Histoires de sexe Histoires de sexe lesbiennes

Mon mari m'offre à d'autres mâles. – Chapitre 7




Il était plus de treize heures. Franck roupillait encore doucement à côté de moi. Ma salive était encore pleine de sperme, un sperme collant, gluant, insistant, dont il est difficile de se débarrasser.

Je remarquai que ma douche rapide n’avait pas fait disparaître toutes les traces de jute sur mon corps. En passant ma main sur mon sexe et dans l’entrejambe, je sentis des boulettes de sperme accrochées à mes poils.

J’étais cassée de partout. Pour mon premier gang bang, j’avais été bien meurtrie. Mes genoux étaient douloureux, mon cul se ressentait encore de toutes les secousses qu’il avait reçues, ma mâchoire était presque paralysée à force d’avoir avalé tant de bites. Mes bras étaient gourds, tout mon dos, tous mes muscles n’étaient qu’un vaste champ de ruines. Il me faudrait un bon bain bien chaud, mieux, un bon jacuzzi et des massages pour me remettre de tout cela.

Pour l’heure, j’avais faim et un bon café ne me ferait certainement pas de mal.

M’habiller ? A quoi bon ? Tout le monde m’avait vu à poil… J’enfilai donc juste un petite culotte histoire de ne pas trop manquer de décence.

En descendant l’escalier, je vis que la cours était vide. Il ne restait plus aucune voiture que la nôtre et celle de mon beau-frère. Tous les mecs étaient partis, à l’exception de Mus que nous devions ramener avec nous, de Jimmy puisque sa voiture était là et, bien évidemment du propriétaire des lieux, j’ai nommé mon beau-père.

Quand j’arrivai dans la cuisine, ils étaient là, tous les trois. Mon beau-père et Mus, torses-nus avec des pyjamas sous lesquels on devinait leur sexe imposant et Jimmy carrément à poil, avachi dans un fauteuil les jambes écartées se tripotant mollement la bite tout en buvant un café.

–  Salut les garçons, bien dormi ?

–  Chacun d’eux me salua à sa façon.

–  Je me mis face au plan de travail, le temps de sortir un mug et de me servir un café.

–  T’as vu comment qu’elle nous provoque dès le matin comme ça, venir ses gros nibards à l’air ?

–  C’est clair… et puis sa culotte cache pas grand chose.

–  Moi c’est simple, elle me fait déjà triquer.

–  Pour le petit dej, c’est tarte aux poils ?

–  Tu m’en réserves une part ?

Tout cela avait été dit en un rien de temps et je n’avais même pas fini de me servir que, déjà un mec était collé dans mon dos. A la grosseur du ventre, je reconnus aussitôt mon beau-père. Le vieux salaud baissa son froc et appliqua sa queue contre mes fesses et ce n’est pas ma frêle culotte qui m’empêcha de sentir sa queue grossir.

–  Eh ! Vous pouvez pas me laisser cinq minutes le temps que je déjeune ? On a le temps non ?

–  Et ma queue, tu la laisses cinq minutes ma queue ?Elle a pas le temps ma queue ! Tu descends à poil comme ça et tu voudrais qu’on te laisse… espèce de petite salope. T’es venue pour te faire fourrer, hein ? Tu veux la resucée d’hier soir ?

Et tout en disant cela, il avait glissé une main dans mon slip, il me caressait déjà l’abricot tout en me pétrissant un nichon de l’autre et en déposant de petits baisers sur mon dos.

–  Bon, dis-je en me retournant, tout ce que tu veux du moment que tu me laisses prendre mon café.

–  A table ! Dit-il.

Et il s’agenouilla, baissa mon sous-vêtement et commença à me manger la chatte.

Ce retraité libidineux était vraiment un expert. Très rapidement, il me fit jouir du clito , avant même que je termine mon café.

Les deux autres obsédés s’étaient rapproché, chacun la queue en l’air pour me prendre la poitrine à pleine main ou à pleine bouche.

