Confession des Désirs d’une Chaude Beurette

D’abord pour me présenter je m’appelle Samia, et j’habite dans le sud-ouest de la France. Je suis une femme de nature franche, et qui adore les plaisirs sexuels. Alors à force de lire des récits érotiques qui ont su faire évoluer mes désirs et mes fantasmes. C’est pour cette même raison que j’ai eu le goût de partager avec vous, chers auteurs/auteures, et lecteurs/lectrices, certaines de mes aventures intimes les plus croustillantes de ma vie, en écrivant une série qui sont tous tirés de ma vie réelle, sont et seront écrites le plus conforment à mes souvenirs qui si rattache.

Ses souvenirs que je m’apprête à partager avec vous ont su façonner la femme que je suis devenue aujourd’hui, avec toujours une plus grande soif de luxure tout en assumant mes désirs. Je vous souhaite à tous et à toutes très bonnes lectures…

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Aujourd’hui, le premier récit que je vous propose se déroule en 1994, alors que j’étais à la plage durant les vacances d’été. Nos familles avaient loué une maison confortable, non loin de la mer pour y séjourner. Au moment des faits, j’étais alors âgé de 19 ans, et mon cousin Karim qui lui en avait 24 ans.

Moi, alors paisiblement étendue, je faisais bronzette. Mon cousin Karim était venu me rejoindre une bonne heure après que je my sois installée. Après m’avoir trouvée étendue sur ma serviette de plage mon cousin me proposa d’aller nager à la mer. J’acceptai sa proposition, car je le percevais comme un membre de ma famille, une foi dans l’eau, on jouait comme des enfants sans malice, et espiègles tout en profitant du moment présent, sans se soucier de ce que nous faisions. Mais à y repenser avec du recul aujourd’hui, possible que lui était en mode séduction.

Une foi revenue sur ma serviette de plage on se sécha. Mais je regardais tous les mecs susceptibles de me plaire sur la plage en vue de m’en trouver un fort agréable pour être séduite, dans le but de me sentir désirable, ou même passé un moment sexuel avec lui, voire encore mieux trouvée une amourette de vacances.

Mais aujourd’hui, je dois avouer que le premier qui m’aurait proposé, je lui aurais dit oui, mais la présence de mon cousin, devais très certainement intimider la gent masculine de venir m’aborder en croyant que cet homme était mon petit ami…

Cependant, moi je ne me gênais pas pour regarder toute cette belle marchandise sur la plage. C’était comme pour moi le supermarché de la testostérone, et même parfois, je pouvais sentir leurs regards suivre les courbes de mon jeune corps, et moi dans ma tête je m’imaginais déjà des scénarios avec l’un d’entre eux, ou même plusieurs à la foi.

Certainement, mon cousin devenu jaloux de cette situation était probablement furieux du fait que je ne lui manifestais aucun intérêt envers lui, me regardait faire tout en devinant mes pensées, et osa me demander…

— Mais pourquoi regardes-tu tous les mecs qui passent ?

— Bien quoi, ça fait plus de deux mois que je suis célibataire, et plus de trois semaines sans sexe ! J’aimerais bien te voir dans ma situation…

– Ah oui, regarde tous les mecs là-bas, ils pourraient bien y en avoir qui pourrait te plaire également !

Au moment où je regardai, j’avais tellement envie de me faire draguer. Dans ma tête, les idées se bousculaient sans cesse. Surtout après trois semaines sans sexe c’était pour moi un enfer, et mon manque commençait à se faire cruellement sentir… Et mon cousin pour envenimer la chose continua…

– On a loué trois semaines, c’est long…

Pendant ce temps, je regardais un mec plus loin qui me plaisait bien. À ce moment mon cousin en profita et posa sa main sur ma cuisse, je le regardai en me demandant ce qu’il faisait, et il me sourit en continuant…

– Oui, en effet tu es toute chaude…

– À un point dont tu n’as pas idée, tellement que je le suis…

Alors mon cousin vit une grande opportunité et sauta sur l’occasion en me lançant…

– Bien, nous sommes majeurs tous les deux…

Et il continuait de frotter ma cuisse, et je lui demandai…

– Où, veux-tu en venir ?

