en position. Je vais chercher ce qu’il nous faut, s’exclame Maîtresse Anne en s’éloignant. Quelques instants plus tard, elle revient.

— Mettez vous côte à côte le cul en l’air, qu’on vous prépare, dit-elle

Sans sourciller, nous nous plaçons sur le canapé dans une position qui en étant assez humiliante, nous procure indubitablement une excitation. Etre ainsi exposé devant une inconnue fait éprouver tout de même une certaine gêne. Pourtant autant Marc que moi, nous prêtons au jeu. Chaque Maîtresse entame les préparatifs en commençant par un léchage gourmand de la rosette de son soumis, suivi d’une tendre lubrification rendue indispensable pour pouvoir vivre ce type d’aventure ; A marquer dans les annales:)

Quelques minutes plus tard, pendant que nos Maîtresses sont en grande conversation sur les gages et autres punitions qu’elles nous destinent, nous sommes à quatre pattes, cul contre cul, avec ce double gode enfoncé dans nos petits trous avides. Chaque mouvement que nous faisons à une conséquence pour l’autre. Au début nous tentons de rester immobiles, mais très vite, imperceptiblement nos bassins commencent à vouloir bouger malgré nous.

Soudain, Marc pousse un peu plus fort en arrière, ce qui m’enfonce le gode plus profond, me provoquant ainsi une sensation très agréable. Comme je ne suis pas égoïste, à mon tour je bouge pour lui faire ressentir la même chose. Sans comprendre ce qui nous arrive, nous enchaînons une valse de nos culs, plongeant à tour de rôle l’intrus dans nos fondements. Le temps s’écoule et plus nous jouons, plus notre excitation augmente. Nous entendons que nos maîtresses poursuivent avec beaucoup d’engagement la construction de notre futur jeu de punitions. Marc glisse sa main sous nos ventres, saisit mon sexe pendant que je prends aussi le sien. Le désir s’accroît dangereusement. Chaque coup de boutoir nous fait pousser un gémissement.

— Eh ! Les chiennes ! Calmez-vous un peu ! Sinon vous allez exploser ! Ils sont mignons nos deux soumis, ne trouves-tu pas ? Dit admirative Maîtresse Sandrine.

— Oui, c’est vrai ! J’adore mater des mecs qui se font du bien. Ça me fait mouiller tout ça, répond Anne.

— Faisons vite pour terminer nos gages et passons à la suite, j’ai hâte. Encore deux papiers et ça nous en fera cinq. A mon avis ça devrait suffire, ajoute Sandrine.

Rien que de songer qu’elles vont enfin s’occuper de nous, j’en éprouve une sensation délicieuse. Après ce traitement mutuel avec Marc, mon petit cul est bien ouvert. Je ne peux pas m’empêcher d’imaginer à quoi ressemble Maîtresse Sandrine. J’aime la tonalité de sa voix, mais il faut bien reconnaître qu’il est difficile d’imaginer les gens juste au son de leur voix.

— Allez, les petites salopes ! Passons aux choses sérieuses, déclare enjouée Maîtresse Sandrine.

Episode n°4 : Le premier gage

Elles s’approchent de nous. Marc et moi cessons nos mouvements et attendons la suite. Soudain, il pousse un cri de surprise, une main vient de claquer ses fesses. Aussitôt, je subis la même chose et comme lui je sursaute.

— Séparez-vous ! dit Maîtresse Anne tout en retirant délicatement le double gode de nos anus.

— Bon ! Par lequel allons-nous commencer ? Demande Sandrine.

— Honneur aux invités ! Donc Marc va être le premier servi, si j’ose dire, répond Maîtresse Anne en riant.

— Asseyez-vous correctement, retirez vos bandeaux et toi Marc tu vas tirer un papier au hasard, poursuit-elle.

Sans rien dire nous nous rasseyons sur le canapé. Je découvre enfin à quoi ressemblent nos invités. Marc, brun, d’une corpulence similaire à la mienne, a des yeux verts qui expriment une forme de douceur. Son visage est très agréable et charmeur. Assis près de moi, lui aussi m’observe. Nous nous sourions, une sorte de complicité nous unie déjà. Nos sexes ont perdu de leur superbe et au passage j’apprécie beaucoup la forme du sien.

Sandrine, belle femme blonde d’une quarantaine d’années, est vêtue d’une combinaison en lycra, moulant des formes plaisantes à regarder. Elle est chaussée, comme Anne, de chaussures à talons qui lui affinent les jambes. Ces dernières gainées par des bas auto-fixants lui confèrent vraiment une allure de femme dominatrice. Je regarde Anne, le fin tissu de son body laisse voir ses jolies formes de femme menue. Elle est encore plus désirable ainsi habillée. Toutes les deux discrètement maquillées forment un duo véritablement enchanteur.

Maîtresse Anne tend à Marc un saladier dans lequel se trouvent plusieurs papiers pliés. Il tire l’un des précieux sésames et lui rend en souriant. Elle s’empresse de le déplier pour le lire à haute voix :

« Pour avoir osé sucer la queue de ton partenaire or que nous ne te l’avions pas ordonné, tu vas recevoir une fessée avec le martinet. Dix coups te seront donnés par la Maîtresse de ton ami, pendant que tu seras à quatre pattes les fesses en l’air. L’autre chienne allongée sous toi, devra s’appliquer à te sucer pendant que tu subiras ta punition. Tu n’as pas le droit d’éjaculer sous peine d’une sanction plus sévère. »

