2.
A bord du FPU-Atlas, la tension montait. Le lieutenant Jones ne savait trop que faire. Le capitaine Douglas aurait dû appeler depuis plusieurs heures maintenant. Mais toujours pas de nouvelle. Selon les scanners, lui et Neil étaient toujours vivant. Cétait déjà rassurant. Et les vaisseaux extraterrestres navaient ni bougé, ni relevé leurs boucliers, ni rien fait qui eut pu paraître agressif.
Un « bip bip » sonore retenti sur la passerelle.
— Lieutenant Jones, fit lEnseigne Lhatta, un appel du vaisseau extraterrestre.
— Sur haut-parleur.
— Bonjour ! Jai un message pour le lieutenant Jones.
— Bonjour, vous pouvez parler, je suis le lieutenant Jones.
— Je suis le Zourk Menesis, Commandeur des Akraniens. Jai un message du capitaine Douglas. Il dit de ne point vous inquiéter, il devait vous donner de ses nouvelles, mais il ne peut le faire pour le moment. Il se repose. Vous savez notre bière est assez forte, et nous avons beaucoup parlé lors du banquet, et porté de nombreux toast. Mais, dans quelques heures il vous contactera lui-même
— Bien merci pour ce message, Zourk Menesis
— Pas de problème Si certains dentre vous veulent monter à bord, ils sont les bienvenues histoire de faire mieux connaissance ou vérifier que je dis vrai au sujet du capitaine
— Merci Zourk Menesis, veuillez me laisser le temps de la réflexion.
— Bien sûr. Terminé
Jones réfléchit. Son intuition lui criait que quelque chose nétait pas normal. Elle flairait un piège. Dabord, elle connaissait assez le capitaine pour savoir quil tenait formidablement bien lalcool pour un humain. Cétait dailleurs pour cela quil était souvent envoyé en délégation, certains fonctionnaires tombant dans les pommes après deux toasts de certaines boissons intersidérales, frelatées ou pas ! De plus, cette façon de les attirer par petit groupe dans leur vaisseau ne lui disait rien qui vaille Mais sils étaient agressifs, pourquoi ne pas avoir simplement détruit le FPU-Atlas ? Pourquoi toutes ces manuvres ?
La seule façon dy voir clair était denquêter à lintérieur du vaisseau extraterrestre. Mais comment le faire le plus discrètement possible ? Une idée vint au lieutenant Jones. Cétait dangereux, mais faisable.
— Enseigne Lhatta, envoyez un message au akraniens, et dites leurs que le lieutenant Jones et quatre membres déquipage veulent monter à leur bord, en réponse à leur invitation.
— Bien lieutenant.
Lhatta fit comme le lieutenant lui avait ordonné, puis vint la rejoindre.
— Mon lieutenant, je voudrais vous signaler que ce que vous faites est périlleux. Si vous tombez entre leurs mains, nous navons plus dofficier pour nous commander.
— Oui, et cest peut-être ce quils souhaitent. Mais je ne compte pas y aller avec le groupe.
— Pardon ?
— Les akraniens ne mont pas vu, ils ne savent pas à quoi je ressemble. Une volontaire va se faire passer pour moi, et aller avec quatre autres volontaires sur le navire akranien, par téléportation. Pendant cette opération, qui attirera lattention des akraniens, jessayerai, en scaphandre autonome, de me glisser à leur insu dans leur vaisseau.
— Mais cest dangereux ! Et sils vous repèrent ? Ou sils sont vraiment pacifiques ?
— Il faudra être très synchro. Lors de la téléportation, toutes les machines et lattention est prise par lopération de téléportation, pour éviter quelle ne se passe mal, ce qui serait désastreux. Je naurai donc que quelque minute pour me glisser à bord du vaisseau. Leur radar ne pourra me détecter, ma masse étant vraiment trop petite. Sils me prennent, je ferai la maladroite, prétextant des réparations sur la coque de notre navire, et une défection de mon scaphandre qui ma propulsé vers leur vaisseau, ma seule chance de survie enfin, je me débrouillerai bien à leur servir une histoire de ce style. Mais si je réussis à passer inaperçue, je pourrai enquêter en toute liberté, et enfin savoir de quoi il en retourne.
