Lorsque l’on regarde un film x, on pense toujours que cela n’arrive jamais dans la vie, c’est tiré par les cheveux, les filles disent oui très facilement. Pourtant, l’été dernier, en vacances dans les Landes, il m’est arrivé une aventure digne d’un film de cul. Je faisais mon footing dans la forêt landaise, seul, isolé en pleine nature, de bon matin (il était pas plus de 7h30). Puis, j’arrive sur un chemin autorisé aux voitures au milieu de la forêt. Au loin, j’aperçois une auto garée en bord de chemin et une femme agenouillée, en train de changer une roue. En me voyant approcher, elle se redresse, semblant soulagée de rencontrer quelqu’un à cet endroit.
"- Vous avez un problème?
— Oui, j’ai crevé au mauvais endroit."
Je me dirigeais vers la roue à changer et commençai à la dévisser avec le matèriel qu’elle avait déballé de son coffre. Je ne suis pas expert en changement de roue (c’était la première fois que j’en changeais une), j’ai donc un peu bataillé, et au bout d’une trentaine de minutes, je terminais le travail à la grande joie de la dame. Quelques mots sur la dame en question. Elle était pulpeuse à souhait avec de jolies rondeurs aux bons endroits (seins, cul, cuisses), des cheveux longs et blonds et des yeux bleus charmeurs. Elle devait avoir entre 45 et 50 ans. Elle était vêtue d’une robe longue d’été colorée, tenue par des bretelles et chaussée de talons compensés en toile. Bref, elle était tout à fait à mon goût.
"- Vous me sauvez la vie jeune homme, je me voyais rester ici plusieurs heures.
— C’est sûr qu’il y a d’autres endroits plus fréquentés pour crever. (Plaisantais-je)
— Comment pourrais-je vous remercier?"
A cette question, des pensées coquines se bousculèrent dans ma tête, je pensais à ce que je disais au début de mon récit. Un sourire est apparu sur mon visage, sourire que la belle inconnue a repéré et compris.
"- Je vois à quoi vous pensez. Vous devez avoir l’âge de mon fils, à peine plus âgé peut-être. Pourquoi pas, après tout, on est seuls au monde ici et je vous dois une fière chandelle."
Elle s’approcha de moi et posa sa main sur mon paquet déjà dur. On s’embrassa à pleine langue et je commençais à peloter ses fesses au travers de la robe avec mes mains salies par le dépannage mais cela ne la gêna pas. Je relevais le vêtement pour toucher ce cul pour de vrai. Madame était en string. Ouf! quel cul pensais-je.
"- Comment tu t’appelles?
— Bastien.
— Moi c’est Christine. Tu veux que je te suce Bastien.
— Je veux tout. Tu me suces et je te baise."
Christine s’accroupit devant moi, baissa mon short et mon caleçon et prit mon sexe dans la main. Elle me branla doucement, me décalotta puis passa la langue sur mon bout. C’était bon et excitant. Puis elle avala littéralement ma queue et me pompa tandis que sa main malaxait mes boules: j’étais aux anges. Au bout de quelques minutes, Christine se releva et alla s’appuyer sur le capot de sa voiture.
"- Viens me lécher."
J’acceptais l’invitation. A mon tour je m’accroupis devant son entre-cuisses. Elle releva sa robe. J’ôtai son string, trempé de mouille. Elle était rasée. Ma bouche se posa sur son bouton que j’embrassai avant de le lécher. Christine, les yeux fermés, gémissait et parlait à voix basse comme si elle avait peur d’être entendue:
"- Hmmm, vas-y Bastien c’est bon. Branle moi la minette mon chéri."
Je suivis sa demande et introduisis mon index et mon majeur dans sa vulve mouillée tout en continuant de la lécher. Puis, je me relevais tout en laissant ma langue glisser sur son clito, son ventre, jusque sur sa bouche. Je fis tomber sa robe et dégrafa le soutien-gorge. 2 melons m’apparurent alors. Je commençais à les lécher et les téter, mes mains caressaient ses fesses et ses lèvres vaginales. Elle avait un corps de rêve. J’aime bien les femmes girondes, et là, j’étais gâté.
"- T’as des capotes? (lui demandais-je)
— Je dois avoir ça dans mon sac."
Elle m’abandonna quelques secondes, le temps de prendre son sac sur le siège passager. C’est alors que je ne pus me contenir, la voyant penchée dans la voiture, le cul offert, je vins me positionner derrière elle et lui fourra ma queue dans le vagin, sans protection (je sais c’est pas bien et risqué pour nous 2, mais l’excitation a été plus forte).
"- Non, attends!!! (cria-t-elle), pas sans capote petit con!"
Je fis 2 ou 3 va et vient avant de me retirer. Elle se redressa aussitôt, me jeta un regard furieux et dit:
"- Fais plus ça sinon je me casse. Qu’on baise, ok, mais on le fait correctement.
— Excuse-moi."
Je posais mes lèvres sur les siennes pour vite revenir à notre affaire et espérant la calmer. Christine se laissa faire. Elle alla prendre un drap de bain dans le coffre et l’étala au sol. Si quelqu’un venait à passer il assisterait à une jolie scène, mais ce ne fut pas le cas. Je déroulais une capote donnée par ma maîtresse et vins me coucher sur elle. Ma queue rentra facilement dans son vagin avec son consentement cette fois. Je la baisais et l’embrassais dans le cou, sur les seins. Christine gémissait doucement. Je m’arrêtais, sortis ma pine et lui caressa le clito avec. Puis, je lui remis dans le trou, lui tenant la jambe droite en l’air. A chaque coup de bassin, elle criait plus fort. Puis, elle se mit à 4 pattes et je la pris en levrette, la tenant par les hanches.
"- Oh oui! c’est bon! t’arrête pas Bastien, je vais avoir un orgasme."
J’intensifiais le pilonnage, accélérais la cadence, mon ventre tapait contre ses fesses. Je continuais ainsi jusqu’à sa délivrance. Christine se mit à jouir très fort:
"- Aaaaaaaaaah! mon dieu que c’est bon! Aaaaaaah!"
Je sortis ma bite de son vagin. Je la laissais reprendre ses esprits et son souffle.
"- A toi maintenant."
Je me couchais sur la serviette, m’offrant à elle. Christine enleva le latex et me suça. Elle me lécha les couilles. Je gloussais de plaisir, et lui mis l’index dans le vagin. Christine accéléra la branlette jusqu’à ce que j’éjacule. 1 gros jet blanchâtre jaillit de ma queue et mouilla sa main. Je poussais un cri un peu étouffé. Elle n’arrêta pas la branlette pour autant et la poursuivit pour finir de me vider. Un second jet, moins important sortit. Puis, elle me nettoya le gland avec la langue.
On resta quelques instants silencieux. J’approchais ma bouche de la sienne. On s’embrassa comme 2 amoureux, fougueusement. Puis, on se rhabilla:
"- Tu veux que je te dépose?
— D’accord."
Christine me ramena à l’appartement que je louais. Avant de descendre de la voiture, je lui ai demandé:
"- T’es d’accord pour qu’on se revoie?
— J’ai un mec. D’ailleurs je file à Bordeaux pour le retrouver. Mais je reviens après demain."
Elle enregistra mon numéro de portable. 2 Jours après, elle m’appela et vint chez moi. On se fréquenta pendant les 2 semaines que je restais. Ce fut des vacances chaudes dans tous les sens du terme.