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Traquée par Sammy le malade – Rachel – Chapitre 1




Traquée par Sammy le malade 2 : Rachel

Stalked by Sicko Sammy – II

Coulybaca / Black Demon

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Cette histoire se suffit en elle-même,

cependant elle est aussi une suite logique à

"Stalked by Sicko Sammy – I"

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Sammy Le Blanc, Sammy le malade comme on le surnommait maintenant était drôlement fier de lui.

Jamais auparavant il n’avait réussi en quoi que ce soit dans sa vie, mais maintenant les choses avaient opéré un virage à 180 °.

Il se sentait maintenant nettement supérieur à ses pairs, son entourage immédiat se référait à lui comme à une pointure à présent, bien qu’ils ne connaissent pas exactement ses nouvelles occupations couronnées de succès.

Même si certains gars continuaient de le harceler, Sammy pensait simplement :

— Ouais moquez-vous de moi pour l’instant, bientôt vous sangloterez ! Je parie que vous ne vous faites pas autant de jeunes femmes mariées que moi, connards !

Se souriant à lui-même, sachant pourtant qu’il devait encore affiner ses techniques, Sammy pensait : J’adore vraiment baiser ces ravissantes jeunes femmes.

Il était encore plus heureux lorsqu’il voyait ces adorables jeunes femmes arborer une alliance ou une bague de fiançailles.

S’il avait révélé à qui que ce soit qu’il s’était fait plusieurs somptueuses jeunes ménagères ces derniers mois, on aurait pou croire qu’il s’était débrouillé pour se glisser dans les petites culottes de quelques jeunes femmes isolées qui voulaient expérimenter une grosse bite noire.

Mais ce que Sammy le malade se plaisait à considérer comme "faire l’amour" à une ravissante jeune femme mariée… N’était pas partagé… Pas alors que ces femmes se considéraient comme étant passées entre les mains d’un violeur en série.

Repensant à ses deux premières cabrioles, il en conclut que c’était un succès de première importance – il ne s’était pas fait prendre bien qu’il ait assouvi ses désirs les plus lubriques en les violant toutes deux.

Tout avait commencé lorsqu’en sortant de la cuisine de la pizzeria il était tombé sur cette jeune blonde qui faisait la queue pour faire sa commande.

Il avait alors dit à ses collègues qu’il avait besoin de prendre une courte pause, et il était sorti pour noter la marque et le numéro de la plaque de la voiture de cette ravissante jeune femme, par la suite il copia l’adresse indiquée sur le chèque qu’elle avait utilisé pour payer sa pizza.

Plus tard cette même nuit, l’adresse de la blonde beauté en main, Sicko le malade se dirigea vers son domicile pour inspecter l’endroit.

Une grande étendue d’herbe s’étendait autour de la maison de sa dulcinée, il avait rampé au travers des herbes folles et des marais.

Il l’avait observé se déshabillant pour se mettre au lit, au travers d’une large bande séparant les rideaux de sa chambre.

Dès cet instant des pensées lubriques traversèrent son esprit… Dont celle d’être le premier à jouir dans son entrecuisse !

Lorsqu’elle éteignit la lumière, Sammy décida de mettre en oeuvre son pervers plan pour profiter de l’occasion de se faire une somptueuse gonzesse.

Gagnant l’entrée, il surprit la beauté terrifiée dans son lit, Sicko le malade décida alors de la violer sans tarder.

Et lorsqu’il sentit un liquide chaud poisser sa bite inexpérimentée, il pensa lui avoir prodigué un prodigieux orgasme.

Ce qui montre à quel point son inexpérience sexuelle le rendait naïf !

Ce n’est qu’une fois rentré chez, lui son forfait accompli, qu’il se rendit compte que le liquide chaud qui avait poissé sa byroute n’était autre que du sang.

Il l’avait dépucelée de force, il avait cueilli son précieux bijou qu’elle entendait offrir, la nuit de leurs noces, au petit con de blanc auquel elle était fiancée.

Se sentait-il mal après avoir cueilli sa virginité ?

Par l’enfer non, c’était même tout à fait l’opposé, il était extasié d’avoir ravi le trophée sans prix d’un jeune blanc.

Il ne revit qu’environ deux mois plus tard cette fille qu’il avait si vicieusement violée lui cueillant sa fleur.

En entrant dans la pizzeria, il ne l’avait pas reconnue de prime abord, il ne la remit qu’un peu plus tard en entendant citer son nom.

Elle ne semblait plus aussi dynamique et gaie que la première fois qu’il l’avait rencontrée.

Sammy remarqua alors qu’elle ne portait plus de bague de fiançailles !

Lorsqu’il s’avança pour lui servir sa pizza, sa bite se mit au garde à vous dans son caleçon en constatant qu’elle avait un petit ventre tout rond… Il comprit alors qu’il avait réussi à la claquer un petit polichinelle noir dans le tiroir !

Il rencontra sa prochaine proie, une rouquine sexy dans l’allée commerciale du "Newberry".

La vue de sa bague de fiançailles et de son alliance l’enchanta, il était ravi de se faire une femme mariée.

Comme elle gagnait sa voiture dans le parking, il jeta un oeil sur sa proie pour identifier la voiture qu’elle conduisait.

Ayant déjà pratiqué des filatures en voiture, il se débrouilla pour la suivre discrètement alors qu’elle regagnait sa maison.

Ce viol fut loin de se dérouler comme Sammy s’y attendait lorsqu’il s’était introduit dans cette maison.

Il venait tout juste de pénétrer la malheureuse femme lorsque le bruit d’une porte de garage que l’on ouvrait le fit sursauter et sauter hors du lit.

