Une fois par mois, madame Duvernois mère se dépense sans compter dans le quartier, pour permettre aux défavorisés de manger à leur faim, ayant ’’inventé’’ avant l’heure, le don de nourriture quêté à la sortie des épiceries et autres magasins d’alimentation, dons qu’elle redistribuait aux vrais nécessiteux.
Pour ’’alléger’’ le système de distribution, elle fait venir les gens, sortant les denrées d’un réduit aménagé dans la cour de son immeuble.
Adolescente, sa fille Caroline venait l’aider, madame Duvernois pensait qu’elle prendrait sa suite, il ne pouvait pas en être autrement.
Madame Duvernois est une ’’maitresse femme’’, par son gabarit d’abord, et par sa façon de mener ses affaires, tout le monde sait que dans son ménage, c’est elle qui ’’porte le pantalon’’.
Monsieur Duvernois n’est pas un homme soumis loin de là, mais il semble bien s’accommoder de l’omniprésence de sa femme qui régente tout.
Il voue une admiration sans borne à sa fille Caroline depuis l’obtention de son bac avec mention l’année de ses 17 ans.
Caroline tient de sa mère, à 18 ans, elle est plus grande que toutes les filles de son âge, et surtout mieux ’’finie’’ comme dit son père, la nature l’ayant dotée d’une poitrine de rêve, des seins en obus avec des tétons saillants en permanence, une taille bien marquée et une paire de fesses à damner tous les saints.
Caroline accompagnait toujours sa mère lorsqu’elle rendait visite aux nouveaux pauvres, se trouvant ainsi confrontée à la misère ’’pour que tu saches ce que c’est’’ lui disait elle.
Un jour, madame Duvernois s’est foulé la cheville en mettant le pied dans un trou, impossible de faire ses visites, c’est Caroline quelque peu aguerrie qui s’en est chargé, sa mère lui ayant donné des adresses précises.
Caroline se déplace à vélo sans trop se soucier de la longueur de ses jupes qui dévoilent plus ou moins ses cuisses et même un peu plus haut dans certains cas.
Pour son premier jour de visite seule, elle n’avait que trois familles ’’à voir’’, simple formalité pensait elle.
Les deux premières familles étaient, sans aucun doute possible, défavorisées et ’’correspondaient’’ parfaitement aux critères de sélection, leurs fiches furent vite remplies, la troisième visite fit douter Caroline.
Ayant changé de quartier, la maison où elle se rendait n’avait plus rien à voir avec les taudis d’où elle sortait, la femme qui vint lui ouvrir était souriante et bien habillée.
-Entrez mademoiselle, je suppose que vous êtes la fille de Simone ?
Le fait qu’elle donne le prénom de sa mère la fit tiquer, c’était toujours du : ’’madame Duvernois’’, avec déférence.
-Heu. Oui, je suis Caroline.
-Entrez Caroline, je suis Sophie. Assoyez vous, le thé est prêt.
-Excusez moi, mais je pense que vous devez vous tromper, je ne suis pas venue boire le thé.
-Vous n’aimez pas le thé ?
-Si, mais.
Sur une table basse, entre deux superbes fauteuils en cuir souple, un plateau est chargé d’une magnifique théière et son sucrier assorti, d’une paire de tasses et sous tasses du même service, des cuillers en métal doré, et d’une bouteille d’armagnac dont elle reconnut immédiatement la marque.
-Nous avons appris pour la cheville de votre mère.
-Ce n’est rien, elle sera sur pieds la semaine prochaine.
Tout dans cette maison respire l’opulence, après avoir jeté un coup d’oil circulaire, Caroline se demande ce qu’elle fait là.
La femme sert le thé, approche une assiette de petits gâteaux venant de chez un grand pâtissier réputé pour la qualité de ses produits mais pas pour les prix qui atteignent des sommets.
-Servez vous, votre mère les adore.
La femme, assise face à Caroline, boit son thé en tenant sa tasse le petit doigt relevé puis là repose en se penchant, le haut de sa robe ’’baille’’ un peu et dévoile une belle poitrine libre de tout soutien, Caroline regarde mais n’y voit rien d’anormal.
En relevant le buste, la femme regarde Caroline dans les yeux en souriant puis écarte lentement les genoux en prenant un petit four, elle lui offre une vue imprenable sur sa fente que rien ne cache, Caroline détourne son regard, pensant que la femme ne se rend pas compte de ce qu’elle fait.
-Alors comme ça, c’est vous qui allez prendre la suite de votre maman ?
-Tant que je le pourrais, mais comme je me destine aux grandes écoles, je devrais quitter la ville, dit elle de plus en plus étonnée. Excusez-moi mais j’ai l’impression que vous ne correspondez pas.
-Aux gens que vous visitez habituellement ?
-Effectivement.
-Vous avez raison, mais votre mère ne vient pas ici pour ça.
-Puis-je savoir pourquoi elle vient, alors ?
-Pour se détendre mademoiselle, uniquement pour se détendre.
-Qu’entendez vous par là ?
-Votre mère est très occupée, ça vous le savez, les moments de détente sont rares dans le commence, ici, elle vient. comment dire. prendre un peu de bon temps. Après le thé, elle boit un peu de cet armagnac et se met à l’aise. Vous reconnaissez la bouteille, je suppose.
-Oui c’est la marque préférée de mon père.
-Et de votre mère.
-Je n’ai jamais vue ma mère boire la moindre goutte d’alcool.
-Chez vous peut être mais ici.
-Ma mère vient ici pour boire ?
-Entre autre, mais elle ne fait pas que ça, rassurez vous.
-Si vous me disiez ce que ma mère vient faire chez vous, nous gagnerions du temps.
-Vous êtes pressée ?
