Mon appart a pris feu parce que j’ai laissé mon chargeur allumé dans une prise défaillante Tous mes habits sont foutus, alors je squatte chez ma grande sur, et aujourd’hui j’ai dû sortir habillé d’un fuseau qui me rentre presque dans les fesses !

Je marche dans la rue et c’est la première fois que je sens les caresses du vent sur mes jambes moulées par ce fuseau gris. On m’a souvent dit que j’avais la taille d’une jeune fille ; je suis svelte et quand je prends du poids, ça part directement vers mes hanches, ce qui me fait aussi des fesses rebondies que je cache généralement par des jeans larges, mais depuis ce qui s’est passé, et en attendant d’acheter de nouveaux habits, je partage les quelques affaires de ma sur, c’est-à-dire des jeans slim très serrés et des fuseaux, leggins… il y a bien des robes mais hors de question d’en porter ! J’ai longuement hésité à porter le fuseau mais je n’ai pas pu résister, il fallait que je sorte de chez ma sur ! Elle est de plus en plus insupportable.

J’avais mon blaser pour me tenir du froid et des petites bottines (aussi à ma sur).

J’ai des traits fins, un nez et des lèvres fines, un regard étiré avec des cils courbés et des yeux marron. Mes cheveux sont mi longs, noirs. J’ai une voix plutôt douce, on me dit souvent que j’ai une voix d’ange et un visage tout aussi angélique.

Je marchais dans la rue quand je suis rentré dans un bureau tabac pour acheter des clopes. Il y avait un peu de monde du coup, j’étais le quatrième de la file. Impatient, je serrais les jambes et montais sur la pointe des pieds pour voir ce que foutait la personne au bout de la file. Plus je montais sur la pointe des pieds et plus mon fuseau me rentrait dans le creux des fesses. Ne voyant pas grand-chose, je redescends sur mes talons mais dès que je le fais, je me heurte à un mec. Ce gars costaud avait sa main sur ma fesse droite ! Je me suis retourné étonné et le regardais avec un sourcil levé : Il en avait rien à foutre ! Il me pressa la fesse davantage et j’ai dû mettre ma main sur son torse pour essayer de le repousser, mais rien n’y fait ! Il est solide comme un roc ! Et en parlant de roc, je voyais quelque chose d’épais contenu dans son jeans. Il sourit en voyant que je regarde en direction de son entrejambe.

— Avance.

 Je fais automatiquement ce qu’il me demande de faire, et je me retrouve nez-à-nez avec le vendeur. J’achète mon paquet de clopes, et pendant que je cherche de la monnaie dans mon portefeuille, je sens le gars baraqué se coller à moi, il n’y avait sûrement pas assez de place dans le bureau tabac. Je ne sais pas pourquoi, mais je me suis mordu la lèvre en tendant la monnaie au vendeur. J’allais ensuite sortir mais le mec costaud me prend par la main, comme si j’étais sa copine, et m’ordonne d’attendre. C’est la meilleure celle-là ! On me donne des ordres maintenant ! Lui aussi achète des clopes avant de me tirer par la main pour sortir du bureau tabac.

   On monte dans sa voiture qui, soit dit en passant est splendide, un genre de 4×4 aux vitres fumées, et dès que je m’installe sur le siège passager je sens le fuseau de ma sur me serrer encore plus les fesses, leur donnant une forme incroyablement ronde. Une fois avoir mis le contact, il me fixe longuement et soupire.

— T’as un putain de corps de femme.

   Et il passe sa main de mon visage, plus précisément mes lèvres qu’il écarte avec son pouce, à mon cou, puis à mon dos, pour finir sur mes fesses. Je me suis même écarté du siège pour lui laisser libre passage ! Sa main veut passer sous mon fuseau mais je l’en empêche.

— Un cur d’ange dans un corps de pute, c’est rare.

— Pourquoi tu me parles comme ça ?

    Je rêve ou je lui ai posé cette question en battant des cils ? Il me regarde en écarquillant les yeux, comme s’il était amoureux et repasse son pouce sur mes lèvres humides. Je lève un sourcil et garde mes lèvres fermées. Je lui repose ma question et il grogne en baissant le frein à main.

— On va où ?