Il assomma le mari, d’un coup de crosse de son revolver sur la nuque, puis il le ligota sur une chaise et le bâillonna, puis le plaça dans une position qui lui permettait d’assister à la performance de sa douce femme, avec une vue directe sur le lit qu’ils partageaient habituellement.

Il se réjouit vivement de voir l’air stupide qu’il afficha lorsqu’il l’avisa qu’il venait tout juste de tester le goût de sa femme.

Sammy était emballé d’avoir un spectateur inattendu, celà lui provoquait une bandaison comme jamais il n’en avait eu auparavant.

Il obligea la ravissante jeune femme à s’agenouiller en face de son mari ligoté, Sammy se débrouilla alors pour lui offrir un spectacle érotique, il força la jeune femme à accueillir sa grosse bite en bouche, lui tenant fermement la tête.

— Ah mec… Elle me suce… Elle me suce divinementttttttttttt… Oh oui mec… la bouche de ton adorable femme semble avoir été faite pour sucer des bites ! Gloussait-il alors qu’il coulissait sans vergogne entre les lèvres pulpeuses de la ravissante jeune femme qui haletait.

Lui giclant d’abord en bouche, il lui offrit ensuite un exquis soin facial qu’elle n’oublierait jamais;

Puis avant de les quitter, il encula la pauvre femme qui hurlait de douleur, plongeant sa grosse mentule au fin fond de son anus vierge.

Quelques mois plus tard, passant devant leur maison il vit un panneau "A vendre" planté dans la pelouse.

Il nota le nom de l’agence et son numéro de téléphone, puis contacta cette agence s’enquérant du prix de la maison il apprit ainsi que son prix était bien plus bas que celui des autres maisons aux alentours immédiats, ce qui était du au fait que le couple propriétaire de la maison divorçait.

Sammy savait pertinemment qu’il avait été le principal instrument de ce divorce.

Il était maintenant remonté et prêt à se faire une nouvelle nénette au sexe brûlant, d’autant plus qu’il n’avait nullement été inquiété suite à ses deux premiers viols, il décida alors qu’il était temps que Sicko le malade frappe à nouveau.

Il avait déjà repéré sa prochaine proie, inspectant son environnement pour s’assurer qu’il ne risquait pas d’être surpris en pleine action par la flicaille.

Constatant qu’aucune information relatant les deux viols n’avait été diffusée dans les journaux, il décida de passer à l’action.

Cela faisait une paire de semaines que Sammy avait rencontré la jeune femme dont il rêvait maintenant, celle qui lui octroyait une continuelle bandaison.

Sur le chemin de sa maison, après une journée employée à des recherches stériles dans l’allée commerciale d’un supermarché, il avait stoppé dans une supérette pour s’offrir un pack de 6 bières.

C’est en cet endroit qu’il vit la ravissante asiatique aux longs cheveux noirs soyeux qui poussait un caddy plain d’articles, accompagnée de son mari blanc.

— Bordel quel morceau de choix ! Se dit-il au fin fond de lui-même en se pourlèchant les babines.

— Par l’enfer j’adorerai goûter cet adorable petit bout de sushi… M’installer entre ses cuisses pour le régaler de sa petite chatte ! S’enthousiasmait-il.

La vue de sa bague de fiançailles et de son alliance brillant à ses doigts, Sammy observa attentivement ce connard de blanc qui l’accompagnait se convainquant rapidement qu’il s’agissait de l’époux de cette ravissante asiate.

Elle était vêtue d’un chemisier bleu, d’une jupe blanche et de hauts talons.

— Bordel ce que j’aimerai m’la faire ! Se dit-il en lui-même.

Et, comme elle s’arrêtait pour choisir quelques pommes demandant à son mari s’il préférait les rouges ou les vertes, Sammy se pourléchait les babines, il aurait voulu intervenir :

— Quant à moi je préfère ces savoureuses poires qui pointent sous ton chemisier… Elles semblent bien mûres… Fermes et juteuses !

Ils s’étaient arrêtés dans la supérette pour faire leurs courses de la semaine, ni Rachel Wilson, ex Rachel Nishida, ni son mari Jim n’étaient conscients que la ravissante jeune femme avait attiré l’attention d’un prédateur.

Ils étaient si profondément amoureux l’un de l’autre, après cette première année de mariage, qu’ils ne se préoccupaient que du plaisir l’un de l’autre, sans remarquer les yeux avides du jeune homme qui les suivait, braqués sur la jeune femme.

Une fois qu’ils eurent payé leurs courses avec un chèque et s’étaient dirigés vers leur voiture ils étaient totalement inconscients qu’une voiture les suivait de près.

Sammy le malade souriait largement en constatant que l’époux était totalement ignorant être suivi, il lui livrait sans aucune difficulté leur adresse, il se réjouissait déjà de la future visite impromptue qu’il ferait à la jolie madame.

Par ailleurs il savait maintenant où se mettre en chasse s’il ce viol nécessitait de mettre en oeuvre un autre plan.

Lorsqu’il ouvrit le garage il nota la marque la couleur et le numéro de la voiture qui y était garée, à l’évidence c’était la voiture que l’adorable jeune femme utilisait lorsqu’elle ne se déplaçait pas avec son mari.

Il se figurait que tous deux travaillaient, Sammy planifia de revenir un matin pour déterminer où la jolie salope travaillait et détailler son emploi du temps journalier.

Il se sentait confiant, il allait bientôt se faire cette adorable salope, Sammy le malade allait de nouveau frapper !

