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L'amour dans les cordes – Chapitre 2




Après ma soirée mouvementée, j’ai mis une bonne journée à tout ranger et nettoyer, in extremis avant le retour de mon futur ex. Quand Antoine est rentré, pour lui ça a été : « Bonjour ma puce, ça a été cette semaine ? ». Pour moi c’était « Alors mon Chéri, comment était ce voyage ? » Quand je l’ai embrassé j’ai cru sentir les restes d’effluve d’un parfum de femme. Visiblement il s’était envoyé une autre de ces grognasses rencontrée sur le net. Quand il m’a demandé ce que j’avais fait cette semaine, je n’ai évidemment pas parlé de cet homme qui c’était introduit dans mon intimité et dans notre maison. Durant la soirée, je n’avais qu’une obsession : sa sacoche. J’étais sûr d’y trouver les réponses à mes questions.

Plus tard, alors qu’il prenait sa douche, je me suis approché de sa sacoche malheureusement elle fermait avec une combinaison à quatre chiffres, ce qui faisait dix mille possibilités. Impossible que j’arrive à toutes les tester durant un laps de temps aussi court. Je n’ai pu en essayer que quelques-unes, mais ça n’a pas marché.

Notre vie avait repris comme elle était avant sauf que quand mon mec me sautait, je n’arrêtais pas de penser que sa queue soit allée se nicher dans la bouche et le vagin d’une autre femme que moi. Dès que j’avais un moment seule, c’est-à-dire très peu, je testais des combinaisons pour ouvrir cette sacoche. Je n’avais qu’une obsession : l’ouvrir et la fouiller pour trouver des indices sur ce que trafiquait mon fiancé et surtout avoir une piste sur l’identité de mon mystérieux visiteur. Malheureusement je n’y suis pas parvenu avant son déplacement professionnel suivant. Visiblement son patron avait besoin qu’il prospecte bon nombre de nouveaux clients. Toutefois, faisant semblant de m’intéresser à ce qu’il faisait, je lui aie quand même demandé plus de précision sur son boulot et de me raconter sa semaine. Il m’a dit qu’il était parti visiter des clients avec qui la boite avait des contrats de transport de fret, que ce soit en France où à l’étranger, dans les pays limitrophes. Il était aussi chargé de négocier d’autres contrats avec de nouveaux clients. Quand il me racontait tout ça, il semblait passionné et évoquait parfois un projet professionnel dont il m’avait parlé sans m’en donner de précision. Bref à la fin je n’étais pas plus avancé, mais il était heureux que je m’intéresse à ce qu’il faisait alors qu’en fait j’essayais de savoir ce qui avait motivé mon visiteur à venir.

Quand Antoine est parti, je me suis dit « peut-être que mon visiteur va revenir ? » J’avais des raisons de l’espérer car il n’avait pas trouvé ce qu’il voulait la dernière fois. J’étais seule durant quatre jours et trois nuits. J’imaginais bien que, s’il devait venir, ce serait la nuit et qu’il profiterait de l’obscurité pour entrer .. Rien. Les trois nuits, il n’y a rien eu. J’avais pourtant laissé la porte de la véranda ouverte comme la dernière fois. Le soir du retour d’Antoine j’ai reçu un SMS de lui qui disait « DSL retenu chez client à 2min ». J’avais cuisiné un bon plat pour l’amadouer, jouer la bonne maitresse de maison bref endormir sa vigilance pour pouvoir tenter d’ouvrir sa sacoche : raté ! Comme il faisait chaud, je me suis endormi toute nue, la fenêtre ouverte, mais en laissant les volets légèrement entrouverts. J’étais allongée sur le drap toute nue, mais à plusieurs reprises j’ai été dérangée par du bruit. Je me suis levée pour fermer la véranda que j’avais laissée ouverte pour faire courant d’air, pensant que ça venait de là quand en entrant dans le salon, je me suis fait ceinturer par mon mystérieux visiteur qui m’a coincé les jambes contre la table.

— Alors ma Chérie, tu te souviens de moi ? me dit-il alors au creux de l’oreille alors qu’il était dans mon dos.

— Encore vous ? Lui répondis-je alors que je ne l’attendais plus

— Et oui c’est moi. Quand j’ai appris qu’Antoine ne rentrerait pas ce soir, je me suis dit que j’allais te tenir compagnie ce soir. Dit-il en faisant balader ses mains sur mon corps.

