La société qui m’employait organisait une fois par an, en octobre ou novembre, un séminaire de vente durant lequel nous étaient présentées les nouveautés de l’année suivante. Les participants étaient d’une quarantaine de personnes, moitié hommes, moitié femmes. Le séminaire se déroulait toujours dans un autre département, et le voyage s’effectuait en autobus grand tourisme.
De 9h à 12h et de 14h à 18h l’ambiance était studieuse et professionnelle et pour le reste du temps c’était quartier libre. Chaque séminaire m’avait donné l’occasion d’avoir une brève liaison avec une collègue d’une autre agence. Il n’y en a que 3 qui m’ont laissé un souvenir. Le premier au cours duquel j’ai couché 4 nuits avec Sophie, âgée de 20-21 ans mariée de moins de 6 mois et en procédure de divorce 6 mois après le séminaire. Ensuite Alexandra, 27 ans, mariée très jeune à un homme beaucoup plus âgé qu’elle, à qui j’ai fait découvrir qu’elle avait entre les cuisses un organe qui permettait de prendre du plaisir, et dont elle a su se servir également d’argument sur le plan professionnel pour gravir certains échelons au sein de la société.
Et il y eut Camille
Nous étions jeudi soir, demain matin de bonne heure ce serait le retour, et je n’avais pas réussi à établir de " contact ".
L’hôtel où nous séjournions possédait une grande terrasse et un très grand parc. J’étais sur la terrasse à prendre l’air après le repas de fin de séminaire, il devait être 22 h, perdu dans mes pensées, quand à côté de moi j’entendis une petite voix douce :
— Tu réfléchis à quoi ?
Une collègue que je ne connaissais pas et que je n’avais absolument pas remarquée depuis le début de notre séjour se tenait à côté de moi.
Il faut dire que question vêtement elle n’y avait pas mis du sien pour se faire remarquer, contrairement à d’autres, robe grise, ample, bref rien qui ne la mettait en valeur ou qui pouvait attirer l’attention.
— J’aimerai marcher un peu, tu m’accompagnes, j’aime pas être seule dans le noir
Sur ce elle me prit par le bras et m’entraina pour faire un tour. Nous avons discuté de tout et de rien, elle avait 32 ans, mariée, 2 enfants, une vie routinière banale entre son mari, ses gosses et son boulot. Elle avait accepté de participer à ce séminaire en grande partie pour "changer un peu d’air ".
Camille se serait contre moi, et bras dessus bras dessous, je passai le mien autour de ses épaules. Dans la quasi-obscurité nous nous sommes assis sur un banc.
Camille avait-elle décidé de l’occasion de ce dernier soir pour s’octroyer une " sortie de route " ?
Elle se laissait aller, tête posée contre mon épaule. Je sentais sa respiration. Sans autre forme je posais mes lèvres sur les siennes, glissais ma langue entre ses lèvres pour un long baiser. J’en profitais pour poser ma main droite sur un sein. Camille ne portait pas de soutien-gorge. Je n’avais encore jamais palpé de tels seins, même chez les plus jeunes de mes conquêtes, d’une fermeté incroyable après 2 maternités. Je ne sais pas comment on appelle ce genre de seins, on aurait dit deux grosses moitiés de pamplemousse chacun, avec des tétons comme des phalanges qui pointaient à lhorizontale.
" Tu ne perds pas de temps ! " dit-elle tendrement, me laissant continuer.
De ses seins je glissais sous sa robe entre ses cuisses aussi très fermes. Sa peau était douce. Arrivé au rempart de sa petite culotte, sous le tissu j’y ai rencontré une douce et fine toison, presque soyeuse déjà bien humide le long de son sillon.
Quand j’ai insinué mon doigt dans sa fente Camille eut un petit sursaut et un mouvement réflexe de resserrer les cuisses. J’avais dû frôler son petit bourgeon, d’un autre côté, sûr aussi qu’aucun autre homme que son mari n’avait fouillé son intimité auparavant. Sa respiration était devenue longue et profonde, elle n’opposait aucune résistance ; je fis glisser sa culotte sur ses chevilles, culotte qui ensuite tomba par terre.
