Hélène CARTIER, participant à une sortie scolaire, alors qu’elle s’est isolée pour parfaire son hale, s’est fait surprendre par trois voyous, interdite de réaction du fait de la présence proche de jeunes enfants, ils la possèdent de concert, et l’abandonne nue et déconfite sur la rive d’un petit îlet..
Le sperme gouttant larmes après larme de son sexe encore béant, elle tardait à reprendre son souffle, affolée, écoutant son corps se calmer petit à petit, elle réalisait que ses violeurs avaient bien failli la faire jouir.
Cette constatation l’effarait, et alors qu’elle aurait du se sentir souillée, honteuse, elle ne ressentait qu’une certaine nausée due à sa mauvaise conscience, elle réalisait bien qu’il eut suffi quelques moments de plus, quelques coups de boutoir de plus, pour qu’elle hurle à plein poumon son plaisir. Heureusement la main qui la bâillonnait avait contenu ses premiers frémissements oratoires, avait-elle pour autant masqué la vérité à ses suborneurs ?
Subitement elle repensa aux pique-niqueurs de l?îlet en face, elle se dressa sur ses coudes, t toujours dissimulée derrière les buissons, observant la scène qui se déroulait sous ses yeux : les jeunes, assis en rond dégustaient leurs sandwichs tout en jacassant, au train où ils allaient, force lui fut de constater qu?ils en avaient encore pour un sacré bout de temps, et de toute manière, même s’ils partaient, pourrait-elle s’aventurer nue jusqu’au camping ?
Oserait-elle seulement tenter l’aventure ?
Elle devait se décider, il avait été clair ce petit con : ou elle allait les rejoindre pour quémander, ou elle retournait à poil au camp, avec tous les risques que cela sous-entendait. Si encore elle ne se sentait pas si molle, si amorphe, elle n?arrivait même pas à se révolter après ce qu?ils lui avaient fait subir, elle se sentait si alanguie, pas honteuse, pas salie, seulement et c?était le plus étrange, si lourde, si béate, c?était comme si cette brusque agression avait comblé un manque, un vide soudainement révélé. C?était presque comme si ce jeune voyou avait juste remplacé son mari, avait rouvert une voie trop peu souvent empruntée par son époux.
Lasse elle roula sur le ventre, prenant alors conscience que, suintant de sa chatte, une traînée visqueuse maculait sa cuisse, cette constatation la replongea brusquement dans la réalité, elle se secoua, d?une lente caresse des doigts elle étala le sperme sur sa cuisse, et consciente de l?inanité de ses efforts pour se nettoyer, se dissimulant aux regards des jeunes gosses, comme engourdie, elle se prit la route des buissons qui la mènerait au lieu du sacrifice.
Louvoyant d?arbuste en arbuste, soucieuse de ne pas se faire repérer de la rive, elle s?enfonça au coeur de l?îlet. Une demi-heure à peine s?était écoulée depuis le moment ou elle avait râlé sous les puissants coups de boutoir du petit voyou, et âme chavirée.
Enfin elle les découvrit, étendus sur le dos, nus, sur des draps de bain, ils l?attendaient visiblement, entretenant de la main leurs bandaisons. Visiblement les deux plus vieux commentaient grivoisement leur bonne fortune, alors que celui qui semblait commander, le plus jeune, elle évaluait son âge à 18, 19 ans, semblait rêvasser.
Et de fait le jeune loubard, du haut de ses 18 ans et demi, réfléchissait au déroulement de leur attentat, bien sûr, n’en étant pas à son premier guet-apens, il escomptait dès le départ que la peur de se voir remarquée, surtout par des jeunes enfants, la ferait taire, mais il lui apparaissait que la rébellion avait été fort molle, et même il lui paraissait que la jeune femme avait frémi entre ses bras, que si sa tête disait non, son corps semblait alors bien prêt de dire oui, il sentait encore les réactions de sa chair qui dévoilait par son accueil une certaine participation, de plus s’il ne se trompait pas, son sexe, sa chatte lui avait paru bien affable, bien humide, aspirant à la pénétration. Il entrevoyait l’occasion de poursuivre l’expérience avec cette belle jeune femme dodue, mais pour cela, il lui allait falloir asseoir son emprise.