Dès leur première rencontre en cours d’histoire à la fac de Berkshire, ils avaient eus un coup de foudre réciproque.

Dès leur premier rendez-vous ils furent inséparables, et ce pour le reste de leur scolarité, une joyeuse cérémonie de mariage les unit l’été suivant l’obtention de leurs diplômes.

Et maintenant à l’âge de 23 ans Jim était employé en tant que formateur au management dans le plus grand magasin de la ville alors que Rachel travaillait dans une société de conseils.

Lorsque Rachel ne se trouvait pas hors de la ville pour se livrer à des audits elle adorait cuisiner pour son séduisant mari et rester seule avec lui.

Jusqu’à présent, elle avait toujours suivi le même parcours dans ses activités journalières, Sammy l’avait suivie en de multiples occasions de son chemin au travail et vice-versa.

Il l’avait aussi suivie à plusieurs reprises de son lieu de travail au lieu de son audit, mais à chaque fois elle était accompagnée d’un ou deux collègues.

— Devrai-je me la faire avant qu’elle ne rentre chez elle ? J’assommerai son connard et je le ligoterai avant de me faire sa charmante donzelle… Et peut-être que j’obligerai son cornard à me regarder planter mon épaisse mentule dans sa foufoune étroite ! Peut-être que je pourrai me la faire toute la nuit !S’enthousiasmait-il.

Mais il comprit alors que ce n’était plus sa tête qui guidait ses pensées, mais bel et bien sa grosse bite, il se dit alors :

— Calme-toi et repousse ces pensées parasites, il y a toutes les chances qu’elle t’amènerait à te faire prendre sur le fait !

Comme il était assis dans sa voiture sous les arbres à courte distance dans le parking voisin, qui se trouvait juste en face de la maison du jeune couple, Sammy jeta un oeil sur sa montre et remarqua que le moment où le jeune couple partait vers leurs boulots respectifs approchait à grands pas.

Normalement ils allaient ouvrir la porte du garage puis ils remonteraient tous deux l’allée du garage, la jeune femme d’abord suivie par son mari.

Les yeux rivés sur leur maison il vit la porte du garage se lever comme programmé.

Mais au lieu de monter chacun dans leur voiture, ils les vit se diriger vers l’arrière de leurs véhicules.

La ravissante jeune femme vêtue d’un chemisier rouge et d’une jupe noire ouvrit le coffre de sa voiture et son mari y déposa une valise avant de refermer le coffre.

Sammy se pourlécha les babines, cela sortait totalement de leur routine quotidienne.

Il observa attentivement le jeune couple d’amoureux s’embrasser tendrement avant de se séparer gagnant chacun son véhicule.

Puis le mari remonta entre leurs deux voitures tirant un bagage rouge dans son dos.

Anticipant la suite des événements il démarra sa voiture, Sammy observait intensément sa proie grimper dans sa voiture puis suivie par son mari elle prit la direction de leur quartier.

L’ayant suivi hors de son quartier à plusieurs reprises, il avait remarqué qu’ils tournaient tous deux à droite pour prendre la direction de leurs bureaux.

Toutefois, cette fois-ci, la jolie femme prit la route à gauche tandis que son mari s’arrêtait brièvement dans la contre allée de droite le temps de lui faire un signe adieu.

Comme il s’était arrêté juste derrière la jeune épouse, alors que son mari disparaissait après avoir repris sa route, les couilles de Sammy se crispèrent par pure anticipation.

Il s’agissait du premier audit à la campagne qu’allait effectuer Rachel, son patron pensait qu’elle avait acquis la compétence nécessaire pour s’en charger.

Elle était très fière de cette reconnaissance de ses qualités, même si cela impliquait d’être éloignée de son mari pour deux nuits.

Elle escomptait conduire deux longues heures et demi, avant d’avoir un long rendez-vous avec les managers de la compagnie qu’elle devait ausculter puis elle passerai le reste de la journée à contrôler les livres de compte.

Rachel espérait pouvoir rentrer le lendemain lorsqu’elle en aurait terminé avec cet audit, mais la conduite de nuit était assez dangereuse au regard de la faible signalisation de nuit sur cet autoroute et le retour, dans ces conditions, risquait de traîner en longueur.

Sammy pensait que cela s’avérait bien plus facile qu’il le craignait, il la suivait à une distance raisonnable alors qu’elle observait scrupuleusement les limites de vitesse.

Sortant sa carte de sa boite à gants, il la posa sur le siège passager prête à servir si le besoin s’en faisait sentir.

Mais à la vue du chemin qu’elle empruntait, il semblait que son adorable proie se rendait à Bentford, la plus grosse ville à l’est de l’état.

— Bordel, j’espère que je ne tomberai pas en panne de fuel ! Merde alors, j’aurai du faire le plein la nuit dernière… Se reprochait-il vivement, sachant pertinemment que tomber en panne permettrait à la jeune femme d’échapper à son contrôle.

Presque une heure plus tard, Sammy se désespérait, son aiguille de compteur indiquait qu’il était sur la réserve, son occasion si propice semblait maintenant lui glisser entre les doigts.

C’est alors qu’il vit le clignotant de la voiture de sa proie s’allumer, ce qui ramena un large sourire sur ses lèvres.

— Oh oui ! Avait-il envie de hurler de joie en constatant le retour de sa bonne fortune.

La jeune femme n’avait pas stoppé dans la première station, mais avait pris le chemin d’une épicerie qui vendait aussi du carburant.

