En mon existence, je n’oublierai jamais le mariage de ma soeur. En 89, intervint le mariage de ma soeurette. Toute la famille était fortement heureuse. Depuis peu de temps, une épilepsie demeurait en moi. Bien sur, une réalité voyageait en mon esprit. Déjà, mon physique n’arrangeait pas les choses, surtout mon visage, pour envisager de partager ma vie en lui permettant d’être décorée par l’amour. Ce qui fait que je retournait mes pensées et mes pensées sur les familles, constatant leur bonheur. J’aimais apercevoir des couples bénéficiant d’enfants. je savais que jamais je posséderais mes propres fils et filles. c’était sympa de regarder tout ça.
Donc, le jour apportant l’union entre ma soeur et mon beau frère, se présenta. une parti de cet événement eu lieu dans une église bien sur. Puis, la soirée se déroula dans la grange fort magnifique, appartenant à un oncle et une tante. tout était formidable.
Durant cette fête, de la bonne musique la danse représentait un merveilleux élément de ce véritable bonheur. Bien entendu, tous les styles de musique accompagnait tout ça. Comme à l’habitude pendant une festivité de cette sorte, les slows intervenaient. Tout le monde se proposait de s’unir afin de s’offrir des instants de danse pleine de lumière par la douceur apparaissant. J’avais dans un premier tant, ouvert le bal personnellement, en compagnie de ma mère qui ne connaissait pas trop les slows. Elle fut ravie de ces moments. Elle se laissa aller alors, dans les bras de mon père. Tous les enfants et ados demeurant à ce mariage, réalisaient ces mouvements de danse entre eux!
Par contre pour moi, se pointa une période un peu étrange. Effectivement, pour tout le monde, une dose d’alcool, comme il fallait l’envisager assurait l’exagération. Le beau père et la belle mère de ma soeur formaient un duo de danseurs tout à fait logique pendant l’audition des slows. Puis un instant arriva, pendant lequel, un verre à la main, Mauricette, la belle mère de ma soeur, me croisait mon regard, accompagnée d’un sourire très doux et m’apportant beaucoup de frissons que je ne pouvais contrôler. Il faut dire que cette femme de 58 ans, était magnifique.
Elle s’approcha de moi. "Dis moi Thierry, tu danses avec moi?" C’est une réponse positive que je lui accordais. c’était fantastique de me trouver contre elle. de plus en plus, ma queue prenait l’allure d’un bâton de fer par sa dureté. Ses seins s’appuyant contre ma poitrine, c’était divin.
Tout à coup, je sentais sa main sur mes fesses. Elle les parcouraient tout doucement. C’était si divin. Je ne parvenais pas à retenir un réel souffle de désir.Je débutais alors, un geste similaire au sien. Au creux de mes oreilles, j’entendis ces mots complètement explosifs."On y va?" Main dans la main, on se dirigea vers le camping car appartenant à son mari. Ils provenaient effectivement de Issoudun. Le mariage se déroulait sur Vichy et Bayet.
Elle débuta en rejoignant mes lèvres tendrement au moyen d’un si tendre baiser! elle m’offrais de petits bisous dans le cou. Je la caressait si doucement. Nous nous plaçâmes alors sur le lit. Tendrement, nous nous étions dévêtus! nue, des seins bien dessinés sur ce corps représentant le modèle utilisé par un réel artiste peintre. des hanches fabuleuses. un tout petit peu ronde, elle me rendais fou. des fesses si merveilleuse. Bien sur, sa peau si douce, ont réussies à apporter dans mon esprit, depuis ma présence en Vendée, auprès de l’océan, à la douceur de ce sable couvrant les plages!
Mes lèvres parcouraient ses seins, je suçais et mordillais ses tétons si tendus. Elle démarrait de petits gémissements. mes mains parcouraient son corps. Mes lèvres descendirent le long de tout ce corps fabuleux! Je parvenais alors à cette cette forêt couvrant une fente plutôt humide. elle me tendit un rasoir et me demanda "tu veux m’épiler chou?" c’est avec douceur que ça se passa! cette fente fut débarrassée de tous ses poils. Elle était si belle. De plus en plus mouillée. Elle me souriais en caressant ma bite. Une fantastique électricité m’envahissais! elle parvenait à mes couilles! elle malaxait mes bijoux de famille. Je soufflais tant. Ma langue se trouvait sur son clitoris. Elle prononça "oooohhh oui! c’est bon!"
Toute sa fente fut visitée par ma langue. j’y allait! Encore et encore! j’introduisis un doigt tout doucement puis un autre et un troisième. Des allez et viens très tendre étaient accompagnés de nombreux gémissements. Elle se tourna sur le ventre. Ma langue se plaça sur la fente de ce si joli cul. Je suçais tout ça pendant un bon 1/4 d’heure. Mes doigts continuaient en même temps de transformer sa chatte en réelles chute du Niagara. Les gémissements me permettais d’entendre "Ouiii! Tu es bon mon bb! Encore! Enfonce! Défonce moi!"
Ma queue si dure, doucement s’installe sur l’entrée de son cul! tendrement je pénétrais. Des mouvements de plus en plus forts se déroulèrent! Elle criait de plaisir! elle tenait les draps dans sa main en les bougeant fortement par son plaisir!
Puis elle prit ma queue et me suça de plus en plus vite! je gémissais, en me sentant bien comme jamais! C’est alors, que son mari entra dans le camping car. Mauricette prononça "merde! Le voilà!" Michel alluma la lumière. Il nous regardait quelques secondes! "Hhhhhmmm! On s’est bien amusé!" Je recherche des papiers! Faîtes gaffe qu’on ne vous choppe pas!"
Il redescend et repart à la fête. Surpris, on se regarda un moment et elle leva les épaules, comme quoi il ne fallait pas chercher à comprendre!
On remit alors le couvert! elle me branla à fond. lors de la forte giclée, Elle secoua pour tout faire sortir sur son visage! elle caressait le sperme et entrait ça dans sa bouche. Elle allait se placer sur mon corps, lorsque Michel remonta dans le véhicule! Il nous lança"attendez les enfants" Il se déshabilla. Il commença à me caresser la bite. Il était si beau. Mauricette le branlait. Il pénétrait son cul en me demandant "tu as déjà baisé avec un mec?" "non. mais j’en ai toujours eu envie de connaitre ça!" Il m’apporta un très fort baiser! C’était si bien de sentir sa langue! Je mouillais tellement. Il me suça! Je caressais les seins de Mauricette. Elle me chevauchas. Michel, la bite dans son cul. "aaahhh ooouuuiii mon salaud! j’aime ça!!!"
Il m’encula si fort! "plus loulou! plus fort" Il y allait à fond à fond! "oouuuiii encore! je te veux!" C’était trop bon! Je n’imaginais pas comme c"était si bon de baiser avec un homme! Une femme de 58 ans, c’est trop magique. Elle était si belle!