-Non. Mais j’aimerais bien savoir.
-Caroline, vous permettez que je vous appelle Caroline, appelez moi Sophie. Quand je dis que votre mère vient se détendre, c’est dans tous les sens du terme mais pour ça il faut se mettre à l’aise et votre mère enlève le superflu.
-Quel superflu ?
-Elle se déshabille si vous préférez.
-Ma mère se met nue, ici, devant vous ?
-Oui Caroline, et vous pouvez en faire autant si vous le désirez.
-Je tombe des nues, vous êtes sure que c’est de ma mère dont vous parlez ?
-Absolument Caroline ! Je puis même vous dire que votre mère possède un gros grain de beauté en bas du dos, juste au dessus de la raie, vous l’avez déjà vu, n’est-ce pas ?
-Bien sur que je l’ai vu, nous allons à la mer, vous pouvez l’y avoir vu aussi.
-Caroline, s’il vous plait. Je vous sens incrédule.
-Je le suis Sophie, mettez vous à ma place.
-Quelques photos vous convaincraient ?
-Heu. Vous avez des photos de ma mère ?
-Oh oui ! D’ailleurs les voici, dit-elle en attrapant un gros album. Ne vous attendez pas à voir des photos de famille, mais puisque vous m’y obligez.
Elle ouvre l’album, cherche en feuilletant et le tend ouvert à Caroline, les deux pages sont pleines de photos avec ’’madame Duvernois’’ en gros plan sur la plupart.
-C’est bien votre maman n’est ce pas ?
-Heu. Oui. Mais c’est une honte !
-Je ne vous le fais pas dire Caroline, quel choc cela doit être pour vous, voir votre mère les cuisses écartées se fourrant une énorme gode dans la chatte, quelle honte ! Et sur celle ci, une bite dans la chatte et une autre dans le cul, quel déshonneur n’est-ce pas ? Sur celle-ci, elle lèche un gland qui vient de sortir de son cul, la bite est encore maculée.
Caroline regarde les photos, elle voudrait détourner son regard mais n’y parvient pas, ce qui se passe autour de sa mère est de la même veine que ce qu’elle fait.
C’est la première fois qu’elle voit des photos de ce genre, ne connaissant de la sexualité que ce qu’elle a pu entendre dire par ses copines, bien peu de chose en vérité.
Caroline passe par toutes les couleurs de l’arc en ciel, sa poitrine monte et descend plus vite, son ventre bouillonne et il lui semble que son sexe s’humidifie.
Sophie referme l’album et le pousse plus loin.
-Caroline, à partir de maintenant, nous allons nous tutoyer. Tu viens de voir ce que ta mère fait en venant ici, et si tu es là, ce n’est pas tout à fait par hasard, vous deviez venir toutes les deux d’ailleurs.
-C’est ce qui était prévu.
-Ta mère a pris une sage décision, elle veut que ton éducation soit parfaite, y compris dans le domaine de la sexualité. Tu vas affronter un monde où tout tourne autour du sexe, alors autant que tu soies affranchie le mieux possible.
-Je ne comprends pas ce que vous. tu veux dire. si ma mère était avec moi, qu’aurions nous fait, la même chose que sur les photos ?
-Pas la première fois, cette visite ne devait être qu’une entrée en matière en quelque sorte, mais tu y serais venue, c’est certain.
-Puis-je savoir pourquoi ma mère veut faire mon éducation sexuelle hors de la maison ? Elle aurait très bien pu là faire chez nous.
-Peut être, mais certains paramètres t’échappent Caroline, tu aurais compris si elle était présente.
-Je ne vois pas. où nous en serions venues.
-Caroline, ce soir, tu réserves une heure ou deux à ta mère, au calme et je pense qu’elle t’expliquera. Tu es toujours vierge, n’est ce pas ?
-Oui, mais je suis déflorée.
-C’est une bonne nouvelle. Je peux savoir pourquoi ?
-Pour pouvoir mettre un tampon, une amie m’a montré comment faire avec un vibromasseur.
-Tu l’utilises toujours ce vibro ?
-Non, il appartient à sa sour, elle lui a rendu.
-Caroline, est-ce que tu te masturbes ?
-Oui.
-Uniquement avec tes doigts alors ?
-Oui. Toutes mes copines font comme ça.
-Et tu arrives à te faire jouir ?
-Pas à toutes les fois.
-Caroline, comment peux tu savoir si tu jouis ne l’ayant jamais fait ?
-Je l’ai fait avec une copine, avant je n’avais que du plaisir, avec elle j’ai eu un orgasme, et il m’arrive d’en avoir de temps en temps.
-Encore une bonne nouvelle. Viens avec moi.
Sophie entraine Caroline dans un couloir et la pousse dans une chambre peu éclairée.
-Caroline, déshabilles toi, entièrement.
-Mais je n’ai pas envie de faire ça.
-Je m’en fiche que tu n’aies pas envie, ta mère m’a dit de faire ton éducation, je vais faire ce qu’elle m’a dit, point final ! Allez, à poil, et plus vite que ça.
Caroline hésite, regarde Sophie qui sourit en se déshabillant, et commence par le chemisier, puis la jupe ne gardant que ses sous vêtements.
-A ta place j’enlèverais tout, tu seras bien mieux.
-Mais.
-Il n’y à pas de mais, enlève tout !
Caroline dégrafe son soutien gorge et le garde encore un peu ses bras repliés sur ses seins puis elle le jette sur une chaise, sa culotte descend doucement jusqu’à ses pieds, elle s’en dégage et la ramasse.
-Donne-moi ta culotte s’il te plait, dit Sophie en là portant à son nez. C’est bien ce que je pensais, ça t’a fait mouiller de voir ta mère.