Choisissant la pompe à l’extrême bout de la rangée de pompes qui le cachait partiellement du magasin Sammy remplit son réservoir paya et attendit le retour de sa somptueuse victime dans sa voiture.

Il s’assura qu’elle ne s’étonnait pas de sa présence alors qu’elle sortait du de la supérette son panier plein de provisions.

Ils rentraient dans Bentford, exactement comme il l’avait imaginé, lorsque l’affriolante poupée signala qu’elle prenait la deuxième sortie vers la ville.

Il devait maintenant la suivre d’un peu plus prêt pour ne pas perdre de vue sa voiture dans le trafic citadin.

Sammy remarqua qu’elle jetait des coups d’oil fréquent sur un petit objet qu’elle tenait dans sa main droite, il soupçonna vite qu’il s’agissait d’un G.P.S lui détaillant la route de son hôtel.

Il sourit en lui-même, sachant qu’elle était assez préoccupée par l’observation de son G.P.S et par la conduite de son véhicule qu’elle ne se souciait aucunement d’être ou de ne pas être suivie.

Comme elle pénétrait dans le parking de l’hôtel "Plaza" Sammy se dit au fond de lui-même :

— Je parierai que mon ravissant petit sushi ne tardera pas à dîner !

Il prit le risque de se garer juste à coté d’une zone d’interdiction de stationnement, Sammy se rua jusqu’au couloir puis à l’étage de la mezzanine où était situé le bureau de réception.

Appuyé contre la rampe il attendit l’arrivée de sa ravissante proie, elle remontait le couloir et prit l’ascenseur pour accéder au niveau de la mezzanine.

Elle arrivait sa mallette rouge dans le chariot alors que Sammy couvait des yeux son petit sushi qu’il avait programmé de bientôt déguster.

Comme elle atteignait le niveau de la mezzanine, Sammy songea qu’il aurait préféré la rejoindre dans l’ascenseur pour la baiser à même le sol en signe de "Bienvenue à Bentford".

Mais un garçon d’étage l’accompagnait remorquant son chariot la clef de sa chambre à la main, annihilant son projet de goûter immédiatement aux charmes de son petit sushi !

Préoccupée par son travail Rachel avait décidé de relire une dernière fois son dossier, puis de se rafraîchir avant de rencontrer les directeurs de l’établissement dont elle devait évaluer les véritables ressources.

Ayant obtenu une carte de parking permanente, elle l’avait installée sur son tableau de bord en montant dans sa voiture afin de ne pas l’oublier lorsqu’elle retournerait au parking de l’hôtel ce qui éviterait à sa voiture d’être mise en fourrière par les forces de police.

Mais tandis qu’elle rencontrait les directeurs du groupe qu’elle inspectait, le violeur malade inspectait d’un air méprisant son tableau de bord.

Il était tamponné "valable jusqu’au 8 à 12 h et quart" sur le ticket de parking, cela indiquait qu’elle devait encore rester deux jours.

Il força la portière comme il l’avait déjà souvent fait depuis son adolescence, et fouilla la boite à gant à la recherche bordereau de location que devait détenir le loueur de la voiture.

Il y était indiqué l’adresse de Jim et Rachel Wilson, l’adresse de leur maison qu’il avait épié à de nombreuses reprises.

— Avait-elle programmé d’auditionner à nouveau les responsables de l’entreprise, aujourd’hui même, après avoir fait le point ? Se demandait-il dubitatif.

S’il se mettait en branle la nuit prochaine, sa dernière à l’hôtel, que se passerait-il si elle avait des rendez-vous pris pour le lendemain au petit matin ? S’interrogeait-il soucieux.

Puis il se frappa la tête en se traitant d’âne stupide…

— Tu connais son nom… Tu sais où elle travaille… Pourquoi ne téléphonerais-tu pas à son bureau pour demander l’heure estimée de son retour ?

Par chance il avait pris des notes depuis qu’il les avait suivis, elle et son mari dans le supermarché.

Empoignant son pense-bête il se rappelait y avoir inscrit le nom de son entreprise et son numéro de téléphone professionnel.

Utilisant son portable il s’astreignait à prendre un ton professionnel pour demander :

— Oh oui, mademoiselle Rachel Wilson je vous prie…

— Je suis désolée, mais madame Wilson est absente, elle est en audit actuellement… Je peux cependant prendre un message et lui communiquer dès son retour… Lui fut-il répondu fort courtoisement.

— Et sauriez-vous quand elle sera de retour ? Insista-t-il aimablement.

— Elle devrait être là mercredi en début d’après-midi au plus tôt… C’était justement ma réponse qu’il escomptait.

Comme le chemin du retour devait durer à peu prêt 2 heures et demi, comme le ticket de parking indiquait qu’elle pouvait rester garée jusqu’à midi, il comprit immédiatement qu’elle se mettrait en route en début de matinée.

— Je dois établir une excellente stratégie ! J’en ai vraiment besoin ! Réfléchis Sammy ! Réfléchis au meilleur moyen de déguster ce ravissant sushi la nuit prochaine ! S’aiguillonnait-il.

— Ouais, c’est tout ce dont j’ai besoin ! Se félicitait-il alors qu’il entrevoyait la solution.

— Je vais acheter des fleurs et je les lui ferai livrer de la part du bureau de réception dès son retour.

Il savait qu’il devrait laisser le bouquet au bureau d’accueil, un garçon d’étage se chargerait de le livrer à l’accorte jeune femme.

S’il jouait bien ses atouts il parviendrait à entendre dans quelle chambre le garçon d’étage monterait livrer son cadeau.