A pas feutrés, elle s?approcha d?eux, goguenard, Franck l?interpella :
Alors la belle …. On en redemande ?
— Vous savez bien que …. Que ce n?est pas cela … je dois rentrer au camp … et .. pour ça …. Il me …. Faut …
— Allez dis le ma belle .. tu veux tes vêtements? …. Crois tu les mériter ?
— Oh oui … j?ai fait ce que vous vouliez …. Vous avez eu …. ce … ce que vous vouliez … je ne dirai rien … mais je vous en prie …. Rendez moi mes habits !
— C?est vrai tu as été gentille … mais ça ne suffit pas …. Il faudrait que tu …
— Ca ne suffit pas ! …. Que voulez vous de plus ….. vous m?avez violé … et je ne dirai rien … je vous le jure …. Que faire de plus ?
— Tu peux faire plus ma chérie …. Et crois moi tu vas faire plus …. Si tu veux rentrer au camp en cachant tes appas …. Tu vas m?obéir …. Faire tout ce que je veux ….
— Oui …. Je ferai ce que vous voulez …. Mais que ….
— ? Tout à l?heure, tu l?as dit toi-même tu t?es laissée faire …. Maintenant j?en veux plus …Je veux que ce soit toi qui nous donne du plaisir …. Que tu t?occupes de mes copains avec tout ton savoir faire ….que tu nous montres la bonne salope que tu peux être …. Allez approche et montre moi ce que tu sais faire avec la bouche …
Et dolente, avec docilité, elle s?agenouilla entre les deux lascars, effleura leur queue du bout des doigts, hésitante, et comme le plus jeune lui empoignait les cheveux, servile elle se pencha sur son chibre et d?un souple mouvement du col l?enfourna.
Quelques allées et venues dociles sur le chibre du petit voyou et déjà l?autre la sollicitait à son tour d?un braquemart plus court, mais plus massif ….
Agenouillé face à eux, leur chef se branlait d?une main nonchalante tout en dirigeant de la voix sa performance. Il voulait maintenant que bouche ouverte en grand, elle s?occupe des deux bittes frémissantes en même temps… et servile comme jamais elle n?aurait pensé l?être, elle s?exécuta ….
Un pénis frémissant dans chaque main, elle les attira à elle et entrepris de lécher les deux glands simultanément, déployant une énergie, peu commune pour accomplir cet acte qui la révoltait au fonds d?elle-même, narquois Franck la fixait un rictus au coin des lèvres, savourant le spectacle de cette bourgeoise qui devait certainement, vu sa maladresse tangible malgré ses efforts, accueillir pour la première fois deux vits fumants en même temps dans sa bouche pulpeuse…
Et elle en faisait des efforts, picorant de petits coups de langues les deux prunes qu?elle sentait maintenant tressauter entre ses lèvres, soudain, d?un même mouvement ils lui forcèrent les commissures des lèvres et s?installèrent de force à l?entrée de sa bouche, butant sur la langue et les dents, et gémissant de plaisir ils se vidèrent en ahanant, profanant sa gorge au plus profonds de jets liquoreux qu?au bord de la suffocation, bouche bloquée sur les deux lances, elle dut ingurgiter au prix de nausées qu?elle fut stupidement fière de contrôler. L?épais jus lui tapissait la gorge, engluant sa luette, avant de s?écouler avec précision dans son pharynx dompté.
Elle dut encore, pour le satisfaire, toiletter soigneusement les deux dards visqueux, lapant jusqu?à la dernière traînée le sperme tiède .
Heureuse de les avoir satisfaits si rapidement, elle glissa sur les genoux, prête à agir de même avec le voyou en chef.