-C’est involontaire.
-Approche, tu sais que tu es nettement plus belle que ta mère, tes seins sont superbes, tes fesses bien rebondies et. écarte un peu les jambes. oh mon dieu, quel magnifique clitoris. Tu sens l’odeur qui monte de ta chatte ?
-Oui, c’est toujours comme ça quand je suis excitée.
-Et ça t’arrive souvent ?
-En ce moment presque tous les jours.
-Je peux savoir ce qui t’excite ?
-Le commis du magasin. Je l’ai surpris se masturbant dans la cave en matant les fesses des femmes par le soupirail.
-Il ne t’a jamais vu ?
-Non, je descends par l’autre escalier et je me cache.
-Tu te masturbes en le voyant faire ?
-Je l’ai fait deux fois mais c’est de ce coté que descend mon père.
-Tu as vue sa bite alors ?
-Oui. il ne se masturbe pas tout le temps mais il reste en érection.
-Tu l’as vu jouir aussi ?
-Oui. Il éjacule sur le mur, un jour je suis allé voir, ça coulait jusqu’en bas.
-Il a quel âge ?
-17 ans.
-Alors il doit avoir une belle queue.
-Moins belle que celles des photos.
-Tu n’as pas envie d’aller la toucher cette bite ?
-Si. Mais c’est le commis.
-Bien sur, si c’était quelqu’un d’autre tu y serais déjà allé. Tu as envie de baiser ?
-Oui Sophie, de plus en plus.
-Tu n’as pas de petit copain qui pourrait t’en mettre un bon coup ?
-Non, les seuls qui me plaisent et pourraient le faire, vont dans les bordels en Espagne, le week-end.
-Tu as une bonne copine si j’ai bien compris.
-Oui. J’en ai même plusieurs.
-Elles ne baisent pas non plus ?
-Une d’elles l’a fait deux fois cet été, raté sur toute la ligne.
-Comment ça raté ?
-Le garçon à jouis trop vite !
-Caroline, chez tes parents au magasin, il y à un homme célibataire autant que je sache.
-Adrien ?
-Oui, Adrien.
-Il à 50 ans.
-Et alors ?
-Alors. Je l’ai toujours connu, il m’aime bien mais.
-Caroline, Adrien est un homme parfait pour la baise, d’ailleurs il ne pense qu’a ça ! Quand il va faire les livraisons, je suis sure qu’il à baisé plus de la moitié des femmes qui le reçoivent !
-50 ans et encore performant ?
-Caroline. Si tu en doutes regarde ces photos, dit-elle en se saisissant de l’album. Tu vois, là, c’est Adrien.
-Mais c’est maman qui suce l’homme derrière lui.
-Caroline, regarde le sexe d’Adrien.
-Oh mon dieu !
-Comme tu dis ! Il a une queue d’enfer, grosse et longue et il sait s’en servir le salaud !
-Sophie, c’es lui, là ?
-Oui. Tu vois, ça lui arrive aussi de se faire sodomiser.
-Sophie, est ce qu’Adrien a. baisé maman ?
-Bien sur, et dans tous les trous !
-On ne le dirait pas, au magasin il est toujours très distant avec elle.
-C’est ça, et il va crier sur les toits qu’il encule sa patronne !
-Sophie, papa n’est au courant de rien ?
-Ton père est au courant de tout Caroline. Regarde bien la photo avec Adrien, tu ne reconnais pas celui qui se fait sodomiser ?
-Mais c’est papa ! Je n’avais pas vue celle là. C’est le sexe de mon père ce gros truc ?
-Bien sur, pas le mien !
-Elles sont prises ici ces photos ?
-Non, dans notre maison de campagne.
-Sophie, tu vis seule ?
-Mais non, je suis mariée et j’ai une fille de ton âge.
-Tu es plus jeune que maman.
-C’est vrai, mais j’ai eue Kristine à 15 ans.
-Ta fille est avertie alors.
-Très avertie Caroline, mais nous en reparlerons si tu veux bien. allonge toi. relève tes jambes et écarte tes genoux, je veux voir ta chatte et ton clito.
Agenouillée sur le lit, la tête entre les cuisses de Caroline, Sophie écarte les grandes lèvres et fait sortir le clitoris, un flot de mouille coule sur le périnée et inonde la rosette.
-Ouah, tu mouilles ma chérie et ça coule ! Ton clitoris est superbe, bien plus gros que celui de ta mère et il va grossir encore. Caroline.
-Oui.
-Caroline, est ce que tu. te touches le cul ?
-Ça m’arrive de me caresser là, quand je me masturbe, dit-elle en touchant sa rosette.
-Juste caresser ou tu y mets quelque chose ?
-Deux doigts.
-Tu peux me faire voir comment tu fais ?
-Je me caresse avec la main droite et je pousse mes doigts de la main gauche, comme ça.
-Caroline. tes doigts entrent complètement, essaie d’en mettre un troisième pour voir. vas y pousse. ça rentre ! Met ta main en tuile et pose tes bouts de doigts sur ta rosette, bien. maintenant pousse sur ta main. pousse encore ça rentre.
-Sophie, j’ai mis les quatre doigts.
-Je le vois bien. Retire ta main chérie. je vais y mettre la mienne.
Avant de poser ses doigts sur la rosette encore ouverte, Sophie crache un gros paquet de salive sur le trou et présente ses doigts.
-Caroline, je vais fourrer me doigts dans ton cul, si tu as mal, je me retire tout de suite.
La main en tuile, Sophie pousse sur son bras et ses doigts s’enfoncent jusqu’à la base, seul le pouce reste dehors.
— Comment te sens-tu ?
-Très bien. tu peux bouger ta main. je vais me branler en même temps.