Ma tasse reposée, il m’allongèrent sur la table dans un fracas de vaisselle bousculée, Raymond prit mes jambes, les souleva en les écartant et me pénétra en commençant par me ramoner lentement.

–  Ah, y’a pas, même en l’ayant pinée y’a quelques heures, c’est bon d’y revenir. ça ,c’est de la belle-fille. Toi mon cadet, j’espère que tu me ramèneras une petite aussi ouverte. Et il conclut cette saillie par un rire gras.

Pendant qu’il coulissait, Mus et Jimmy s’étaient placés chacun de son côté pour se faire masturber.

La petite taille de Raymond me permit de reposer mes jambes sur ses épaules en lui encadrant le visage et cela lui libéra les mains qui s’abattirent sur mes mamelles dont il se mit à triturer les tétons, à les pincer à les tirer dans tous les sens. C’était très agréable.

–  T’aime ma petite chérie ?

–  Continue vieux porc ! Tu sais y faire va !

–  Z"avez vu les jeunes comment que ça se monte une pouliche ?

Ils ne répondirent pas. Ils préféraient que je continue de les branler. De temps en temps, ils me pelotaient les nichons de conserve avec Raymond  ou venaient me palocher.

–  Tiens p’pa ! Tu veux pas la prendre en levrette pour qu’elle puisse nous pomper.

–  Non. J’vais juter comme ça. J’vais la piner tranquille. Tu en fait ce que tu veux après.

–  On peut au moins se donner le tour ?`

–  Ouais.. ouais… si tu veux…

Alors il quitta mon trou et laissa la place à Jimmy qui au bout de cinq minutes céda le pas à Mus.

Chacun y allait d’un rythme différent. Puis décidé à me finir, Raymond se remit debout, bien rivé à mes jambes pour me ramoner à fond. Les deux autres types montèrent sur la table, qui pour se faire pomper le dard qui pour me tripoter les nibards.

Il y eut un grincement puis un crac et la table s’effondra. Raymond s’affala sur moi sans que sa bite ne quitte l’orifice. Nous nous retrouvâmes tous dans un débris de tasse cassée de café ou de lait renversé de céréales éparpillées. Seul le pot de confiture d’abricot avait survécu au carnage, intact.

Nous nous relevâmes tant bien que mal en rigolant, une fois sûrs que personne n’avait été blessé dans le carnage. Le bruit causé par l’incident avait réveillé mon mari, qui apparut complètement nu étant descendu précipitamment.

–  Qu’est-ce qui se passe ici.

–  Tu vois… le bordel que fous ta femme en baisant… un vraie tornade.

–  C’est l’ouragan Lydie !

–  On a juste sauvé la confiture.

Reconnaissons tout de mème que tout ceci avait calmé les ardeurs de tout le monde. Nous étions debout devant le désastre sans savoir par où commencer.

–  Bon, ben va falloir ranger les garçons. Dis-je.

–  On a bien le temps. Moi je n’ai pas déjeuner encore reprit Franck. Qui parlait de confiture ?

Jimmy la ramassa et la tendit à son frère.

–  Tiens… mais il n’y a plus de tartine à moins que tu prennes le risque de ramasser celles qui sont dans les éclats de verre.

–  Il y a mieux !

Alors, s’approchant de moi, Franck mit ses doigts dans le pot me les plongea dans la chatte qu’il tapissa de confiture puis en reprit pour couvrir mes seins et, une fois encore pour m’en beurrer la raie du cul.

–  A table, c’est moi qui régale.

Nous nous écartâmes du champ de débris puis il se mit à me lécher la vulve en commentant :

–  C’est trop bon l’abricot !

Son père me bouffait le cul et les deux autres chacun un sein.

