Virginie décroche et sourit, puis elle déclare :
Je l’aurais parié ! C’est Camille qui veut te parler, Amandine. Je te la passe ?
Oui, mais j’aimerais que Laura et toi vous écoutiez aussi.
Pas de problème !
Virginie met l’amplificateur de son du combiné en route. Les trois femmes entendent Camille demander :
Amandine ?
Celle-ci lui répond :
Oui, Camille. Que veux-tu ?
Je voudrais t’inviter avec Laura à une petite cérémonie que j’organise.
C’est gentil. Quand et où ?
Chez Madame Virginie, cet après-midi.
Ah bon ! Mais pourquoi ?
Marion et moi avons décidé de vous inviter toutes les deux parce que c’est très important pour nous. On vous aime beaucoup, vous savez, même s’il y a peu de temps qu’on vous connaît.
Nous aussi, nous t’aimons bien, Camille. Alors, que veux-tu faire ?
Eh bien, c’est une cérémonie un peu spéciale
La jeune fille semble hésiter, puis elle lâche tout à trac :
Voilà, je veux que vous soyez témoins, comme Madame Virginie, de la perte de mon pucelage.
C’est vrai que c’est important. Mais il y aura d’autres personnes, alors ? Il faut au moins un homme.
Oui : mon père. Vous demanderez pourquoi à Madame Virginie ; maman lui en a parlé il y a un bon moment.
Elle s’arrête puis reprend :
En tout, il y aura papa, maman, Marion, Madame Virginie et vous deux, si vous le voulez bien.
C’est un grand honneur que tu nous fais, Camille ! Oui, nous serons tes témoins.
Oui, mais
Mais quoi ?
Il faudrait que vous soyez toutes nues. Vous comprenez, Madame Virginie m’a promis qu’elle serait comme ça ; alors, vous aussi ?
Amandine sourit tellement la voix de Camille est implorante. Elle lui apprend :
D’accord, Laura est près de moi et elle me fait signe qu’elle est aussi d’accord !
Formidable ! Je vais dire ça à Marion. D’ailleurs
Oui ?
Demain, vous pourriez faire la même chose pour Marion ?
Bien sûr, Camille !
Oh merci ! Vous êtes des amours, Laura et toi. Cet après-midi, nous arriverons à quinze heures au cours. D’accord ?
D’accord !
La jeune fille raccroche. Virginie dit doucement :
Tu vois, je m’en doutais : vous allez assister toutes les deux pour elle cet après-midi, et demain pour sa sur.
Laura ajoute :
Et sans frais de costume, contrairement à beaucoup d’autres cérémonies !
Les trois jeunes femmes éclatent de rire.
Le temps passe vite. Après leur déjeuner commun, Virginie, Amandine et Laura décident de préparer spécialement la « salle aux miroirs ».
Elles peinent un peu, mais elles réussissent à monter le lit sur la scène.
Virginie, une fois l’installation terminée, s’exclame :
Ça valait le coup ! Camille va pouvoir se voir de tous les côtés avec son père et tous les assistants.
La sonnerie de l’entrée retentit. Amandine dit :
C’est sûrement elle. On ouvre comme on est ou on passe une robe ?
Pour toute réponse, Virginie prend ses deux amantes par la main et les entraîne jusqu’à la porte.
Alors qu’elle allait ouvrir, elle dit :
J’allais oublier une chose !
Elle retourne dans la salle et en revient avec deux chaises. Elle explique à ses amies, en les disposant de chaque côté de l’allée :
On va les faire déshabiller avant ! C’est pour poser leurs vêtements.
Elle ouvre devant Camille qui sourit et s’écrie, émerveillée :
Oh, merci !
Elle fait pénétrer Camille, sa sur Marion, Philippe, le père puis Sylvie, la mère, qui sourit aussi en voyant les deux chaises et dit :
Je crois comprendre que nous devons déposer nos vêtements sur ces chaises.
Virginie précise :
Oui, déshabillez-vous ; nous trois, nous nous occupons de Camille.
La jeune fille encore pucelle n’a qu’une robe, un string et un soutien-gorge. Virginie lui ôte la robe et la dépose sur une chaise, Amandine lui retire son soutien-gorge et, comme elle est juste derrière elle, elle lui empaume les seins tandis que Laura, agenouillée devant Camille, baisse son string et lui fait un petit baiser sur le sexe. La jeune fille soupire d’aise, les yeux clos, puis se libère du petit morceau de tissu en levant un pied puis l’autre.
Virginie indique :
Voilà. Nous nous dirons bonjour dans la salle. En attendant, Camille, je crois que tu devrais conduire ton papa en le prenant dans tes mains, comme ça !
Philippe est en érection. Virginie prend la main droite de Camille et la pose autour de la verge de son père. Elle s’assure qu’elle la tient bien, puis elle se dirige vers Sylvie en lui disant :
Marion pourrait peut-être te mettre un doigt ou deux dans le sexe, non ?