Ça commence fort. Je me lève, et viens m’allonger sur le matelas installé pour l’occasion au milieu de la salle à manger. J’aperçois au passage le pied photo surmonté d’une caméra filmant tous nos ébats. Maîtresse Sandrine est en train d’ajuster le cadrage pour ne rien perdre de ce qui va suivre. Marc me rejoint et se place à quatre pattes au dessus de mon visage, offrant devant ma bouche sa queue ramollie. Maîtresse Anne saisit le martinet et se positionne derrière nous. J’embouche le sexe débandé de mon partenaire et commence à m’en délecter. Le premier coup retentit, Marc sursaute, le deuxième ne tarde pas à suivre et je sens déjà la queue de mon ami se gonfler. Visiblement, il aime être une chienne, c’est délicieux. Anne continue son ouvrage, au bruit que fait le martinet je devine qu’elle s’applique et opère de plus en plus fort. Marc appuyé sur ses coudes, plonge sa tête en avant et arrondit plus encore son petit cul pour mieux s’offrir. Les coups continuent de pleuvoir ce qui lui fait pousser des gémissements de contentement. Son sexe bande maintenant très dur, je mets tout mon savoir-faire pour le sucer avec application. Je le mouille bien, son membre glisse dans ma bouche. Je ressens les vibrations résultant de son excitation. Je sais que si je continue à aspirer son gland, il ne pourra pas tenir bien longtemps. Nous en sommes à sept coups de martinet et Marc est aux anges.

— Regarde Anne, comme elle bande, cette petite salope ! Dit Maîtresse Sandrine qui se masturbe sans vergogne, sans quitter le spectacle des yeux.

— Oui, il aime ça ! Il réagit comme mon soumis, c’est vraiment très excitant, j’adore ! Rétorque Anne.

La queue de Marc se met à trembler, il paraît lutter pour retenir son explosion, avec gourmandise je poursuis sans relâche ma fellation.

— Attends ! Je t’en supplie ! Me dit-il.

Sourd à sa demande, telle une petite femelle, je continue de le pomper. Le dernier coup de martinet vient de claquer ; Dix l’un derrière l’autre. Il se redresse rapidement, ne demandant pas son reste pour éviter la catastrophe d’une éjaculation. Je découvre ses fesses rosies. Anne s’est visiblement bien lâchée. Il est debout devant nous, la queue raide et un peu piteux de montrer l’ampleur du plaisir qu’il a pris pendant cette fessée. Il me regarde, je lui souris avec un regard plein de connivence.

— Superbe ! C’était vraiment excitant ! Je suis trempée, dit Sandrine d’une voix émue.

Elle ressort sa main de son string et tend ses doigts humides sous le nez de Marc pour qu’il les renifle et les lèche. Ce qu’il s’empresse de faire avec un plaisir non dissimulé.

— Bon ! Au tour de ta petite salope maintenant, dit-elle en me regardant dans les yeux.

Episode n°5 : Le deuxième gage

Maîtresse Sandrine me présente le saladier tout en affichant un sourire carnassier plein de sous-entendus. Marc revient s’asseoir près de moi sur le canapé, son sexe toujours dressé trahit son appétit et laisse augurer un grand moment de jouissance. Sans plus attendre, je tire un papier et le tend à Maîtresse Anne. Debout à coté de sa complice, sans me quitter du regard, elle déplie lentement le papillon. Ses yeux brillants ne laissent aucun doute sur son état d’excitation. Ses tétons érigés me font bien imaginer le degré d’hydrométrie qui doit régner dans sa petite culotte à cet instant.

— Alors, voyons ce qui t’attend ! Dit Maîtresse Anne, en dépliant le billet.

Elle lit à haute voix :

« Pour avoir désobéi à ta Maîtresse, tu vas devoir être notre objet sexuel à tous. La Maîtresse de ton partenaire va te préparer ton petit cul, de manière à ce qu’il soit bien ouvert. Puis, après t’avoir placé un godemichet, que tu conserveras bien fiché en toi, tu vas nous prouver que tu es une femelle soumise et offerte. Tu attendras que l’un d’entre nous te demande de venir lui lécher le sexe. Tu poursuivras la caresse jusqu’à ce qu’on t’ordonne de passer à un autre sexe. Tu n’auras pas le droit de jouir, jusqu’à ce qu’on t’y autorise, mais tu pourras continuer à te branler comme tu veux. »

— Viens t’installer à quatre pattes et montre moi ton petit trou, dit Maîtresse Sandrine.

Marc se relève pour me laisser sa place. Je m’agenouille sur le canapé, les mains appuyées sur le dossier, la tête légèrement tournée pour voir tout de même ce qui se passe derrière moi. J’offre mon postérieur sans pudeur. Debout à coté de Marc, Maîtresse Anne ne perd rien du spectacle, pendant que Maîtresse Sandrine saisit le flacon de lubrifiant resté sur la table et s’enduit les doigts d’une noix du liquide. Rapidement, sa main caresse ma partie charnue et se glisse dans mon sillon. Elle m’écarte les fesses et applique avec douceur le liquide transparent sur ma rondelle dévoilée aux yeux de tous. La sensation de fraîcheur me saisit et se transforme rapidement en plaisir. Avec deux doigts elle masse mon anus en augmentant à chaque fois la pression sur mon anneau. Je sens que mon intimité lui exprime un chaleureux message de bienvenue, en s’ouvrant lentement, en quémandant plus d’intrusion encore. Sûrement que mes pensées viennent d’être lues par Maîtresse Sandrine, car déjà un doigt fouineur s’aventure dans la chaleur de mon orifice. Un doux va-et-vient rotatif m’élargit délicieusement. Le rythme s’accélère pour mon plus grand plaisir. Je me concentre pour me détendre et je pousse fort pour faciliter l’entrée de ces visiteurs curieux. Maîtresse Anne me connait bien, aussi me tend elle un flacon de poppers ouvert. Je le prends et inspire une bouffée dans chaque narine. Rapidement la chaleur monte et me libère de mes dernières inhibitions. J’offre encore plus mon petit cul, je viens au devant des caresses prodiguées par Sandrine. Je pense à tous ces doigts qui me fouillent et me dilatent totalement.

