Remerciement
Je remercie young-angel pour avoir modifier mon histoire !
Grâce à elle je peux enfin faire paraître cette histoire qui me fait très plaisir à dévoiler.
Jai imaginer l’histoire mais c’est la belle plume de young-angel qui à permit à cette histoire de devenir très belle.
Merci !!!
Et jespère que vous rétrécirez.
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Chapitre 1:
Il fait une journée splendide. La mer est dun calme absolu, dun bleu magnifique. David Grands, respire à plein poumon lair marin. Accoudé à la rembarre de ce magnifique navire de croisière, il scrute lhorizon. Parti en voyage détude avec sa classe de Fac, il mesure, à cet instant précis, la chance quil a de participer à cette aventure.
Il écoute le bruit des vagues, frappant la coque du bateau, comme une musique dune douceur irrésistible.
David est un jeune homme de 22 ans. Du haut de ses 1m85, il domine la mer. Ses yeux dun gris clair absolu fixe le large, le regard perdu dans locéan Atlantique. Originaire des Bahamas, David est un grand sportif à la peau mate. Son corps mince et musclé, son visage angélique, son charme absolu sont autant datout pour séduire. Il le sait, peu de fille peuvent lui résister.
Il quitte son point dobservation pour venir sinstaller sur lun les transats du pont avant. De là il peut observer une toute autre vue mais toute aussi magnifique pour lui.
Devant lui, certaine filles de sa classe batifolent dans la piscine. Elles jouent, rient, discutent. Certaine se reposent sur des transats, profitant de cette chaleur agréable. Les yeux de David sattardent sur leurs bikinis sexy, mettant en valeur leurs formes et leur beauté naturelles.
A côté de lui, Mike, son meilleur ami, est allongé sur une chaise longue, lunette de soleil sur le nez. Lui aussi paraît absorbé par le spectacle de toutes ses jeunes filles en Maillot de bain.
Ils sont 15 élèves en tout. Tous là pour rejoindre les États Unis et participer à un concours interclasse.
Malgré la bonne humeur qui semble régner sur le pont du bateau, les élèves noublient pas leurs objectifs : Le concours. Dun niveau international, il sera un tremplin pour leurs études. Miami, la ville où ils passeront lexamen sera le théâtre de leurs avenirs à tous.
En attendant chacun décompresse à sa manière.
David se tourne vers Mick.
« Cest donc ça le paradis ! »
Mick sourit à la remarque de son ami.
Lui aussi a 22 ans, comme la plupart des gens de sa classe dailleurs. Il est blond les yeux bleu et, tous comme David possède un corps sculpté et musclé.
Au bord de la piscine, sa petite amie Mélanie, les pieds dans leau se laisse caresser par les rayons du soleil. Les courbes magnifiques de son corps fin la blondeur de ses cheveux semblent embrasser le soleil.
Ils sont ensembles depuis 1 an. Leur rencontre fut un véritable coup de foudre.
Marine discute avec Nina sa meilleure amie.
Nina. Une petite brune d1m60 possédant une petite poitrine esquisse et un fessier qui ne laisse aucun garçons indifférents. Mick ne peut sempêcher de fantasmer en secret sur la meilleure amie de sa copine. Imaginant parfois des scènes brulantes de perversité ou, Nina et Marine seraient le centre de toutes ses attentions lubriques.
Le groupe est accompagné de deux de leurs enseignants.
Jérôme, 35 ans, professeur en langue vivante. A en croire toute les étudiantes, qui ont eu la chance de lavoir comme prof, il est l’homme idéale. Une taille moyenne, Les cheveux châtains court et ses yeux marron fascinent les élèves féminines.
Véronique, 29 ans professeur en Math et physique, fait aussi parti du voyage. Elle débute tout juste sa carrière denseignante. Cest une belle et grande Rousse aux yeux bleus et à la courbe plus que généreuse : Des fesses fermes et bombées et une poitrine volumineuse.
David se redresse de son transat. Du regard, il balaye le pont à la recherche dune personne. Eléonore. Une fille de sa classe. La bombe de la classe. Les garçons, en masse, fantasment sur cette demoiselle. Beaucoup ont rêvé de la mettre dans leurs lits. Mais nombreux se sont cassés les dents en tentant de la séduire.
David, lui na jamais rien tenté. Mais cette fille le rend fou de désir. Elle est le centre de ses nombreux fantasmes lors de plaisir solitaire.