Cette première nuit de séparation, le jeune couple passa une bonne heure au téléphone se disant réciproquement à quel point ils se manquaient tout en s’assurant l’un et l’autre de leur profond amour.

Lorsqu’ils se préparèrent à raccrocher Jim Wilson taquina son ultra conservatrice femme en déclarant :

— Si ça tombe, tu as rendez-vous avec un amant maintenant !

Rachel gloussa sachant que son mari la taquinait et elle décida de répondre à sa provocation en lui répondant :

— Il se tient à mon coté et me fait signe de le rejoindre dans le lit qu’on puisse s’offrir une somptueuse séance de baise !

Sur ces mots elle éloigna le téléphone alors qu’elle criait pour que son mari puisse bien l’entendre :

— Attends mon chéri… Sois patient… Je termine la conversation avec mon mari et je suis toute à toi !

A coup sur Jim l’avait entendu, il en rit et, lorsque Rachel rapprocha le téléphone de son visage, il s’esclaffa :

— Bon, je ferai mieux de te laisser que tu pisses t’occuper de ton amant !

Ils gloussèrent tous deux avant de réaffirmer leur amour l’un pour l’autre une fois encore avant de raccrocher.

Séparé par des centaines de kilomètres, les deux époux s’étendirent dans leurs lits en pensant l’un à l’autre, le mari pensant qu’il se réjouirait si elle prolongeait son petit jeu provocant.

Rachel aussi avait aimé taquiner son mari de cette façon aguichante, elle se demandait jusqu’à quel point elle pourrait pousser la plaisanterie puisque cela semblait vraiment exciter Jim.

La nuit suivante, lorsque l’appel attendu résonna dans sa chambre, Rachel tremblait de peur d’entendre la voix de son mari résonner dans l’écouteur.

— Chéri ? Est-ce toi ? L’interrogea-t-il dans un murmure terrifié.

La lame affûtée posée sur son cou, son agresseur l’avait menacée de la tuer si elle ne suivait pas ses instructions à la lettre, Rachel avait envie de hurler mais elle était mortellement affolée par ce qui lui adviendrait si elle cédait à la tentation d’appeler à l’aide.

De grosses larmes ruisselant sur son visage elle était ligotée assise sur le fauteuil placé auprès de son lit.

Bien plus tôt, après avoir complété son questionnaire d’audit, de retour à son hôtel elle n’était à peine rentrée dans sa chambre lorsque la sonnette résonna et le garçon d’étage annonça :

— Des fleurs d’un certain Jim Wilson madame !

Elle ouvrit sa porte et accepta le magnifique bouquet, elle souriait aux anges à la pensée que son tendre époux avait pensé à lui envoyer ces fleurs.

Elle était sur le point de décrocher le téléphone pour appeler Jim quand résonna un autre coup de sonnette.

Reposant le téléphone elle se dirigea vers la porte et demanda :

— Oui…

— Une boite de friandises que vous envoie un certain Jim Wilson madame… S’entendit-elle répondre.

Mais en fait, il ne s’agissait pas d’une boite de friandise même s’il se tenait bien un garçon d’étage sur le seuil de la chambre.

Se retournant pour fuir son assaillant encapuchonné qui brandissait un poignard effilé, Rachel entendit la porte de sa chambre se refermer en claquant, elle tressaillit de terreur alors que la lame acérée se posait sur son cou.

Pleurnichant tout en sanglotant alors qu’elle reculait dans la chambre elle suppliait son agresseur :

— Je vous en prie… S’il vous plait… S’il vous plait, ne me faites pas de mal !

Cognant contre le lit elle tomba en arrière sur le lit, Rachel était paniquée lorsque son agresseur arracha son chemisier blanc de la ceinture de sa jupe glissant sa main calleuse à l’intérieur pour palper ses nibards au travers de son soutien-gorge en dentelle alors qu’il commentait :

— Délicieux, tes nibards sont vraiment sensationnels !

Contrainte d’informer son assaillant que son époux devait l’appeler à 20 h, Rachel y avait gagné un répit momentané lorsque que son assaillant l’avait menacée, s’il ne devait pas l’appeler, de la violer à l’instant même.

Elle ne voulait pas devenir une victime de viol et lui avait lâché cette information, depuis cet instant il la caressait intimement au travers de ses vêtements.

Rachel commençait à se demander :

— Pourquoi m’a-t-il demandé si Jim devait m’appeler ce soir ?

Réalisant que ce sale bâtard était sur le point d’enlever son pantalon pour la violer lorsqu’il s’était brutalement interrompu en l’entendant avouer que Jim l’appellerait vers 20 heures, ses yeux s’écarquillèrent d’horreur en devinant :

— Oh, ce malade a décidé de me violer pendant l’appel de Jim !

Une heure avait passé, il serait 20 heures dans une autre, Rachel constatait que son assaillant commençait à s’impatienter alors qu’il se frottait de plus en plus souvent contre ses charmes.

Un horrible dilemme la frappa soudain alors que le sale pervers baissait la fermeture éclaire de sa braguette extirpant sa monstruosité couleur ébène avant de s’esclaffer :

— Il faut que tu fasses quelque chose pour e détendre !

A sa grande horreur il lui précisa :

— Et si tu refermais tes lèvres pulpeuses sur ma queue ?

Elle secouait frénétiquement la tête en signe de dénégation, en réponse à cette vile suggestion.

— Non ? Tu ne veux pas goûter à mon esquimau crémeux ? Et pourquoi n’en veux-tu pas ? Ta petite langue m’amènerait à te remplir la bouche de ma bonne potion crémeuse en un rien de temps ! Se moquait son pervers assaillant en lui maintenant la tête tournée vers lui.