— Quel beau cul tu as, ma petite salope ! Je sens que tu aimes ça, déclare-t-elle

— Oui, Maîtresse !

Encouragée par ma réponse, elle me pénètre plus profondément. Je suis incapable de savoir combien de doigts m’élargissent, mais c’est divin ! Le mouvement s’accélère, mon excitation est à son comble. Maîtresse Sandrine prend le gode, me l’enfonce doucement. La fraicheur du membre en latex est agréable, mon cul l’avale sans difficulté.

— Voilà, il est prêt, vas-y ! Lève-toi ! Dit Maîtresse Sandrine avec fierté.

— Qui veut se faire sucer ou lécher ? Ajoute-t-elle à la cantonade.

Tout en me mettant debout devant mes trois clients potentiels, Maîtresse Anne retire son string et s’installe confortablement sur le canapé. Elle place ses pieds sur le bord de l’assise, écarte ses jambes laissant ainsi exposée sa chatte délicieusement poilue. L’appel est clair. Je m’avance, m’agenouille et souffle mon haleine sur son minou offert. Je hume l’odeur suave et érotique de cette fleur d’amour. Je donne un rapide coup de langue, juste avec la pointe, sur ses lèvres charnues et humides. Elle frémit. Je lèche de haut en bas le coté de la première petite lèvre, puis sans attendre je refais la même chose sur la seconde. J’évite soigneusement de frôler son petit bouton d’amour. Je profite de l’odeur intense qu’exhale sa chatte trempée. Je prends ses deux grandes lèvres dans ma bouche et aspire tout son sexe. Sans trop serrer, je le pince avec mes dents comme pour l’essorer de son jus, tel un fruit mûr. Anne laisse échapper un soupir d’aise. Je glisse ma langue entre ses lèvres tout en poursuivant la succion de tout son sexe. Dans un mouvement lent et délicat, ma langue chemine tout le long de sa fente serrée. Je me régale du jus d’amour que je recueille. Je relâche son sexe et j’écarte les lèvres abondamment mouillées avec mes doigts. Je plonge ma langue dans son antre ruisselante et m’applique à aller le plus loin possible, tout en écopant sa cyprine pour la boire avec bonheur. Ma langue remonte vers son clitoris, le titille doucement. Rapidement je l’abandonne, tout en sachant la frustration que je lui fais subir. Je cale mes dents au dessus de son sexe et lape sa sève en agaçant sans relâche son pistil érigé. Je le presse, je l’aspire, parfaitement conscient des sensations qu’Anne éprouve. Depuis longtemps, je connais sa géographie et sais comment la rendre folle d’excitation pour l’aider à s’envoler. Je recule légèrement mon visage, et je crache un peu de salive sur sa chatte. Ce geste insolent amplifie son désir. Elle adore que je réveille ainsi ses envies de se sentir chienne. Je retourne à l’ouvrage, continue de la laper partout et surtout de rendre des hommages appuyés à son centre de plaisir. Je me branle avec vigueur.

— Vas-y ! Doigte-moi ! Dit-elle dans un souffle.

Je délaisse ma queue pour mouiller mon majeur et mon index avant de les placer à l’orée de son minou. Je titille, j’agace, tout en évitant de plonger mes doigts en elle. L’attente la rend folle d’envie. Sa grotte ruisselle. Dans un mouvement légèrement tournant, j’enfonce millimètre par millimètre mes deux doigts, j’encadre ce petit renflement situé à l’entrée de son vagin. Je presse délicatement cette zone tendre si érogène. Les pressions successives ne tardent pas à produire leur effet. La vulve d’Anne se contracte, ma langue s’agite sur son clitoris, mes doigts ont du mal à bouger tellement ils sont à l’étroit dans ce sexe tendu. Anne entonne un gémissement qui se transforme en un cri de jouissance. Sa chatte laisse échapper un jet de liqueur d’amour que je m’empresse de boire avec un plaisir sans égal.

— Ouah ! Quel pied ! Dit Maîtresse Anne complètement anéantie par son orgasme.

— J’en veux aussi ! Mais je vais déjà faire un petit tour par la case WC. Quand je reviens c’est mon tour ! S’exclame Maîtresse Sandrine.

Anne fait signe à Sandrine de s’approcher et lui murmure quelque chose à l’oreille. Marc et moi ne pouvons pas entendre, mais aux sourires complices qu’elles affichent, nous nous doutons qu’il s’agit encore d’une invention diabolique et vicieuse de la part d’Anne. Sandrine quitte la pièce. Maîtresse Anne me regarde et comprend immédiatement mon désir profond :

— Bon, allez vas-y ! Suce-le ! Fais le jouir ! Tu en meurs d’envie, me dit-elle en souriant.

Marc ne se le fait pas dire deux fois. Il s’installe, retire son string en dentelle, ne conserve que ses bas et s’affale sur le canapé. Je viens m’agenouiller au dessus de lui et m’empare de son membre bien revigoré depuis le spectacle que nous venons de lui offrir. Je place ma main sous ses boules que j’enserre doucement. Je lèche sa colonne dressée et remonte vers son gland déjà humide de désir. Je recueille son jus et enfonce délicatement le bout de ma langue dans son méat. De mon autre main, je le masturbe lentement. Quel plaisir de sentir une queue dans ma bouche. Je la mouille avec tendresse pour augmenter les sensations de mon partenaire. Je passe ma langue partout sur son gland, je l’aspire. J’accompagne ces caresses d’un mouvement de va-et-vient tout en serrant plus fort son membre frémissant. Je glisse ma main sur ma queue et recommence à me masturber. Mes pensées sont folles, floues, je me laisse divaguer. La sensation que j’éprouve est un véritable délice. Je m’applique et déjà je sens que Marc est au bord du paroxysme.