David la trouve enfin. Eléonore, mince, brune, une paire de seins à réveiller un mort. Elle est là, un peu plus loin, ses yeux bleus caché derrière de grande Lunettes de soleil, telle une star ; portant un maillot de bain blanc, la rendant encore plus irrésistible. Et, cerise sur le gâteau pour les yeux de David, Son bas de maillot, un string dont la ficelle semble vouloir glisser entre ces deux belles fesses.
David est pris dune érection soudaine et incontrôlable devant cette vision de rêve.
Pour cacher son émotion, il tire sur sa serviette pour la placer sur la bosse sous son short de bain.
Il se lève dun bond pour trouver un coin tranquille afin de soulager son envie. Il pénètre alors, à lintérieur du paquebot, la serviette autour de la taille, pour trouver des toilettes. Une fois dans ce lieu, il claque la porte, baise son short et saisi sa queue à pleine main. Lentement il se branle, fermant les yeux, se remémorant Éléonore dans son petit bikini.
Soudain la porte souvre brusquement. Nina sur le seuil de la porte regarde David. Elle le pousse alors au fond de cette petite pièce pour sengouffrer à son tour dans ce lieu.
David na pas le temps de réagir, complétement surpris, se maudissant de navoir pas fermé à clef cette foutu porte. Nina claque la porte et donne un coup de verrou.
Elle se jette sur lui puis lembrasse fougueusement.
David reprend ses esprit et se détourne de la douche bouche de Nina.
« Mais Quesque tu fais ? »
Sans répondre Nina agrippe le sexe de David et le branle doucement.
Toujours excité, il se laisse faire sans vraiment comprendre ce qui lui arrive.
Elle lembrasse de nouveau, collant son corps contre le sien, sans lâcher son sexe de la main.
« Ne soit pas égoïste David ! »
Devant son air incrédule, Nina soupir. Elle attrape la main de David pour la guider vers le bas de son maillot.
« Cest plus clair maintenant ? Caresse-moi ! »
IL atteint son intimité, glissant sa main sous le minuscule bout de tissu. Elle mouille déjà beaucoup ce qui surprend David.
Il commence à jouer avec son clitoris, le faisant rouler entre mes doigts. Nina est au ange, gémissant sous de ce traitement. Depuis le temps quelle en rêve.
Elle lavait vu se lever de ce transat et cacher maladroitement sa bosse sous sa serviette. Elle se foutait de savoir ce qui lavait mis dans cet état.
Elle a juste saisi lopportunité. Par chance il navait pas fermé la porte. Surement trop pressé.
Nina continu de caresser David, serrant sa queue dure dans sa petite main.
David surexcité la plaque la jeune fille contre le mur. Elle se cambre alors, lui offrant un spectacle magnifique. Dune main experte, David fait glisser le bikini de Nina le long de ses jambes. Et sans crier garde, la pénétra dun coup sec et profond. Nina pousse un petit cri de surprise écartant ses cuisses. Commence alors une danse endiablée. Les deux corps se frottant lun contre lautre. Les coups de butoir de David se font de plus en plus forts. Nina gémissant de plaisir. Il sagrippe à ses hanches enfonçant sa bite toujours plus profondément dans cette petite fente humide.
Les deux amants jouirent en même temps, sabandonnant complétement lun à lautre.
Il reste là, immobile reprenant chacun leurs esprits. David se retira.
« Merde, ont aurai jamais du »
Nina lui coupe la parole « rassure toi, je ne vais pas demander le mariage. On a déliré, point ! Maintenant rhabille toi et par devant ».
Après une toilette intime rapide dans le petit lave-mains des WC, David sort de la cabine perplexe. Le calme de Nina la déconcerté. Tout est arrivé tellement vite. Intense et sauvage, sans même réfléchir, il a agi, nobéissant qua ses pulsions. Un moment surréaliste comme un rêve. David retourna sur le pont, songeur.
Soudain un grondement le tira de ses pensées.
Il lève alors les yeux au ciel pour y découvrir, avec surprise, une transformation total.
Le bleu azure, le soleil ont fait place à un ciel lourd et nuageux.
Le ciel, menaçant, est mangé par des nuages noir et sombres. Plus un souffle de vent, mais un temps lourd et suffocant. Au loin des éclairs et le grondement du ciel.