— Vous me faites mal . Mais comment vous avez su qu’il ne serait pas là ?

— Facile il a appelé au boulot pour prévenir. Mais tu peux me dire « tu » maintenant. Surtout après ce qu’il s’est passé entre nous la dernière fois. Dit-il alors en humant mon parfum naturel dans mon cou.

— On n’a pas gardé les vaches ensemble que je sache.

— Oh ! Mais c’est qu’elle se rebiffe la petite chatte. D’ailleurs, je suis sûr que t’aimerais que je m’occupe encore de la tienne comme la dernière fois. Est-ce que j’ai tort ? Hein ? C’est pour ça que t’as rien dit à ton mec sur ce qu’on a fait ?

— Oui c’est ça. Je suis sûr qu’après ce que je t’ai dit sur ton mec, t’as cherché à en savoir plus. Hein ? Et t’as peut-être pu fouiller la fameuse sacoche dont tu m’as tant parlé ?

— Oui.

— Et donc ? Tu as des infos pour moi ?

— Non . Je n’ai pas réussi à l’ouvrir.

— Bah voyons. C’est à croire qu’inconsciemment tu cherches encore à l’aider.

— Non ! Moi aussi je veux savoir. C’est juste que je ne connais pas la combinaison du verrou.

— Sache-le, ton mec c’est une crapule, crois-moi. Il ne faut pas le protéger . Bon t’as rien pour moi et je ne vais pas perdre de temps à tout fouiller une nouvelle fois .. Lot de consolation ? Hein ?

— De toute façon est-ce que j’ai le choix.

— C’est bizarre t’as l’air moins résignée que la dernière fois.

— Tu dis rien hein ? En fait tu m’attendais c’est ça ? T’as aimé ce que je t’ai fait la dernière fois c’est ça ? M’a-t-il dit en me pelotant les seins.

— .

— Je sens qu’on va passer un bon moment tous les deux . En plus tu sens bon .Voyons voir si tu mouilles autant que la dernière fois . Ah, je vois que ça commence et en plus t’as les tétons qui pointent. Tu as envie que je te la mette c’est ça ? Et bien tu vas avoir ce que tu veux.

C’est en me gardant serrée contre lui, en empêchant mes bras de bouger avec les siens qu’il me souleva, m’emporta dans la chambre et me déposa sur le lit. Sans perdre de temps, il sortit de petites cordelettes de sa poche. Il m’attacha les mains et les pieds, chacun à un des pieds du lit. Quand il eut fini, il se releva et je voyais un sourire se dessiner sur ses lèvres, par l’ouverture de cette cagoule qu’il avait sur la tête. J’étais allongée, toute nue, bras et jambes tendus formant un X. Il commença alors à retirer son pantalon, puis son pull en prenant bien soin de ne pas perdre sa cagoule. Il retira ensuite le T-shirt Marcel blanc qu’il avait pour finir par son slip que je voyais déformé par une érection naissante. Il l’a remarqué et détacha ma main, la plus proche de lui pour la poser sur sa queue et ses couilles.

— Tu la sens qui grossit ? Tu vois, moi aussi je suis content de te voire . Oui vas-y masse moi les bourses . Oui astique-moi bien le manche . Mmh ! Au moins maintenant je suis fixé. Tu veux que je te baise. Je n’en étais pas totalement sûr avant, mais là c’est confirmé.

— Pourquoi vous dites ça ?

— Parce que sinon tu me les aurais serrées tellement fort que je n’aurais pas pu me relever.

— Qui vous dit que je ne l’ai pas fait pour que vous ne me frappiez pas ?

— Parce qu’à peine tu les avais en main que tu les massais déjà, sans que je t’en donne l’ordre. Pour moi c’est clair. Tu veux et tu as envie que je te baise.

— ..

— Et je suis certain que tu fais ça pour te venger de ton mec. Comment on dit déjà ? « L’ennemi de mon ennemi est mon ami » c’est ça ? « L’ennemi de mon ennemi est mon amant » dans le cas présent.