– Bien, toi et moi on pourrait le faire ensemble ! Car moi ça fait plus d’une semaine que je n’ai rien fait, et depuis un moment que j’ai très envie de faire des choses avec toi…

Surprise de sa révélation, je le regardai, et je lui répondis…

– Mais tu es mon cousin Karim, je suis désolé, mais ça ne se fait pas…

– Oui, et alors nous sommes majeurs et vacciner, et nous sommes libres de faire ce que bon nous semble, et personne d’autre ne le saura…

Alors mon cousin commençait à se faire insistant en frottant ma cuisse, si bien que dans ma tête tout était devenu si confus, et je regardai le mec que j’avais repéré qui me faisait si envie, un peu plus loin, en me demandant ce que je devais faire, car j’en avais tellement envie de me faire prendre d’une bonne grosse bite ? Mais ne voyant pas un seul mec se pointer, j’étais très déçue à cet instant si bien que j’ai cru pendant un instant que j’étais presque invisible. Donc je demandai à mon cousin tout en réfléchissant bien aux conséquences de ma décision…

– D’accord…

– D’accord, sur quoi ?

– Bien sûr ta proposition… Mais d’abord, je veux être certaine, que tout, mais vraiment tout, restera secret entre nous deux ?

– Oui, juré…

– Parfait dans ses conditions, je veux bien… Mais où on peut le faire parce qu’à la maison on va se faire choper c’est certain ?

– On a juste à se trouver un hôtel…

Sentant mon désir monter, je me levai d’un bond, ramassai mes affaires en vitesse et en lui disant…

– Allons-y !!!

On regagna sa voiture, et nous avons filé dans un petit hôtel, à environ 15 kilomètres de la plage, d’où nous étions. Tous les deux fébriles, et on n’arrêtait pas de s’exciter, en se caressant subtilement dans le but de se provoquer mutuellement en attendant de passé aux choses sérieuses.

Après avoir payé, on monta dans la chambre, et la porte à peine fermée mon cousin me saisit et me plaqua fermement contre un mur et on se mit à s’embrasser farouchement. D’abord me je me sentais honteuse d’avoir accepté sa proposition, et dans ma tête le remord étais toujours présent, cependant ce remord s’égrainait au fil des secondes qui s’écoulais. Si bien, que par l’excitation de notre baiser prit le dessus sur mes émotions du moment.

Cependant je sentais dans l’attitude de mon cousin qu’il ne me voyait plus comme sa cousine, mais comme une salope qu’il avait ramassée sur la plage pour la baiser à sa guise. À un moment on se sépara et il me dit…

– Je sens que je vais me régaler avec toi, depuis le temps que j’en ai envie… Fou toi à poil, et couche-toi sur le lit…

D’abord surprise de l’entendre me parler sur un ton si autoritaire, mais sans riposter j’obéis à sa demande. Durant le temps que je mettais toute nue, mon cousin en profitait, et se mit à me tripoter sur tout mon corps. Je me sentais vraiment comme un jouet, mais l’idée m’excitait tellement qu’une foi toute nue je m’étends sur le lit pour lui obéir à son ordre tout en offrant pleinement en attendant qu’il finisse de se mettre complètement nu. Il vint me rejoindre en glissa ça tête directement entre mes jambes, et il saisit mes seins à la foi tendre et virilité.

Après quelques petites minutes, je lui fis entendre mon excitation en gémissant, alors mon cousin se mit léché avec de plus en plus avec férocité ma chatte qui était trempée de cyprine. Je ne me cachais plus mon excitation face à la situation. En lui démontrant mon plaisir que j’en éprouvais réellement en alternant mes gestes envers lui en le saisissant par la tête pour qu’il continue, et parfois j’empoignais les couvertures en les tordants tout en me cambrant quand il me faisait obtenir un bruyant orgasme, si bien que je me mis à trembler dun violent frisson s’emparant de mon corps durant un bref instant.

Un petit moment plus tard mon cousin se redressa sur ses genoux, en me montrant fièrement qu’il bandait pour moi et il me dit…

– Maintenant, c’est à toi de me montrer comment tu suces !

Tentant de me ressaisir, et prise d’excitation je le regardai droit dans les yeux avec un regard pervers et je lui dis…

– Je vais te montrer espèce de salop.