   En lui posant cette question, je me penche en avant et regarde la voiture engager la route. Je suis comme fasciné par le monde extérieur, car cette voiture est si grande que j’ai l’impression d’être surélevé par rapport aux gens qui marchent dans la rue. Personne peut me voir, ni voir la main de ce gars posée sur ma cuisse. J’entrouvre mes lèvres et regarde avec insistance mon conducteur. Ce dernier me regarde un instant et passe sa main sur l’érection qui déforme son jeans.

— Arrête de la toucher !

— Quoi ?

— Arrête de toucher ta queue, dis-je en croisant les jambes.

   Arrivés devant ce qui me semble être chez-lui, il se gare dans son garage et on sort en montant quelques marches pour arriver à la porte d’entrée.

— Pourquoi tu m’as ramené ici ?

   Il ne me répond pas et ouvre la porte. Il me laisse entrer et je suis subjugué par la beauté de l’intérieur ! De l’extérieur on dirait une vieille baraque tout ce qu’il y a de plus banale, mais à l’intérieur les meubles sont presque tous en verre cristallin. Tout est blanc et resplendissant de propreté. Les cadres accrochés au mur reflètent un joli goût artistique. Le comptoir dévoile à mes yeux une rangée de boissons alcoolisées et de verres qui n’attendent qu’à être remplis. Le mec baraqué pose sa veste en cuir sur une chaise et reste là, debout, avec une érection qui déforme atrocement son jeans.

   J’enlève mes bottines parce que j’aime bien marcher pieds nus sur du carrelage froid. J’enlève aussi mon blazer et reste ainsi habillé d’un simple sweat rouge et d’un fuseau gris qui moule affreusement mes fesses, mes cuisses et mes mollets.

— Comment tu fais pour avoir un corps aussi parfait ?

   Je me retourne comme pour confirmer que la question vient bien de lui, et, un doigt entre les lèvres, je décide de répondre d’un simple hochement des épaules. Je marche vers le comptoir et je sens mes fesses rouler ! Je prends un verre et bois un peu de jack. Je sens soudain des mains sur mes hanches et une érection qui frôle mes fesses.

   Je jette quelques mèches sur le côté de mon visage et laisse les mains de ce mec passer de mon petit ventre à mes hanches, puis à mes fesses et sur le haut de mes cuisses. Sa queue est maintenant entre mes fesses, elle est dure et dégage une chaleur qui fait vite de se propager aux quatre coins de mon corps.

   Il me retourne et me pousse vers le bas. Je descends sur mes genoux, en le scrutant d’un regard inquiet, presque mécontent.

— Pourquoi tu es dur comme ça ? je demande dans un soupir, le regard posé sur la barre de fer qui tend son jeans.

    Il relève mon menton avec son doigt et me crache sur le visage. J’essuie sa salive avec mes doigts et garde ma bouche entrouverte comme par étonnement. Il sort sa bite de son jeans et j’ai un mouvement de recul en voyant sa taille ; environ dix-sept centimètres, mais le plus étonnant est sa grosseur. Je me lève et vais marcher jusqu’au canapé en balançant des hanches je ne sais pour quelle raison, puis m’assois en croisant les jambes comme une femme. Le type vient vers moi et sa bite est à hauteur de mon visage. Sa queue se frotte à mon visage déformé par une grimace pleine de confusion, pendant qu’elle passe sur mes lèvres humides, je parle :

— J’adore ton appartement. J’aimerai bien y habiter.

— Fais ce que tu veux, mais bordel ; prends ma queue dans ta bouche.

— C’est ce que tu veux ?

— Putain OUI !

    Je passe ma main sur ses abdos, son pubis puis sur la base de sa bite. Les veines qui sillonnent ce morceau de chair cette odeur salée et ces couilles pendantes. Pourquoi je salive autant, merde. Il veut que je le suce ? Putain ! Pourquoi je suis monté avec lui dans cette caisse ? C’est un mec ! Je ne l’ai jamais fait auparavant. Les hommes ne m’attirent pas, mais avec lui c’est différent ; j’ai envie de satisfaire ce mec. Je regarde ce sexe d’homme et j’ai envie de le mettre dans ma bouche.

   Je mets la moitié dans ma bouche et le regarde avec mes yeux marron, ma langue goûte son pré-sperme et le trouve salé et chaud. Je passe cette langue sur sa chair chaude et me délecte de chaque centimètre qui s’enfonce dans ma gorge.