Caroline pose sa main sur son clitoris, fourre deux doigts dans sa chatte et se branle au rythme de Sophie.
Un flot de mouille déborde de la chatte et ruisselle sur la main de Sophie qui pousse encore mais stoppe quand Caroline fait un mouvement.
-Pas trop fort Sophie, attends que je jouisse. ça ne va pas tarder.
Caroline pistonne sa chatte avec trois doigts maintenant, son orgasme arrive d’un coup, elle retire sa main et frappe sur son clitoris, un geyser gicle sur le visage de Sophie qui recule étonnée.
-Et en plus tu es une femme fontaine, c’est merveilleux, tu sais.
-Ça fait un mois que c’est arrivé, la première fois j’ai eue peur alors j’en ai parlé à ma copine, elle m’a dit que c’était normal.
-Caroline, toutes les femmes ne sont pas comme ça.
-Je le sais, ma copine ne mouille presque pas, dit elle en prenant la main de Sophie pour porter les doigts à sa bouche et les sucer.
-C’est ma main qui sort de ton cul chérie.
-Je sais. Un jour, j’ai tellement joui que je l’ai fait machinalement avec la mienne, j’ai trouvé ça bon.
-Il me semble que je n’ai pas grand-chose à t’apprendre, Caroline.
-Si Sophie, à baiser. J’ai envie d’une bite, je veux la sucer et me faire baiser, tu n’aurais pas ça sous la main par hasard ?
-Mon mari n’est pas là, il ne rentre que demain.
-Tu l’as en photo ton mari ?
-Oui. C’est lui dont ta mère suce la pine.
-On dirait qu’elle n’est pas très propre cette pine.
-Elle était dans son cul, ce sont les effets ’’collatéraux’’ de la sodomie, Caroline.
-C’est toujours comme ça ?
-Si on ne fait rien avant, c’est toujours comme ça ou presque.
-Et on fait quoi pour ne pas que cela se fasse ?
-La femme ou l’homme qui va se faire sodomiser doit aller aux toilettes avant.
-Et quand on ne peut pas ?
-Et bien le type se retrouve avec de la merde sur la bite ma chérie, mais ça se lave une bite !
-Quand on peut.
-Ben oui, quand on peut. ça veut dire quoi ?
-Cet été, je suis allé passer trois jours avec une copine au camping de ses parents où ils ont un bungalow. Un soir, nous sortions des sanitaires et nous avons vu un type, avec de la merde sur la bite, qui venait se laver, ça nous à bien fait rire.
-Vous saviez pourquoi ?
-Oui, ma copine avait déjà vu des types s’enculer derrière une caravane vide, un des deux lui ayant même proposé de venir plus près pour voir.
-Elle l’a fait ?
-Oui. elle a vu un truc assez spécial. le type qui venait de se faire enculer à pissé sur la bite de l’autre pour la nettoyer.
-Ils n’avaient pas de capote ?
-Je n’en sais rien, celui que nous avons vu n’avait de la merde qu’en haut, presque sur les poils.
-Donc il avait une capote, mais l’autre lui avait chié sur la queue ma chérie !
-Sophie, tu te fais enculer ?
-Oui. J’adore ça. Tu veux voir mon cul ?
-Oui et ta chatte. Allonges-toi comme j’étais.
-Tu peux même me mettre tes doigts au cul.
-Sophie, ta chatte sent super bon. J’ai envie de la lécher. ton clito n’est pas très gros dis donc.
-Mais il est très sensible, je peux jouir très vite en me faisant lécher le clito.
-Tu mouilles comme moi ?
-Non ma chérie, je mouille mais pas autant que toi.
-Ta chatte est très belle, Sophie, et elle pue, c’est un bonheur.
-Tu aimes une chatte qui pue ?
-J’aime que la mienne sente fort en tout cas. la chatte d’une de mes copines sent très fort, aussi.
-Tu lui bouffes souvent la chatte ?
-Non, ça ne nous est arrivé que deux ou trois fois.
-Ta mère adore bouffer les chattes, on peut même lui pisser dessus, quand elle se fait enculer, on peut tout lui faire.
-Sophie, tu fais des choses devant ta fille ?
-Non chérie, elle nous à vue faire l’amour, son père et moi, mais jamais rien d’autre.
-Seulement vu ?
-Heu. Oui. Mais de près.
-Elle était juste à coté de vous ?
-Oui.
-Et elle n’a pas eu envie de.
-Si Caroline, mais nous ne l’avons pas laissé faire. Daniel, c’est mon mari, n’a pas envie de baiser sa fille.
-Toi, tu l’aurais laissé faire ?
-Peut être mais je n’en sais rien en fin de compte, sous le coup de l’excitation on peur faire des choses. Ce qui est idiot c’est de le regretter, alors, pour ne pas avoir à le faire.
-Sophie, je voudrais jouir encore, mais j’ai envie.
-De quoi chérie.
-Tu dois bien avoir un gode.
-Bien sur.
-Alors baise moi avec ton gode.
-Je vais même faire mieux ma chérie. J’ai un engin exceptionnel qu’un copain à fabriqué avec deux godes du commerce. Attends, je vais le chercher.
Elle revient avec un gode double, les deux pines sont ’’soudées’’ par les bases réduites en faisant un angle qui permet à la femme qui va baiser, de se mettre dans la chatte le même gode qui va lui servir pour baiser son ou sa partenaire.
Les deux pines sont tenues par un ’’slip’’ en cuir dont le trou est ’’adapté’’ à la rainure sur ce qui soude les deux bases, il suffit de ne pas serrer la ceinture pour que slip puisse bouger, celle qui prend et baisée de la même façon que celle ou celui qui ’’reçoit’’.