Mick viens de rejoindre son amis :
« Bordel ces quoi tous ces nuages ! Le ciel cest assombrit dun coup ! ».
"Cest assez bizarre ! On devrait se mettre tous à labri, il va pleuvoir. Allons à l’intérieur."
Les nuages progressent de plus en plus, plongeant le bateau progressivement dans lobscurité.
Les autres élèves et autre passagers commencent à rejoindre l’intérieur du navire.
Les étudiant, tous rassemblé dans le grand hall du bateau, décident de prendre la direction de la discothèque du paquebot. Ce nest pas une petite averse qui allait perturber ce moment de détente.
Max, capitaine de ce navire depuis plus de dix ans, semble beaucoup plus soucieux.
Marins émérite et expérimenté, il na jamais vu le temps changer aussi rapidement en mer. Il en a pourtant affronté des tempêtes. Abordant fièrement ses galons de Capitaine sur son uniforme Blanc, cet homme de 45 ans observe le ciel avec inquiétude. Il scrute lhorizon de la timonerie, la cabine centrale du bateau.
Autour de lui Mélina son lieutenant en second. Une jeune femme de 34 ans, une belle métisse aux lèvres pulpeuse. Sortant tout juste de lécole supérieur maritime, elle officie son premier voyage en tant que lieutenant du vaisseau. Pour en arriver là, elle sest battu contre les préjugés. Sa taille de guêpe, ses forme généreuse nont pas toujours était un avantage dans ce milieu machiste.
Elle connait très bien Max, lui vouant une admiration sans faille.
« Alors, que dit la météo ? »
Mélina se tourne vers son capitaine pour lui répondre :
« aucun nuage nest annoncé, cestcestinexplicable. Pas de tempête, rien ! »
Dehors le vent se lève, soufflant de plus en plus fort. Les éclaires se rapprochent, le bruit du ciel devient assourdissant.
« Bon d’accords, nous allons devoir contourner, on arrive en plein sur une tempête. Direction Andros. »
Max se tourne vers son équipage hurlant ses ordres.
« Tout le monde à son poste, surveillez-moi le radar et le sondeur. Lieutenant, je vous veux à la table des cartes et prévenez la compagnie de notre changement de cap ! Exécution ! »
« Oui capitaine ! »
Max sempare du transmetteur dordre aux machines afin de leur indiquer la situation et la marche à suivre. Puis cest au tour des passagers dêtre prévenu sous forme dannonce du capitaine, émanant des différents hauts parleurs du bateau.
David marche dans les couloirs du navire. Le paquebot étant soumis aux forces de plus en plus violentes du vent, le groupe détudiant avance difficilement dans les coursives du bateau.
Ils sarrêtent un instant pour écouter l’annonce. Mais personne ne semble réellement inquiet.
Chaque élève se dirige maintenant vers sa cabine pour mettre une tenue plus adapté à la discothèque.
David et Mick partage la même chambre. Ils ont pas contre eu la désagréable surprise de trouver, en début de séjour, Jérôme, leur professeur, dans leur cabine. Devoir partager leur chambre avec un prof nest pas forcément agréable.
Mais très vite Jérôme les a mis à laise :
« Désolé les Gars, mais cest avec moi que vous allez devoir dormir les prochains jours. je ne vous connais pas beaucoup, mais d’après ma collègue vous êtes très agréable. Il ny a donc aucune raison pour que cette colocation se passe mal. Et puis vous verrez je ne suis pas un vieux con ! »
« Ne vous inquiété pas Messieurs, nous ne sommes pas là pour nous prendre la tête. »
Une poignée de main suffit pour les mettre daccord. Comme pour celer un pacte entre eux.
Les deux jeunes arrivent devant leur cabine.
David se force à oublier Nina. Son objectif : la fascinante et intrigante Eléonore. Il veut la séduire. Il va tout faire pour.
Au Poste de commandement, lagitation est grande. Mélina observe les cartes, se déplaçant entre les différents outils de navigation avec une nervosité palpable. La tension est à son maximum.
La tempête semble les encercler. Lorage frappe fort. Les vagues atteignent maintenant le haut du navire et sécrasent avec fracas sur le pont du bateau. Au loin des tornades se forment.
Mélina ne comprend pas. Rien sur le radar, comme si le bateau naviguait sur une mer calme. Tous les appareils de navigation semblent ne plus fonctionner.
