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Tante Gisèle, maman, et les autres… – Chapitre 21




Chapitre 21 : Orgie au bureau

Un jour, en fin d’après-midi  ma mère m’appelle pour que je passe la prendre à son travail. Elle sera dans le bureau de son patron qu’elle est en train de ranger. Pour bien comprendre ce qui va suivre, voici ce qui s’est passé avant que je la rejoigne et qu’elle m’a raconté par la suite.

***********

Je suis en train de fermer mon bureau lorsque le téléphone sonne. C’est mon patron qui me demande de le retrouver dans la salle des conférences.

Compte tenu de nos nouvelles relations depuis qu’il m’a surpris en train de tailler une pipe à mon fils, je me dis qu’il va encore abuser de moi, comme il le fait assez souvent. Maintenant, quand j’arrive au bureau et qu’il est dans le sien, l’interphone clignote et il aboie.

— Diane, apportez moi un café !

 Ce que je m’empresse de faire rapidement avant qu’il attire l’attention de mes collègues. Quand il déguste lentement son café, moi je déguste sa queue qui est déjà sortie quand je rentre dans son bureau. Souvent il me dit.

— Suce-moi biencomme tu suces ton fils, salope !

 Blandine a quand même remarqué que la pause-café dure plus longtemps qu’auparavant et quand je sors du bureau, elle me regarde avec un drôle d’air et avec un petit sourire. Elle me lance souvent une vanne du genre

— Alors, Diane, le patron est en pleine forme

Bref, lorsque j’arrive devant la salle des conférences, mon patron m’attend et dès que je suis près de lui, ses mains passent sous ma robe et il s’exclame.

— Oui ! Parfait ! Tu as mis des bas et une jarretière. Voyons voir.

Il soulève ma robe et me la passe par-dessus ma tête pour la retirer.

— Mais, qu’est-ce que vous faite !

— Chut ! Tu es sublime. Diane j’ai besoin de toi pour conclure un marché important. Tu vas être très gentille et faire ce que je te dirais. J’ai des clients à satisfaire et tu toucheras une prime exceptionnelle.

Il sort de sa poche un bandeau qu’il m’attache sur la tête.

— Je ne veux pas t’entendre avant que je t’en donne la permission.

Et il me pousse dans la salle de conférence.

Je ne vois absolument rien mais j’entends des murmures de plusieurs personnes et mon patron qui dit.

— Je vous présente ma secrétaire très particulière. Comment la trouvez-vous ?

— Superbe !

— Magnifique !

— Merveilleuse !

Ils sont trois ! Trois hommes me regardent à moitié nue, offerte par mon pervers de patron.

Celui-ci me tire vers la table et me prenant dans ses bras, il me pose dessus.

— Diane, retirez votre soutien-gorge.

Comme une idioteou une vulgaire pute, je le dégrafe et je fais passer les bretelles le long mes bras pour le laisser tomber.

— Whaou ! Quelle paire de seins ! S’écrit un des hommes.

— Enlève tes bas, Diane. Ordonne mon patron.

Je les dégage de la jarretière et un par un, je les roule sur mes jambes en me penchant mettant ainsi mes seins en suspension.

— Ooohhhputain Mate ses lolos ! Murmure un autre homme.

— Qui veut lui retirer sa petite culotte ?

— Moi ! Crient en cur les clients de mon patron.

— Allez-y, mais soyez délicats, ne vous conduisez pas en sauvages.

Une seconde plus tard, des mains caressent mes cuisses, mes fesses, et mon string glisse le long de mes jambes. J’expose mon sexe à des inconnus et malgré moi ça m’excite. Mon patron me traite comme une pute, m’offre à ses clients, et je me laisse faire. Mes tétons pointent en se durcissant, ma chatte s’échauffe et je commence même à mouiller !

 Depuis que je fais l’amour avec mon fils et que sa belle queue m’a fait redécouvrir les plaisirs incroyables du sexe, j’ai des pulsions incontrôlables et  je me conduis vraiment comme une salope en manque de sexe.