— Oui c’est ça ! grogne-t-il en enlevant son pull et laissant afficher un corps sculpté par la musculation.

   Je lève un sourcil et essaye de garder les yeux ouverts pendant que je pousse sa queue au fond de ma gorge et la ressors, plusieurs fois, pas entièrement. Le bruit de ma salive sur sa queue raisonne dans le salon. Je suis là, sur son canapé, les jambes croisées comme une femelle à lui pomper le dard. Qu’est-ce qui me prend ? Ma main caresse ma cuisse pendant que l’autre se faufile sur ses abdos bien durs.

    Je continue à l’avaler, le sucer, le dévorer avec ma langue. Il me remplit la bouche, la gorge et grogne à chaque fois que je gémis pour respirer.

   Je sors sa bite de ma bouche et me lève. Je lui arrive au menton. Il me retourne sèchement, toujours debout, et me presse les fesses tellement fort que je me mets sur la pointe des pieds et me mords la lèvre pour ne pas crier.

— Arrête ! Elles doivent être rouges maintenant mes fesses !

    Je tourne ma tête vers lui, tout en gardant la même position ; sur la pointe des pieds, le dos arqué, le cul ressorti. Je bats des cils et garde ma mine angélique. Il baisse sèchement mon fuseau puis tire dessus pour m’en débarrasser. Je lève docilement une jambe après l’autre pour l’aider, je ne sais pas pourquoi.

— Arrête de me déshabiller ! Il fait froid !

— Ça ne va pas tarder.

   Il me retourne et me roule une galoche légendaire. Sa langue roule sous la mienne et sa main passe sur mes fesses nues. Ah je sens un petit vent froid ! Mais sa main chaude me réchauffe, il ne faut pas qu’il l’enlève, qu’il les enlève !

   Comme naturellement, je passe une jambe derrière la sienne. Il m’aide à faire passer l’autre autour de sa taille. Mes cuisses le serrent. Il prend sa bite et veut me la mettre dans le cul.

   Il me regarde, avec ce regard obnubilé, il ne sait pas ce qu’il doit croire de moi. Il me connait depuis à peine une demi-heure et voilà qu’il s’apprête à m’enculer. Je sens sa queue chaude à l’entrée de mon cul et je gémis. Je le regarde dans les yeux et lui dis :

— Pas besoin de me préparer, mets-la moi dans le cul mon chéri, je suis bien ouverte.

    J’entrouvre mes lèvres et laisse couler un peu de salive que je récolte avec mes doigts. J’induis un peu mon trou avec et dirige sa bite épaisse à l’entrée. Il n’attend pas longtemps et me pénètre.

— Arrhhhhhhhhh ! Pourquoi c’est si facile de te pénétrer ?

— J’ai un gros cul. MHmm !

   Son souffle me brûle le cou et il s’appuie au mur pour mieux me labourer. Il m’allonge sur le canapé et je sens sa queue chaude me remplir, sortir en y laissant un vide, puis rentrer à nouveau. Ça me fait mal, mais cette douleur augmente au même temps que le plaisir, ce qui la rend plus supportable. J’ai les jambes complètement écartées et je gémis comme une jeune fille. Il me baise comme une femelle. Je lui donne ce qu’il veut, j’ai envie qu’il se vide en moi, qu’il me salisse. Je le lui dis et il me murmure qu’il va me défoncer le cul. Il sort de moi, me retourne et me m’encule, comme une chienne, à quatre pattes. Il presse mes fesses et s’en sert pour me tirer vers lui à chaque fois qu’il me la met jusqu’à la garde.

— T’es ma pute ! fit-il en me secouant d’une claque sur le cul.

   Il jouit en moi. Il éjacule dans mes boyaux et me remplit de sperme. Il nous bouscule sur le canapé et continue à donner des derniers à-coups, me remplissant davantage. Quel étalon ! Mon trou du cul se serre autour de sa queue et l’aspire pour demander plus de sperme. Je sens son poids sur mon dos et sa respiration se calmer difficilement. Ce type met sa main autour de mon cou et me mord la lèvre. Je le laisse faire. Je me laisse faire.

   C’est un homme et je suis sa chienne bien baisée.

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