Les copains avaient prévus de venir nous chercher à la gare. En fait il n’y avait que Benjamin. Il nous aida à porter nos valises jusqu’à l’appartement. Quand nous ouvrîmes la porte, les six autres mecs étaient là, à poil, la queue en l’air. Ils s’étaient chauffés avec un porno qui défilait sur grand écran: "Tu nous as manqué Sylvia". J’eus beau protester que nous étions fatigués, qu’ il fallait que cela cesse, qu’ils ne pouvaient pas venir baiser ma femme comme cela quand ils voulaient, ils étaient déjà tous autour, lui ôtant ses vêtements, la pelotant, ou lui mettant la main dans la fente. Elle se laissa faire avec beaucoup de bonne volonté. Je les laissais. La partouze dura tard dans la soirée.
Trop, c’était trop. J’avais donc décidé de déménager loin de mes potes pour reprendre une vie "normale".
Je retrouvai du boulot sans peine et, au bout de six mois à peu près nous avions trouvé un équilibre. Je ne dis pas que de temps en temps le sexe en groupe ne nous manquait pas, et nous nous rendîmes même une fois dans une boîte à partouze, mais dans l’ensemble nous vivions bien et heureux comme cela. Quand je n’étais pas disponible pour le sexe, ma femme jouait avec une panoplie de sex-toys que nous avions achetés ensemble. Il lui fallait une dose quasi quotidienne de queue, caoutchoutée ou pas, et je ne répondais pas tout les jours présent.
Au moi de juillet, j’invitai un collègue à la maison. Il était seul, sa femme et ses enfants étant partis déjà en vacances. Nous prîmes l’apéro et Sylvia se mit à le draguer ouvertement. Elle s’était vêtue très légèrement et sa mini-jupe, pour peu qu’elle se pencha un peu, laissait voir un string provocateur.
Nous nous assîmes pour le café. Elle fut le chercher. Elle resta debout pour le service et, en se penchant vers Christophe qui me faisait face (c’est ainsi qu’il s’appelait), je vis qu’elle était nue dessous. Elle s’était dessapée et avait juste remis sa robe sur sa peau dénudée. Naturellement, quand elle me servit, elle présenta sa croupe à notre hôte… qui en renversa sa tasse. "Vincent Chéri, tu veux aller chercher de quoi essuyer ton ami ?" Je me levai au moment où elle prenait déjà l’initiative de lui ouvrir sa chemise. Quand je revins, elle était déjà en train de le sucer. Il avait l’air de ne pas réaliser. Son cul de salope dressé en l’air pendant qu’elle lui bouffait la bite, m’invita avec empressement. Je succombai bien malgré moi. Je me débraguettai, empoignai ma bite et, après lui avoir caressé la vulve avec l’extrémité du gland, je la pris en levrette. Elle avait, pendant ce temps, entièrement baissé le futal du mec libérant ses grosses couilles velues, qu’elle bouffait avec application tout en masturbant le vit. Le type, avait la tête penchée en arrière et râlait de plaisir.
Elle saisit le zob et le maintint entre ses deux nibards. Sans doute peu habitué à de telles festivités Christophe éjacula très vite par de longues saccades propulsées très haut en l’air et retombant en lourdes larmes sur le visage ou les seins de ma femme et sur les abdos du gars. Elle lécha tout ce qu’elle put lécher avant de décrasser la bite consciencieusement.
J’ordonnai alors que le mec s’allonge sur le canapé, ce qu’il fit sans résistance et, à ma femme, qu’elle vienne se faire bouffer la chatte pendant que je la sodomiserais. C’était là ma petite vengeance. Au moment de jouir, je me retirai du fion pour arroser la raie du cul et déclencher une cascade de foutre qui se répandit entre les cuisses et dégoulina sur le nez du type.
Il se rhabilla, sans demander son reste, un peu gêné, ne sachant comment prendre congé et me priant de ne rien dire à sa femme.
Cet épisode me fit comprendre que, quoique je fasse et où que j’aille, je devrais toujours partager les appétits sans limites de ma petite pute d’épouse pour la queue et le jus d’homme. Je ne savais pas quelle option choisir.