— Lieutenant, cest risqué, mais je pense que nous navons pas le choix. Je me propose volontaire pour me faire passer pour vous.
— Daccord enseigne Lhatta. Trouvez quatre autres volontaires pour vous accompagner. Et mettons nos montres synchro… voilà. Bien, commencez la téléportation à 23h05, heure terrienne. Pas avant ! Cela me laissera le temps de trouver une ouverture sur ce vaisseau enfin jespère !
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Ayant enfilé une combinaison, Jones sortit par un sas discret, sous le vaisseau. Avec ses propulseurs, elle couvrit rapidement la distance qui séparait les deux vaisseaux. Le vaisseau akranien était vraiment très grand, fait dans un alliage inconnu de la Fédération. Elle longeait limmense coque du vaisseau. Où trouver une ouverture ? Sur un vaisseau spatial, ce nétait pas évident à trouver. Il ny avait pas tellement dentrée possible : elle ne pouvait pénétrer par un sas, car ils se verrouillent de lintérieur. Ce vaisseau ne semblait à première vue par avoir de ponton de largage dengin plus petit, elle ne pouvait donc pénétrer par-là non plus. Ce quelle cherchait était la seule ouverture de base commune à tous les bâtiments de toute les civilisations, terrestre ou extraterrestre : lévacuation dordure. Elle regarda sa montre : 22h59. Plus beaucoup de temps ! « Mais où est cette »
A ce moment, elle vit un nuage de petite particule voleter devant elle, qui semblait venir du vaisseau. « Les déchets, pourvu que ce soit les déchets ! » Elle remonta le nuage jusquà sa base : une petite ouverture, avec un sas qui souvrait et se refermait automatiquement à intervalles réguliers, lâchant de petits nuages de particules dans lespace. Elle regarda sa montre : 23h03. Louverture était juste assez grande pour quelle y passe en se contorsionnant un petit peu. Elle compta le temps entre louverture et la fermeture du sas. Cétait juste, mais elle navait pas le temps de trouver autre chose.
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Lhatta et les quatre volontaires arrivèrent dans la salle de téléportation. Jenny et Belinda étaient deux surs, qui avaient servi un temps dans les para-commandos spatiaux avant davoir fait une mission avec le lieutenant Jones. Elles avaient ensuite demandé à être muté sous ces ordres de façon définitive, car elles navaient jamais connu meilleur officier. Elles étaient de bons soldats et des éléments de valeur. Jenny était une mignonne petite brune très énergique, tandis que Belinda était une blonde pulpeuse. Ben, aussi un ancien para, à qui le capitaine Douglas avait sauvé la vie lors dun raid victorieux, mais épique, lors de la guerre des trois systèmes suivait Douglas en espérant lui remettre la pareille un jour Les cheveux grisonnant coupé à la brosse, il était grand, musclé le para type ! Le dernier élément de léquipe était moins talentueux militairement. Mike, beau brun ténébreux, enfin à ce quil dit, était courageux et arrogant. Fils de bonne famille, pistonné, il suivait léquipe du Capitaine Douglas dans lespoir de se couvrir de gloire.
Ils se placèrent tous les cinq sur le socle adéquat. Lopérateur tritura son panneau de commande. Il laissa laccès au rayon du vaisseau extraterrestre. Un halo blanc les entoura, devint éclatant, puis disparu avec les cinq humains. « Pourvu que Jones ait pu pénétrer dans le vaisseau » pensa Lhatta.