Il venait de me percer à jour. Dans un sens tant mieux. Par contre, il s’était lancé dans un monologue interminable sur le fait qu’il allait me faire jouir comme jamais pendant que j’avais ses couilles en main. Alors qu’il parlait, je me disais « mais qu’est-ce que t’attends ? T’as une fille à poil devant toi, attachée, prête à l’emploi. T’attends quoi pour me baiser ? » Heureusement, quelques minutes plus tard, il me rattacha la main au pied du lit et m’attrapa par les cheveux. Tandis que ma tête se rapprochait de sa queue, il remarquait avec un sourire non dissimulé que, machinalement, j’ouvrais la bouche. Il s’arrêta à quelques centimètres pour me dire « vas-y régale toi » avant de poursuivre et me l’enfourner.

Il avait ses mains sur sa taille et me regardait en train de lui sucer le manche. Aux soupirs qu’il poussait, je sentais bien qu’il était satisfait. Malheureusement, je fatiguais dans cette position inconfortable. Il semblait l’avoir deviné et, avec ses mains, il m’a soutenu le dos d’une main pour que je fasse moins d’effort et que je mette toute mon attention à ce que j’avais dans la bouche, l’autre main servant à me donner la cadence. Je sentais cette colonne de chair gonfler entre mes lèvres. Puis, il m’a lâché sans prévenir me faisant retomber sur le matelas.

— Bien ! À mon tour de jouer et d’avoir un amuse-gueule.

— Pourquoi tu me regardes comme ça ? T’essaies de faire quoi ? Me demanda-t-il en remarquant que je le fixais.

— Mais rien.

— Je n’aime pas ça. Attends j’ai amené quelque chose : Un masque pour les yeux. Attends je te le mets .. Voilà, bien serré . Parfait ! Maintenant je vais pouvoir retirer cette cagoule. J’étouffe dessous, faut que je m’en trouve une moins chaude.

Il avait remarqué que je le fixais. J’essayais de m’imaginer son visage à travers ce que je voyais : la forme et la couleur de ses yeux, la forme de sa bouche, J’avais bien vu ses yeux verts, des poils de barbe roux ou blond vénitien (y a-t-il une différence entre les deux au fait ?) presque brun d’ailleurs. J’essayais d’enregistrer tous ces détails pour essayer de reconstituer son visage. Je m’étais trouvé un amant dont je ne savais rien : ni le nom ni le visage. Je me retrouvais donc complètement attachée au lit et aveugle. Bref totalement à sa merci.

J’entendais ses pas sur le sol, il s’était déplacé au niveau du pied de lit. Puis je l’ai senti se positionner entre mes cuisses et Ahhh ! Il a commencé à me lécher . Ce que c’était bon ! Je le sentais me titiller mon petit bouton .. Rien à voir avec Antoine. Il était d’un tout autre niveau d’expertise. Ses mains au départ positionnées sur mes cuisses ont très vite fait le voyage jusqu’à ma poitrine qu’il s’est mis à palper comme un mort de faim.

Sous ses coups de langue, j’ai vécu un intense moment de volupté .. PFFF quelle sensation ! Était-ce le fait de ne rien voir qui démultipliait le plaisir car je me focalisais sur mes autres sens dont le toucher ? Peut-être. Ensuite, je l’ai senti m’embrasser depuis mon entrejambe, se dirigeant sur mon nombril puis sur mes seins. J’ai bien compris qu’ils lui plaisaient. Ses mains et sa langue se sont attardées dessus un temps avant que j’entende un bruit bizarre. Au son, ça me faisait penser au bruit que faisait une bombe de peinture quand on la secoue, mais j’ai bien compris que c’était de la chantilly quand il a commencé à m’en mettre sur les mamelons, à les lécher puis à en remettre, à les relécher et ainsi de suite. Mon corps était devenu un jouet entre ses mains et ça m’excitait. Non pas un jouet, une gourmandise plutôt. Plus tard, j’ai senti plusieurs substances tapisser mes seins. D’après les parfums et la texture, il y avait du miel et de la confiture et peut-être même du sirop d’érable. Il m’a dégusté les mamelles ainsi recouvertes et je l’entendais pousser des soupirs de plaisir. Mais au bout d’un moment, il n’a plus eu faim.

— Bon, ce n’est pas tout ça, mais va falloir éliminer toutes ces calories maintenant.