Caroline regarde Sophie s’harnacher, l’engin est de bonne taille mais guère plus gros qu’une pine ’’normale’’.
-Agenouille toi Caroline, je vais te baiser et te faire jouir, cette position me permettra de te toucher le cul en même temps.
-Tu me le mettras dans le cul aussi ?
-Nous verrons chérie, je ne suis pas sure que ton cul soit suffisamment préparé.
-Tu as mis quatre doigts.
-Jouis par devant d’abord, jouir par le cul c’est autre chose.
-Une de mes copines dit qu’elle se fait jouir en s’enculant.
-Tu me disais que vous n’aviez pas.
-Elle se branle avec un gode de sa mère.
-Caroline, sa mère laisse trainer ses godes ?
-Je n’en sais rien, mais je l’ai vu. Une belle pièce !
-Et elle se le fourre dans le cul ?
-Elle le faisait déjà étant vierge pour ne pas que sa mère sache.
-En plus, sa mère lui fait passer des visites ?
-Oh non ! Murielle avait des pertes bizarres et devait aller souvent chez le gynéco.
-Murielle c’est ta copine ?
-Oui.
-Elle est toujours vierge ta copine ?
-Non, elle baise avec l’ex amant de sa mère. Un jeune qui ne la prend que par derrière.
-Je parie qu’il la baise sans capote, c’est ça ?
-Oui. Il l’encule pour la faire jouir et elle le suce pour qu’il jouisse dans sa bouche.
-Dis donc, elle est déjà bien délurée ta copine !
-Le problème c’est qu’il a une petite bite et qu’elle ne sent plus rien.
-Tu m’étonnes, si elle s’encule avec le gode de sa mère. Je vais te baiser ma chérie, agenouille toi.
-Sophie, j’ai envie de jouir, tu ne peux pas savoir.
-Tu vas jouir ma chérie, et je vais jouir aussi, après tu pourras me lécher la chatte.
-Si je jouis bien, tu m’enculeras après ?
-Nous verrons ! Il y à une heure tu ne savais rien et maintenant tu veux tout, chaque chose en son temps Caroline.
-Mais je veux tout ! Je veux baiser, baiser, et encore baiser et me faire enculer aussi.
-Tu es bien comme ta mère.
-J’espère bien ! Baise-moi !
Sophie présente le gland du gode entre les lèvres et pousse doucement, l’engin entre sans forcer le passage, la mouille aidant.
-Je suis rentrée ma chérie, tu le sens ?
-Oh oui ! C’est bon. baise moi Sophie.
Sophie pose ses mains sur les hanches, et entame un pistonnage lent d’abord puis de plus en plus rapide tout en surveillant les réactions de Caroline.
Tout semble bien se passer, le gode commence à luire de la cyprine qui remonte le long de la hampe.
-Sophie, je sens que je vais jouir. ça vient. n’arrête pas.
Sophie semble se concentrer, un peu de sueur perle sur sa lèvre supérieure et, en même temps que l’orgasme de Caroline, elle se laisse aller.
-Je jouis Caroline, je jouis en te baisant salope, mon gode te défonce la chatte et me rentre dans l’utérus, jouis toi aussi, je veux voir ta mouille couler.
Caroline remue dans tous les sens, sa tête dodeline puis elle se laisse tomber sur le ventre, laissant Sophie le gode à l’air, un peu désorientée.
Pour se finir, elle attrape le gode externe et entame une branlette rapide et profonde, son orgasme revient et elle jouit en poussant des grognements.
Rassasiée, elle s’allonge à coté de Caroline qui ne bouge plus, le gode dressé vers le plafond.
C’est Caroline qui bouge la première en se mettant sur le dos, regarde vers Sophie et se rue sur le gode pour l’emboucher.
-Chérie, ça aura le goût de ta chatte mais c’est du latex.
-M’en fiche, j’aime le goût de ma chatte. Sophie, tu m’as bien fait jouir.
-J’ai vu ça. Moi aussi chérie, j’ai bien joui.
-Si j’écarte mes jambes, un flot de mouille va couler sur mon cul, tu veux bien m’enculer ?
-Tu es sure de ça ?
-Oui Sophie, j’ai envie. Maintenant je sais que j’aimerais.
-A cause de mes doigts ?
-Oui. J’aimerais prendre une belle queue. C’est dommage que ton mari ne soit pas là. Je crois que je vais me faire enculer par la grosse pine d’Adrien.
-A ta place je ne le ferais pas, c’est votre employé Caroline.
-Et alors, il baise déjà avec la moitié de la famille.
-Oui mais ils sont responsables, tu ne l’es pas. Tu veux vraiment te prendre une grosse pine dans le cul ?
-Oh oui.
-Tu as encore un peu de temps ?
-Oui, rien à faire jusqu’à ce soir.
-Alors tu vas aller à cette adresse de ma part et tu demandes Jean. C’est sa mère qui te recevra mais elle est au courant.
-Et je lui demande de m’enculer à ce type, comme ça ?
-Je pense que tu le verras d’entrée, il doit être débauché à cette heure. dés qu’il rentre du boulot, il se douche et se balade à poil dans la maison.
-Même devant sa mère ?
-Alors ça. C’est une vieille salope, elle en à vu d’autre.
-Je vais voir sa bite tout de suite alors ?
-Bien sur. Tu entres, il va te voir, tu relèves ta jupe et ça va le faire bander, après, c’est toi qui vois.
-Je lui offre mon cul, comme ça ?
-Oui chérie, s’il te reste de la mouille, tu le graisses un peu.
-Il a une grosse pine ?