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23h05. Jones prit une grande respiration et se lança sans hésiter, bascula tête la première juste au moment ou le sas souvrit, et se rétablit juste pour faire passer ses jambes au moment où le sas se refermait. Cétait tout juste. Mais elle était passée. Elle était dans une sorte de grande cuve, une cuve à déchet, remplie dun nuage brun plus compact. « Que de manière organique ! » pensa-t-elle en consultant son scanner. « Même si le vaisseau est grand, ça fait quand même beaucoup ! » Grâce au propulseur elle trouva sur un des murs métalliques la porte qui permettait sans doute aux techniciens dentretenir la cuve. En lobservant, elle comprit quelle pouvait louvrir manuellement. Elle tourna les molettes adéquates, ouvrit la porte et entra dans un petit sas de décompression. Après avoir refermé la porte, la lumière devint rouge, puis après encore quelques minutes, tout redevint normal, et une porte à lautre extrémité de la pièce souvrit. La gravitation était normale et lair respirable. Jones enleva son scaphandre autonome, devenu très sale après le passage par la cuve, et sortit du sas de décompression, sattendant à tout moment à ce quune horde dakraniens mauves à longues oreilles se saisissent delle. Mais rien. Elle entra dans ce qui devait être un vestiaire, vide de toute présence. Apparemment elle était passée inaperçue. Elle cacha sa combinaison spatiale et son scaphandre dans ce vestiaire, dans une sorte de caisse contenant des outils bizarres et du matériel dentretien des cuves.
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Lhatta et ses compagnons furent bien reçu à bord du vaisseau akranien. Ils furent accueillis par un akranien sappelant Mannè. Il était courtois, et demanda aux humains de le suivre, il allait les mener au capitaine Douglas. Ils suivirent donc leur guide. Les akraniens ne purent sempêcher darrêter leur travail pour regarder Lhatta ou Belinda. Pour eux, qui navaient jamais vu de femmes terriennes, voir Lhatta, Jenny ou Belinda était extraordinaire ! Même dans le centre de commande du vaisseau, les hommes avaient les yeux rivés sur lécran de vidéo, suivant les cheveux noirs de Lhatta qui ondulait au grès de sa marche heureusement, car ainsi ils ne virent pas le petit voyant rouge qui clignota au niveau du sas de décompression de la cuve à déchet !
Finalement, Mannè sarrêta.
— Veuillez mattendre quelques minutes lieutenant Jones, jarrive.
Après avoir acquiescer de la tête, Lhatta observa la pièce où ils se trouvaient. Cétait une sorte de vestibule, rond, avec sept portes sur le pourtour des murs. Entre ces portes, des tables basses, avec des pots de fleurs. La même sorte de fleur en fait : une sorte de noix de coco à demi-enterrée, avec des hautes tiges et des fleurs pourpres ou mauves, en trompette. Ce vestibule était assez haut, avec une sorte de terrasse en mezzanine au second niveau, terminé par un dôme. Le tout était assez élégant. Lhatta attendait Manné avec ses compagnons au milieu de la pièce. Elle trouvait la fleur assez jolie, et le parfum dégagé par elle était très bon, mais la rigueur militaire faisait que les cinq personnages restaient sans bouger, au milieu de la pièce.
Après quelques minutes, le Zourk Menesis apparu sur la terrasse, suivi de Manné. Il les regarda avec un grand sourire.
— Soyez les bienvenus amis humains !
Puis il se retourna vers Manné et lui glissa doucement
— Pourquoi ça ne marche pas encore ?
— Ils sont trop loin des plantes, chuchota Mannè, pour un effet rapide ou immédiat, il faut en être plus près !
Le Zourk Menesis se tourna de nouveau vers les humains.
— Mannè me dit que vos amis sont dans le quartier des habitations, derrière une de ces portes. Ils déjeunent. Avant de vous laisser les rejoindre, jaimerais que vous vous conformiez à une vieille coutume dhospitalité akraniene. Pour nous les fleurs sont très importantes. Avant daller manger avec un hôte, on respire le parfum des fleurs posées dans le vestibule, et on complimente lhôte pour son habitat. Cest devenu une politesse élémentaire chez nous.
— Bien sûr, Zourk Menesis, fit Lhatta. Nous ne voulons vous froisser, vous nous accueillez si chaleureusement.
