L’histoire commence un matin froid de décembre. L’héroïne de cette histoire s’appelle Julia. C’est une jeune étudiante en histoire, blonde, 1,68m, une petite poitrine, mais des fesses fermes et rebondies ( étant cavalière ça aide ). Julia après avoir passé le week-end chez ses parents pour faire ses lessives, revoir sa famille et quelques amis ( qui sont partis eux aussi étudier mais dans d’autres villes ), retourne sur Angers en compagnie de deux de ses amies.
En effet, ses amies et elle ont pour habitude de faire voiture commune afin de limiter les frais d’essence, ainsi chaque semaine c’est une fille différente qui roule.
Ce matin-là, c’est un dimanche matin, la route est déserte, il fait soleil et les filles discutent allègrement dans la voiture de tout et de rien. Jessica, la copine brune de Julia, très coquine, possédant une poitrine généreuse et une silhouette ronde, parle de la soirée de la veille et de Romain un garçon de la soirée qui draguait Julia. Mais Jessica lui répond
— Mais non y avait rien, il voulait juste discuter et puis comment veux-tu qu’il se passe quelque chose, je suis en couple avec Rémi.
Jessica lui réplique
— Non mais arrête, il était grave sur toi et puis tu n’as pas entendu ce que ses potes lui disait du genre c’est pas parce qu’il y a un gardien que l’on ne peut pas marquer de but. Je suis sûr en plus qu’il te plaisait. Et moi je suis assez d’accord avec leur rengaine. Tu aurais dû essayer !!!
Mathilde une grande rousse aux formes divines d’éducation catholique et très prude suivait la discussion et décide d’intervenir.
— Jessica arrête, tu vois bien que Julia n’avait pas envie et puis comme elle l’a dit-elle est en couple ! C’est sacré je te le rappelle ! Julia je te soutiens à 100% tu as bien fait ma belle.
La discussion continua car Jessica ne lâchait pas, les trois amies entrent alors dans un village, il y a beaucoup de monde car la messe vient de finir et beaucoup de retraités quittent l’église. Julia s’arrête à un stop et s’engage en direction d’Angers et là crac ! Julia la tête occupée par la discussion avec Jessica n’a pas vu arriver la Mercedes qui lui rentre dedans. L’homme au volant approche les 70 ans semble-t-il, cela se voit à ses cheveux grisonnants. Il est accompagné d’une femme blonde BCBG d’une quarantaine d’année et est enveloppée dans un manteau de fourrure. L’homme fait signe à Julia de s’arrêter sur le parking à proximité. L’accident a fait taire les copines à Julia qui n’ose intervenir et parler devant la détresse de Julia. Elle se haï car elle a peu d’argent et elle n’a pas les moyens de payer les dégâts de sa voiture en plus du malus qui va tomber sur son assurance.
L’homme sort, il est plutôt petit ( environ 1m60 ) et sort de sa Mercedes de mauvaise humeur. Et s’exclame:
— Enfin, vous êtes jeune mais vous n’êtes pas foutu de me voir arriver ni de réagir assez vite pour m’éviter!
Julia essaye de se défendre
— Mr Je suis désolé mais vous arriviez vite aussi!
— Ah j’arrivais vite selon vous, j’étais à une trentaine de kilomètres heure!
— Désolé, je vais regarder les dégâts et nous ferons les constats après.
— Soit
Julia fait le tour de la voiture tout son avant gauche semble touché, la roue est à changer de plus il faudra réaligner les roues et changer l’aile et le phare avant droit, de l’autre côté la Mercedes n’a quasiment rien ( juste le parechoc à changer ). Julia se met alors à pleurer car elle s’imagine la facture qu’elle va avoir à payer ainsi que le malus à venir après cet accident.
L’homme après sa colère passée devant le peu de dégâts sur sa voiture semble gêné devant l’état de détresse dans lequel se trouve Julia. Puis soudain une idée lubrique lui vient à l’esprit. Il se rapproche de Julie et lui dit :
— Ecoutez mademoiselle, je pense que nous pouvons trouver un arrangement, nous allons faire un constat. Mais je ne l’enverrai pas à mon assurance si vous acceptez quelques services basiques en échange. Cela vous va ?
Julia relève la tête et n’en reviens pas, elle n’aura pas de malus si elle accepte.
— Quels genres de services?
— Oh rien de bien méchant, du ménage et quelques autres services que les retraités ont besoin.
— Bon… Bein j’accepte merci beaucoup de votre compréhension.
— donnez-moi votre numéro que je puisse vous recontacter pour ces services.
