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elle cachait bien son jeu – Chapitre 8




Marie nous suçait à tour de rôle, bougeant sur les 2 godes fichés en elle. Jamais elle navait subit de tels assauts et elle semblait terrassée par la jouissance. On aurait dit quelle se cramponnait à nos bites comme pour ne pas tomber, et elle jouissait en nous titillant le méat du bout de la langue. Annie donnait des coups de reins de plus en plus violent en disant :

« prends toi ça espèce de salope ! sac à foutre !!! tadore quon te baise pas vrai grosse cochonne ? tes quun garage à bite !!! tu la sens ma grosse queue dans ton fion de grosse pute ? tu aimes la bite alors on va ten donner tu vois!!! »

Marie hurlait tout en remuant le bassin dans tous les sens, les seins gonflés prêts à exploser, et elle nous astiquait de plus en plus vite.

Taraudée par les deux godes qui la transperçait de part en part, elle jouissait et nous allions exploser sur elle. Christian grogna en se libérant dans sa bouche, et je ne tardais pas à le suivre, arrosant son visage de sperme chaud. Noyée de notre semence, elle était recouverte sur toute la figure et ça coulait sur sa grosse poitrine et sur son ventre. De son côté, Annie avait redoublé de vigueur dans ses coups de bite et ma mère était défoncée par les deux trous. Elle criait son plaisir sans retenue :

« aaaaahhhhhhhhhh !!! je jouiiisssssss !!! vous êtes des salauds !!! des obsédés !!!! AAAAAAAAAAAAAHHHHHHHHHHHHHHHH !!! »

Elle seffondra sur Fred dans un dernier râle et ne bougea plus, tressaillant sous lorgasme qui la terrassait. Annie se dégagea et aidé de Christian, nous portons ma mère sur le canapé où elle sallonge, couverte de semence et la chatte dégoulinante de mouille tandis que son cul est béant. Je dis alors :

« elle a son compte pour un moment ! »

Annie répondit :

« ouais ! on va la laisser tranquille ! si on labîme, elle ne nous sera daucune utilité !!! »

Fred demanda :

« on peut aller se doucher ? je suis trempée et il fait super chaud !!! »

Nous passons à la salle de bains 2 par 2, Fred et Christian dabord et Annie et moi ensuite. Puis nous nous retrouvons dans la cuisine pour nous préparer un bon repas. Je dis alors :

« on devrait penser à ma mère tout de même ! si on veut samuser avec elle, on devrait la ménager vous ne croyez pas ? »

Annie approuva :

« oui tu as raison mon chéri ! »

Marie sétait levé et était partit à létage prendre une douche. Elle revint plus tard, drapée dans long un déshabillé noir très sexy et transparent. Elle portait juste un string noir en dessous et on voyait sa poitrine, nue et gonflée. Christian siffla et dit :

« wwooaaahhhhhh !!! quest ce que tes bandante comme ça !!! »

Javais les yeux écarquillés et Annie souriait :

« tes trop belle ma chérie vraiment !!! tas vu ça Fred ? elle a aimé alors elle veut nous exciter à mort !!! attention Marie, tu vas les refaire bander comme des ânes et on va pas pouvoir les retenir !!! »

Je répondais :

« cest peut être le but en fait ! »

Nous nous asseyons et mangeons avec appétit et dans la bonne humeur.

Marie demanda :

« vous restez là jusquà quand ? »

« demain soir ! »répondit Annie.

« je ne tiendrais jamais jusque là ! partez ce soir sil vous plait !!! »

Annie rétorqua :

« je tai déjà dit que cest pas toi qui décide alors on partira quand bon nous semblera ! on envie de passer du bon temps ici avec toi, et de te péter les trous tant quon peut ! et en plus tu aimes ça alors de quoi tu te plains ? »

Ma mère ne répondait pas. Je souriais, voyant à quel point elle était soumise devant ma maîtresse, et ça mexcitait terriblement. Je me levais, me mis derrière Marie et, passant mes mains sur sa poitrine pour lui caresser les seins à travers son déshabillé, je dis :

« tas de ces obus ma toute belle ! quest ce que jai pu bander en les imaginant !!! et je sais que tu adores quon les lèche et quon les baise !!! »

En parlant, je lui malaxais les seins et je recommençais à bander. Voyant ma bosse Annie dit :

« voyons Marie regarde ton fils dans létat où il est ! décongestionne le ne le laisse pas comme ça ! »

Ma mère se retourna, baissa mon caleçon et prit ma verge dans une main pour la masturber lentement. De son autre main elle me tâtait les bourses et sa bouche mavalait avec délice. Je savourais la caresse et me laissais aller. Puis je lui ôtais son déshabillé et je plaçais ma bite entre ses globes quelle serra sur moi. Jallais et je venais entre ses grosses loches, et je lui dis :