Mais, lui se laissa couler sur le dos, puis la prenant aux genoux il l?attira au-dessus de son bassin lui précisant, tu vas d?abord te caresser avec ma queue, puis quand je te le dirai, tu t?empaleras dessus et tu me feras l?amour.
Elle comprit alors …. Non content de la posséder, ce petit salaud voulait que ce soit elle qui lui donne du plaisir .. en quelque sorte, il la forçait à se prostituer pour récupérer ses effets… et elle ne voyait aucune solution lui permettant d?échapper à cette dégradante gesticulation.
Les larmes perlant aux yeux elle se résigna, le vit dressé entre ses cuisses frôlait son sexe, de la main gauche, elle le saisit, et suivant ses indications elle le fit aller d?avant en arrière tout le long de sa fente, épouvantée elle sentit son sexe s?humecter, petit à petit, au grès des contacts de plus en plus précis sur ses babines enfiévrées, elle sentait monter en elle le désir de s?empaler sur ce chibre qu?elle aurait du haïr, elle sentait son bassin se cambrer, sa chatte s?embraser, son trou se dilater pour mieux accueillir son hôte. Enfin, d?une claque sur les hanches il lui ordonna d?enfourner son pieu, avec un long soupir, elle le guida précisément et d?une seule poussée fiévreuse l?engouffra au coeur de sa fournaise.
Sanglotant de honte, elle joua des hanches, l?étreignant de toute la force de ses sphincters, pour enfin s?abattre sur son ventre, cherchant ses lèvres de la bouche, avouant malgré elle le pied qui la submergeait toute tandis qu?incapable de se contenir plus longtemps il giclait à gros bouillons dans son ventre tétanisé.
Eperdue, elle resta de longues minutes allongées sur son torse, cherchant à reprendre sa respiration, sentant la bitte de son ’ agresseur ’ se rétracter entre ses lèvres frémissantes.
Enfant la houle qui agitait ses flancs se calma petit à petit, elle roula sur elle même, et, toute honte bue le sollicita à voix basse
— Rendez-moi mes habits maintenant … je vous en prie … vous avez eu ce que vous vouliez …. J?ai exécuté vos ordres …. Je … je me suis donnée à vous … alors … respectez votre parole …
— Je vais faire quelque chose pour toi … mais d?abord, dis-nous merci …. On t?a bien fait jouir ….
— Oh oui … merci …. Merci … souffla-t-elle, le rouge aux joues de devoir exprimer ce qui n?était qu?une profonde vérité.
Oh oui elle avait joui, son corps avait vibré, son âme exulté …et c?était bien là le plus pénible, alors qu?elle n?aurait du ressentir que honte et confusion, elle avait frémi de plaisir, incapable même de retenir ses cris orgasmiques lorsqu?elle s?était effondrée sur lui, pantelante … et voilà qu?en plus elle devait le leur avouer …
Calmement il fouilla dans son sac marin, et effets à la main, il proposa :
Tu as gagné une pièce de tes vêtements … une seule … je te laisse le choix ….
Elle sut tout de suite qu?il était inutile de le supplier, son air railleur lui disait assez qu?il n?attendait que cela pour l?humilier encore, et finalement se montrer inflexible. Elle ne réfléchit qu?un instant, comme il n?était pas question de rentrer au camp foufoune ou loches à l?air, il ne lui restait qu’à opter pour sa courte robe, qui au moins cacherait tous ses appâts.
— Donnez-moi ma robe s’entendit-elle chuchoter, larmoyant presque.
Un peu déçu de sa docilité, il lui tendit son vêtement qu?elle enfila promptement tandis qu?il ordonnait à ses comparses
Rendez-vous à la tente … je raccompagne madame …. On a encore des choses à se dire …
Pensant que le trajet lui permettrait peut être de le fléchir, de récupérer culotte et soutien gorge, elle se tut, finalement heureuse qu?il lui accorda encore cette chance, et le dos rond elle lui emboîta le pas.