Je continue avec ardeur. Je veux cette victoire et j’attends impatient le moment où son jus va venir envahir ma bouche. Je ressors sa queue, le branle avec vigueur et l’embouche à nouveau. Je le pompe en mettant tout mon cur et mon savoir-faire. J’aspire sa sève. Après quelques instants de ce traitement Marc s’abandonne. "Je vais jouir !" dit-il au moment où un orgasme intense l’emporte. Sa queue tremble, son gland se dilate et je sens dans ma bouche les jets puissants m’inonder. Je goûte son sperme chaud et épais. Son éjaculation est si abondante que je dois avaler si je ne veux pas que tout déborde. Je me délecte tel un fin gourmet. Lui continue de crier son plaisir et de se vider en moi. Jusqu’à la dernière goutte, je le bois. Je lui nettoie son sexe avec douceur avant de me relever. Je m’aperçois qu’entre temps Maîtresse Sandrine est revenue.

Elle est là debout derrière moi et n’a visiblement rien laissé échapper de la scène. En silence, Marc lui abandonne sa place. Elle s’installe confortablement et comme Anne juste avant, positionne ses pieds sur le bord du canapé, tout en écartant largement ses jambes. Je m’agenouille, approche mon visage de sa toison blonde, bouclée et drue. Quelques perles de rosée sont visibles sur ses poils, je devine maintenant ce que Maîtresse Anne lui a glissé à l’oreille tout à l’heure. La petite vicieuse ne s’est pas essuyée après son pipi réparateur. Hum, quelle délicate attention ! Je m’empresse de passer ma langue et de venir sentir sans vergogne ce petit cadeau si gentiment offert. Mon excitation est au point de rupture, aussi je chasse de mon esprit toutes les pensées qui pourraient me provoquer une éjaculation si mal venue à cet instant.

Je m’active et commence un ballet de caresses sur cette si belle chatte mouillée. Ses lèvres sont plus grosses que celles d’Anne. Son odeur est intense, ce doux mélange de pipi et de jus d’amour m’enivre. Je lape, je titille, j’aspire et sans relâche j’attise le désir de cette Maîtresse gourmande. Je lui relève les jambes, je viens passer ma langue sur sa petite rosette fripée et darde la pointe de ma langue en elle. Sandrine m’encourage par un "Hum ! Oui …", je poursuis ma canaillerie encore un peu, puis je repose ses pieds sur le bord pour à nouveau enfoncer ma langue dans sa grotte de plaisir. Elle mouille, que dis-je elle ruisselle ! Je torture et je presse son petit clitoris proéminent. Je l’aspire, le mordille délicatement. Les petits cris que Sandrine pousse augmentent encore plus mon envie de jouir. Elle me saisit la tête et me plaque contre sa chatte. Je ne peux plus respirer, il va falloir qu’elle jouisse vite sinon elle va m’étouffer. J’accélère le mouvement, ma langue commence à me faire mal tellement la pression est forte. Sans mollir je continue, lorsque soudain Sandrine pousse un cri. Elle jouit ! Un énorme jet vient s’écraser sur mon visage, suivi par plusieurs autres tous autant abondants. Elle me couvre littéralement de son jus. Je cherche à recueillir à la volée cette liqueur d’amour pour m’en régaler. L’orgasme se prolonge, elle se masturbe, se martyrise le clitoris tout en se tapotant le pubis. D’autres jets giclent, m’inondent le visage et le torse. "Ouah ! Quel bel orgasme !" me dis-je. Son corps se détend, elle s’affaisse repue, satisfaite maintenant que toutes ses tensions se sont relâchées.

Le visage et le torse trempés, je me relève. Ma queue est dressée. Je me masturbe en me tournant vers tous mes partenaires. Je passe ma main sous mes couilles. Je les regarde droit dans les yeux avec insolence. Le plaisir de m’exhiber ainsi ne tarde pas à produire la jouissance tant attendue. J’explose. Mon sperme atterrit sur les cuisses de Maîtresse Sandrine. Plusieurs secousses se succèdent, me font trembler de tout mon être. Les jets n’en finissent plus de gicler. Anéanti, détruit et fatigué, je retire le gode toujours planté dans mes fesses et me laisse tomber sur le canapé.

— Beau spectacle ! Exulte Maîtresse Anne.

— Et si nous faisions une petite pause ? Propose Maîtresse Sandrine.

Episode n°6 : Le troisième gage

Anne nous invite à nous approcher de la grande table de la salle à manger où elle installe rapidement, différents plats et raviers contenant les victuailles qui vont rassasier nos estomacs creusés par l’effort. Tout en avalant un toast sans attendre, Sandrine félicite Anne pour cette diversité appétissante. Avec Marc, nous échangeons quelques réflexions sur le plaisir que nous venons de prendre et rejoignons nos deux complices pour partager cette collation bien méritée.

Vers minuit, après ce repas frugal où nous avons échangé à bâton rompu sur divers sujets.

— Avant de reprendre nos jeux, une petite coupe de champagne vous ferait-elle plaisir ? Propose Maîtresse Anne.

D’une voix unanime nous acquiesçons sans hésiter. Rapidement, Marc assure le service, nous remet à chacun nos verres pendant qu’Anne le regarde avec des yeux qui en disent long sur ses pensées. Après deux verres :

— Bon ! Et si nous reprenions où nous en étions ? Demande Anne, reprenant son rôle de Maîtresse avec un plaisir non feint.

— Oui ! Anne, il nous reste encore des papiers à lire. En plus, le meilleur est à venir, rétorque Sandrine avec un large sourire.