Julia lui donne son numéro le remercie encore et encore et repart tant bien que mal avec sa voiture bringuebalante maintenant. Jessica et Mathilde lui demande ce qu’il s’est dit et sont étonnée de l’attitude de l’homme qui selon leurs mots à agît en "gentleman". Julia dépose les filles tour à tour dans leur appartement l’une près de l’université catholique de l’ouest l’autre dans le centre près de ralliement. Julia elle va chez son oncle et sa tante qui habite dans le quartier populaire de Belle-Beille qui est proche de son université.
Elle prévient sa tante, son copains, ses parents de toute l’histoire qui sont également surpris de la réaction de l’homme. La semaine se passe comme d’habitude, les cours, le travail à la BU, les soirées chez son copain, etc…
Puis viens le vendredi, Julia se demande si sa voiture va réussir à faire le voyage de retour. Elle essaye de la démarrer mais rien n’y fait la voiture ne bouge pas, de plus elle se rend compte que son pneu avant droit est désormais à plat. Au moment où elle s’apprête à téléphoner aux filles pour les avertir qu’elle ne pourra les ramener, un appel d’un numéro inconnu vient couper sa réflexion. C’est l’homme avec qui elle a eu l’accident le week-end précédent. Il lui demande comment elle va elle et sa voiture. Jessica lui répond qu’elle ne démarre pas et qu’elle n’a pas l’argent pour la réparer. L’homme lui propose alors :
— Ecoutez jeune demoiselle, passer chez moi, rendez moi un service comme nous avions convenus et si vous vous débrouillez bien on trouvera un arrangement.
Julia qui n’a plus de cours ce vendredi et qui a encore de bonnes heures avant de récupérer les filles accepte. Elle se rend donc chez l’homme qui lui donne son adresse. Il habite en plein centre-ville dans un immeuble privatif semble-t-il. Elle prend le bus et y arrive. Elle sonne et entre. L’homme l’accueille en robe de chambre et pantoufle.
— Bonjour Mlle je m’appelle Michel. Et vous ? ( Son regard est attiré par la jupe et les jambes gainées d’un collant de Julia. )
— Moi c’est Julia monsieur. Répond-elle timidement
— Oh je t’en prie Julia appelle moi Michel, pas de chichi entre nous.
— D’accord monsieur… Euh Michel, pour quels services m’avez-vous fait venir?
— Ecoutez je n’arrive plus à me laver moi-même depuis quelques jours et j’aurais besoin de ton aide."
— Mr, Michel je ne peux pas c’est inconvenant, je ne peux pas faire ça ce n’est pas ce que nous avions convenus !
— Je sais Julia c’est que ce que nous avions convenus mais ce service je suis prêt à mettre définitivement cet accident de côté, ça vous va ?
Julia hésite mais finis par accepter. L’homme l’emmène alors dans la maison jusqu’à sa chambre. Là il se déshabille ( Julia tourne la tête) et se retrouve en slip puis s’allonge sur le ventre. Julia hésite, il est couvert de poils blanc/gris, elle est très gênée, mais si ça peut lui éviter un malus elle le doit. De plus elle pense à Rémi et se demande ce qu’il penserait de lui en la voyant dans cette situation Michel lui désigne ou se trouve le nécessaire. Julia va préparer ce qu’il faut puis commence sa tâche.
Elle commence par laver le dos de Michel, ses bras et ses jambes, puis lui demande de se retourner afin qu’elle puisse faire son ventre et l’autre côté de ses jambes. Michel obéi et se retourne dévoilant l’avant de son corps. Julia ne tarde pas à remarquer le slip qui a l’air rembourré, elle se demande alors sil porte une couche.
Elle recommence alors à le laver avec le gant plein de savon. Elle lave son torse et ses bras puis descend faire les jambes. Elle finit par nettoyer le bas du ventre et le haut des cuisses car c’est bien la tâche qui l’a révulse. C’est en nettoyant ces endroits là qu’elle remarque que le slip devient très serré et une forme massive se distingue peu à peu et tend le slip vers le haut. Ceci la trouble fortement car la chose qui s’érige est énorme et elle ne peut croire qu’il s’agit du sexe de Michel. Le slip tendu au maximum fait quasiment la hauteur de son avant-bras. La peur et l’angoisse la prennent mais en même temps une certaine curiosité perverse s’empare d’elle. Cependant elle s’arrête et dit
— Voilà Michel, vous êtes propre maintenant, nous somme quitte ?
— Julia tu as oublié de me nettoyer mes parties intimes ou bien j’ai perdu toute sensibilité.