— Doucement messieurs ! Prenez votre temps ! Reculez-vous un peu.

Les mains qui pétrissaient mon cul et mes cuisses me lâchent et mon patron ajoute.

— Tourne-toi Diane, écarte les jambes et baisse-toi.

 Je n’hésite pas une seule seconde et retournée je me penche en avant.  Je sais pertinemment que je présente mon sexe et mon anus aux regards pervers de ces hommes. Je prends même mes fesses dans mes mains pour les écartez et m’exhiber devant eux. Un des hommes s’écrie.

— AAaahh, la salope !

Un autre ajoute.

— Putain de merde ! Quel cul !

Le troisième plus prosaïque demande.

— On peut déguster ?

— Bien sûr, cher ami, dégustez cette merveille, elle est succulente, croyez-moi !

 Une main passe entre mes fesses et glisse jusqu’à ma chatte humide en effleurant mon petit trou plissé. Un des clients me doigte sous le regard égrillard de mon patron.

Mon dieu que c’est bon ! J’aimerais qu’il me caresse le clitoris mais ne peut lui demander, faute d’être autorisée à parler. Des doigts écartent les lèvres de mon sexe et je sens ma cyprine qui coule.

— Whaoo ! Elle mouille vachement !

Ma chatte palpite et quand un doigt me caresse l’anus je frisonne de plaisir. Deux doigts sont maintenant dans mon sexe et ils vont et viennent. Une autre main écarte mes fesses et une langue lèche mon cul avant d’insérer un doigt dedans pour doigter mon trou du cul en même temps que ma chatte.

S’ils continuent comme ça, je ne vais pas tarder à jouir.

Mon patron doit s’en rendre compte  et dit.

— Pas si vite messieurs.

 Il me fait descendre de la table et il me place à quatre pattes sur la moquette. 2 secondes après, plusieurs mains s’occupent de nouveau de ma chatte trempée et de mon trou du cul frémissants.

— Tenez, messieurs, prenez ça et mettez-lui dans sa chatte. Dit mon patron.

Je sens alors un gode de belle taille me pénétrer subitement. Je me fais goder devant mon patron et ses clients ! Je suis indéniablement une grosse salope, mais qu’est-ce que ça m’excite !

Le gode effectue des allers retours de plus en plus rapides, de plus en plus puissants. Deux doigt reviennent dans mon anus et entreprennent de le dilater. Le gode quitte ma chatte dégoulinante de jus et s’enfonce violement dans mon anus, m’arrachant un cri de surprise. C’est comme si je me faisais violer ! Un des hommes retire le gode de mon cul, m’attrape par les hanches et j’ai une queue qui s’enfonce brutalement dans mes entrailles. Putain que c’est bon ! Je cambre même mon corps pour bien faire ressortir mes fesses afin de sentir sa bite le plus profondément dans mon cul.

Les autres clients n’émettent aucun son mais ils respirent fortement en me tenant et en malaxant mes seins, sans oublier ma chatte qu’ils fouillent de leurs gros doigts. Un des hommes s’allonge sous moi et m’attire vers lui, cherche l’entrée de ma chatte avec le bout de sa bite, et me tire pour s’enfoncer dans mon sexe. Derrière moi, celui qui m’enculait à suivit le mouvement et reprend sa place qu’il avait perdu quelques secondes. J’ai deux bites en moi et je bouge mon cul pour les faire aller venir à tour de rôle dans mes deux trous. Le troisième homme caresse mes lèvres de sa queue et tout naturellement j’ouvre ma bouche pour le suçer.

Je suis prise par tous mes trous à bites et je vais jouir car je suis au summum de l’excitation.

Tout à coup, celui qui m’encule se crispe et il jouit à l’intérieur de mon cul. Je sens son sperme jaillir et me remplir tellement la puissance du jet de sperme est impressionnante. Quand celui du dessous se lâche aussi et noie ma chatte de sperme en gueulant.

— Putain ! La salope ! Je jouiiiisss !

 Je m’éclate avec lui en criant.