Puis le sale bâtard s’assit sur le lit tout près d’elle, posant la main sur ses cuisses tandis qu’elle frissonnait de révulsion, il lui intima alors :

— J’ai envie de gicler ! Mais je ne veux pas d’une pipe pour l’instant, tu vas me faire jouir entre tes plantes de pied !

Sa main calleuse remonta alors sur sa cuisse jusqu’à atteindre la ceinture de ses collants.

Alors qu’elle se débattait les deux mains de ce satané salopard enfouies sous sa jupe noire cherchant à descendre son collant il lui donna le choix :

— Ou tu me laisses t’enlever ces saloperies de collants pour que tu me procures du plaisir avec la plante de tes pieds, ou tu me suces la bite salope ! Que choisis-tu ?

Ce choix l’amena immédiatement à cesser de résister pour empêcher ce sale bâtard de lui descendre son collant sur les chevilles.

— C’est ça chérie lève tes fesses pour m’aider à t’ôter ces saletés ! La remercia-t-il en lui descendant brutalement son collant.

Rachel frissonna et se tourna alors que la main de son assaillant s’attardait à caresser la chair tendre de la face interne de ses cuisses.

Elle avait une forte envie de resserrer étroitement ses cuisses mais elle s’en retenait effrayée par les éventuelles conséquences qui en résulteraient, elle tremblait comme une feuille le collant descendu sur ses genoux.

— C’est bon chérie… Et maintenant lève tes jolies jambes et pose les sur mes genoux que je puisse terminer de te dépouiller de ces saloperies de collants.

Elle leva ses jambes après moult hésitations, les mains calleuses lui empoignèrent les mollets et la dépouillèrent de ses hauts talons.

Le collant descendu sur les chevilles, Rachel frémit à nouveau, alors qu’il le lui enlevait avant de palper d’une main rude la plante de ses pieds.

— Ah chérie, tu as vraiment de très jolis orteils, ils sont si minutieusement vernis ! La félicita-t-il alors qu’elle gardait la tête tournée, les yeux fermés pour ne pas voir le plaisir que prenait cet infâme salaud à la soumettre à ses volontés.

Elle voulait ignorer son plaisir grandissant mais son pied posé sur sa bite, elle ne pouvait que constater l’effet grandissant de sa caresse involontaire.

Il empoigna alors sa cheville droite et la força à caresser la bosse de son pantalon de la plante de son pied, au travers de son jean.

Rachel tremblait de peur, elle ne voulait surtout pas stimuler son assaillant, mais elle avait si peur qu’il l’oblige à exécuter l’autre alternative… Elle craignait tant de devoir emboucher sa grosse bite noire comme il l’en avait menacée !

Zipppppppp ! Ce son strident lui provoqua un long frémissement tout le long de la colonne vertébrale, elle réalisait qu’il venait de baisser la braguette de son pantalon.

La tête toujours tournée, les yeux clos, lorsqu’elle sentit un objet charnu aller et venir entre ses plantes pieds.

— Ahhhhh, bordel… Tes pieds sont si soyeux ! Oh chérieeeeeeeeeee… L’entendit-elle grommeler sourdement.

Comme elle s’accroupissait raidissant ses orteils de dégoût, les gémissements de ce pervers entraînaient d’involontaires réflexes de sa part alors qu’il gémissait :

— Oh oui chérie… C’est comme ça que j’aime te voir utiliser tes pieds !

Rachel frémit d’horreur une fois de plus, les mains calleuses tenaient fermement ses chevilles alors que sa grosse bite noire coulissait entre ses plantes de pieds.

Sammy le malade était ravi à la vue des grosses larmes ruisselant le long de ses joues alors que sa bite raidissait entre ses plantes des pieds.

Il allait mâter cette chienne étape par étape, et cela le ravissait à l’avance.

Allant et venant entre ses plantes de pieds, il se branlait avec de longs et amples mouvements, il commença à accroître le rythme en sentant qu’il n’allait plus tarder à gicler.

Soudain son corps se tétanisa alors que son chibre crachait giclée après giclée son foutre crémeux sur ses orteils frémissants.

Grimaçant de dégoût, Rachel était horrifiée de cette façon dont il s’était soulagé sur ses orteils, elle pensait néanmoins qu’un peu de savon et d’eau fraîche suffirait à laver les traces cette révoltante expérience.

Alors que son assaillant se relevait, Rachel découvrait maintenant ses pieds et ses orteils couverts de foutre gluant.

Frottant ses pieds dans l’épaisse moquette de la chambre d’hôtel elle tenta de les curer de toute cette ordure.

Mais ses pieds demeuraient gluants et plus spécialement entre les orteils, la moquette ne pénétrant pas entre ses orteils.

Son agresseur momentanément rassasié de ses charmes, alors qu’elle reprenait péniblement haleine, elle tentait de réfléchir, elle espérait secrètement que satisfait de sa prestation il l’abandonnerait sans la violer.

Assise sur son lit, capable de raisonner à nouveau, en se rappelant que ce monstre avait programmé de la violenter dès son entrée lorsqu’il lui avait demandé si son mari devait lui passer un coup de fil ce soir, elle frémit en évoquant l’infâme possibilité que ce malade veuille la posséder alors qu’elle discuterait avec son époux.

— Oh mon Dieu… Il est assez malade pour vouloir m’imposer cela ! C’est un dément… Un animal… Il monstrueusement dépravé ! Tremblait-elle paniquée.

