Maman en brousse.
Elle presse ses couilles, les embrasse, les suce avant de les prendre dans sa bouche tout en flattant de ses caresses la bite vraiment incroyable. Elle recommence à le sucer tout en jouant d’une main avec ses couilles. Il a posé ses deux mains dans les cheveux de ma mère et marmonne entre ses dents :
T’es vraiment bonne pour une blanche !
Suite :
La salive coule le long du manche le rendant brillant, les lèvres autour de sa grosse queue.
Il l’a attrapée par les cheveux pour baiser sa bouche jusqu’à la garde comme une brute assoiffée de baise. Étant donné les dimensions XXL, elle ne peut tout l’avaler. L’excitation du noir est à son comble. Ma mère s’applique à le pomper du mieux possible, il ne peut plus se retenir de ce traitement ininterrompu et un terrible orgasme le submerge. Il se déverse dans sa bouche avec des râles de satisfaction et des gémissements d’extase…
L’énorme bite noire enfoncée au tréfonds de sa gorge crache sa semence en longs jets tièdes.
Ah ! Je… je ne peux plus me retenir… je… je jouis… !
Sans plus aucune pudeur, ma mère déglutit et lui présente sa bouche ouverte pour bien lui prouver qu’elle a apprécié sa contribution spermique.
Le troisième homme assez âgé repousse les deux autres, c’est un colosse de presque deux mètres et dans les 120 kilos. Il sort son sexe et là, ma mère manque de peu de tourner de l’il. Ce black est membré comme un cheval. Le mythe du « Noir à grosse queue » est explosé avec lui.
Je me suis mis à l’aise… en attendant mon tour, grosse salope de blanche ! Mais putain, moi j’aime les grosses pouffes !
Il s’avance vers elle dont les yeux ne quittent pas le balancement de la verge, le prépuce légèrement rétracté sur son gland flétri à moitié découvert tranchant sur le noir de sa queue d’âne excite et horrifie au possible ma mère.
Il avale le contenu d’une fiole, sûrement du marabout du village. Elle voit d’un coup la verge du noir grandir très vite, malgré son âge. Il a une bite équine ce vieux… La potion faisant son effet, le boudin noir se transforme en une trique dans un sursaut. Il s’approche de ma mère jusqu’à ce que le monstrueux gland touche ses seins. A ce contact, elle frissonne de peur.
Il appuie plus franchement sa verge qu’il doit tenir à deux mains sur la peau de ma mère en ricanant :
Et pour moi, tu as la bonne taille dans tes capotes ?
Elle regarde cet énorme mandrin avec hésitation, tirant la langue pour goûter son gland avant de le parcourir lentement du méat urinal jusqu’à son frein, mordillant par à-coups son gland en le faisant à peine entrer dans sa bouche. Il a l’air d’apprécier et elle renouvelle l’opération plusieurs fois, lui tirant des gémissements de plaisir.
La langue de ma mère parcourt l’énorme phallus pour l’imprégner de salive. Mais même si elle voudrait en avaler le plus possible, vu la grosseur et la longueur, elle sait très bien devant la tâche quasi désespérée que ce serait déjà un miracle si elle arrivait à en enfourner la moitié dans sa cavité buccale. Heureusement que la queue qui a pris des proportions colossales ne soit pas d’une dureté à toute épreuve. Avec bravoure, elle lui passe une capote qui a l’air ridicule sur un tel manche.
Le géant black gardant son calme, la prend dans ses bras et doucement l’allonge au sol sur le dos tout en respirant fort au-dessus d’elle, pelotant ses bourrelets, suçant ses tétons généreux, les mordant même, puis vient lui lécher le minou pour mieux la préparer à son « convoi exceptionnel ! »
Ses grosses mains saisissent enfin les hanches imposantes de maman qui le supplie d’y aller doucement. Quand son gros champignon heurte la fente déjà ouverte, elle ressent un désir fou qui repousse ses appréhensions. Docilement, elle se cambre, car son excitation est devenue plus forte que sa peur qu’il la défonce.