-Assez grosse, comme celle d’Adrien. Il va t’enculer pour se faire jouir sans s’occuper de toi, débrouille toi pour jouir avant ou en même temps que lui. Dès qu’il aura déchargé, il te laissera tomber. Tiens, prend ça et tu l’obliges à la mettre.
-Je pourrais le sucer après ?
-Non Caroline, il va partir tout de suite. tu devras même sortir toute seule.
-Sa mère ne sera plus là ?
-Non chérie.
-Sophie, je pourrais revenir ici ?
-Bien sur, mais demande avant.
-Tu risque de ne pas être là ?
-Non, mais ta mère ou quelqu’un d’autre pourrait être là.
-Tu la baises aussi avec ton gode ?
-Non. pas moi.
-Ton mari ?
-Possible mais pas uniquement.
-Tu reçois des hommes qui viennent baiser ici ?
-Ils viennent baiser des femmes comme ta mère, et faire avec elles ce qu’ils ne font avec personne d’autre, même pas leur épouse s’ils en ont une.
-Je peux savoir ?
-Non, pas aujourd’hui, sauve toi chérie, et n’oublie pas la capote.
-Merci Sophie, appelle-moi demain, je te raconterais.
-Ok, bonne soirée.
-Je ne raconte rien à ma mère, bien entendu.
-Mais non, je le ferais.
-Tu lui diras tout ?
-Oui Caroline.
-Même ce que je vais faire maintenant ?
-Non, officiellement je ne sais rien. Aller, va te faire.
-Enculer, tu peux le dire !
Rhabillée en vitesse, elle sort de chez Sophie au moment où arrive une grosse berline aux vitres teintées, qui se gare de l’autre coté de la rue.
Le conducteur descend le premier et vient ouvrir la portière droite en se reculant à la manière d’un chauffeur de maitre.
Caroline avance sans monter sur sa machine puis se retourne pour voir ce que vont faire les gens.
L’homme prend le bras de la femme et, contre toute attente, ils avancent vers une grande maison dont le terrain est mitoyen de celui de Sophie.
Déçue, elle pensait qu’ils allaient chez Sophie, ayant déjà échafaudé à la hâte un stratagème lui permettant de revenir d’où elle vient.
La selle fraiche sur ses fesses lui procure un petit frisson, au carrefour, elle écarte largement ses genoux devant un homme qui attend de pouvoir passer.
La rue où elle doit se rendre est proche mais elle ne sait pas comment y aller.
Le quartier n’est plus le même que celui de Sophie, les maisons sont ’’minables’’, les rues mal entretenues, des gamins jouent au ’’street basket’’ entre deux murs dont un a été pourvu d’un arceau sans panier.
Arrêtée au milieu de la rue, elle fait signe au plus grand de venir la rejoindre.
-Excusez-moi, je cherche la rue Rolin.
-Vous y êtes mademoiselle, mais dans cette partie c’est encore la zone, ils n’ont pas mis les noms. Où allez-vous ?
-Au numéro. 17.
-Chez Jean ?
-Heu. Oui.
Un autre gamin s’est approché et demande ce qu’elle veut.
-Mademoiselle va chez l’enculeur, tu sais s’il est arrivé chez lui ?
-Heu. non, c’est sa semaine de jour, il débauche plus tard.
-Excusez-moi, je n’ai pas bien compris comment vous l’avez appelé ?
-L’enculeur, c’est comme ça que tout le monde l’appelle dans le quartier.
-Vous savez pourquoi ?
-Parce qu’il encule tout le monde, je suppose, tu le sais toi Karim ?
-Ben oui j’le sais. J’ai entendu ma mère dire qu’il ne prenait les femmes que par le cul.
-Ah bon, je croyais qu’il baisait tout le monde pour le fric, je l’ai même entendu se faire traiter d’enculé.
-Ma sour est bien placée pour le savoir, assistante sociale, elle ne veut plus aller chez lui. Il se balade à poil tout le temps, même devant sa mère. Un jour, sa mère à fait entrer ma sour, il était dans le salon avec une femme qui lui criait de l’enculer plus fort encore !
-Ta sour raconte ça ?
-Pas à moi, mais je l’ai entendu. Mademoiselle, vous allez chez lui pour ça ?
-Heu non, vous pensez bien.
-Oh vous savez, nous on pense rien ! Jean, c’est un type qui ne pense qu’à baiser, quand il n’a pas de femme à se mettre sous la dent, il encule sa mère.
-Karim, tu dis des conneries, elle à 100 ans demain sa mère !
-Je te dis ce que j’ai entendu. mademoiselle, vous allez le voir pourquoi, si ce n’est pas indiscret ?
-Il doit me donner une enveloppe contenant un devis ou quelque chose comme ça, mentit Caroline.
-Normal, il bosse au noir ! Mais vous savez, à votre place, je ferais attention, surtout qu’on voit bien vos cuisses.
-Et alors ?
-Alors. si ça l’excite il va bander et vous allez partir en courant.
-Il va essayer de me violer ?
-Oh non, ce n’est pas son style, en général, les femmes qui viennent le voir sont consentantes si vous voyez ce que je veux dire.
-Alors je vais envoyer mon frère.
-C’est mieux mademoiselle, vous êtes trop jeune pour voir ce qu’il a entre les jambes.
-Comment le savez-vous ?
-Tout le monde le sait mademoiselle, il à même fait des films pornos à ce qu’il parait mais ils ne l’ont pas gardé, quand il a bu, on ne peut plus le raisonner.
-Je vous remercie.
-Mais tout le plaisir est pour nous mademoiselle, c’est rare de voir une belle fille dans ce quartier de merde !
-Il n’y à pas de filles par ici ?
-Elles sont toutes parties, rapport aux habitants, vous avez compris qu’ici, c’est immigré et compagnie ! Y a que la sour de Karim qui reste, mais c’est un thon, même avec un préservatif à la mayonnaise, je ne la baiserais pas.