Elle essayait de se convaincre que personne ne pouvait être assez pervers pour agir aussi ignoblement, mais elle ne pouvait esquiver l’idée qu’il n’avait interrompu sa séance de viol que pour mieux la reprendre ultérieurement.

— Me menacera-t-il de sa lame de couteau posée sur la gorge lorsque je discuterai avec Jim ? Me tuera-t-il si je m’avise de crier à l’aide de façon à ce qu’on se précipite dans ma chambre pour me délivrer ? Se demandait Rachel terrorisée.

— Que ferai-je… S’il me maltraite alors que Jim discutera avec moi ? Serai-je capable de retenir mes cris et mes gestes inconsidérés à cet instant ! Que se passera-t-il si… S’il me viole en m’obligeant à tenir une conversation ordinaire avec Jim tandis qu’il me labourera à grands coups de braquemart… Et si je parviens à m’en sortir, cela mettra-t-il fin à cette odieuse agression, parviendrai-je à regarder Jim dans les yeux après cette épreuve ?

Ces quelques questions traversaient son esprit horrifié.

— Mais si je n’y parviens pas, si Jim comprend que l’on me violente, et même que l’on me tue alors qu’il discute avec moi ? Que se passerait-il alors ?

Soudainement une pensée s’imposa à elle, nombre de possibilités de tenir Jim dans la totale ignorance de son épreuve, sans risquer d’y laisser sa peau.

— Mais pourrai-je survivre au fait de parler avec mon mari tandis que ce sale bâtard me violenterait ! Se demandait Rachel éperdue.

— Oh mon Dieu, faite qu’il se contente de cette ignoble éjaculation sur mes orteils. Suppliait-elle mais elle se doutait que c’était faire preuve d’un optimisme forcené que de maintenir cet espoir insensé, d’autant plus que déjà son assaillant la rejoignait promenant ses mains calleuses sur ses genoux et ses cuisses.

L’épreuve de Rachel reprit immédiatement à cet instant ou ses larges mains calleuses la tiraient en avant l’amenant tout au bord de sa chaise.

Il écarta ses cuisses à deux mains en s’agenouillant au sol entre ses cuisses.

Levant les yeux sur son agresseur elle trembla de terreur en voyant que ce salopard agitait vicieusement sa langue dans les airs les yeux fixés sur ses cuisses entrouvertes, il empoigna ses cuisses et les posa sur épaules.

Le bas de sa jupe remonta à sa taille révélant son intimité dévoilée aux yeux du bâtard qui la convoitait avec concupiscence, elle détourna la tête et sanglota de désespoir.

— Nonnnnnnnnnnn… Nonnnnnnnnnnnn… Nonnnnnnnnnn… Arrêtezzzzzzzzzzzzz… Arrêtez… Oh mon Dieuuuuuuuuuuu… Nonnnnnnnnnn…

Rachel hurla lorsque le pervers bâtard plaqua sa bouche contre sa féminité plongeant sa longue langue dans les replis de sa chatoune.

Jamais de sa vie elle n’avait pensé qu’un homme pouvait se comporter en animal dépravé et accomplisse des actes aussi impudiques.

Et voila que les bruyants lapements émanant de son entrecuisse lui laissait quasiment croire qu’il avait décidé de la déguster toute vivante.

Secouant sa tête de droite à gauche elle essayait désespérément de ne pas répondre à ces assauts, mais la longue langue la conduisait pas à pas aux ultimes limites de son excitation.

Dédaignant sa volonté le corps de Rachel vacillait et se tétanisa brutalement.

Elle arqua ses hanches sous les délicieuses caresses linguales. Inconsciemment Rachel tendit ses bras et les posa sur les poignets de son suborneur lui maintenant la tête pressée entre ses cuisses.

— Ooooooooooooh… Ooooooooohhhh… Ahhhhhhhhhhhhhhh… Ah… Ahhhhhhhh… Pantelait-elle le corps secoué de sursauts convulsifs alors qu’un terrifiant orgasme la submergeait toute, en fait le plus intense qu’elle ait expérimenté de toute sa vie !

Des spasmes saccadés la secouaient de la tête aux pieds alors qu’elle fondait sous la langue de son assaillant.

Elle gisait maintenant mollement affaissée sur l’un des bras de son fauteuil, toute étourdie d’avoir succombé à un si violent orgasme, Sammy s’empara de la boite de friandises qui lui avait permis de pénétrer dans la chambre.

Il s’y trouvait deux mini-caméras qu’il s’était procuré dans un magasin spécialisé dans l’espionnage industriel la veille de son voyage.

Il avait programmé d’enregistrer leur performance dès que le téléphone sonnerait relayant un coup de fil de son mari, aussi était-il un peu nerveux ne sachant comment réagirait sa proie lorsque ce moment serait venu.

Crierait-elle le moment venu ? Ou feindrait-elle un comportement normal quand son époux appellerait ? Se demandait Sammy fiévreusement.

Il ne voulait pas mettre son plan en oeuvre si elle révélait sa présence, c’est pourquoi il l’avait menacé suffisamment pour lui faire craindre des représailles si révélait la vérité.

Mais il était déterminé à la baiser tandis qu’elle discuterait avec son mari à l’autre bout du fil.

Si elle dévoilait sa présence dans la chambre, Sammy était déterminé à envoyer à son mari une copie du CD qu’il allait enregistrer pour lui montrer ce qu’il avait manqué.

Mais si elle se comportait normalement, la menacer d’envoyer une copie à son mari serait le meilleur moyen d’asservir cette ravissante jeune femme qui devrait alors le combler de félicités de temps à autre, à moins qu’il ne planifie de la soumettre à ses amis et connaissance, et pourquoi pas à la prostituer pour son usage personnel.