Et faisant un geste pour que les autres fassent comme elle, et alla vers la plante. Elle huma le parfum dune des fleurs, et fit un compliment dusage. Mais elle trouvait que cette plante sentait vraiment bon ! Au risque de paraître impolie, elle huma une seconde fois la fleur. Quel parfum sublime ! En plus, elle se sentait toute bien. Elle flottait, langoisse de la mission avait disparu. Elle replongea le nez dans la fleur, vit avec amusement les pistils en forme de pénis, et, comme Neil et Douglas, suça les pistils, absorbant les neurotoxiques. Elle ne vit pas que ses compagnons faisaient de même, tous sous linfluence de la plante. Puis la sensation de chaleur commença, lenvie de sexe
Elle se débarrassa de sa combinaison pour être plus à laise, et nue, se retourna. Les autres avaient fait comme elle. Ben, très grand et musclé, avait un sexe énorme. Il était tout bandé, et Jenny et Bélinda le léchaient avec gourmandise. Un peu à lécart, Mike se masturbait en regardant le spectacle. Mike avait une verge beaucoup plus petite que celle de Ben, mais Ben étant déjà occupé Lhatta marcha donc vers Mike et sagenouilla devant lui. Il lui présenta sa queue, quelle commença à lécher. Elle lécha le gland, le manche, puis enfourna toute la verge dans sa bouche. Mike mis sa main sur larrière de la tête de Lhatta, et commença à lui imprégner de furieux vas-et-viens le long de sa queue, Lhatta se dégagea, renversa Mike sur le sol, et se coucha sur lui, de façon à pouvoir lui sucer le gland tandis que son sexe était à hauteur de la bouche de Mike. Il lui lécha alors la vulve, la pénétra de sa langue tandis quelle lui fit une pipe gourmande.
Belinda était couchée sur le sol, Jenny à quatre pattes lui léchait et lui mangeait la chatte, tandis que Ben prenait Jenny en levrette. Il ahanait à chaque coup de son énorme boutoir, qui faisait gémir de plaisir Jenny, qui en donnait un coup de langue plus profond à Belinda, qui gémissait à son tour Lhatta laissa Mike, et alla passionnément embrasser Bélinda. Puis elle saccroupit sur le visage de Bélinda, qui lui mangea à son tour la chatte (mieux que Mike !), faisant face à Ben et Jenny pour profiter du spectacle Mike sapprocha du groupe, il ne lui restait que deux orifices disponibles : lanus de Ben ou celui de Lhatta. Il choisit celui de Lhatta. Tandis quelle se faisait lécher par Bélinda, elle sentit le gland de Mike contre son anus. Elle saccroupit mieux pour détendre son muscle anal, et ainsi Mike put la sodomiser à son aise Belinda, sa tête juste en dessous de laction, léchait tantôt la chatte de Lhatta, tantôt les couilles de Mike
Tout à leur orgie, ils navaient pas vu que deux ou trois autres akraniens avaient rejoint le Zourk Menesis et Mannè sur la terrasse. Ils prenaient des notes, et commentaient les plaisirs humains, discutant en scientifique. Ils virent les humains se calmer doucement Mike éjacula en premier dans le cul de Lhatta. Belinda avait le bas du visage trempé par la mouille de Lhatta, Jenny le bas du visage trempé par la mouille de Belinda, et Ben donna un dernier coup de boutoir et éjacula abondamment dans la chatte de Jenny. Puis ils se couchèrent les uns sur les autres, pour reprendre leur souffle. Les scientifiques akraniens discutèrent encore, prirent quelques notes, réglèrent les derniers détails de lopération avec Menesis, puis quittèrent la terrasse, tandis que les humains recommençaient, Ben prenant violemment Lhatta, qui léchait Belinda tandis que Mike sodomisait Jenny
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Jones visitait le vaisseau. Le niveau où elle se trouvait était celui des machines, turbines, enfin, toutes des choses étranges dune technologie qui dépassait celle des humains. Ce nétait pas ici quelle trouverait le professeur Neil et le Capitaine Douglas. Dès quelle entendait un bruit, elle se cachait, et put passer inaperçu. Mais le niveau supérieur étant assez fréquenté, et certainement surveillé, ce serait beaucoup plus difficile. Cest en se cachant précipitamment derrière de gros tuyaux pour éviter dêtre vue par deux akraniens quelle navait pas entendu venir quelle trouva la solution. Les machineries du vaisseau akraniens produisaient beaucoup de chaleur. Hors ces machineries semblaient ne pas aimer la chaleur. Jones avait remarqué plusieurs grilles de ventilation. Ces grilles donnaient sur des tuyaux, assez grand, qui couraient dans tous le vaisseau. En se cachant derrière un de ces tuyaux de ventilation qui montait vers les niveaux supérieurs, Jones se trouva face à une grille, et elle vit au travers de celle-ci quil y avait des échelles de maintenance pour monter ou descendre dans les tuyaux. Après quelques recherches, elle parvint à ouvrir la grille, et se glissa à lintérieur du tuyau. Il y faisait frais, mais cétait supportable. Elle monta léchelle et arriva ainsi au niveau supérieur du vaisseau. Là, elle dut continuer à quatre pattes, mais cétait possible. Tout les 100 mètres il y avait une grille, par laquelle elle pouvait observer le vaisseau et les akraniens. Ces grilles étaient aussi la seule lumière, faisant alterner dans les tuyaux des zones dombres et de clarté.