Marc et moi nous lançons un regard complice. Sans nous concerter, nous retournons nous installer docilement sur le canapé, attentifs à la suite des événements. Toujours nus, nos étendards sont en berne, mais nous savons bien que le lever des couleurs va bientôt se faire.

— Allez Marc ! A toi de choisir la prochaine punition ? Dit Maîtresse Anne en lui montrant le saladier.

Il prend un papier parmi les trois qui restent, le tend à Anne. Toujours avec cérémonie, elle déplie le billet :

— Ah ! Tu viens de tirer le gage surprise. Nous avons prévu un gage qui se déroulera demain. Donc, nous le laissons de coté pour demain. Vas-y tire un autre papier !

Marc replonge la main dans le saladier, choisit un billet parmi des deux restants. Anne lit le message à haute voix :

« Pour avoir désobéi à vos Maîtresses, l’un d’entre vous va s’offrir et devenir notre petite femelle docile. L’une de nous va le sodomiser. Le soumis devra montrer et exprimer sa sensualité tout au long de la pénétration. L’autre soumis doit lui préparer l’anus afin qu’il puisse être pris directement. »

Sans plus attendre, Anne ouvre un carton, sort un gode muni d’une ceinture et le donne à Sandrine. Il s’agit d’une culotte en latex noir où deux appendices de bonnes tailles sont fixés. L’un devant la culotte, l’autre à l’intérieur. Elle saisit un pot de lubrifiant et des gants latex, puis les remet à Marc :

— Voici ce dont vous avez besoin !

— Bon, qui s’y colle ? Demande-t-il un peu gêné.

Devant ses hésitations :

— Ok, je vais me sacrifier ! Dis-je avec appétit et malice en le gratifiant d’un sourire.

— Alors mets-toi en position, l’ami ! Répond Marc

Je m’agenouille sur le matelas, bascule mon buste en avant et m’installe confortablement les fesses bien en l’air. Marc s’agenouille derrière moi. Aussitôt, je sens une chaleur sur ma rondelle pendant que deux mains m’écartent les fesses. Sa langue chemine dans mon sillon et s’attarde sur mon anus. Il insiste, fait pointer sa langue dans mon illet. J’aime me sentir ainsi exposé et caressé. Je relève la tête. Chacune debout d’un coté du matelas, les deux Maîtresses profitent de la scène que nous offrons. Marc prolonge cet anulingus pour mon plus grand bonheur. Mon sexe retrouve sa vigueur et mes pensées se focalisent sur le moment où il va m’ouvrir en douceur. Une sensation de fraîcheur vient remplacer la chaleur humide de la langue de Marc. Il étale avec délicatesse le lubrifiant et débute un massage délicieux. Au fil des rotations agréables, mon orifice devient plus sociable et n’attend que le premier doigt de Marc pour s’ouvrir aux autres. Mon vu est vite récompensé. Marc enfonce tout doucement une phalange, puis devant la souplesse de son hôte, entreprend une visite approfondie des lieux. Cette intrusion me fait frissonner. Je cherche à me détendre plus encore et je pousse pour faciliter l’uvre de Marc. Il s’en rend compte et vient flatter mon sexe érigé, tout en poursuivant la pénétration de son doigt. Le rythme de la rotation augmente et mon petit trou est complètement ouvert. Marc profite pour enfoncer d’autres doigts qui se frayent sans peine un passage. Je rêve déjà de sentir toute sa main en moi. Je sais bien que je ne peux pas recevoir autant, faute d’entraînement, mais le désir d’y parvenir est très intense.

— Maîtresse ! Il est prêt, dit-il en abandonnant mon petit cul.

Comme hypnotisé, je regarde Maîtresse Sandrine enfiler la culotte en latex noir. Elle s’introduit, sans difficulté dans le vagin, le membre situé à l’intérieur de l’accessoire et s’équipe pour se transformer provisoirement en homme. Sans me quitter des yeux, elle saisit le gode qui darde devant elle, et fait mine de le masturber. Son regard brillant lance des éclairs de désir. Elle est habitée par son personnage de dominatrice ; Je sais que je vais me faire baiser et cette idée m’enflamme. Elle passe derrière moi, s’agenouille, très vite le membre effleure mon cul offert. Les mains de Sandrine écartent mes fesses pendant que le bout du gode cherche son chemin vers mon anus. Elle s’enfonce doucement, me laisse le temps de m’habituer, puis inexorablement plonge dans mes entrailles. Parvenue au fond de moi, je sens la chaleur de ses cuisses contre mes fesses. Elle reste immobile, comme pour montrer que les lieux lui appartiennent. Lentement, elle se retire, puis revient dans mon anus béant. Elle renouvelle cela plusieurs fois pour mon plus grand bonheur et finalement sort totalement de moi. J’en éprouve une sensation de vide, d’abandon : "Non, encore …", dis-je sans réfléchir, sans penser à l’image que je renvoie à cet instant en me laissant ainsi aller.

— Quelle chienne ! Dit-elle

— Tu aimes ça salope ! Avoue-le ! Reprend-elle

Devant mon obstination à ne pas répondre, elle me claque les fesses et m’ordonne de lui répondre.

— Alors ! Dis que tu aimes être une salope ! Dis que tu aimes te faire baiser comme une chienne !

— Oui, Maîtresse !

— Mieux que ça !

Comme un automate j’avoue ce qui sur l’instant pour moi est essentiel et fondamental.

— Oui, Maîtresse, j’aime être une salope! Baisez-moi !