A présent je jouais doucement avec deux doigts dans les replis de sa vulve ouverte et coulante, tirant délicatement et alternativement sur chacune de ses petites lèvres, glissant de temps à autre le bout d’un doigt dans l’entrée de son vagin pour ensuite titiller son clito. Sa main crispée sur mon poignet elle me laissait faire en geignant doucement, s’ouvrant même pour une caresse plus profonde. Je faisais tout pour exacerber ses sens.
J’avais les testicules pleins de jus après 4 jours sans, et je n’avais plus qu’une envie, me planter bien profond dans le ventre de Camille et jouir avec elle. Camille respirait profondément dans mon cou en me faisant des petits bisous. Je bandais comme un âne, mes couilles étaient dures et remontées, presque douloureuses.
Dans un souffle presque suppliant en cherchant à s’allonger un peu plus
— Prends-moi !
— Pas ici, viens on va dans ma chambre
Ramassant sa culotte nous sommes retournés à l’hôtel. Il devait être 23h 30, à la réception les 2 clés de ma chambre étaient accrochées. J’étais soulagé, mon collègue avec qui je m’entendais parfaitement bien n’était pas rentré, il avait peut-être lui aussi trouvé " chaussure à son pied ".
Dans la quasi-obscurité de la chambre je poussais les 2 lits côte à côte pour avoir plus de place. Déshabillée en quelques secondes, Camille était déjà allongée dans le lit quand je m’y glissais à mon tour.
Ses seins, son ventre plat, la courbe de ses hanches, son corps chaud, la douceur de sa peau, sa toison soyeuse étaient un régal pour mes mains.
Je ne tenais plus et passais une jambe par-dessus Camille. Son entrejambe était trempé, le temps de venir jusqu’à la chambre sa mouille avait coulé le long de ses cuisses. Camille, les jambes largement écartées, offerte, m’attendait. Tout en l’embrassant, queue tendue, je nichais mon gland dans sa corolle, d’une seule poussée je me suis enfoncé en elle de toute ma longueur, seuls mes testicules étaient restés dehors.
— Aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaahhhhhhhhhhhhhhhhhhh !
— Je t’ai fait mal ?
— Non, mais tu es tellement dilaté !
Malgré ses 2 maternités et son désir, Camille venait de me sentir passer l’entrée de son vagin.
Si ma queue faisait dans les 16 cm maxi en érection comme je l’ai écrit dans un chapitre précédent, mon gland a la forme d’une grosse boule de crème glacée très large au niveau du bourrelet (mesuré un jour au pied à coulisse : 5,8 cm) et une belle paire de boules de la taille d’un bel uf de poule chacune dont le contenu a toujours fait le plaisir de ces dames quand je leur remplissais la chatte ou que je leur rinçais les amygdales.
J’appuyais et frottais mon gland à l’entrée de son utérus, Camille se cambra dans un long gémissement les mains crispées dans mon dos. Ses cuisses relevées m’invitaient à la bourrer encore plus.
Avec douceur et tendresse, mon bras gauche sous son cou je la caressais ; ma queue montait et descendait dans son ventre chaud et mouillé.
Elle me serrait contre elle en laissant échapper de petits gémissements à chaque montée.
" aaaahhh " " aaaahhh " " aaaahhh "…………………………………
Gémissements qui sont devenus plus courts et plus rapides, son ventre se souleva
— Aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaahhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh !!!!!!!!!!!!!!
Camille venait de jouir en me plantant ses doigts dans les reins, s’accrochant à moi comme une moule à son rocher.
J’ai continué mes va-et-vient lentement, son fourreau débordait de ses sécrétions intimes ; un bras sous ses reins l’autre son cou, planté jusqu’à la garde je lui arrosais son jardin d’amour de mes longues coulées de semence chaudes et épaisses.
Sentant ma semence se répandre en elle à l’entrée de son utérus Camille exhala un long
— Ooooooooooooooooooooooohhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh !
en m’emprisonnant de ses jambes nouées dans mes reins.
Nous sommes restés emboités un long moment, ma queue continuait à tressauter dans son ventre expulsant mes dernières gouttes de semence. Echangeant caresses et tendres baisers nous nous sommes allongés face à face sur le côté. Camille a joué avec mes couilles et ma tige délicatement comme pour me préparer à un 2e assaut.