Avec un sourire, Sylvie répond :
Toutes les deux ont l’habitude de le faire lorsque je les regarde s’aimer dans leur lit.
Parfait, alors allons-y !
L’étrange procession se dirige vers la « salle aux miroirs ». En voyant sa nouvelle disposition, Camille lâche son père et applaudit. Elle dit :
Merci, comme ça je vais tout voir !
Virginie réplique :
Attends : il faut d’abord qu’on se dise bonjour.
Elle l’embrasse à pleine bouche et force les lèvres que la jeune fille lui ouvre avec sa langue, puis elle passe à Philippe, à Sylvie et à Marion. Elle est suivie par Amandine et Laura qui agissent de la même manière.
Camille s’allonge sur le lit, écarte les cuisses puis demande :
Viens, mon papa d’amour, fais de moi une femme.
Philippe lui répond :
Oui ma chérie, sois sans crainte. Mais ta maman, Marion et moi allons te préparer, si tu veux bien.
Il s’agenouille devant le sexe de sa fille et le lèche doucement, sous les cris émerveillés de Camille.
Virginie, Amandine et Laura se sont installées près de la tête de Camille. Finalement, aidée par ses deux amies, Virginie, les cuisses écartées, laisse son ventre servir d’oreiller à la jeune fille.
Après son père, celle-ci reçoit l’offrande des lèvres de sa mère puis de celles de sa sur.
Lorsque Marion se redresse, le sexe de Camille est trempé.
Sylvie s’empare de la verge tendue de son mari et déclare :
Marion, ouvre bien ta sur pendant que je guide ton père en elle.
Oui, maman !
En fait, Marion est aux anges : elle va pouvoir observer de tout près comment un homme fait l’amour à une femme, comment elle-même demain recevra le même homme que sa sur : leur père.
Pendant que Virginie caresse les cheveux de Camille, Amandine et Laura, qui sont de chaque côté d’elle, lui caressent chacune un sein dont la pointe bondit.
Sylvie guide le sexe de son mari dans celui de sa fille sans aucune difficulté. Marion, qui a fini par mettre ses genoux de chaque côté de sa sur, regarde l’intrusion du premier homme dans le sexe de Camille.
Philippe, lui, est aux anges : sa verge est dans un conduit étroit, humide, qu’il est le premier à visiter.
Soudain, il tressaille : sa femme, qui surveille de très près les opérations, s’empare de ses testicules dans une main en lui disant :
Va, mon amour, va bien au fond !
Il pousse doucement mais fermement, et bientôt il entend sa fille s’écrier :
Oh oui, mon papa d’amour, tu es tout entier en moi. Je n’ai pas eu mal du tout. C’est bon
Marion se redresse et prend son père par le cou, puis l’embrasse à pleine bouche. Philippe ne se contrôle plus : les caresses de sa femme, la pénétration de sa fille, le baiser profond de son autre fille, le spectacle qu’il voit par intermittence de ses trois hôtesses Il met ses reins en route et, petit à petit, il se déchaîne jusqu’au moment où il envoie de longs jets de sperme au fin fond du vagin de Camille, qui les accueille en jouissant.
Le petit groupe se désunit ; seules Virginie, Amandine et Laura restent à leur place. Philippe est encore enfoncé dans le vagin de sa file qui vient de recevoir du sperme pour la première fois. Marion descend et se penche à l’oreille de sa mère pour lui murmurer quelques mots que personne ne comprend, hormis la principale intéressée.
Sylvie demande à son mari de se retirer doucement de Camille. Dès qu’il est sorti, elle lui nettoie la verge en lui faisant une gorge profonde qu’il apprécie. Pendant ce temps, Marion s’est installée en face du sexe de sa sur et la nettoie avec sa langue. Soudain, Camille, qui regarde dans le miroir tout ce qui se passe autour d’elle afin de se forger des souvenirs, s’écrie :
Papa, maman ! Marion n’a jamais mis si loin sa langue. Oh, elle boit ce que papa m’a mis C’est bon ! Je vais encore jouir !
Finalement, Marion s’allonge sur sa sur et l’embrasse à pleine bouche, lui transmettant ainsi ce qu’elle a recueilli à sa « source d’amour » comme elle le dit après.
Sylvie s’agenouille près du lit, à proximité d’Amandine, et bien entendu de Camille. Elle interroge cette dernière qui lui apprend qu’elle a été très heureuse de ce qu’elle a connu. Sylvie lui dit :
J’en suis très heureuse pour toi, ma chérie. Mais tu te souviens de ce que je t’ai dit ?
Oh oui, maman ! Je veux être une femme complète. Fais comme tu m’as dit.
Sylvie se redresse et annonce :
Je reviens.
Elle sort de la salle sous les regards interrogateurs des autres personnes. Camille, pressée de questions, ne répond pas.
La porte s’ouvre de nouveau, Sylvie rentre.