Ma réponse renforce son ardeur et elle vient buter contre mes fesses, ressortant et replongeant sans retenue le membre de caoutchouc dans mon anus de plus en plus gourmand. Chaque mouvement, chaque poussée me procure un plaisir intense. J’imagine que la partie du gode qui occupe sa vulve ne fait qu’attiser son envie de me défoncer. Je rouvre les yeux, que j’avais fermés sans m’en rendre compte, et je rencontre le regard d’Anne. Son excitation est si forte que j’ai l’impression de la lire dans ses yeux. Nous ne nous lâchons pas de la prunelle, pendant que Maîtresse Sandrine me laboure les fesses avec frénésie. Chaque coup de boutoir me fait lâcher un "Han !". Je ne sais plus si c’est de douleur ou de plaisir, tout s’entremêle. Le mouvement s’accélère. Anne n’y tient plus, elle s’assoit par terre, se glisse devant moi, écarte ses jambes pour me livrer sa chatte. Avec empressement je me jette sur ce fruit si mignon et si juteux. Je le lèche avec délice. Sa chatte est trempée, chaude et libère un divin flot de cyprine. Je la bois comme un assoiffé. Je lape sa liqueur, je m’en repais. Son excitation est si forte qu’elle finit par lâcher un jet de pipi. Ce don si soudain m’attise encore plus.

"Oui ! Vas-y ! Donne-moi tout !" Dis-je comme dans un état second. Le pilonnage qui se poursuit me rapproche de la jouissance. L’idée qu’Anne vienne m’arroser de son pipi envahit progressivement mon esprit. Je la regarde et mes yeux la supplient. D’un souhait cela devient un vu, une exigence, une condition de survie. Comprenant certainement où j’en suis, Anne parvient enfin à se lâcher. Elle m’arrose le visage, je lèche son minou inondé, je bois sans retenue son élixir chaud. Je ne suis plus moi-même, je suis dans un autre monde. Un flash blanc m’amène au bord de la perte de connaissance, mon corps se tend, ma queue explose et je sens le sperme se projeter sous moi. Je me vide, j’ai l’impression que cela ne va plus cesser. J’entends les cris de jouissance de Maîtresse Sandrine pendant qu’elle me défonce sans discontinuer. Elle explose et libère toutes ses énergies m’assenant un dernier coup violent dans les fesses. Le monde devient silence, plus rien n’existe, juste cette sensation intense qui se prolonge ; C’est la petite mort. Devenu autiste, étranger à mon environnement, doucement je me reconnecte. Je regarde Marc devant moi qui se masturbe comme un fou. Sa queue est raide et turgescente. Il est fasciné par le spectacle et semble perdre tout contrôle. Il va jouir, je le sais. Il s’approche de la bouche d’Anne. Elle est encore sous le choc de son orgasme et l’embouche sans réfléchir. Marc est pris de tremblements et crie sa jouissance. Il se déverse tout en titubant devant Anne. Elle l’avale et comme prise de folie ne lâche plus cette corne d’abondance qui noie sa bouche de ses sucs de vie. Maîtresse Sandrine ressort doucement son membre d’homme et retire aussitôt la culotte de latex. Elle se tourne vers Marc.

— Viens me lécher ! Lui ordonne-t-elle

Sandrine s’allonge sur le matelas, pendant que Marc à peine remis de son éjaculation, s’agenouille et se cale au centre de ses jambes largement écartées. Les fesses en l’air, Il nous montre tout de son intimité : Son anneau ridé, ses bourses poilues, pendantes, qui semblent nous narguer et nous inviter. Il s’affaire sur le sexe détrempé de Sandrine. Langoureusement celle-ci ondule sous la caresse. Marc lui saisit les hanches pour mieux retenir sa chatte contre sa bouche. Il la dévore littéralement. Il cherche à mettre sa langue au plus profond de sa fournaise. Nous voyons la verge érigée du soumis balloter au rythme des coups de langue qu’il donne sans compter. La scène est magnifique de sensualité et de violence d’amour. Maîtresse Anne regarde fascinée son amie, s’approche et s’agenouille à son tour. Elle saisit l’un des tétons durcis de Sandrine, le caresse, le pince, passe sa main sur les deux globes appétissants pendant que son amie gémit de plaisir. Marc s’active de plus en plus. Son menton est luisant de mouille. Il se délecte et met du cur à l’ouvrage. Sandrine a les yeux fermés et paraît nous avoir quittés. Elle semble vivre un moment d’extase où plus rien n’a d’importance en dehors des sensations électriques que lui renvoie son corps abandonné aux caresses.

Je m’avance à mon tour pour me mettre derrière Marc. Son petit cul m’attire comme un aimant. Je m’agenouille et lui écarte les fesses pour lui lécher sa rondelle si avenante. J’enfonce ma langue en lui, tout en caressant sa queue raidie. Je le branle doucement. Il tortille ses fesses comme pour m’inciter à aller plus loin encore. Je mouille mes doigts et commence à lui masser son anneau vorace. Son petit trou est si souple, si détendu que je veux l’ouvrir plus encore. J’attrape un gant de latex et le flacon de lubrifiant restés à terre près du matelas. J’enfile le gant tant bien que mal et verse une bonne dose de gel pour l’enduire copieusement. Le bout de mes doigts rejoint cette petite antre délicieusement offerte pour débuter une visite de son conduit à plaisir. Je suis surpris de la facilité avec laquelle mes doigts entrent en lui. Rapidement, trois d’entre eux le fouillent. Je les tourne doucement tout en regardant Anne poursuivre ses caresses sur la poitrine gonflée de son amie. Anne semble prendre un réel plaisir à caresser sa première femme. Cette vision attise encore plus mes sens. Je me concentre à nouveau sur l’anus délicat et béant de Marc. Je reprends une noix de lubrifiant et reviens l’ouvrir plus encore. Quatre doigts maintenant sont enfouis dans son petit cul adorable. Je prends un vrai plaisir à le défoncer ainsi. Ma main tourne lentement, je mets mes doigts en pointe et j’essaye de tous les entrer en lui. Je fantasme sur le moment où toute ma main va venir s’engouffrer dans son cul de chienne. Il me faut peu de temps pour enfin y parvenir. Sa rondelle se distant et d’un seul coup ma main entière est avalée. Quel délice ! Quel plaisir ! Marc gémit tout en poursuivant le léchage du sexe de Sandrine. Les fesses de Marc viennent au devant de ma main, comme pour demander plus. Je m’applique à le fister et ressens les vibrations de tout son corps. Il prend un pied d’enfer, c’est évident. Je prolonge cette caresse, lorsque subitement son corps se tend, et sa queue se met à couler. Son sperme ruisselle mais ne gicle pas. Il est entrain de jouir de sa prostate. Il gémit sans pour autant cesser de lécher sa femme sur le point, elle aussi, d’exploser. Je lève les yeux et je rencontre le regard d’Anne, qui comme hallucinée martyrise les seins de son amie, tout en se masturbant avec frénésie.

