Résumé des chapitres précédents : j’ai débarassé mon adorable nièce Marine de son pucelage et elle y a pris goût… Je complète peu à peu son éducation (sur le plan sexuel uniquement) : levrette, cunilingus, fellation… L’élève est douée, et se libère de ses inhibitions : elle m’a offert le splendide spectacle d’une masturbation très réussie.

=============CHAPITRE 5: LE BOIS DE LA CÔTE ==================

Le moment du petit déjeuner est un de ceux que je préfère dans la journée. La lumière du soleil n’est pas encore écrasante et ne gomme pas les reliefs, aucune brume ne vient estomper les contours : les images sont nettes sans être violentes, l’air est encore frais, limpide. C’est dans ces dispositions d’esprit que je bois tranquillement mon thé matinal, en devisant avec la mère de Marine qui me parle justement de sa fille : ’ça lui fait du bien, quand elle vient ici, je ne l’ai jamais vue aussi en forme que depuis ces derniers temps.’ Je me fais la réflexion que ça, pour avoir la forme, elle pète la forme ! Mais j’ajoute seulement innocemment ’oh oui, ça a l’air de lui réussir, la vie au grand air !’ – ’C’est vrai, elle est épanouie, elle a bonne mine…’ Ah, ben ça, question de s’épanouir, ça va plutôt bien !… Il y a un mois de ça, je ne pensais pas qu’elle pourrait s’épanouir comme ça… Y a même des parties de son corps qu’elle épanouie plutôt bien. – ’Mais elle doit avoir du sommeil à rattraper,’ ajoute-t-elle, ’parce qu’elle se couche avec les poules et elle fait la grasse matinée.’ Ah ben tu m’étonnes, qu’elle ait besoin de sommeil ! Avec les parties de jambes en l’air qu’on se paye !… C’est sûr qu’elle a besoin de récupérer… Heureusement qu’elle ne me parle pas de l’acné de Marine qui a disparu, parce que là j’aurais du mal à me retenir. – ’Oui,’ dit-elle, ’je me demande si elle n’a pas un petit copain ?’ Ouch ! Je m’étrangle avec ma gorgée de thé. – ’Ben pourquoi pas,’ se méprend-elle, ’pourquoi est-ce qu’elle n’aurait pas un petit copain ? C’est qu’elle a grandi, maintenant, c’est une vraie petite femme, elle a tout ce qu’il faut pour intéresser un garçon, ça je t’assure !’ Reprenant mes esprits, je réponds perfidement : ’ah bon, tu crois que… enfin qu’elle… heu, qu’elle pratique la chose ? Ma si jeune nièce ?’ – ’Ah tu sais, elle n’est plus si petite que ça, hein, elle a maintenant presque dix-huit ans, et puis tu as vu, elle a des seins, elle a des bonnes fesses…’ Oui, ça pour voir, j’ai bien vu, et j’ai même goûté ! – ’Et puis à son âge, ça serait dommage qu’elle n’en profite pas du tout ! Si c’est pour tourner vieille fille ou faire sa première expérience à je ne sais quel âge… Moi j’aimerais mieux pas qu’elle se marie vierge !’ Ben non, ça ne risque plus de lui arriver, de se marier vierge ! Et question expérience, elle apprend vite. Désolé, je ne peux pas te le raconter, mais tu peux être rassurée. Des pas qui approchent interrompent cette conversation édifiante. Quand on parle du loup… Voici Marine qui vient de se réveiller et nous rejoint pour prendre son petit déjeuner. Bisou maman, bisou aussi pour moi (tiens, seulement un bisou sur les deux joues, ce matin, hein, devant maman…). Heureusement que je fais attention, je serais capable de l’embrasser sur la bouche devant quelqu’un ! Préparation d’un bol de chocolat, toasts, beurre, confiture, brioche… – ’Ah, ça fait plaisir, tu as de l’appétit, Marine !’ lui dit sa mère. Mais c’est qu’il faut qu’elle reprenne des forces, cette coquine ! Marine s’assied en face de moi, les coudes sur la table, et boit doucement son chocolat. Le col de son t-shirt, détendu, m’offre une vision d’enfer sur ses seins. Une conversation sans intérêt s’installe, mais Marine, mieux réveillée, a repéré mes coups d’oeil sur sa poitrine. De son pied nu, elle me caresse le pied sous la table, bien protégés que nous sommes par une nappe retombant bas. Vicieusement, son pied remonte le long de ma jambe, jusqu’à la limite de mon bermuda. Elle me caresse doucement la cuisse, tout en continuant à discuter avec sa mère et moi ! J’en fais autant, laissant au sol ma sandale, je remonte le long de sa jambe jusqu’au bas de son t-shirt, à la différence que mes orteils peuvent continuer sans problème leur chemin entre ses cuisses. Je ne me gène pas pour les lui caresser, et elle parvient à garder tout son sérieux et un comportement parfaitement innocent. Mais quand, poussant mes investigations, le bout de mon pied vient caresser sa chatte, elle perd le fil de la discussion et laisse couler un peu de chocolat sur la table. – ’Ben Marine, alors quoi’, lui dit sa mère, ’tu rêves ? T’es amoureuse ?’ – ’Oui, ça doit être ça, je suis amoureuse de mon gentil tonton !’ répond-elle en pouffant, mais en se gardant bien de repousser mon pied. Sa mère et moi rions, bien entendu, et Marine en profite pour poser son pied sur mon sexe et le malaxer à travers le tissu. La conversation et nos caressent se poursuivent, l’une ouvertement, les autres discrètement, jusqu’au moment où ayant largement fini notre petit déjeuner, il ne nous reste plus qu’à quitter la table, ce que je fais avec la plus grande difficulté pour cacher une magnifique bandaison. Qui n’échappe pourtant pas à l’oeil curieux de Marine, et qu’elle apprécie d’un sourire.

Une demie heure plus tard, j’annonce à la cantonade que je vais visiter un terrain qui m’intéresse à quelques kilomètres. – ’Moi, je vais aller faire un tour à vélo !’ annonce Marine. Au moment où nous franchissons la porte, elle me souffle à l’oreille : ’le bois de la côte’, et continue son chemin. Le bois de la côte ? C’est un terrain boisé que je possède, à trois ou quatre kilomètres de la maison, et où personne n’est allé depuis plusieurs années. C’est pourtant un joli coin, pentu, mais d’où on a une belle vue sur la vallée. Il est difficile d’accès, c’est pourquoi nous y allons vraiment rarement. Manifestement, Marine s’y rend et compte bien que je l’y rejoigne. Cahotant, ma voiture tout terrain avance sur les chemins caillouteux et défoncés. Je distingue l’orée du bois, et heureusement que je connais le coin, car on ne distingue aucun passage dans le mur végétal : cela semble un front impénétrable. Au moment où mon capot force entre les branches des arbres qui forment la lisère du bois, j’aperçois Marine dans mon rétroviseur, qui m’a rattrapé à vélo. Elle a dû forcer sur les pédales et couper à travers les champs. Je m’avance encore de quelques mètres, suivi de près par Marine qui profite de mon passage, la végétation se refermant hermétiquement derrière nous, et nous arrivons dans une partie un peu plus dégagée où nous nous arrêtons. Les arbres sont plus clairsemés, nous laissons là nos véhicules respectifs. Est-ce l’intimité que nous retrouvons ? Je trouve Marine très désirable : elle porte une chemise déboutonnée simplement nouée sous les seins, et une (très) petite jupe serrée qui lui moule les fesses. Attrapant au passage un plaid dans la voiture, elle me prend par la main et me guide, jusqu’à un endroit dont je me souviens qu’en le revoyant, mais dont elle avait gardé le souvenir. C’est une sorte de terrasse qui coupe la pente, formant comme un véritable canapé ! La végétation alentours est touffue, mais on distingue la vallée à travers un mince espace entre les arbres, comme une meurtrière. – ’Et voilà !’ me dit Marine en se tournant vers moi, puis en m’entourant de ses bras pour m’embrasser à bouche-que-veux-tu. – ’J’ai le pied souple, hein, au petit déjeuner ?’ lui demandais-je perfidement. Elle rit et me répond ’oui, il est bien excitant, mais toi tu as la bite bien raide, aussi, au petit déjeuner !’ J’ai bien mérité sa réponse, dont la crudité renforce mon excitation. – ’C’est pour mieux te baiser, mon enfant !…’ – ’Alors ça tombe bien parce que tu m’en as donné sacrément envie, et ça fait plus d’une heure que j’attends ça…’ Elle s’écarte de moi, étale d’un geste le plaid au sol et sans aucune pudeur, elle enlève tous ses vêtements et avant que j’ai eu le temps de réagir, me déshabille en un tour de main. Il faut bien dire que je n’ai pas opposé beaucoup de résistance. Nus tous les deux, nous nous étreignons à nouveau, mon sexe raidi appuyé contre son ventre. Nous savourons chacun la peau nue de l’autre. Nos mains s’égarent, se promènent et caressent nos corps brûlant d’excitation. Mes mains pétrissent ses seins, doucement mais avidement, je les soupèse au creux de mes paumes, je les enferme dans mes doigts, je joue avec leurs pointes qui tour à tour s’érigent ou s’élargissent en larges aréoles gonflées. Pendant ce temps, Marine saisit mon sexe entre ses doigts, et à petits coups, le presse comme le pis d’une vache. L’impression est insupportable d’excitation et je ne peux pas retenir les mouvements de mon bassin, qui poussent ma bite vers son ventre. Appuyant sur mes épaules, Marine me demande de me baisser, elle accompagne mon mouvement, puis me fait coucher sur la couverture et se couche sur moi. Oh, mais attends, ma Marine, puisque la place ne nous manque pas, on va essayer du nouveau ! Je la repousse sur le côté, puis je me retourne et me couche tête bêche contre elle, ma figure à hauteur de son ventre. Elle ne saisit pas tout de suite où je veux en venir. J’écarte largement ses jambes, et je pose mes lèvres sur sa vulve gonflée, Marine apprécie tout de suite, mais il faut que j’avance un peu mon ventre vers elle pour qu’elle comprenne ce qu’est un 69. Tout de suite l’idée lui plaît, elle saisit mon sexe dans sa main et très vite sa langue me lèche, ses lèvres me sucent. En soulevant un peu la tête, je vois sa bouche s’activer autour de ma bite, que je sens grossir à éclater. Je me régale de la chatte de Marine, que je déguste comme un cornet de glace : je suce, je lèche, je tette. Ma langue s’enfonce dans sa fente, lèche sa liqueur au goût si délicieux. Je cherche à enfoncer ma langue au plus profond d’elle, à m’en faire mal, pour déguster son sexe et ses sécrétions mielleuses qui abondent sur ma langue. Je suçote son clitoris, tendu, gonflé comme je ne l’ai encore jamais vu. Je me concentre sur lui, ne lui laissant pas un instant de repos, et je le sens palpiter entre mes lèvres. Qui de nous deux jouira en premier ? Sous les coups de pompe de Marine, je jouis, et j’ai l’impression de lui déverser un torrent de sperme sur la langue. Un mouvement incontrôlé me faire mordre son clitoris, et, mi plaisir, mi douleur, Marine me rejoint dans l’orgasme, avec un cri mêlé d’un gargouillis à cause de mon sperme qui continue à lui jaillir dans la bouche. Elle a plaqué son ventre sur ma bouche, y faisant pénétrer son clitoris comme ma bite dans sa bouche. Elle presse mon sexe et l’aspire, pour en avaler les dernières gouttes. Il nous faut longtemps pour aller au bout de notre jouissance, puis finalement, c’est Marine qui se retourne et vient m’embrasser, ses lèvres, sa bouche et sa langue au goût de sperme. – ’Alors c’est ça un 69 ?’ – ’Oui, ma grande, c’est ce que tu as su si bien faire.’ – ’Eh bien alors j’aime ça, le 69, c’est vachement bon ! D’ailleurs, j’aime vachement boire ton jus. ?a fait comme si tu te vidais tout entier en moi, comme si je te buvais tout entier. J’avale tout ton plaisir…’ Pendant que Marine me décrit son orgasme, couchée sur le dos à mon côté, j’ai repris mes caresses sur tout son corps, de sou cou à ses cuisses. Etendu sur le flanc, je respire l’odeur de son cou, mêlé à celle du sous bois, à celle de sa légère suée, à celle de son excitation et de mes éclaboussures de sperme. Le tout est envoûtant, excitant. – ’Moi je ne peux pas te donner tout ça. J’en avais envie, pourtant. Quand tu me suçais le… quand tu suçais mon petit clito, ça me chauffait, ça m’électrisait, ça me faisait comme des décharges électriques dans tout mon… dans tout mon sexe, et j’avais envie de pousser, de pousser, pour t’envoyer un jet de sperme quand j’ai joui ! C’était si fort que je ne sentais plus que mon sexe, je n’étais plus qu’un sexe et qu’une bouche autour du tien. Tout le reste n’existait plus. Le monde entier avait disparu, j’avais plus de bras, plus de jambe, plus de corps.’ Ma main continue à parcourir ses seins, son ventre, son sexe, ses cuisses. Mes doigts jouent dans sa toison, l’effleurent sans même toucher la peau, ou au contraire pèsent sur son ventre. – ’C’est fou ce qu’on peut ressentir quand on fait l’amour… A la fois plein de choses et très fort !’ Elle est toute à l’expression de son plaisir, mais en même temps elle s’offre à nouveau à ma main qui la caresse, qui explore toute sa peau. Elle écarte un peu les jambes, collant aux miennes celle qui est de mon côté, remontant l’autre à l’opposé pour dégager son sexe, tournant discrètement son bassin vers moi. Ma main répond à son invite muette et vient effleurer sa chatte, là où ses rares poils sont collés par ma salive et ses propres sécrétions. Je les démêle doucement, et continue de très douces caresses sur les lèvres de sa vulve, sur le bourgeon à peine naissant de son clitoris. – ’A la fois je voudrais que ça dure très longtemps, et aussi que ça vienne très vite. Avant c’est très bon, pendant c’est très très bon, mais c’est trop court. En fait, il faudrait recommencer sans arrêt !’ Tout en lançant cette profession de foi, son ventre avait suivi les mouvements de ma main, et maintenant, le bassin complètement tourné vers moi, elle se caresse autant sur ma main que ma main la caresse. Il ne me faut qu’un geste pour la basculer sur moi, ses seins écrasant ma poitrine, son sexe contre le mien, dressé entre ses cuisses. Posant ses coudes de chaque côté de mon corps, elle se soulève un peu et picore mes lèvres avec les siennes, pressant sa poitrine contre moi, puis son ventre. Elle découvre ces nouvelles sensations en continuant à m’embrasser, jusqu’à ce qu’elle découvre les mouvements de son bas-ventre faisant frotter sa chatte contre ma bite raidie. Ouf ! Une décharge électrique la traverse, elle se cambre et un sourire de plaisir se dessine sur ses lèvres. Mon sexe a un mouvement convulsif qui le plaque contre sa vulve, et elle comprend qu’il y a là une belle réserve de plaisir. Lentement, elle explore cette voie du plaisir, se frottant à ma bite, montant et descendant son pubis, recevant les pressions rythmées de mon sexe contre le sien, tortillant son bassin pour découvrir toutes les ressources de ses sensations et de mes réactions. Elle est maintenant partie dans la quête de sa jouissance, et son visage proche du mien s’épanouit. Elle souffle fort, de plus en plus vite. Ses mouvements s’accélèrent, se renforcent, elle appuie fort sa vulve contre ma verge dressée qui coulisse entre les lèvres trempées de sa chatte, je sens son clitoris durci qui cogne sur mon ventre. Et soudain elle jouit en se raidissant brutalement, écrasant son pubis contre moi, vidant ses poumons de tout l’air qu’ils contiennent. Puis reposant sa tête contre la mienne, elle reprend petit à petit son souffle. – ’Oh, p’tain, j’ai joui toute seule ! Oh, j’avais l’impression d’avoir un épieu vivant entre les cuisses, c’était bon !