-Ce n’est pas très gentil ce que vous dites !
-Mais c’est vrai. Dites moi, on dirait que vous n’avez rien dessous.
-Celle là, on me l’a déjà faite, j’ai tout ce qu’il faut, mais c’est nouveau, on ne le voit pas. Encore merci.
-Vous partez ?
-Heu. Oui. Je rentre chez moi.
-Vous n’avez pas envie de faire un tour ?
-Mais non, et puis je n’ai plus le temps.
-C’est quoi votre petit nom ?
-Caroline et vous ?
-Jamel.Comme Jamel Debbouze, je suis Marocain, enfin mes parents, moi je suis Français.
-Vos copains vous attendent.
-Ce sont des petits, je ne joue pas avec eux. Je viens de débaucher alors je prends l’air, je me détends.
-Vous habitez le quartier ?
-Oui, mais je vais partir, mon patron m’aide à trouver un appart’.
-Vous faites quoi dans la vie ?
-Je suis informaticien dans une entreprise de travaux publics.
Caroline fait demi-tour et remonte sur sa machine, Jamel qui ne s’est pas reculé, voit l’entre cuisses de Caroline et surtout le fond de la culotte grise sur laquelle la mouille à fait une belle auréole.
Caroline, assise sur la selle, un pied sur une pédale, est prête à partir, Jamel, excité par ce qu’il vient de voir tente de la retenir.
-Mademoiselle, si vous avez le temps, j’aimerais vous montrer ce que nous avons trouvé dans le terrain vague. Vous saurez peut être ce que c’est.
-Il est loin ce terrain ?
-Non, au bout de ce chemin, à gauche où sont les arbres.
-Vous n’êtes pas en train de me monter un bateau, je ne suis pas dupe vous savez.
-Mais non, d’ailleurs il y à une maison nous ne serons pas seuls.
-Qu’est ce que vous avez trouvé, demande t’elle en suivant Jamel.
-Nous pensons qu’il y avait un cimetière à cet endroit, vous verrez.
Au bout du chemin, le long d’un petit bois, les herbes sont couchées sur une partie dégagée.
-C’est là. regardez, on dirait bien un sarcophage non ?
-C’est un sarcophage, voici le couvercle. Il y en à d’autre ?
-Oh oui ! Venez voir.
Le terrain est pelé sur une petite surface, plusieurs ’’couvercles’’ affleurent le sol, Caroline s’accroupit pour balayer d’une main ce qui doit être une inscription, Jamel est venu s’accroupir de l’autre coté du cercueil, sa position lui permet de voir en gros plan le fond taché de la culotte qui, tendue, dessine parfaitement les lèvres du sexe.
Cette vue lui provoque immédiatement une érection qu’il va avoir du mal à cacher en se levant.
-Je vais en parler à mon père, il connait quelqu’un à la mairie. Jamel, il ne faut plus que vous y touchiez.
-Nous n’y touchons pas, nous ne sommes que deux à le savoir.
Caroline se lève, Jamel n’ose pas le faire, il attend qu’elle se retourne pour se lever et arranger son sexe mais la bosse est quand même bien visible.
Caroline va vers son vélo et se retourne pour saluer Jamel qui, pris au dépourvu, esquisse un geste pour ’’cacher’’ la bosse que fait sa braguette.
Caroline voit le mouvement du bras et la bosse en même temps, une bosse énorme bien que le pantalon soit assez large.
Ne quittant pas des yeux le véritable chapiteau dressé, elle sourit en comprenant qu’elle est à l’origine de cette excitation.
L’idée de voir ce qui provoque cette bosse lui traverse la tête, mais l’endroit ne s’y prête pas, un coup d’oil circulaire ne lui apprend rien, seul un petit monticule pourrait éventuellement cacher quelqu’un allongé dans l’herbe.
-Jamel, si c’était un cimetière, il doit y avoir une entrée ou un passage, tu. vous n’avez rien vu ?
-Vous pouvez me tutoyer mademoiselle.
-Alors tu le fais aussi, et plus de mademoiselle s’il te plait.
-Ici, il y avait des colonnes tombées à terre, les pierres ont été volées mais il en reste.
Caroline contourne le monticule et se retourne pour voir arriver Jamel, la bosse cache une barre qui remonte en biais jusqu’à la ceinture.
Caroline comprend tout de suite ce que cache cette protubérance et se sent lasse tout d’un coup.
-Jamel, il fait beau, nous pouvons nous asseoir cinq minutes, je suis un peu fatiguée, dit-elle en mentant effrontément.
Elle s’assoie au pied du monticule sur une pierre plate, les cuisses largement écartées, comme pour faire sécher le fond de sa culotte au soleil.
Jamel ne sait comment venir devant Caroline, en plus, l’envie de se masturber lui taraude le ventre, il n’arrête pas de se toucher.
C’est Caroline qui lui ’’tend la perche’’ en l’appelant.
-Jamel, vient voir. on dirait une pièce de monnaie dit elle en montrant un morceau de ferraille.
Jamel doit venir à moins d’un mètre d’elle, juste dans l’axe des cuisses toujours largement écartées.
-C’est une capsule de bière Caroline, dit-il en relevant la tête.
Ses yeux se fixent sur le fond de culotte, Caroline sent monter une douce chaleur dans son ventre, prémices d’une excitation qui englue encore plus le fond de sa culotte.
Lentement, elle glisse une main entre ses jambes et pose un doigt en haut de sa fente, sur son clitoris qui gonfle un peu le tissu.
-Jamel, c’est ça que tu regardes ? dit-elle en tapant sur sa fente.
-Heu. Je ne voulais pas, mais.