Soudain un cri retentit, Mélina lève les yeux vers lofficier à la navigation.
« Jeje ne contrôle plus rien ! »
Lofficier en question se trouve devant la barre. Elle semble bouger seule.
« Capitaine ont perdu le contrôle du bateau, je ne commande plus rien et le pilotage automatique ne répond plus ! »
Le bateau est en roue libre, comme téléguider et fonce droit sur la tempête. Plus aucune commande ne fonctionne.
Le capitaine se jette sur la barre pour tenter de reprendre le control et changer de cap, sans succès.
Tel un fantôme, le navire fonce dans la tourmente, secouer comme un prunier par les bourrasques de vents et les immenses vagues.
« Lieutenant, cria le capitaine, dans quelle direction allons-nous ? »
Mélina regarde de nouveau les cartes tentant des calculs afin de trouver une direction. Elle est tétanisé de peur le souffle couper par la panique.
« Alors Lieutenant ?? » hurle le capitaine
« Nous… Nous dirigeons droit sur. »
Elle fait une courte pause réalisant la porter de sa phrase :
« sur le triangle des Bermudes Capitaine. »
Plus aucun bruit dans la cabine. Autour du Les éléments naturelles se déchainent.
Tout le monde dans la salle reste bouche bée.
Cest un officier qui brise le silence :
« Cest juste une légende. Non ? »
Un mythe, une légende qui reflètent langoisse et lanxiété de lhomme face à des situations incompréhensibles.
Mais là, tout est bien réel. Dehors cest lenfer. Une tempête monstrueuse, un bateau qui ne répond plus aux commandes humaines. La terreur envahi chaque membre déquipage.
Max tente de calmer ses troupes de les ramener à la réalité du moment
« Mes amis nous devons faire face, nous avons des passagers, notre devoir est avant tout de penser à leur sécurité. Alors je veux que vous soyez tous fidèles a votre poste jusqu’au bout, cest bien compris ? »
« Oui capitaine ! »
« Il ne faut pas céder à la panique. »
« Oui Capitaine ! »
« Alors tout le monde au travail, trouvez-moi une solution pour sortir de cet enfer ! »
Dans la discothèque, lambiance est tendue. La musique cest arrêté, la pièce est plongée dans la pénombre. Chacun tente de saccrocher. Jérôme tente de calmer les élèves de les rassurer, mais même lui est terrorisé. David se cramponne au bar pour ne pas chuter. Le bateau tangue dans tous les sens. Son ami Mick, sert marine sa petite ami aussi fort quil peut.
Véronique la professeur en Math et physique est dans sa chambre, hurlant à laide, pleurant. Par le hublot elle aperçoit les éclaires à quelque mètre du bateau et les vagues qui viennent sécraser sur le bateau provoquant à chaque coup un risque de destruction.
Dans la cabine de pilotage, tous les membres déquipage sactivent pour tenter de reprendre le control du navire.
Puis soudain le vent se tait. Les vagues diminuent. Le grondement étourdissant du ciel stop dun coup. Comme un mauvais rêve, les nuages disparaissent laissant le soleil reprendre ses droits.
Devant la stupeur de tous les officiers, la mer devient calme, le ciel reprend sa couleur bleu, lhorizon apparait, sans aucun nuage. Les appareils de communication se remettent à biper. Tout est redevenu calme.
Plus tard dans la soirée au poste de commande le capitaine regarder l’horizon d’un aire grave puis il remarqua en même temps que tous son équipage la disparition des nuages.
Le capitaine fixe le paysage, se posant milles questions.
Mélina, dépassé par les événements, observe les radars :
« Capitaine, nous sommes revenu à la normal je crois… »
Max se tourne vers sont équipage encore sous le choc :
« Reprenons notre route, quittons rapidement cette zone. »
Le Navire reprend son cap. Quitter le triangle des Bermudes, lieu maudit, le plus rapidement possible.
Tout le monde se croit hors de danger. Pourtant le pire reste à venir.
Durant la tempête une présence étrangère cest invitée sur le bateau. Une chose malfaisante.
Une créature mystérieuse aux formes humaines. Un monstre dans un corps de femme.
Un corps recouvert décaille bleue foncée. Des cheveux très longs, noirs.
Mince, une très forte poitrine, Sans vêtements : une créature du mal.
Ce nétait que le début de lenfer.