Le bout du gros gland se plaque sur son orifice vaginal. Le vieux noir sait très bien comment se positionner pour la pénétrer par petits à-coups, essayant de la ménager. Mais elle ne peut s’empêcher de hurler à la mort en croyant sentir son vagin se déchirer, lui rappelant les douleurs de son accouchement.
Elle a l’impression d’être dépucelée à nouveau. Le vieux y revient à plusieurs fois, plongeant et replongeant dans son fourreau qui s’assouplit doucement sous les assauts de son manche équin.
Son fluide vaginal est si puissant que le gros tuyau noir glisse lentement sans trop de résistance dans la fente béante et humide. Mais il ne peut faire pénétrer que la moitié de sa matraque souple malgré la profondeur de la grotte de ma mère.
Elle est résignée et heureuse, il s’accroche à ses hanches et la laboure avec une infinie lenteur.
Le jeune black a rebandé et se branle en le voyant faire, puis s’approche et lui présente sa verge pour qu’elle le suce pendant qu’il joue avec ses seins et ses tétons durcis par le plaisir. Il regarde l’autre aller et venir, plus doucement, mais sans s’arrêter pendant de longues minutes avant de se retirer pour gicler sur ma mère. Mais même ça est disproportionné chez ce géant qui marmonne en se vidant d’un flot ininterrompu de foutre très liquide. Ce n’est pas un homme, mais un cheval qui se vide sur elle tellement elle est recouverte d’une quantité de semence qu’aucun humain ne peut concevoir.
A peine la chose faite, la bite pendante entre les jambes, il se rhabille et quitte la case.
Le jeune est si chaud qu’il retire sa bite de la bouche de ma mère. Elle grogne de dépit en remuant son cul. Elle s’allonge sur le ventre pendant qu’il caresse son cul et son dos. Alors, elle se met à quatre pattes comme une chienne en chaleur.
Viens, baise-moi fort !
Il n’en peut plus et se met face à son cul après avoir passé un préservatif, car il a retenu la leçon, crache dessus et la pénètre. Elle a le sentiment qu’il va lui déchirer le fion. Sa bite est trop grosse pour elle, ça va lui faire trop mal.
Il l’encule vigoureusement. La grosse bite lui fait mal dans l’arrière-train qui l’engloutit entièrement.
Il accompagne l’enculage titanesque d’un mouvement de bassin vers l’avant déclenchant une décharge électrique puissante. Sous les coups de boutoir qui la mène à l’orgasme, elle jouit du cul, complètement trempée et en voulant encore.
Elle peut sentir chaque centimètre de sa queue en elle. Il pousse de plus en plus fort, attrapant ses cheveux. Ses mouvements deviennent beaucoup plus forts. Elle halète comme un animal qui apprend à nager en mode survie et prend une bouffée d’air dès qu’elle le peut.
Il se retire enfin, attrape ses cheveux et éjacule sur son visage. Le foutre coule entre ses lèvres et elle l’avale en le regardant droit dans les yeux. Il décharge dans sa bouche en longs jets de sperme qu’elle avale aussitôt.
Elle a un peu perdu ses esprits et quand enfin ses idées s’éclaircissent, elle est seule dans la case, étendue sur le ventre et un chien est en train de renifler son cul et l’odeur de chatte en feu.
La bête est si excitée qu’elle lui monte sur le dos pour la prendre comme une chienne en chaleur.
Ma mère ne peut rien faire et ne tarde pas à recevoir la semence de la bête en rut, complètement folle qui s’active en coups rapides et lâchant des successions de gémissements essoufflés.
Elle est devenue sa chienne au propre et au figuré. La sensation de ce pénis canin qui rentre par petits à-coups n’est manifestement pas dans les habitudes de ma mère. La bête une fois l’acte accompli, ne demande pas son reste et quitte la case.
Souillée comme jamais, elle essaie de se nettoyer avec le peu d’eau à sa disposition avant de rejoindre sa case pour la fin de la nuit d’une démarche de canard.
Le lendemain, le réveil est difficile et il faut se préparer pour aller au village suivant. Elle espère que le Tam-tam de brousse ne vantera pas ce qui s’est passé cette nuit sinon elle ne pourra jamais arriver vivante à la fin de son pèlerinage pour expier ses fautes. Surtout de cette façon…
Fin.