Le niqué en niquab – 2
Hachim est depuis quelques temps mon Master. Cest un malien à qui jai plus et qui a su se montrer persuasif pour que je sois sa femelle soumise et aimante.
« Dis adieu à la liberté connasse ».
« Tes trop joli comme ça ma salope. Maintenant suis-moi »
Je le suivi complètement déplacé dans mon niquab et talons hauts. Je sautille à cause des ceintures qui me limitent dans mes mouvements. Sortie au grand air. Il fait nuit. Sa Mercedes rutilante attends devant lentrée du bâtiment warning flashant. Jentends un bip, le coffre souvre. Hachim me soulève de ses deux bras et me jette dans le coffre. La malle claque. La Mercedes démarre.
Bien plus tard. La Mercedes sarrête. Hachim ouvre la malle arrière je redresse la tête. Il sort sa bite et me dis « Suce ! ». Jobéis et Hachim me baise la gueule et me parlant en arabe. Il me jute dedans puis me pisse dans la bouche en grognant. Il me colle une beigne pour que je rentre dans le coffre. Il redémarre.
On arrive car la Mercedes simmobilise durablement. Hachim ouvre le coffre et me propulse sur le bitume en me soulevant par les cheveux. Là, incapable de me relever, en niquab noir talons aiguilles, vautré sur le bitume jessaie de regarder par le grillage de lhabit. Quinze salopards, des blacks, des rebeus, des lascards se marrent en me regardant. Hachim me lance un coup de pied dans les couilles. « aaaarhh ». Tous rigolent et se massent la bite. Leurs regards sont clairs sur leurs intentions ; je vais en prendre grave par tous les trous et souffrir pour leurs plaisirs (comme le mien dailleurs).
Un des mecs présents, gigantesque, massif et fier, me releve par le niquab et me propulse devant lui tandis quil part devant. Moi je sautille en toute hâte pour éviter les coups dans les reins et les oups de pieds dans le cul.
Après plein de détours en semi obscurité, Il se retourne vers moi et me tonne :
« A genou salope et embrasse la bite qui va te faire du bien ». Je deviens rouge pivoine si jen juge le sang qui me monte aux joues et bredouille un :
— hff hff hff » Hachim me retourne une gifle monumentale. Jai les genoux qui tremblotent et la tête qui vacille. Je tourne de lil commence à tomber alors que le géant me rattrape par une seule main au revers de la veste de costume. Il me prend la tête à deux mains et les pressent comme sil voulait me faire éclater la tête. Il mextirpe le gode gonflable de la bouche en me larrachant et me donne alors un baiser incroyable avec sa langue toute entière dans ma bouche, tellement que jen étouffais. Mais jaimais ça et je fondais sous son étreinte. Il me prend les couilles en mains à travers le pantalon de toile et les malaxe en serrant avec une pression continue. Ma bite se tend alors que jai les couilles de plus en plus douloureuses. Je fais :
— huh huh huh mmmmuh
— A genoux et embrasse ma bite, salope ! »
Il appuie sur mes épaules. Je suis à genoux. Sa main énorme mempoigne les cheveux sur le dessus du crâne et de son autre main il dézippe son jeans. Le gars extirpe alors de son futal un engin large et long comme mon plus gros gode, soit 6,5 par 24. Un truc que je ne savais même pas que ça existait ;
— wouaaaahhhhhhhhh ! » fis-je ébahi.
— ouvre bien grand, ça te sera utile sale pute ! »
Jobéis, autant par envie de cette bite magnifique que poussé par son ton impérieux.
Je mes mains en coupole pour accueillir ses couilles splendides (3 fois plus grosses que les miennes !!) et ouvre en grand ma bouche en sortant la langue. Je le regarde. Il souri et menfourne sa bite encore molle en bouche. Il appuie avec son bassin alors que sa main vient me bloquer la mâchoire. Jinspire une grande bouffée dair car je sens venir la séance dapnée. Et en effet ma chaleur buccale, ma soumission, mon attitude de salope en manque font grossir et durcir ce mandrin rapidement dans ma bouche, puis dans ma gorge.
— Tes pas puceau de la bouche ma salope ! Applique-toi et je te ferai du bien. »
Je mes alors toute ma science à sucer, lécher, embrasser ce merveilleux pieu. Je le gobe à fond, la salive me coulant de partout. Lui, féroce, nhésite pas à me baiser la bouche comme il ferait dun cul. Je le prend en gorge profonde alors quil menfonce sa bite raide et dure au plus profond en me secouant la tête davant en arrière ; ça fait des « gokh gokh gokh » baveux et super bandant.
Il hurle sa jouissance en me jutant 7 jets abondants et épais en sortant un cutter.
— tavales ou tas plus de nez. »
Je dégluti en savourant car jadore à la fois être soumis à un homme et aussi avaler le sperme. Je lui aspire toute sa semence et nettoie sa bite.
Il me dit : « attend cest pas fini » en agitant le cutter devant mes yeux. puis toujours bandé, me pisse dans la gorge une petite rasade bien drue.
-Avale salope, ou bien »
Mais il nas pas le temps de me donner lalternative que jai déjà tout avalé avec plaisir et vice. Alors le mec se lâche et me pisse sans retenue toute sa vessie dans lestomac en poussant sa bite à travers la gorge. Le passage de la luette manque de me faire dégueuler, mais sa lame brille de telle sorte que javale mon vomi avec sa pisse, par peur de rester mort sur le béton.
-Aaaaaaahh !!!, cétait bon connasse ! »
-Merci Monsieur. » Mentendis-je répondre. Le gars se fend dun gros rire retentissant et me dis quil avait tiré le gros lot.
« Je tavais dit que je te ferai du bien si tu me suçais. Cest maintenant »
Il me colla une claque et je volai contre le mur. De ses deux mains Il arracha en deux le niquab sous les ola des voyeurs, me colla un uppercut au foie. Je tombe au sol replié comme un ftus. Il me jette un coup de pied dans les couilles et à labdomen. Me soulève en me relevant par la ceinture. Il se relève, met ses poings sur ses hanches et mordonne de me lever. Moi je chancelle, des étoiles scintillent dans mes yeux et mon cerveau semble barboter. Je me sens mal, mais surtout je me sens tout nus sauf le corset et les bas noirs.
« Debout ! Sinon je te refais du bien » Je mexécute. Je suis nu tandis que le gars mexamine sous toutes les coutures. Il me colle une beigne magistrale me tord les bras dans le dos et utilise ma ceinture en cuir comme sangle pour me plier en deux. Sa bite toujours sortie de jeans redresse la tête fièrement. Ce mec aime faire du mal. Et moi, comme un con de soumis jaime ça aussi, ma bite démentant toute tentative de refus de ma part.