— Qu’est-ce que tu vas faire ?

— Tu ? Oh ! Tu commences à te laisser aller. C’est bien. Alors . Quest-ce que je vais te faire, tu demandais ? Facile, je vais te faire ce que tu attends depuis le début.

— Et qu’est-ce que j’attends depuis le début ?

— Tu attends que je te prenne, que je te viole, que j’use et abuse de ton corps de rêve. Je suis sûr que tu rêves de sentir une nouvelle fois ma queue envahir ton ventre .. Tu ne dis rien ? Je suis sûr que j’ai raison. Je suis sûr que je te donne plus de sensation et de plaisir que ton mec avec sa petite coquillette cuite. M’a-t-il dit en se rapprochant de plus en plus de moi

— Pour ça . C’est vrai, je ne vais pas mentir.

— Bien ! Mais avant d’y aller, il faut que je me couvre. La dernière fois, je croyais la maison vide alors je n’avais rien prévu. Cette fois, j’ai pris mes précautions.

J’étais attachée, j’avais toujours les yeux bandés et mon attention se focalisait sur mes autres sens. Ainsi j’ai entendu comme un bruit de déchirure plastique puis un son qui ressemblait à celui que j’entends quand je mets des gants fins en caoutchouc. Puis il s’est positionné sur moi et a commencé à s’introduire. Quand il commençait à aller et venir, je me suis totalement laissée aller (en avais-je le choix, en même temps, dans une telle position ?). Allongé sur moi, je le sentais soupirer de plus en plus. Il m’embrassait . Non il me galochait de temps en temps et positionnait sa tête sur mon épaule. Je le sentais sur ma joue, il n’avait plus sa cagoule. Il était là, à visage découvert, mais je ne voyais rien. En plus, il m’était impossible de faire bouger ce masque qu’il m’avait mis. Je le sentais accélérer de plus en plus la cadence et soupirer de plus en plus jusqu’à ça qu’il jouisse en poussant un long soupir rauque. J’avais visiblement raison pour les sons que j’avais perçus. Il avait bien mis une capote cette fois. Il est resté un moment sur moi à reprendre son souffle avant de se retirer, se relever et d’après les sons que je percevais, de se rhabiller. À un moment je l’ai étendu s’éloigner puis revenir. Pendant quelques secondes j’avais cru qu’il allait m’abandonner comme ça. Il s’est rapproché de moi et m’a dit, en me caressant la joue : « J’ai comme l’impression que je me suis trouvé une belle petite cochonne. Puisque tu sembles tellement aimer ce que je t’ai donné, je reviendrais. Tu ne sauras pas quand, mais je repasserai. Par contre, pas un mot à ton mec. Ce sera beaucoup plus drôle comme ça ». Et il est parti après m’avoir glissé un couteau dans la main pour que je puisse me libérer.

Une fois seule, toute nue dans ma chambre, je réalisais à peine ce qu’il m’était arrivé. J’ai très vite libéré ma main avec le couteau que mon amant m’avait laissé puis j’ai retiré mon masque et pour finir je me suis libéré l’autre main et les pieds. J’avais les seins gras et collants à cause de ce que mon amant y avait mis. J’ai donc pris une douche et je me suis recouchée le sourire aux lèvres. Le lendemain matin, ma copine, celle qui m’avait parlé en premier de l’infidélité de mon mec est passée me voir. On s’est posé autour d’un café.

— Salut comment ça va ?

— Moi ? Ça va et toi le boulot ?

— Ça va je n’ai pas à me plaindre, ça carbure à plein tube.

— Tant mieux, je venais de faire du café, t’en veux un ?

— Oui merci .. Alors, dis-moi, il a dit quoi ?

— Qui ça ? Qui a dit quoi ?

— Comment ça qui ? Bah Antoine pardi. Il a dit quoi quand tu lui as dit que tu savais qu’il couchait ailleurs ?

— Rien

— Comment ça rien ?

— Il n’a rien dit car je ne lui ai rien dit.

— Non, mais attend, tu comptes rester avec lui ? Sérieusement je ne te comprends pas.

— Ne t’occupe pas de ça. Je crois que je sais comment me venger de lui.

— Ah ! Tu m’as fait peur. J’ai cru que t’étais du genre soumise qui encaisse et qui ne dit rien même devant l’évidence.