Comme elle reprenait le contrôle de ses sens, honteuse comme jamais d’avoir laissé son corps la trahir aussi misérablement en participant à cet acte révoltant qu’il lui avait imposé, elle réalisa alors que son mari devait lui téléphoner dans moins de 20 minutes maintenant.

Qu’elle lui semblerait longue ces 20 minutes pendant lesquelles elle devrait décider de son comportement à venir.

Bien qu’elle y réfléchisse, elle ne parvenait pas à éclaircir sa situation et encore moins la façon dont elle devait se conduire, d’autant plus que ce bâtard promenait maintenant ses mains sur ses nichons au travers de ses vêtements.

Puis il glissa une main dans l’entrebâillement de son chemisier, releva ses bonnets de soutien-gorge pour les dénuder et s’emparer rudement d’un de ses tétons dressés.

Dénudée et jetée en travers du lit, Rachel était maintenant postée à quatre pattes tentant de ramper hors du lit lorsque la sonnerie du téléphone la figea dans sa peur.

Jetant un oeil sur l’horloge murale, elle vit qu’il était exactement 20 heures, ce qui ne lui laissait aucun doute quant à l’auteur du coup de fil.

Son agresseur empoigna le téléphone et plaça le récepteur tout contre son oreille, Rachel commença :

— Hey… Hello…

— Hey chérie… T’amuses-tu bien ? Prends-tu soin de ton amant ? La taquina d’entrée son époux.

Rachel avala sa salive, décidée à poursuivre ce rôle q’elle s’était attribuée lors de leur dernière conversation. Elle rétorqua :

— Oh Jim… Je ne prends pas vraiment mon pied pour l’instant… Il insiste pour coucher avec moi maintenant…

— S’occupe-t-il de tes charmes actuellement ? Lui demanda alors son mari.

— Oh oui ! Répliqua-t-elle vivement, elle ne lui mentait d’ailleurs pas, son agresseur lui caressait les cuisses et les fesses.

— Quel endroit te caresse-t-il actuellement ?

— Mes jambes… Mes cuisses et mes fesses ! Et ajouta tout de suite :

— Peut-être devrions nous discuter plus tard, je suis trop occupée à cet instant chéri…

— J’ai programmé de regarder un film qui ne pas tarder à débuter… Tu n’as qu’à baguenauder avec ton amant pendant que nous discutons ma chérie ! Lui conseilla-t-il croyant jouer son jeu.

Rachel répétait :

— C’est d’accord mon chéri…

— Je voulais seulement savoir si tu étais capable de discuter avec moi tandis que tu te fais baiser par ton amant ! Je comprends bien que tu devras respirer de temps à autre ! Lui répondit-il ironiquement.

— Hum bien, puisque tu insistes mon chéri… Répondit-elle, Jim n’en croyait pas ses oreilles d’entendre sa si conservatrice femme entrer si facilement dans son petit jeu.

— Ooooooh… L’entendit-il grommeler au bout du fil.

Pensant qu’elle l’allumait au bout du fil, il l’interrogea :

— Ton amant serait-il en train de te fourrer tandis que tu me parles ?

— Oh oui, il m’a fait mettre à quatre pattes… Et il se place dans mon dos… L’avisa sa femme éperdue.

Jim sentit immédiatement une monstrueuse bandaison s’emparer de sa bite en entendant sa femme gémir :

— Ooooooooooooooooooooooh… Mon Dieuuuuuuuuuuuuuuuuuu !

Jim adorait ce jeu de rôle, sa femme si prude habituellement semblait vouloir lui complaire en jouant de son mieux son rôle.

— Ton amant a-t-il une grosse bite ? La questionna-t-il avec perversité.

— Oh ouiiiiiiiiiiiiii…

— Son chibre est-il plus gros que le mien ?

— Oh ouuuuuuuuuuuiiiiiiiiiiiiiiiiiii…

— Te prend-t-il dans tes positions favorites ? En levrette ?

— Oh Ouiiiiiiiiii… Ouuuuuiiiiiiiiiiiiiiiiiii…

Et, tout à fait comme lorsqu’ils faisaient l’amour il l’entendit panteler :

— Ohhhh… Ohhhh… Ohhhh… Ohhhh… Ohhhh… Ohhhh… Ohhhh !

— Dois-je vais attendre un peu que tu aies repris ton souffle avant de reprendre notre conversation ! Lui demanda-t-il, il obtint la réponse qu’il attendait, elle soupira :

— Oh oui… Ouuuiiiiiii…

Mon Dieu, jamais je n’aurai pensé qu’elle puisse être aussi créative, j’aurai pu jurer qu’elle se faisait vraiment baiser pour pousser de tels cris de plaisir alors que les ressorts de son lit couinaient.

Presque deux bonnes minutes plus tard, à écouter sa femme haleter au bout du fil, Jim l’interrogea.

— Est que ton amant et toi avez fini de baiser ?

— Oh oui, nous venons de cesser ! Répondit-elle faiblement

— Lui as-tu dis d’enfiler un préservatif, comme tu m’y obliges chaque fois que nous nous aimons ? S’enquit-il hilare.

— Oh mon Dieu, non, Je n’y ai même pas pensé ! Répliqua sa femme comme affolée.

Voulant continuer le jeu de rôle qu’il avait initié Jim poursuivit :

— Très bien… Si tu te retrouves enceinte, je ne m’en rendrai même pas compte si le bébé me ressemble ! Il me ressemblera, n’

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