Quand ils eurent mangé la confiture, Franck se mit debout et me souleva pour m’empaler. Son père l’aida à soutenir mon poids en passant aussi ses bras sous mon jambes dans une manuvre intéressée, puisqu’il me fourra le trou du cul pour une magnifique double en sandwich. Pour inconfortable que fut la position, ces deux gros vits plantés dans ma chair me comblèrent de bonheur. Quand les deux garçons furent fatigués, ils laissèrent la place aux deux autres.

Puis, ayant gagné le canapé du salon, les deux frères s’offrirent une double vaginale, mon mari en dessous et son frère dessus. Il éjacula en premier, se retira, vint se faire nettoyer la bite pendant que Mustafa prenait le relai. Franck prêt à jouir à son tour demanda de changer de place, juste le temps de mieux faire coulisser son chibre pendant que celui de Mus restait fixe et tendu à l’intérieur. Puis il se retira pour venir juter sur ma bouche.

Après la confiture, le lait concentré!

Son père m’enfila à son tour. Pendant quelques minutes encore sa queue coulissa contre celle de Mus et contre ma paroi avec violence. Je sentais l’excitation de Mus grandir à la façon dont ses mains s’agitaient sur mes tétons et à la façon dont il m’embrassait de plus en plus sauvagement. Enfin, dans un tonnerre de jurons, ses couilles se vidèrent. Il n’en fallut pas plus pour précipiter la jouissance de mon beau-père dont je sentis la bite pulser à son tour quelques secondes après alors qu’il se vautrait sur moi en gueulant :

–  Prends ça salope, encaisse, encaisse…

Evidemment, ils vinrent aussi se faire essuyer le bout dans ma bouche, Mus ayant même pris la précaution de me plonger les doigts dans le trou pour me faire bouffer le plus de protéines possible.

Il nous fallut plusieurs heures pour tout ranger, entre l’orgie de la veille et les dégâts de la journée.

Les adieux furent déchirants, mon beau-père et mon beau-frère regrettant de nous voir partir, surtout moi, et nous promettant de recevoir plus souvent leur visite… promesse qu’ils n’auraient pas de mal à tenir pensai-je.

Nous reprîmes la route.

La plupart du temps nous rentrons directement de Normandie en Ile-de-France sans nous arrêter. Mais là, Franck fit une courte pause le long de la nationale.

–  Tu t’arrêtes ?

–  Ouais un court moment, le temps que tu passes derrière.

–  Pourquoi ?

–  Mus, tes couilles, elles sont opérationnelles.

–  Affirmatif patron!

–  Alors vas-y ma chérie, rejoins-le et baise-moi ce gros vicieux.

–  C’est pas un peu dangereux ?

–  C’est vrai ça, dit Mus. Si tu piles pendant qu’elle me suce, elle me cisaille la bite !

–  Oui ce serait dommage, un si beau morceau ! repris-je et pour toi, comment tu vas te concentrer ?

–  Mus me décrira sans arrêt la scène.

–  Et les voitures qui vont nous doubler ? C’est de quoi leur faire avoir un accident !

–  Vous êtes chiants tous les deux. On va juste obturer la vitre arrière gauche au cas où on nous double et basta… et Mus aura balancé la sauce bien avant d’arriver.. Maintenant tu vas derrière et vous commencez !

Nous obéîmes sans broncher. J’avançais le siège passager avant pour gagner en confort et Mus commença à décrire.

–  Là, elle baisse ma braguette… elle me bouffe la bite à travers le slip… je bande. Le bout dépasse, elle léchouille…hmmmmm… atteeeeennnds… je baisse complètement mon froc … voila… j’ai le paquet à l’air bien en place…. elle me bouffe les roustons en me branlant. Elle remonte bien sur le gland… elle chatouille le trou avec son doigt humide…ouf… c’est un truc de dingue…

……………………

–  Eh t’arrête pas Mus, continue !

–  Ah ouais pardon mais c’est trop bon … la elle passe sa langue sur la rondelle ! Truc de guedin… ça y est, elle vire son chemisier et son soustingue. Elle va me faire une branlette espagnole…. Putain, c’est chaud… trop cool les nibards !