« tu sais quoi ? je vais te jouir sur tes nibards de salope, et tu vas garder mon sperme sur toi ! tadores quand on te jute dessus de toute façon !!! »

Sans répondre, elle poursuivait son mouvement, me décalottant bien à fond à chaque fois. Annie regardait et dit :

« et tu tappliques ma cochonne on dirait ! tu aimes quon te baise les nibards hein ma salope ? tes gros nibards de chienne en chaleur !!! »

Jétais époustouflé par Marie et son savoir faire. Elle semblait tout connaître sur lamour physique et rien ne lui semblait inaccessible. Comme cette branlette espagnole dont elle me gratifiait peu de mes conquêtes appréciaient ce genre de caresse ! Elle avait sorti sa langue et à chacun de mes mouvements, elle me prenait le gland pour laspirer et le titiller. On aurait dit une pro qui en donnait pour le fric quelle avait reçu :

« vous savez quoi ? elle fait ça si bien quon dirait que je suis avec une pute ! ce quelle me fait est génial !!! »

Christian répondit :

« je sais jai testé lautre jour !!! »

je bandais comme jamais, et je sentais que jallais exploser au rythme où elle allait. Je pus retarder un peu mon éjaculation, mais ma mère continuait de mastiquer le chibre de ses opulents nichons, et la vison était si excitante que je me déversais en longs jets brûlants sur sa bouche et son visage. Ses lèvres engloutirent une partie de ma semence quelle avala et elle reçut le reste sur les seins. Elle me branla jusquau bout, mextirpant jusquà la dernière goutte, puis elle étala mon sperme sur elle avec ma bite luisante. Elle me regarda et dit :

« cétait bon ? tu as aimé mon chéri ? »

« trop bon ! tu fais ça trop bien !!! »

Elle sétait levée, la poitrine et le visage qui dégoulinaient. Annie et Fred la prirent chacune par une main et lentraînèrent dans le salon, suivies de Christian et de moi même. Fred dit alors :

« jai encore envie de lui prendre le cul ! je peux Annie ? »

« bien sur ma chérie fait toi plaisir ma toute belle ! attends ! »

Elle fit asseoir Marie à cheval sur elle, lempalant ainsi sur son membre. Le gode était rentré entièrement dans son vagin et elle avait soupiré bruyamment. Sans attendre, Fred se plaça derrière elle et senfila tout au fond de son anus. Ma mère criait :

« AAAAAAAHHHHHHH !!! NNNNNNOOOOOOOOONNNNNNNNNN !!! attends !!! NNNNNNNNOOOOOOOOONNNNNNNNNN !!! »

Sans écouter, elle avait cogné le fond de son petit trou et restait fichée en elle, tandis que Marie gigotait dans tous les sens les yeux fermés. Les 3 corps imbriqués ne bougeaient plus, et Annie avait pris les seins dans les mains et elle les malaxait. Fred commençait à bouger et dit :

« tu la sens bien hein ma cochonne ? tu la sens dans ton cul ma salope ? tes quun folle du chibre !!! un vrai sac à bite !!! on va te baiser jusquà ce que tu sois vidée tellement tu auras jouis !!! »

A mesure quelle parlait, elle donnait des coups de reins de plus en plus violents, et Marie hurlait de plus en plus fort à chaque coups de gode.

« aaahhhh ! aaaahhhhhhh ! aaaaaahhhhhhhhh !!! »

Javais déjà éjaculé 4 fois et je narrivais plus à bander, mais Christian avait reprit sa vigueur. Il se mit à genoux sur le canapé et Marie le prit dans sa main. Elle le branlait et le suçait en jouissant encore, elle avait les 3 trous occupés. Annie dit :

« tes quune cochonne ! une salope de suceuse ! un garage à bites !!! on te met par tous les trous et tu en redemandes espèce de chienne en chaleur !!! »

Fred lui pilonnait le cul avec force et dit :

« cest clair ma jolie que tes quune salope à baiser ! une truie juste bonne à défoncer !!! tes trous, ta bouches, tes loches et tes fesses, tout est provocant chez toi ! tu le sens mon chibre ? tu le sens dans ton cul de salope?»

Prise dans tous les sens, elle astiquait le gourdin et le suçait. Elle jouissait sous les assauts quelle subissait de part et dautre. Christian se libéra dans sa bouche et sur ses seins, la recouvrant de sperme. Elle en avait avalé une partie et le reste était partit sur son visage et avait coulé sur ses globes. Fred se releva, Christian fit de la place et Marie seffondra sur le canapé, les orifices débordants de sperme et de mouille, et le cul dilaté et béant. Elle sendormit à nouveau, la bouche et les seins noyés de semence et la chatte tachant le canapé de sa cyprine abondante. Les filles sétaient libérés de leur gode et on allait prendre une bonne douche. A notre retour, Marie dormait et Annie dit :

« on va la laisser dormir ! on verra bien quand elle se réveillera ! »

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