A plusieurs reprises, elle tenta, à voix basse de le supplier, elle chuchotait :
? Je vous en prie ….. Rendez-moi mes sous vêtements …. S?il vous plait … j?ai fait ce que vous vouliez …. Vous avez pris votre plaisir …. S?il vous plait ….
Mais imperturbable, muet, il se taisait, son sourire malicieux trahissait cependant son plaisir, il jouissait rien que d?entendre cette belle femelle l?implorer, alors qu?en ville elle ne lui aurait sûrement pas adressé la parole, il la sentait là, à ses cotés, prête à toutes les compromissions afin de récupérer son trophée.
Petit à petit il se pénétrait de sa dépendance, il appréhendait qu?elle ne pouvait se permettre de lui abandonner son maillot, que pour une obscure raison, il lui était impératif de le récupérer. Il savait que les écoliers qu?elle encadrait resterait là la semaine, et il entrevoyait que tant qu?il garderait sa lingerie, il aurait barre sur elle, qu?elle ne pourrait rien lui refuser, qu?afin d?éviter tout esclandre elle se plierait à toutes ses volontés. Ainsi, chemin faisant, il imaginait toutes les avanies qu?il pourrait lui imposer, toutes les positions dans lesquelles il la prendrait, toutes les variations qu?il lui ferait subir.
Ce n?est qu?en franchissant avec elle le pas de la tente qu?il lâcha :
— Bon ce n?est pas le tout ma chérie …. Tu veux que je te rende tes frusques …. Pourquoi … ?
Larmoyante, contrainte d?exprimer ses peurs, elle avoua :
C?est mes fils qui me l?ont offert ….. et ils voudront certainement me prendre en photo le portant …. Pour montrer des souvenirs à leur père … il faut donc absolument que vous me le rendiez …..
Puisque c?est ainsi … et pour te remercier de m?avoir fait tant jouir …. Je vais te rendre, et comme déjà elle pensait triompher, il lui asséna :
— Ton soutien gorge
— Mais ….. pleurnicha-t-elle assommée
? Eh oui ma chérie … on va procéder par étapes …. Aujourd?hui ton cache nichons …. Et plus tard ….qui sait … Et maintenant à genoux … tu vas me dire merci !
Et à nouveau, en cette fatidique journée elle se retrouva prosternée devant ce sinistre voyou qui réclamait de sa bouche ces caresses qui la troublait tant. Folle d?inquiétude à l?idée qu?on puisse la surprendre en cette position, en cette activité, elle engloutit la verge déjà vibrante, consciente que la rapidité de la chose ne dépendait que d?elle.
Elle fit de son mieux, parcourant la hampe d?une langue agile, mordillant les testicules poilues, engloutissant à pleine gorge le chibre turgescent, convaincue d?obtenir, ce faisant, une rapide solution.
C?est avec un mélange de plaisir et d?appréhension qu?elle sentit enfin le fier braquemart frissonner puis tressauter dans sa bouche, elle était maintenant assez avertie pour savoir qu?une abondante éjaculation scellerait sa tâche. Aussi, si c?est avec joie qu?elle sentait poindre la fin de ses tourments, c?est avec rage qu?elle pressentait que bientôt la pine honnie lui vomirait son trop plein de foutre à pleine gorge.
Déjà, il lui pressait la nuque, lui écrasant la figure dans ses poils hirsutes, et se cabrant spasmodiquement, il se vida en plusieurs jets abondants qu?elle s?efforça d?avaler au fur et à mesure de leur émission, chaque goulée du jus tiède et glaireux lui tapissant la gorge, alors que bizarrement un trouble sentiment de satisfaction la pénétrait.
Après une dernière caresse de ses lèvres pulpeuses, il se rebraguetta, lui tendit le soutien gorge, et s?en alla, l?abandonnant prostrée, du sperme s?échappant à la commissure des lèvres, brisée aussi bien par ces émotions que par le plaisir qu?elle avait enduré lors de ce dernier viol…
Suite à venir – Coulybaca –