Chapitre 3

 Damien dormait profondément lorsque sa sur rentra. Il devait être 2h du matin. Si elle continuait comme ça elle allait réveiller les parents. Damien se leva alors et partit aider sa sur. Celle-ci était assise sur le fauteuil du salon. Totalement débrayée. Une bretelle de son débardeur avait glissé, laissant partiellement deviner la naissance de son sein gauche. Sa jupe elle était totalement remontée et Damien n’eut aucune difficulté à voir le string rouge de sa sur qui glissait entre ses fesses.

 Damien s’approcha de sa sur et le secoua délicatement :

 – « Hélène réveille toi. Tu ne peux pas dormir ici »

 Il eut un grognement pour ultime réponse.

 Il la souleva donc délicatement et passa le bras de sa sur sur ses  épaules. Il commençait à la ramener dans sa chambre. Il voulait lui caresser les fesses, mais ne voulait pas profiter de son état. Arrivée à la porte elle me regarda dans les yeux et se mit à pleurer :

 – « Il m’a quitté ! Cet enfoiré m’a quitté ! »

 Elle pleura sur mon épaule, puis relevant la tête, elle me demanda le regard larmoyant si elle pouvait dormir avec moi ce soir. Ma main descendit instinctivement sur ses hanches que je caressais malgré moi. Je la regardais alors dans les yeux et lui fit signe de me suivre. Je me glissais alors dans le lit. Ma sur se déshabilla devant moi à mon grand plaisir. Et elle le faisait en me regardant. Elle releva son débardeur, faisant danser ses seins laiteux. Elle rabaissa également sa jupe, ne gardant pour ainsi dire que son string.

 Je bandais comme jamais. J’avais ma sur à moitié nue devant moi. Elle se faufila sous la couette et me tourna le dos. J’avais une vue imprenable sur son corps et surtout ses fesses galbées. Je mourrais d’envie de les pétrir mais je me retins. Je me contentais juste de lui caresser le dos. Comme elle ne régissait pas, je m’apprêtais à stopper. Elle m’attrapa alors la main et la posa sur ses seins.

 J’eu comme une décharge électrique. Ma bite pris encore du volume. Je sentis  ses tétons durcir sous mes mouvements. Elle se recula afin de se coller à moi. Ses fesses étaient en contact avec mon sexe tendu au maximum. Elle me murmura :

 -« j’ai envie de tendresse ce soir petit frère. S’il te plait »

 Sa voix était suppliante. Je m’enhardissais donc davantage. Une deuxième main vint rejoindre la cession de massage. Elle partait sur ses cuisses. Je les caressais, remontant lentement vers son entre jambes que je frôlais avec deux doigts :

 -« Han oui Damien, continue ! »

 -« Tu aimes ça quand je te caresse grande sur ? »

 – « Oh oui c’est bon petit frère ! Continue à caresser ta sur comme ça ! »

 Je lui baissais alors son string et me retrouvais pour la première fois directement face à ce désir interdit mais tellement convoité. Sa chatte était totalement lisse. Il n’y avait aucun poil. C’était doux et tellement bon. Je ne pus m’empêcher de goutter. Doucement je me penchais vers sa grotte des merveilles et y fit coulisser ma langue. La réaction de ma sur ne se fit pas attendre. Elle se cambra. Enfonçant encore davantage ma langue dans son trou. Elle accompagna son mouvement de gémissements de plaisir :

 -« Oui comme ça. C’est tellement bon ! J’ai envie de toi Damien ! J’ai envie que mon frère me fasse jouir ! Peu importe la morale et les interdits. J’ai envie de te sentir en moi ! »

 Encouragé par ces belles paroles je me mis à la lécher avec encore plus d’avidité. Elle mouillait abonnement et je me délectais de son jus intime. Je lui rentrai alors un doigt, puis deux et entama de rapides va et vient dans son vagin. Ma sur sembla aimer le traitement car elle commençait à jouir bruyamment :

 – « HAN OUI ! C’EST BON ! CONTINU A DOIGTER TA SUR ! »

 Je lui demandais de faire moins de bruit, au risque de réveiller les parents. Mais elle ne pouvait pas s’en empêcher. J’ai donc fait la première chose qui me passa par la tête pour la faire taire. Je baissai brutalement mon caleçon et commençait à me masturber devant elle. Ma sur s’arrêta de jouir et me regarda pour voir pourquoi je ne la caressais plus. Lorsqu’elle me vit avec la bite à la main et se releva :

 – « Elle est magnifique ta queue petit frère. Je meure d’envie d’y gouter. Ca ne te dérange pas ? »

 -« Elle est toute à toi grande sur »

 Elle se jeta alors sur ma bite et se mis à la branler énergiquement. C’était divin. Je sentais les doigts de ma sur glisser le long de mon chibre. Sa masturbation était sensationnelle. J’aurais pu jouir, là tout de suite, mais je voulais en profiter. Je demandais  donc à ma sur de ralentir. Elle me souriait tendrement et diminua le rythme de sa masturbation.

 Elle me caressait les testicules tout en continuant à me branler. Je voyais le visage de ma sur s’approcher de mon sexe. Son nez touchait mon gland. Elle souffla délicatement dessus, décuplant mon plaisir. Sa langue glissait le long de mes couilles. Elle remontait, lentement,  et une fois à destination, lécha goulument mon gland dont elle avait tant rêvé.  

 J’étais assis sur mon lit, totalement nu. Fasse à moi la plus belle fille que je connaissais était également nue. Elle était à genoux et me faisait la meilleur fellation que j’eu de toute ma vie. Et le mieux dans tout ça, c’était que cette femme n’était autre que ma propre sur.

 Rapidement la jouissance commençait à monter. Je voulu prévenir ma sur que j’allais bientôt venir mais elle me fit signe de continuer :

 – « Je veux sentir mon frère jouir dans ma bouche. Je veux sentir ton sperme glisser dans ma gorge. Je veux me nourrir de toi ! Vas-y petit frère ! Lâche-toi dans la gorge de ta grande sur ! »

 A peine avait elle finit sa phrase que je lâchais 4 grosses giclées de sperme qui vinrent finir leur course dans la bouche de ma sur. Deux autres s’écrasèrent sur son visage et ses seins.  Que ma sur était belle, recouverte de mon sperme ! Elle avala tout ce qu’elle avait en bouche et se lécha les doigts qui avaient recueilli ce qu’il y avait sur son corps. Cette simple vision me donna envie de continuer mon uvre. Et visiblement ma sur n’en avait pas fini avec moi. Elle se positionna à quatre pattes, se cambra et me dit de façon coquine :

 -« Maintenant on va passer aux choses sérieuses petit frère ! »

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