— Ouiiiiiiiiii ! OOOooohhhhhh, ouiiiiiiii ! Remplit aussi ma chatte !

Mais mes cris sont étouffés par le sperme qui frappe ma gorge et qui se répand dans ma bouche, car celui qui baisait ma bouche se vide en gueulant comme un goret pour finir par me traiter de pute.

 J’avale ce que je peux, je bave et comme une queue bien grosse et bien dure est de nouveau dans mon cul, sûrement mon patron, un deuxième orgasme prend la suite de l’autre, tellement fort que je perds un peu conscience de ce qui m’entoure.

 Je jouis comme une folle, sans arrêt et quand une queue quitte un de mes trous une autre prend immédiatement sa place. Je n’ai jamais autant jouit de ma vie ! Je m’écroule et c’est le trou noir.

Quand je reprends vie, mon patron m’a enlevé le bandeau, les clients sont partis et il me dit.

— Appelle ton fils et dis-lui de venir te chercher. Il faut que je lui présente quelqu’un.

 Pendant que je t’appelle, il passe un coup de fil et je l’entends dire.

— Chérie, vient me rejoindre au bureau.

 Puis il me demande d’aller me refaire une beauté et de faire disparaître tout le foutre qui macule mon corps et qui coule de ma chatte et de mon cul.

— Mais reste à poil. Je t’attends dans mon bureau.

Je vais aux toilettes et quand, de nouveau présentable mais toujours toute nue, j’entre dans son bureau, j’ai la surprise de le trouver avec une femme !

— Diane, je vous présente ma femme. Elle désirait vous connaître ainsi que votre fils qui ne devrait tarder.

 Je suis rouge de honte. Mon patron ajoute qu’ils sont mélangistes et aussi échangistes et que la vidéo qui me montre en train de sucer la grosse et longue bite de mon fils l’a excitée énormément. Depuis elle fantasme sur la queue de mon fils !

 C’est à ce moment-là que tu es entré dans le bureau.

*********

Je reprends donc mon récit à cet instant précis ou entrant dans le bureau j’aperçois ma mère, complétement nue devant son patron et une splendide femme au sang mêlé, couleur pain d’épice, très belle qui me regarde en souriant.

— Maman ! Qu’est-ce quetu fous à poil ! Devant ses gens !

— Calme toi mon chéri ! Assieds- toi près de moi je vais t’expliquer.

Complétement ahuri je me mets à côté de ma mère, sur le canapé du bureau, sans quitter des yeux cette femme qui m’observe.

— Chéri, le jour où je t’ai sucé ta belle bite dans la réserve, tu te rappelles

(Tu parles si je m’en rappelle ! C’est ce jour-là que j’ai baisé sa collègue Blandine qui nous avait espionnés)

— Et bienmon patron a assisté à toute la scène et il nous a même filmés avec son portable.

(Merde ! lui aussi !)

— J’ai dû céder à ses désirs pour qu’il ne mette pas ce film sur internet.

 Je me tourne vers son patron en essayant de me lever et en criant.

— Espèce de salaud !

Mais maman me retient et continue de me parler.

— Danyreste tranquille ! Il faut que je t’avoue que depuis que tu m’as redonné le goût du sexe, avec de folles jouissancesj’ai des besoins des pulsions sexuelles et tu n’es pas toujours là pour les assouvir, ni ton père qui est toujours en déplacements. Alors, comme mon patron, Bernard, a aussi de gros besoinsje cède à ses moindres désirs.

Non de dieu ! J’ai transformé ma mère en une salope assoiffé de sexe !

— Maman ! OK ! C’est toi que ça regarde ! Mais ça n’explique pas pourquoi tu es toute nue et qui est madame

 – Je te raconterais plus tard pourquoi je suis nue et madame, c’est la femme de Bernard, mon ange. Elle se prénomme Larissa. Avec Bernard ils forment apparemment  un couple très libéral sur leurs relations sexuelles. Depuis que Bernard lui a montré la vidéo, elle fantasme sur ton sexe. Tu veux bien lui montrer mon bébé

 Je regarde la dénommée Larissa qui assise sur le bureau dévoile largement ses cuisses et bien plus lorsqu’elle lève une jambe pour la poser sur une chaise. Cette femme, probablement de l’âge de ma mère à un sex-appeal incroyable et elle ne porte pas de slip ! Ses yeux verts me fixent avec une expression interrogative dans l’attente de ce que je vais faire.