-Je te montre ma chatte si tu me montres ta bite.
-Caroline, nous ne pouvons pas faire ça ici, des gamins peuvent venir jouer.
-Tu connais un endroit ?
-Oui. Dans la maison, derrière toi.
-Elle est vide cette maison ?
-Pour le moment. C’est là que ma grand-mère habite, elle est chez mes parents en ce moment.
-Tu as la clé ?
-Je sais où elle se trouve. suis moi.
Jamel prend la clé sous un pot de fleur et ils entrent.
-Ne fait pas attention au désordre, ma grand-mère ne voit plus très bien.
Une grande pièce sert à la fois de salon, salle à manger et ’’débarras’’, Caroline pousse Jamel sur un canapé et se rue sur la bosse.
-Caroline, laisse-moi faire, dit il en ouvrant son pantalon.
Il se lève et baisse en même temps pantalon et slip, son sexe plaqué contre sont ventre se détend et darde à l’horizontale.
Caroline avance sa tête vers le superbe pal qui se dresse sous son nez, une bonne odeur vient lui chatouiller les narines.
Elle va enfin pouvoir sucer une bite, et une belle avec de l’odeur et sûrement du goût.
Jamel se laisse faire, Caroline ouvre la bouche et aspire le gland, le goût confirme l’odeur, un mélange de sécrétions et d’urine.
La pine investit complètement sa bouche, elle doit faire attention à ne pas ’’rayer le gland’’ avec ses dents, comme lui a dit une de ses copines.
Elle s’applique et suce comme elle pense qu’il faut le faire, sans trop enfoncer la pine dans sa bouche.
Jamel pose ses mains sur la tête de Caroline et accompagne son mouvement, comme s’il la baisait dans la bouche.
N’ayant pas baisé depuis longtemps, l’excitation force sa libido et il se lâche en paroles.
-Suce-moi bien, bouffe-moi la pine, tu pompes bien.
Caroline ne peut répondre la bouche pleine et s’active en se touchant entre les cuisses, deux doigts passés sous la culotte.
Sa chatte coule et elle suce, plus elle suce, plus sa chatte coule et ses doigts s’engluent de cyprine.
Jamel pousse sa bite dans la bouche et va buter dans la gorge, Caroline recule pour ne pas vomir et reprend le gland entre ses lèvres au moment où arrive un flot de sperme sur sa langue.
Surprise, elle lève les yeux, Jamel sourit.
-Tu es bonne Caroline, je n’ai jamais joui aussi vite en me faisant sucer !
Caroline ne sait pas ce qu’elle doit faire de ce qui lui encombre la langue, le cracher ou l’avaler, Jamel là fait se relever en la prenant sous les aisselles, ne pouvant plus cracher, elle avale.
Jamel se plaque contre elle, une main va directement entre les cuisses et fourrage sous la culotte.
-Ouah ! Tu mouilles, ta culotte est trempée.
-Je vais l’enlever si tu veux, dit elle joignant le geste à la parole.
La culotte va rejoindre le pantalon et le slip dont s’est débarrassé Jamel après s’être déchaussé.
Sa pine n’a pas débandé d’un pouce, Caroline est affolée par les idées qui lui traversent la tête, elle venait se faire enculer, c’est l’occasion ou jamais de concrétiser.
En regardant Jamel bien dans les yeux, elle sort le carré de plastique de son soutien gorge et lui tend la capote.
-Couvre-toi, tu vas me baiser.
Jamel déchire le carré, sort délicatement la capote et se couvre sans se tromper de sens, Caroline passe une main entre ses jambes et enduit le latex de cyprine.
-Je vais m’agenouiller sur ton pantalon, tu vas me prendre dans la chatte d’abord et tu m’enculeras quand je te le dirais.
Jamel semble surpris par ce langage auquel il ne s’attendait pas, mais ne va pas la contrarier, trop ’’honoré’’ qu’une belle fille comme Caroline veuille bien se faire sodomiser sans qu’il soit obligé de l’imposer.
Agenouillé derrière elle, il entre dans la chatte inondée sans forcer, habituellement il doit y aller doucement et il le sait.
-Baise moi Jamel, je sens bien ta pine, bourre moi !
Jamel n’a pas une grande expérience mais il sait comment faire jouir une femme en la prenant de cette façon.
Cramponné aux hanches, il entame un pistonnage rapide, venant de jouir, il sait pouvoir tenir plus longtemps.
Caroline se laisse faire, analysant ce qui lui arrive, la pine de Jamel s’enfonce loin dans son vagin, forçant même l’entrée de l’utérus, ce qui lui procure une satisfaction jamais obtenue jusque là.
Quelque chose de particulier se déclenche autour de la pine qui lui bourre la chatte, les parois de son vagin se gorgent de sang et elle jouit, elle jouit comme jamais elle ne l’a fait, avec une remontée jusque dans son ventre.
Jamel regarde sa bite entrer et sortir du gouffre inondé, la mouille lui coule jusque sur les couilles, il pose son pouce sur la rosette et l’enfonce.
-Oui, mets tes doigts dans mon cul. maintenant tu vas y mettre ta grosse queue, encule moi Jamel, bourre moi le cul !
Pas besoin de lui répéter deux fois, il se recule et pose son gland sur la rosette, c’est Caroline qui s’emmanche sur la pine en donnant un grand coup en arrière.
Il s’enfonce d’un coup, son ventre venant toucher les fesses, et il entame un pistonnage lent au début puis de plus en plus rapide, sa pine glissant parfaitement dans le conduit anal.
Pendant qu’il l’encule, Caroline se fourre deux doigts dans la chatte, griffe son clitoris au passage, et se branle au rythme effréné du pistonnage de