Au grès de sa progression, elle vit les cuisines, des salles de repos, des salles dont elle ne comprenait pas lutilité, et surtout beaucoup de laboratoires. Dans ces laboratoires, elle put apercevoir quelques scientifiques akraniens, perdus dans leurs expériences, mais aussi de nombreuses espèces animales de toute la galaxie, dans des cages. Cétait vraiment étrange. Au grès de sa progression, elle voyait les akraniens comme des scientifiques, et pas des soldats. Elle navait vu aucune arme apparente. Quels drôles de gens ! Elle continua sa progression, et arriva au niveau de ce qui devait être une chambre dakranien. Le mobilier était assez austère, comme dans tout vaisseau spatial, mais plus confortable que dans lUFP-Atlas. Jones allait continuer lorsque la porte souvrit, et un akranien entra dans sa chambre. La curiosité la retint, et elle observa lextraterrestre. Il était torse-nu, comme les autres. Mauve, oreille en pointe, entièrement glabre. Il vaquait à ses occupations, prit un magazine dans un tiroir. Elle allait continuer, lorsquelle vit quil commença à se déshabiller. Elle aurait dû continuer, mais une curiosité voyeuriste la retenait. Elle vit le pantalon de lakranien descendre. Il avait des fesses, comme des fesses humaines Deux fesses mauves, avec son petit trou au milieu. Puis il se retourna. Jones nen crut pas ses yeux ! Il avait deux pénis. Deux pénis qui commencèrent à bander, puis qui se tendirent à leur maximum. Jones rougit. Lakranien commença à se masturber, une main sur chaque sexe. Jones ne savait détourner les yeux de ces deux pénis, de ces deux glands qui apparaissaient et disparaissaient au grès des mouvements des mains de lakranien. Jones vit à travers sa combinaison que ses tétons pointaient. Elle rougit encore plus. Lakranien gémit, et éjacula de ses deux sexes à quelques secondes dintervalles. Son sperme ressemblait beaucoup à celui des humains, en plus jaunâtre peut-être puis il disparut du champ de vision de Jones. Elle profita pour se remettre en route. Mais en bougeant, elle sentit que son entre-cuisse était tout humide. Elle passa sa main, et malgré sa combinaison, elle sentit le mouillé. Elle sentit ses effluves et rougit encore plus. « Pffff, je suis venue ! Comme une gamine devant son premier film porno ! Quelle honte ! »
Elle continua sa route, le plus silencieusement possible. Elle sentait dans la conduite ses effluves. « Pourvu que personne dautre ne le sente » pensa-t-elle. Les pièces suivantes étaient de grands hangars, avec ce qui ressemblait à de grandes cages. Mais il faisait trop sombre pour quelle puisse voir de quoi il sagissait. Elle continuait sa progression, mais sarrêta brusquement. Elle avait entendu un bruit. Devant elle. Elle sarrêta, scruta les ténèbres. Puis elle vit deux yeux jaunes luire dans le sombre, face à elle. Elle dégaina doucement son désintégrator. Un Mx32. Silencieux, précis. La meilleure arme de courte portée de la galaxie. Jones recula doucement dans le tuyau, dans la zone dombre, de façon à laisser venir son adversaire dans la partie claire, pour bien viser et le tuer sans faire le moindre bruit. Elle vit les yeux jaunes se rapprocher. Et constata que ce nétait pas un akranien, mais un animal qui venait vers elle. Lanimal était arrivé dans la partie claire du tuyau. Cétait un rat de lespace. Croisement entre la souris de laboratoire et le rat, le rat de lespace avait une fourrure blanche, des yeux jaunes et une longue queue rose. Sa taille avait évolué au gré des modifications génétiques. Il était grand comme un labrador terrien. Il se cachait souvent dans les grands vaisseaux spatiaux et mangeait ce quil trouvait. Il était omnivore et ses dents et ses griffes aussi coupante que des lames bien affûtées. Et là, il regardait Jones avec gourmandise. Calmement, elle leva son arme, visa et tira. Un rayon rouge sortit de son désintégrator, et foudroya le rat, qui tomba raide mort.