Un soir que je rentrai du boulot, je trouvai dans le salon des fringues sur le sol et le canapé. Des gémissements venaient du fond de l’appart. J’y allais. Elle était dans la salle de bain avec deux mecs, deux jeunes étudiants en colloc au dernier étage. Le plus petit était d’origine asiatique, l’autre roux comme un irlandais. La bite du premier disparaissait entièrement dans la bouche de ma femme pliée en deux, les jambes suffisamment écartées pour se faire prendre par derrière par l’autre queutard. Ils s’arrêtèrent en m’apercevant. Je m’approchai du petit, le poussai en lui disant "casse-toi. Je vais te montrer comment il faut s’y prendre". Je sortis mon zob et la forçai à l’avaler en lui démontant la bouche à grand coups de pine rageuse. "Branle-toi et tiens toi près" dis-je au type à la gueule d’ado. Il obéit, prit sa petite queue toute dure dans son écrin de poils très denses et très noirs, tout en regardant son pote continuer de limer ma femme. "Sers-toi de ton autre main andouille. Pelote lui les nibards ou caresse lui le clito ! ". Il s’exécuta. Après cinq minutes comme cela, j’ordonnai de tourner. Le rouquin vint se faire sucer et le petit asiat mit sa pine au trou. Là aussi j’intervins : "Putain ! Mais tu es puceau ou quoi? Regarde. C’est comme ça qu’il faut la bourrer". Je pris sa place et en me cramponnant fortement à ses épaules je lui tamponnai le cul violemment, à tel point que le rouquin avait du mal à maintenir sa queue en place dans la bouche de la suceuse. "Solide sur tes quilles garçon ! et la queue bien au fond. Maintiens lui la tête!" L’autre continuait de s’astiquer le manche en nous regardant. Tout à coup, le rouquin se retira pour se finir à la main : "Pas de ça connard ! Décharge dans cette truie!" Il obtempéra juste à temps pour juter dans la bouche. Quand il eût bien vidé ses burnes, il se retira très lentement, laissant un mélange de salive et de sperme s’échapper en longs fils qui se détachèrent lentement de son zob pour tomber à terre.
"Au suivant". L’autre mec ne se fit pas prier pour enfoncer son nud dans cet antre rempli de foutre. Je continuai à la limer avec ardeur. Le mec ne tint pas longtemps et jouit à son tour.
Je fis remettre ma femme à genoux : "Viens là sale pute" puis je me masturbai jusqu’à ce que j’éclabousse son petit visage plein de contentement.
Les deux mecs partirent en remerciant.
"il faut qu’on parle dis-je à Sylvia"
— Moi d’abord.
Et elle me montra deux billets de cinquante euros laissés par les deux puceaux.
"Tu les as fait payer"?
— Ils m’ont proposé. J’ai répondu oui pour rire mais ils m’ont prise au mot.
— Pas qu’au mot…
Je lui fis comprendre que je n’en pouvais plus de cette vie. Que s’envoyer en l’air de temps en temps avec des potes ou des inconnus, pourquoi pas, mais que là j’aurais aimé me poser un peu… avoir des enfants… Elle me promit de s’assagir.
Las! rien n’y fit. Elle était insatiable. Le feu au cul tout le temps, une irrépressible envie de bites la tenait sans arrêt en chaleur. A chaque fois que je rentrais du boulot, je me demandais si je n’allais pas trouver un collègue, un mâle de l’immeuble, ou tout simplement un inconnu, et même plusieurs, en train de la grimper. Une nuit même, vers trois heures du matin, je m’éveillais alors qu’elle répondait à un sms. Je la vis se lever, entièrement nue et je l’entendis sortir de l’appart. Je bondis juste à temps pour la voir monter les escaliers et disparaître dans la colloc du dernier étage. Elle revint plus d’une heure après. Elle sentait le sperme et je vis, en me levant le matin, les billets sur la table du salon.
Nous divorçâmes peu après. Elle continua de faire commerce de son corps autant pour vivre, et elle en vivait très bien, que par plaisir, et elle en prenait beaucoup.
Deux ans plus tard, à peu près, je fus invité à son mariage, à la réunion… avec le père de William qui y trouva son bonheur en même temps qu’il arrondit ses fins de mois. Nous étions tous là pour la nuit de noce et, après qu’elle se fût faite sauter par son nouveau mari, il me revint l’honneur de la baiser en deuxième, avant même son nouveau beau-fils, ce dont je ne me privai pas.
Nous sommes restés bons amis et chaque fois que je la vois, j’ai encore beaucoup de plaisir à la piner… c’est resté gratuit pour moi.
Fin.