Je laissais courir mes doigts sur tout son corps ne sachant où m’arrêter. Ses bras autour de mon cou, pleine de tendresse Camille s’abandonnait totalement offerte.
Afin de pouvoir jouer de nouveau dans les replis de sa vulve je fis passer sa cuisse par-dessus ma hanche. Ainsi ouverte j’avais un accès total à la partie le plus intime de son corps. L’intérieur de sa vulve était gluant, ma semence commençait à s’échapper de son fourreau.
Je commençais à reprendre de la vigueur pour un second coït.
Tout à coup bruits de clés dans la serrure. Merde, Alain mon collègue n’avait pas du trouver à baiser et venait se coucher.
A peine la porte ouverte il alluma la lumière, aperçu nos deux têtes
— Oh pardon
éteignit de nouveau la lumière et se déshabilla dans le noir.
Camille fut un peu décontenancée, les bras toujours noués autour de mon cou, se serra plus contre moi pour laisser la place à mon collègue dans son lit.
Après un petit moment je repris mes caresses intimes sur Camille. Elle se détendait.
Mais j’avais le pressentiment que quelque chose allait se passer et cela ne tarda pas à se vérifier.
Je connaissais bien mon collègue, j’étais sûr que mes ébats avec Camille allaient lui donner des idées.
Dans mes bras Camille se cambra d’un seul coup, se collant contre moi.
— Hhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh
Alain venait de lui mettre les mains au cul et lui caressait les fesses. Alors que je fouillais sa vulve de mes doigts, j’ai senti que d’autres doigts cherchaient aussi l’entrée de son tunnel d’amour.
Camille comme paralysée se laissait faire.
Elle était prise entre deux feux, sa tête devait lui dire de se dérober et son corps de se laisser faire.
A présent nous étions deux à lui fouiller la vulve de nos doigts. Camille gémissait dans mon cou
" Ohhhh " " Ohhhh " " Ohhhh "……………………………….
Très vite j’ai senti autre chose que les doigts d’Alain, bas ventre collé au cul de Camille, la tenant fermement par la taille il avait glissé son sexe dans sa fente cherchant l’entrée de son vagin pour tirer son coup.
Coincée en sandwich entre nous deux, loin d’imaginer quelques minutes plus tôt que ce qui lui arrivait soit possible, presque à m’étrangler, cramponnée à moi sentant mon collègue la pénétrer
— Ooooooooooooooooooooooooooooohhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh !!!!!!!!!!!!!!!!!
Alain commença à bouger, lui donnant de lents et réguliers coups de queue accompagnés chacun d’un
" han ! " "han ! " " han ! "……………………………..
à chaque coup de queue Camille tressautait dans mes bras, et à chaque coup de queue Camille gémissait
"ohhh ! " " ohhh ! " " ohhh ! "………………………..
Après quelques minutes de ce régime Camille a joui dans un long gémissement
— aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaahhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Elle cessa de tressauter dans mes bras, Alain s’était immobilisé, toujours bien collé au cul de Camille, avec un long râle de plaisir il s’est vidé à son tour dans le ventre de Camille qui se souda encore plus à moi.
Le temps d’expulser ses dernières gouttes, Alain, soulagé, les couilles vides se détacha de Camille, lui fit un petit bisou dans le dos, se retourna et s’endormit presque de suite.
Dans mes bras, secouée par les spasmes du plaisir, Camille frémissait. Je l’ai câlinée tout en l’embrassant. D’une belle demi-molle j’étais repassé au piquet de tente, je fis basculer Camille lentement sur le dos, m’allongeais de nouveau sur elle, avec mes genoux je lui écartais les cuisses. Son vagin fourré comme un éclair de crème à la vanille débordait de nos semences ; je me suis enfoncé dans sa chatte avec un bruit de ventouse.
Camille les mains dans mes reins se laissait besogner, dans un long gémissement elle a eu nouvel orgasme qui ne réveilla pas mon collègue. Son vagin était tellement ouvert par l’excitation du moment et lubrifié par nos semences mélangées à sa mouille que je mis plus de temps pour, lui remplissant les profondeurs de sa chatte d’une nouvelle éjaculation.