Julia hésite fortement puis malgré elle agrippe les bords du slip le soulève et l’abaisse ( elle essaye de ne pas penser à Rémi ). La stupeur, l’incrédulité la frappe. Le sexe de Michel faisait facilement entre 25 et 30 centimètre et était également très large. Julia elle le savait devait être toute rouge et une bouffée de chaleur s’emparait d’elle. Elle se demandait comment un homme si petit pouvait avoir une queue si grosse, si massive, elle croyait que ce genre de sexe n’appartenait qu’aux histoires de black. De plus elle semblait raide, dur et ferme alors que Michel approchait des 70 ans. Elle était tétanisée, jamais elle n’avait vu un tel sexe. Celui de Rémi était on ne peut plus moyen ( une dizaine de centimètre et était assez fine ), celui de Michel était énorme et la terrorisait. Michel voyant son trouble la relance.
— Eh bien Julia que ce passe-t-il, qu’est-ce qui vous fait hésiter ?
— Michel,… C’est gênant. Je suis en couple, c’est inconfortable ! Non je ne peux pas.
— C’est gênant pour vous, mais je trouve que tu te débrouille très bien. Et puis je ne te demande rien, tu ne trompes pas ton copain.
Julia rouge de gêne commence alors à nettoyer l’entre jambe, et les testicules de l’homme, étant à genoux sur le lit et penché sur Michel pour le nettoyer, le Sexe de Michel se trouve très proche de son visage, il luit d’envie et est gorgé d’envie. Julia saisie par une sorte de trans remonte sur la queue monstrueuse et avec son gant la nettoie. Elle se rend compte que ça main ne peux faire le tour complet de cette queue. Elle a chaud et sent son entre d’amour s’humidifier, cette queue faisant naître un désir malsain dans son corps. Julia résiste mais plus elle résiste plus son corps brûle d’envie. Julia finis par enlever le gant et elle saisit avec sa main droite le monstrueux manche qui se trouve devant elle. Michel ne dis rien, il se laisse faire. Julia s’enhardit et commence alors de lent vas et viens. Michel laisse échapper des râles de plaisirs, cela excite fortement Julia qui se sent complètement trempée. Rémi est désormais loin de penser car elle est totalement hypnotisée par ce sexe massif et ferme.
Elle accélère les mouvements petit à petit, le désir monte en elle la queue de Michel l’hypnotise, elle sent alors une main s’insinuer sous sa jupe. Cette main lui titille son nid d’amour qui est trempé de désir. Ces caresses ne font qu’augmenter son trouble et son désir. Elle approche alors ses lèvres du gland qui fait la taille de son poing et l’embrasse. Le contacte entre ses lèvres et ce gland la fait complètement disjoncter elle se met à sucer ce membre viril jusqu’au plus profond de sa gorge, la lève sur toute sa surface et sa longueur. Michel continue de caresser l’entrejambe de Julia tout en laissant échapper des râles de plaisir de plus en plus intenses.
Prise dans sa frénésie sexuelle avec ce membre elle crache pour l’humidifier, bave abondamment en essayant des gorges profondes. Michel prend un pied monstrueux devant ce déchaînement d’envie et de désir pour son membre massif. Il donne de léger coup de rein pour faire entrer davantage son membre dans la bouche de Julie. Pour lui baiser la bouche. La langue de Julie tourne à une vitesse folle autour de la queue de Michel, Celui-ci sent le désir qui montre, il sent ce liquide qui afflue dans ce membres. Cette petite lui pompe avec tellement d’entrain qu’il va complètement se vider il avait quasiment jamais vus ça. Il attrape alors la tête de Julia lui bloque pendant qu’il se vide complètement dans la bouche de la belle celle-ci s’étouffe, recrache une grande partie de ce que Michel lui a envoyé dans la bouche mais elle ne peut tout recracher devant ce trop-plein. Alors les larmes aux yeux elle avale à contre cur.
Comme sortit d’un cauchemar Julia s’affole.
Qu’ai-je fais ?! Mais qu’ai-je fais ?! Vous êtes qu’un gros dégueulasse, plus jamais ! Plus jamais je ne veux avoir affaire à vous !!! Mon pauvre Rémi…
Pris de panique Julia s’enfuit de l’appartement en pleur, humilié. Elle a encore l’entrejambe tout mouillé et le goût de sperme reste dans sa bouche tout le retour. Elle se demande ce qu’elle a fait, qu’est-ce qui lui a pris…
C’est ma première histoire j’espère qu’elle vous plaira.