Soudain, Sandrine pousse un cri strident, Anne en profite pour s’envoler à son tour. Nos deux maîtresses grimpent au septième ciel en même temps. Leurs cris et leurs gémissements rauques sont de véritables enchantements. Je ressors délicatement ma main de l’anus de Marc. Tous silencieux, ils prolongent égoïstement leur orgasme. Ils cuvent, satisfaits par cette électrocution. Je me mets debout et les regarde avec tendresse. Qu’ils sont beaux tous ainsi repus.

Maîtresse Sandrine est la première à se ressaisir :

— Je crois que nous avons un peu aménagé la punition, dit-elle en riant.

Nous nous regardons tous et éclatons de rire.

— Oui, mais qu’est-ce que c’était bon, répond Marc avec un plaisir évident.

Episode n°7 : Le quatrième gage

Une heure du matin, reprenant doucement nos esprits, nous sommes tous assis sur le canapé. Les regards sont troubles, les cernes commencent à se dessiner sous les yeux. Chacun plongé dans ses propres pensées prolonge intérieurement ces moments d’extase. Maîtresse Anne rompt le silence :

— Que diriez-vous d’une petite toilette pour nous redonner un peu d’énergie ?

— Moi je commence à sentir le chacal ! Que dis-je les chacaux ! Reprend-elle en éclatant de rire.

Anne me regarde droit dans les yeux, elle connaît l’effet immédiat que l’odeur de sa transpiration a sur ma libido. Un désir puissant de venir lui renifler les aisselles s’insinue instantanément dans mon esprit, comme un rêve obsédant, je m’imagine déjà profiter de cet arôme aphrodisiaque. Elle le lit dans mes pensées, elle se lève, vient se placer à coté de moi, lève son bras et met sous mon nez son aisselle humide.

— Que fais-tu Anne ? Demande Sandrine étonnée.

— Ma petite chienne adore me sentir sous les bras ! Rien que de le faire, ça la fait bander. Et plus mon odeur est intense, plus elle est excitée, dit Anne tout en plaquant son dessous de bras sur mon visage.

— Vas-y, ma petite salope, respire-moi ! Me dit-elle avec tendresse.

Trop heureux qu’elle m’ait compris, j’inspire très fortement son odeur naturelle me laissant totalement envahir par cette fragrance. Je sais que l’effet intense que cela produit sur mes sens est amplifié au bout de deux ou trois inhalations. Tel un asthmatique je prends ma Ventoline d’amour, je renouvelle le traitement plusieurs fois, comme si ma vie en dépendait. Rapidement, ma queue se redresse et mon esprit s’embrume. Que j’aime cette odeur ! J’ai découvert par hasard ce phénomène lors de nos ébats amoureux. La première fois, j’en fus très surpris, surtout que je suis très sensible aux odeurs et de ce fait très sélectif. Pourtant j’ai bien du me rendre à l’évidence, sa transpiration enflamme systématiquement mes sens. Depuis que j’ai dévoilé cela à Anne, nous ne manquons jamais de profiter de ces instants si érotiques. Elle adore me voir prendre du plaisir et m’exciter de son intimité. Sa sueur dégage une odeur discrète et terriblement enivrante. Pendant que je poursuis sans relâche mes inspirations profondes, Maîtresse Sandrine assise près de moi, saisit ma queue et me masturbe doucement. Mon sexe palpite et mon désir augmente de plus en plus.

— Hum, c’est vrai que ça a de l’effet ! Dit Maîtresse Sandrine en souriant.

— Et toi Marc, est-ce que tu aimes ça aussi ? Tu ne m’en as jamais parlé ? Reprend Sandrine.

— Oui, moi aussi j’aime te respirer pendant que nous faisons l’amour.

— Pourquoi ne me l’as-tu pas avoué ? Je trouve ça très bandant, pourtant ! Ajoute Sandrine un peu déçue.

— Je craignais de te choquer. J’en avais un peu honte, je le reconnais, dit Marc très gêné.

— Allez, viens près de moi ! Viens me renifler ! Profite de mes odeurs ! En plus tu ne vas pas être déçu ! Dit Sandrine en riant.

Sans plus attendre, Marc vient se placer lui aussi contre l’aisselle de sa Maîtresse et entame à son tour une inhalation d’amour. La caméra que nous avons rechargée lors du repas, continue de nous filmer. Je me dis que cette scène remplie d’érotisme sera un régal à revoir. Dommage que les caméscopes ne puissent pas aussi enregistrer les odeurs, sinon je pense que je regarderais en boucle ce type de film. Tout en continuant nos inspirations profondes, Marc et moi développons vraiment une trique d’enfer. Sandrine poursuit la lente masturbation de ma bite et Anne, assise près de Marc, commence à son tour à lui masturber le sexe tout aussi érigé que le mien.