Bref, j’alternais entre pipe et cravate de notaire et le tout durait depuis un bon quart d’heure lorsque Franck ralentit puis s’arrêta une deuxième fois.

–  Qu’est-ce qu’il se passe ?

–  Rien continuez quoi qu’il arrive. Je vous ai trouvé un nouveau compagnon en la personne de ce jeune autostoppeur.

–  Je me relevai juste pour voir effectivement un type apparaître à la portière, vitre baissée, du passager avant.

–  Bonjour. Vous allez à Ev….reux…. ?

Le fait de me voir à l’arrière en train de sucer Mus le laissa sans voix.

On peut faire le détour. Montez.

–  Il ne bougea pas. J’avais repris ma pipe.

–  Allez, posez votre sac à l’avant et montez à l’arrière. Il y en a pour tout le monde.

Il hésita puis se décida. Si tôt assis je me précipitai sur sa braguette.

Mus commentait toujours.

–  Il a une belle tige normale circoncise toute poilue  bien blonde. Il bande dur le salope. Ça y est, elle le gobe.

Le mec se mit aussitôt à gémir.

Mus continuait:

–  Ma queue est libre mais je la doigte en me masturbant. Elle bouffe la bite de l’autre à fond… gorge profonde et tout le toutim.

–  Qu’elle s’empale la chatte sur sa bite !

Il n’y avait pas à discuter cet ordre. Tant bien que mal je grimpai sur la queue du mec en lui tournant le dos et me laissai glisser sur sa tige.

–  Il la bourre là. Il a ses deux mains sur ses nichons. Elle me branle de la main droite.

A ce stade de notre trajet, nous étions arrivés sur la quatre voies et même si Franck roulait normalement il ne put faire autrement que de rattraper un bus.

Je pus voir nettement qu’il était rempli de jeunes hommes , sportifs ou supporters qui avaient quasiment tous une oreillette. Tout à coup, l’un regarda vers le bas et m’aperçut en train de me faire sauter. Il donna vraisemblablement un coup de coude à un de ces potes et aussitôt tous les regards basculèrent vers nous. Mus ne pouvait pas les voir. Ce fut moi qui fit les commentaires.

Les mecs firent des signes de la main, levèrent le pouce en l’air et lorsqu’ils se mirent à sortir leurs portables, je dis à Franck d’accélérer.

Franck sortit finalement de la quatre voies, trouva une entrée de champ tranquille où ils purent me baiser tous les trois à tour de rôle avec, cadeau pour l’autostoppeur, une buccale bien sentie.

Nous reprîmes la route, déposèrent le jeune passager, puis Mus.

Le soir au lit, nous fîmes le bilan du week-end.

–  Qu’est-ce que tu es belle ma chérie quand tu jouis. J’adore de voir prendre toutes ces bonnes queues ? Tu as aimé ?

–  Oui, c’était bon. Mais je n’arrive pas à comprendre comment tu peux supporter de me voir prise par tous ces mecs.

–  C’est comme ça. Je kiffe grave. Voir tes seins bouger ta chatte offerte, entendre tes cris tes gémissements.. C’est le délire.

–  Cool alors.

— T’es prête à recommencer ?

–  Tu veux retourner chez ton père ?

–  Oui.. non autre chose…

–  Quoi ?

–  Je te laisse la surprise ?

–  OK.

J’aurais bien repris un petit coup de bite à ce moment là mais Franck avaient les burnes vides. Je m’endormis donc avec plein de rêves dans la tête.

A suivre

Related posts

La folle nuit de Lola… – Chapitre 2

historiesexe

Natalia – Une boîte de chocolats – Chapitre 5

historiesexe

Xscape – Chapitre 4

historiesexe

Laissez un commentaire

Ce site Web utilise des cookies pour améliorer votre expérience. Nous supposerons que cela vous convient, mais vous pouvez vous désinscrire si vous le souhaitez. J'accepte .