Ce nest que quand elle sentit une présence derrière elle quelle se rappela que les rats de lespace ne vivent et ne chassent jamais seul. Jones neut pas le temps de se retourner. Le deuxième rat lui sauta dessus, si violemment quelle lâcha son désintégrator. « Je suis morte ! » pensa Jones en fermant les yeux, prête à sentir des dents acérées lui déchiqueter le corps. Mais le rat nessaya pas de la manger. Ses pattes avant griffues posées sur les épaules de Jones, il saccrochait à elle et elle sentit un coup violent à lentrecuisse. Puis un autre. Avec horreur, Jones comprit que le rat ne voulait pas la manger. Il voulait saccoupler. Il était en rut, et avait sentit les effluves de Jones. Le besoin vital et instinctif de saccoupler, de se reproduire, était plus fort que celui de se nourrir. Jones voulut bouger pour se débarrasser du rat, mais il était lourd, et à quatre pattes, dans ces canalisations exiguës, elle ne savait pas beaucoup bouger. Elle sentait dans son entrecuisse les coups de sexe du rat de plus en plus répétés. Elle regarda sous elle, et vit que le sexe du rat ressemblait à celui dun chien, en plus long et un peu plus dur. Pour le moment le sexe du rat glissait sur la combinaison de Jones, mais devant les coups répétés, elle ne tiendrait pas longtemps. Jones essaya encore de se débattre, mais le rat lui donna un coup de griffe qui lui fit mal. Elle sécroula. Sa combinaison était déchirée sur le côté gauche, mais heureusement elle navait quune estafilade au-dessus du sein. Elle se remit à quatre pattes pour fuir, mais le rat lui sauta à nouveau dessus. Dans le mouvement et avec les coups répétés du rat, sa combinaison se déchira. « Noooon ! » pensa-t-elle ! Le rat refit un coup de bassin, son sexe dur entra complètement dans le vagin de Jones. « Aaaaah » De douleur et sur le coup, elle sécroula sur ses coudes Sa croupe ainsi offerte, le rat nhésita pas : il allait commencer à la besogner. Son sexe dur et rouge sapprochait du sexe humide de Jones. Mais le précédent coup de boutoir avait fait bouger Jones, qui sentit un objet métallique près de son coude droit. Son désintégrator ! Elle le prit, et tandis que le pénis du rat commençait à entrer en elle, elle tira à laveugle. Touché en pleine tête, le rat seffondra sur Jones, mort. Elle dégagea dabord le sexe encore chaud du rat de son vagin, puis se dégagea de sous la carcasse de lanimale. Elle était dans un bel état ! Sa combinaisons déchirée à lentrecuisse, et imprégnée de sa mouille, et de la mouille du rat, son sein gauche à lair Elle souffla un peu, et décida daller de lavant, larme à la main, en espérant ne plus rencontrer dautres rats sur son passage.