— Si nous continuons à les branler comme ça, ils vont finir par nous cracher leur jus. Il y a peut être mieux à faire, non ? Dit Maîtresse Anne avec un large sourire.

— Oui, je le pense aussi, terminons le dernier gage ! s’exclame Maîtresse Sandrine.

Les deux femmes abandonnent aussitôt nos deux vits frémissants. Comme deux pantins nous restons muets, Marc et moi. Nous regardons chacun notre queue bandée avant que nos yeux se rencontrent. Marc me sourit en affichant clairement sa déception. Dire que je suis déçu aussi est un peu faible, je suis très déçu. Je lui rends son sourire pendant que Maîtresse Anne s’empare du saladier et le tend à Marc.

— Maîtresse ! C’est déjà moi qui ai tiré le dernier gage ? Dit Marc avec précaution.

— Oui, mais c’est ton complice qui l’a réalisé à ta place tout à l’heure, donc à toi de tirer ! Ordonne Anne sur un ton péremptoire.

Sans broncher, Marc prend le dernier papier, le remet à Maîtresse Anne qui après l’avoir déplié, nous le lit à haute voix :

« Pour avoir désobéi à vos Maîtresses, vous allez devoir nous faire un massage à chacune. Vous devrez déployer tout votre savoir-faire pour nous permettre d’être détendues et délassées. Lorsque nous vous le dirons, vous devrez nous baiser en levrette à tour de rôle, jusqu’à ce que nous jouissions intensément. »

L’idée me séduit tout de suite. Enfin, nous allons profiter de leurs petites chattes adorables et qui sait peut être aussi de leurs jolies rosettes, du moins je l’espère ! Maîtresse Anne prend sur la table deux bougies de massage, allume la mèche de la première afin d’en faire fondre la cire. Elle se met totalement nue, s’allonge sur le ventre. Marc et moi admirons son dos et ses jolies fesses exposées. Après avoir soufflé la bougie, et patienté quelques instants pour que la cire revienne à une température acceptable, Marc teste du bout du doigt la chaleur de la cire. Il me regarde en me faisant un signe d’acquiescement. Nous pouvons débuter notre ouvrage. Je prélève un peu du précieux liquide et m’enduis les deux mains en les frottant l’une contre l’autre. Je m’agenouille à coté du corps lascif d’Anne, pendant que Marc lui aussi huile ses mains. Il se place de l’autre coté à genoux. Sandrine s’est installée confortablement sur le canapé pour suivre avec attention la suite des événements.

En premier j’enfourche le dos d’Anne, mes deux mains courent sur ses épaules, caressent doucement ce corps offert. Avec de lents mouvements partant du haut des épaules, allant vers le bas du dos, j’applique l’huile chaude et aromatisée. Anne exprime un soupir d’aise. Mes doigts appuient sur ses muscles pour les décharger de leurs tensions. Tout en tournant, je descends vers ses fesses et masse ses lombaires. Anne gémit à voix basse, montrant le plaisir qu’elle éprouve sous la caresse. Marc prend la cuisse qui se présente devant lui et commence à la pétrir avec douceur. Il remonte lentement en pressant délicatement chaque endroit. Il s’attarde sur le haut de la cuisse pour torturer délicieusement le quadriceps, comme s’il pétrissait une pâte à tarte, il masse toute la surface, ne laissant aucune zone ignorée. De mon coté, j’enserre les flancs du dos, remonte mes mains chaudes sur toute la longueur. Nous poursuivons pendant de longues minutes le pétrissage de tous les muscles d’Anne. Je viens me replacer sur le coté et Marc prend ma place. Je reprends une noix de cire et m’active maintenant à masser l’autre cuisse. Marc s’est positionné à cheval dans l’autre sens et fait face aux fesses d’Anne. Il masse à son tour le dos déjà bien enduit de cire.

L’odeur qui embaume la pièce est agréable et vient compléter harmonieusement les senteurs de stupre emmagasinées tout au long de nos échanges amoureux. Tous nos corps exhalent l’odeur du sexe.

Nous poursuivons notre tâche longuement, sans faiblir, ni rechigner à l’ouvrage. Les gémissements d’Anne sont autant de récompenses pour nous. Nos queues sont raides à nouveau. J’imagine que comme moi Marc fantasme déjà sur le moment où nous entrerons dans les chattes chaudes et poisseuses d’excitation de nos femmes. Marc s’attarde de plus en plus sur les fesses que lui offre Anne. Il reprend de la cire et enduit abondamment les deux parties charnues, en laissant glisser ses doigts dans la raie. Tout en continuant de masser la cuisse d’Anne, je regarde les mains de Marc s’aventurer et devenir de plus en plus audacieuses. Il nous montre à tous le petit anus brun de ma Maîtresse. Marmonnant des choses à voix basse d’une façon totalement incompréhensible, Anne semble encourager l’exploration vicieuse entreprise par mon complice. Il n’en faut pas plus pour qu’il ose appuyer le bout de son index sur ce joli orifice au goût d’interdit. Il tourne doucement pour ne pas effaroucher la propriétaire, tout en enfonçant progressivement la première phalange. Le mouvement de rotation augmente la souplesse et élargit inexorablement l’ouverture privée.

Je reste fasciné par cette scène si érotique et je

Related posts

To be or not to be – Chapitre 6

historiesexe

Mélanie, étudiante à Bordeaux – Chapitre 41

historiesexe

Le retour – Chapitre 2

historiesexe

Laissez un commentaire

Ce site Web utilise des cookies pour améliorer votre expérience. Nous supposerons que cela vous convient, mais vous pouvez vous désinscrire si vous le souhaitez. J'accepte .