Toutes ces émotions nous avaient un peu fatigués et Camille s’endormit dans mes bras.
A 6h du matin nous fumes réveillés par la réception, Camille se leva très vite et rejoignit sa chambre pour préparer ses affaires.
Avant de quitter la chambre j’ai ouvert le lit, le drap du dessous était inondé par une grosse tâche humide et odorante. Il régnait une forte odeur de sperme et de sécrétions vaginales. La femme de ménage qui ferait la chambre n’allait pas être déçue.
Je réalisais que Camille s’était fait baiser sans savoir par qui, et que mon collègue avait baisé la femme qui était dans mes bras sans savoir non plus qui il avait baisé.
Dans le car, sur le chemin du retour, Camille, était gênée par ce qui s’était passé la nuit et d’y avoir pris un énorme plaisir.
Mon collègue lui se foutait royalement de savoir qui il avait baisé car il n’aborda jamais le sujet.
A l’arrivée j’ai fait connaissance du mari de Camille, petite discussion, récupération des bagages et tout le monde est rentré chez soi.
Le lundi, Camille me téléphona, bien sûr nous avons reparlé de ce qu’il s’était passé, il y avait un peu d’anxiété dans sa voix.
— Promets-moi que n’en parleras jamais à personne de ce qui s’est passé
— Pourquoi jen parlerais ?
Puis hésitante
-…… vendredi en rentrant mon mari avait envie, moi pas, je nai pas pu dire non. Quand il m’a prise j’ai repensé à la nuit précédente ai joui comme une folle, il m’a reprise le soir…..
— Et…………..
— J’ai joui de nouveau comme une folle, il pense que manque de lui, hier il a voulu recommencer, mais j’ai dit que j’étais fatiguée….. il croit que c’est lui qui me fait jouir comme ça
Ne sachant quoi dire je lui suggérai qu’elle pouvait avoir des " migraines ".
3 semaines plus tard un vendredi après-midi Camille me téléphona pour me dire qu’elle serait de passage à proximité et on s’est donné rendez-vous au bar de mon hôtel préféré.
Nous avons bu un verre puis nous sommes ressortis sur le parking de l’hôtel juste éclairé d’un lampadaire. Prenant Camille dans mes bras je lui proposais de louer une chambre pour une heure ou deux.
Camille me fixait
— Si on se revoit en séminaire oui, mais là non, c’est trop près de chez moi
Son écart de conduite l’avait-il amené à réfléchir ? Était-elle tombée amoureuse de moi et ne voulait pas aller plus loin dans notre relation ?
Ses yeux toujours rivées dans les miens j’y décelais une lueur étrange, mêlée de mélancolie. Camille prit ma main et la posa sur son ventre
— Et puis…………………….
— Non !!!!!!!!!
— Oui, de 3 semaines, normalement
Jallais poser la question : qui ?, mais je me ravisais.
— Ton mari est au courant ?
— Non je vais lui dire ce weekend
— Tu vas faire quoi ?
Avec un petit haussement d’épaules
— Je sais pas
Ses bras noués autour de mon cou Camille s’accrochait à moi comme à une bouée, nous avons échangé un long baiser ; j’avais une grosse envie de son corps et le lui faisais bien sentir. Dans mon cou elle murmura
— Je t’aime
Camille s’est détachée de moi le regard un peu triste, je suis sûr qu’à ce moment-là elle aurait voulu avoir la certitude d’être enceinte de moi.
Elle est montée dans sa voiture, m’a envoyé un baiser du bout des lèvres auquel je répondis. Sa voiture a disparu dans la nuit.
J’étais pensif, quid de sa grossesse ? Nous étions 3 à avoir joui dans son ventre, 3 à lui avoir arrosé l’utérus de nos semences, 5 éjaculations abondantes en moins de 24 heures, qui était le père ?
Peu de temps après, voulant prendre de ses nouvelles je téléphonais à son agence, j’appris qu’elle avait démissionné. Camille n’a jamais repris contact avec moi.