Maman ne me laisse pas le choix car elle a déjà sorti ma queue de mon pantalon et elle me branle doucement pour parfaire mon érection naissante.

Larissa, que je ne quitte pas des yeux, entrouvre ses grosses lèvres pulpeuses, sa langue rose passe lentement dessus et ses cuisses s’écartent encore plus en faisant remonter sa courte robe.

Avec la main si douce de maman et la chatte rasée de cette belle mulâtre sous mes yeux, ma bite est rapidement en pleine érection.

— Approchez-vous, Larissa. Venez voir la belle bite de mon grand garçon. Dit ma mère.

La belle métisse saute du bureau et tombe à genoux devant moi pour regarder maman faire aller venir sa main sur ma grosse et longue bite

— Whaou ! Effectivement ! C’est vraiment une belle bite ! Elle est même plus grosse que celle de mon fils qui est pourtant bien équipé. Je comprends mieux pourquoi vous avez craqué devant cette chose magnifique. Et vous arrivez à prendre tout ce morceau entièrement dans votre bouche ! Comme sur la vidéo ?

— Bien sûr, Larissa. Elle est tellement succulente. Vous voulez voir ?

— Oohh, ouiii ! Faite-moi voir ça !

Maman se met à genoux à coté de Larissa et elle gobe mon gland pour le suçoter un peu, puis, lentement, très lentement , sous les yeux grand ouverts de sa voisine, elle avale ma bite qui vient se loger dans sa gorge, pour disparaître complétement.

— Ooohh, la salope ! Incroyable ! Elle avale tout ! S’écrie Larissa.

Maman me suce un moment en prenant soins de bien avaler ma bite quand ses lèvres glissent dessus en descendant, puis elle demande à Larissa.

— Vous voulez goûter ?

— Pas tout de suite, après

— Apres quoi ? Lui demandais-je.

— Je voudrais vous voir baiser votre mère. Moi je n’ai jamais osé faire ça avec mon fils !

Ma mère se redresse et elle va s’asseoir sur le bord du bureau.

— Viens mon bébé. Viens baiser maman.

 Sans aucune honte, ma mère attrape ses jambes en dessous de ses genoux et comme une vulgaire putain, elle tire ses cuisses vers elle pour exposer à tous sa chatte encore entrouverte par tous les coups de bite qu’elle a pris juste avant.

 Je regarde Larissa qui les yeux brillant de perversité me dit.

— Allez jeune homme ! Montrez-moi vos talents. Allez baiser votre mère !

 Je me lève et je vais vers ma salope de mère qui s’offre à moi si impunément avec derrière elle son patron qui a baissé son pantalon et qui branle sa queue.

Larissa se met à genoux près de maman pour être aux premières loges et je frotte mon gland entre les lèvres vaginales mouillées de ma mère. Larissa me regarde faire puis s’impatiente.

— Qu’est-ce que tu attends ! Allez, baise là ! Baise ta maman !

Je prends maman par son cul et je m’enfonce dans sa chatte tout doucement pour que la femme de son patron garde ça en mémoire.

Lorsque mes couilles s’appuient sur le trou du cul de ma mère qui gémit.

— Huuumm, ouiiiii, j’adore quand ta bite me pénètre à fond mon bébé. Il n’y a que la tienne que je sens si bien.

Larissa s’exclame.

— Putain de pervers ! Ce fils de pute baise sa mère ! Et cette salope adore ça !

 Ma mère lui répond.

 – Quand tu auras goûté à sa queue, tu ne pourras jamais l’oublier. Crois-moi ! Et si ton fils en a une si belle que le mien, surtout n’hésite pas si il te désire et fantasme sur toi comme beaucoup de garçon avec leur mère quand elle est aussi désirable et sexy que toi ! Vas-y Danybaise maman !