— Plus maintenant. Il faut dire que quelqu’un m’a fait découvrir quelque chose sur moi que je ne soupçonnais pas.

— Quelqu’un ? Ah mais oui c’est vrai, tu m’avais dit que tu voulais sortir et t’envoyer un mec. Visiblement ça a marché.

— Si on veut.

— Comment ça si on veut ?

— J’ai bien rencontré quelquun, mais après.

— Oh ma chérie ! Chui contente pour toi. Quand t’en parles t’as des étoiles dans les yeux. Aller va z y raconte-moi tout, je veux tout savoir. Il est beau ? Il s’appelle comment ?

— Bah justement. C’est là qu’est le problème, je n’en sais rien.

— Comment ça t’en sait rien ?

C’est là que je lui ai raconté les deux fois où mon mystérieux visiteur est venu. Sa première impression avait été que je m’étais faite violer par un cambrioleur, mais elle voyait bien que j’en parlais avec le sourire et que je n’étais pas choquée, au contraire. Quand je lui ai dit que ce type avait lui aussi un compte à régler avec mon mec, elle m’a quand même dit de me méfier. À ses yeux, ça sentait mauvais.

— Donc laisse-moi résumer ce que tu viens de me dire. Ton mec trempe dans une affaire pas nette.

— Il parait.

— Un type dont tu ignores tout t’a initié au bondage .

— Le quoi ?

— Le bondage, une pratique SM consistant à attacher son ou sa partenaire pour en faire ce qu’on veut, sexuellement parlant.

— Ah ! Oui, c’est ça !

— Je continue. Donc ce type t’a baisée et tu t’es laissée faire.

— On va dire que ça m’arrangeait sur le moment. Si je l’avais voulu, je me serais défendu. Je sais que je n’ai plus pratiqué le karaté depuis dix ans, mais je suis sûr que j’aurais pu me défendre. En plus, il m’a confirmé l’adultère d’Antoine. Ils bossent dans la même boite visiblement.

— Et donc ce type, si j’ai bien compris, aurait un contentieux avec Antoine au niveau du boulot.

— Oui. Il m’a même qualifié de « lot de consolation » quand il n’a pas trouvé ce qu’il voulait.

— Et tu comptes faire quoi au juste ?

— Fouiller, trouver ce qui peut les lier, découvrir qui est cet homme et pourquoi pas quitter Antoine pour ce visiteur masqué sil en vaut la peine.

— C’est vraiment un si bon coup que ça ?

— Je ne sais pas pourquoi, mais, être attaché, ça m’a excité comme jamais. Me faire prendre par ce type . J’ai adoré.

— OK méfie-toi quand même.

— Je pense que les réponses, ou en tout cas une partie, se trouvent dans la sacoche de mon mec. Mais je ne connais pas la combinaison et je n’ai pas pu en tester beaucoup.

— OK alors j’ai un plan. Quand ton mec est là, je peux venir, l’occuper et Je sais ! Et si j’essayais de le draguer pour le tester ?

— Tu peux même coucher avec lui si tu le veux je te le laisse.

— Pour qu’il me fasse la même chose qu’à toi ? Hors de question. Bref j’arrive je l’occupe pendant que toi tu fouilles, mais faut pas que ça dure trop longtemps sinon ça peut paraitre suspect.

— Et pour mon visiteur ?

— Tu m’as dit qu’il avait retiré sa cagoule c’est ça ?

— Oui, il avait trop chaud dessous, mais il m’avait bandé les yeux avant. Je scrutais tous les petits détails de son visage, mais ça ne lui a pas plus. Il ne veut pas être reconnu visiblement.

— La prochaine fois, t’as qu’à mettre une caméra.

— Je n’en ai pas.

— Moi j’en ai une. Elle enregistre sur carte SD. Je te la prête, tu la mets dans la chambre et s’il retire sa cagoule, tu auras son visage.

— Ouais ! Bonne idée.

Avec ma copine on avait un plan et je comptais bien le mettre en application. C’était plus fort que moi, je voulais savoir le fin mot de toute cette histoire. Quand j’ai enfin récupéré la caméra, je me suis dit, en pensant à mon visiteur, « je finirai bien par savoir qui tu es ».

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