Je me mis à quatre pattes sur le lit comme une chienne, je lui saisis sa grosse queue qui me faisait tant envie. Je commençais par lui passer la langue de la base jusqu’à son gland, et d’un coup je l’enfournais dans ma bouche le plus profond que je pouvais et je me mis à le sucer comme si ma vie en dépendait. À un point tel que mon cousin se laissa tomber sur le dos, et le suçait sans relâche en jouant bien avec ma langue. Parfois même il me saisissait par la tête pour que je lui suce encore un peu plus profondément en me dictant le rythme à suivre, ou que je la garde profondément au risque de m’étouffer avec, selon ses désirs du moment.

Sentant qu’il désirait vouloir passer à la prochaine étape, car il me guidait avec ses mains et il me dit…

— Viens sur moi…

Lui faisant face je l’enjambais à sa demande, et je descendais lentement jusqu’à ce que je sente sa bite contre l’entrée de ma chatte. Mon cousin me prit par les hanches pour que je me pénètre sur son membre. Alors je le pris et je guidai lentement son pieu de chair en moi. Une foi bien empalé au fond de ma chatte, mon cousin poussa un gémissement de bonheur, et il me lança…

– Que je suis bien… Ta chatte est tellement chaude !

— Oui, c’est vrai que c’est tellement bon.

Alors on sembrassa à pleine bouche comme deux amants, et de nouveau il s’empara de mes seins en jouant bien avec mes tétons pour m’amener un nouveau sommet dans notre excitation, et tous les deux on commença à bouger pour la pénétration. Voulant lui montrer mon côté de salope je pris les devants en le chevauchant son membre toujours avec plus de force, et mon cousin me laissa faire. Mais à un moment mon cousin me saisit pour reprendre le contrôle en bloquant mes gestes, et commençait à me pilonner, tout en s’embrassant à pleine bouche. Voulant changer de position il me lâcha, et mon cousin me dit…

– Mets-toi en levrette salope…

Donc je m’exécutai sans même dire un mot. Mon cousin prit place et s’enfonça dans ma chatte d’un coup violent et heurta mon utérus avec ça bite bien dur ce qui m’arracha un cri. Par la suite il se mit à me limer comme une vraie salope que je suis, parfois même il me tapait les fesses, ce qui m’excitait encore plus. Souvent en se retirant et me reprenant possession de ma chatte moi esclave de ma soif de sexe je l’incitais à continuer en lui disant…

– Vas-y défonce moi bien… Montre-moi à quel point je suis une belle salope juste bonne à baiser…

Certainement mes paroles ont dû l’exciter et mon cousin ne pouvant plus se retenir, hurla son plaisir en me disant…

– Je viens, je viens, tu vas y avoir droit espèce de salope…

À ce moment je sentis plusieurs jets de son sperme chaud envahir ma chatte ce qui me fit atteindre un violent orgasme à mon tour. Si puissant que je m’écroulais sur le lit, et mon cousin se laissa tomber à côté de moi vidé.

Je m’assoupis quelques minutes le temps que je recouvre mes forces de cette superbe baise. Je me levais souillé, couvert de sueur, ainsi que ma chatte qui dégoulinait de son sperme. Donc j’allai sous la douche me nettoyer, et pour reprendre mes esprits. Une foi propre je sortis de salle de bain souriante, et satisfaite de cette aventure. Je regardais mon cousin qui était toujours étendu sur le lit somnolant me demanda…

– As-tu aimé ça ?

— Oui, j’ai vraiment aimé baiser avec toi… Et toi, tu as trouvé ça comment ?

– J’ai énormément aimé, Samia… Si bien que je ne demande qu’à remettre ça…

– Dommage que ce soit déjà fini !

– Pas vraiment… J’ai loué la chambre jusqu’à demain midi. Si tu le veux, on peut revenir, pour y passer la nuit…

Samia Oui, c’est vrai que ça serait génial de le refaire tous les deux… Mais là, nous devons retourner à la maison avant qu’ils commencent à se faire du mouron…

– Oui…

Ensuite, on se dépêcha pour s’habiller, et l’on retourna à la maison, tout en espérant que nos familles ne s’aperçoivent de rien. Mais à l’intérieur de nous, nos désirs continuaient d’évoluer, en attendant que la nuit tombe pour regagner notre chambre.

Bientôt, je vous raconterai le chapitre 2 : Une Nuit à l’Hôtel

PS: Je remercie WowSexyBaby alias Éric L pour m’avoir bien aidée pour mettre sous forme de récit cette aventure qui m’est arrivée en 1994

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