Je commence à baiser ma mère qui gémit à chacune de mes pénétrations et son  patron qui  lui caresse ses seins en faisant rouler ses tétons entre deux doigts avant de dire à sa femme.

— Larissa, enlève ta robe et viens te faire bouffer ta chatte par cette salope. Elle doit forcément aimer ça aussi.

Larissa se relève presque à regret mais obéit à son mari. Elle retire sa robe et comme elle ne porte pas de soutien-gorge elle me dévoile sa chatte et ses mignons petits seins. Enfin, petits par rapport à ceux de maman mais d’une grosseur fort honorable pour le plaisir d’une main d’homme. Ils n’ont pas besoin de soutien, ses tétons sont courts mais très gros. Un bon centimètre de diamètre et sûrement très fermes.

 Elle grimpe sur le bureau et enjambe maman pour poser sa chatte sur sa bouche. Ma mère avait déjà sorti sa langue et elle plonge immédiatement dans le sexe de Larissa.

Maman gémit de plus en plus, d’autant que Larissa appuie sur son clitoris avec sa main qui vient d’entourer ma queue qui pistonne son sexe.

 Sous l’action de la langue de maman et de ma bite qui va et vient dans sa main en baisant ma mère, Larissa halète fortement et s’écrit.

— J’en peux plus ! A moi jeune étalon ! Prends-moi avec ton gros gourdin. Elle descend du bureau, m’arrache à ma mère, m’entraîne vers le divan, se met à genoux dessus en me tendant ses fesses, et crie.

— Enfonce ta bite dans ma chatte ! Vite !

 Vous vous douter bien que je ne me suis pas fait prier et que je n’ai pas demandé la permission à son mari qui vient de prendre ma place entre les cuisses de ma mère.

 Je cherche une seconde l’entrée de cette chatte que je ne connais pas encore, et quand je sens mon gland qui glisse entre ses lèvres humides et soyeuses, je l’empale d’un seul coup !

— AAAAAAHHHHHHHH ! Mon Dieu ! On dirait une bite de cheval !

— Ton fils n’en a pas une aussi belle ?

— Je ne sais pas ! Il ne me baise pas !

— Tu devrais essayer ! Lui, je suis sûr que ça lui plairait de baiser sa mère. Pas toi ?

 – Siiiiii, mais baise moi ! Comme si tu étais mon fils ! Ouiiiiiii, comme çaaaaaaa !

Je la baise puissamment, étonné qu’un si petit corps et une si petite chatte qui écrase ma queue, puisse s’adapter aussi vite à la taille de ma bite. Cette femme doit avoir une longue pratique en sexe de tout genre pour prendre ma bite aussi aisément et sans un cri de douleur.

 Pendant plusieurs minutes on n’entend que le bruit de nos queues qui vont et viennent dans deux chattes brûlantes mais bientôt couvert par les gémissements de plaisir de ses deux femelles qui jouissent presque ensemble dans un dernier cri d’agonie.

— AAAAAaahhhhhhh.OOOUIIIIIIIIIIIII.. ENCOOOORRREE !

 Larissa s’écroule sur le divan, se retourne et m’embrasse passionnément avant de me glisser dans l’oreille.

— Tu es unique ! Je te laisserai mon N° de portable et surtout appelle moi !

 Sa main qui a glissé sur ma queue toujours bandée, l’attire vers son sexe et elle chuchote.

— Reprends-moi gentiment et jouis dans ma chatte que j’emporte un souvenir de toi.

 Je regarde vers ma mère pour voir ou ils en sont et eux aussi n’ont pas fini de baiser car son patron la prend par derrière et l’encule magistralement.

 je me demande bien jusqu’où ma mère ira pour se faire jouir! En tout cas, ça présage de sacrées partie de jambes en l’air et j’ai même une idée qui me trotte dans la tète…

 Pas vous ?

 Phantome

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