…’ Marine reste dans cette position à ronronner contre moi, bougeant à peine, juste pour un baiser ici et là dans mon cou. Elle s’étire de tout son long, et ne manque pas de sentir contre son sexe ma bite toujours raide et qui n’attend qu’elle. Avec une moue de gourmandise, elle se contorsionne pour essayer de me faire pénétrer dans son ventre, mais elle manque un peu d’expérience. Je saisis chacune de ses jambes, sous le genou, et je les remonte contre mes flancs. Elle est à moitié accroupie sur moi, et je n’ai plus qu’à lui soulever un peu les fesses pour que mon gland se trouve à l’entrée de sa chatte. Je la laisse redescendre tout doucement jusqu’à ce que mon gland force contre son sexe, puis je la laisse faire. Elle comprend que je lui laisse l’initiative et se redresse, les mains posées sur ma poitrine, son sexe juste posé sur le bout du mien qui écarte à peine ses lèvres. – ’Attends, c’est moi qui vais te faire l’amour, tu me diras si tu aimes ce que je vais te faire !’ déclare-t-elle avec un grand sourire. Tout doucement, elle redescend son bassin, ses lèvres appuient sur mon gland qui se fraye doucement un passage entre elles. Ce simple début de pénétration, qu’elle provoque elle-même, affole ses sens. Je me demande si elle aura vraiment la force de tenir les rênes jusqu’au bout. Si vraiment elle va me faire l’amour ou se faire l’amour… Mais je pense qu’elle est douée, cette fille. Elle rouvre les yeux, et en surveillant mes réactions sur mon visage et aux contractions de mon sexe, elle s’empale doucement dessus. Elle fait ça si bien que j’ai l’impression que ça va à la fois très vite et que ça dure interminablement. Un étui chaud et humide entoure petit à petit ma bite, l’engloutit et la brûle. Elle ralentit sa progression quand elle sent mes sens s’affoler, et quand elle-même s’emporte, la reprend quand un niveau supportable d’excitation est revenu. Je voudrais avoir un sexe d’un mètre et qu’elle soit profonde d’autant ! Je la sens toute entière autour de mon sexe, comme si tout son corps m’enserrait. La sensation est diabolique, de cette toute jeune fille maniant les sensations sexuelles avec tant de spontanéité, de naturel, d’efficacité. Quel pied de baiser avec elle ! Petit à petit, elle a recouvert toute la longueur de mon sexe, maintenant enveloppé d’un fourreau chaud, doux, vivant. Les contractions involontaires qui agitent son vagin font comme si une main serrait mon sexe dans son ventre. La sensation est délicieuse, affolante. Je crois que même si elle restait immobile, je ne tarderais pas à éjaculer. Marine savoure ses propres sensations et les miennes et réfrène difficilement son envie de se déchaîner sur ma bite. Elle me sourit de contentement et se penche vers mes lèvres pour les embrasser sans quitter mon pal qui la pénètre profondément. Son mouvement déplace quand même mon sexe dans son ventre, et elle a du mal à m’embrasser sans un hoquet. Elle se redresse, nouvelle sensation dans son ventre. Elle découvre au fur et à mesure toutes les sensations qu’elle peut provoquer. Elle se soulève un peu et se baisse à nouveau, sent ma verge coulisser dans son ventre. – ’Hummm ! C’est moi qui, que tu, qui me baise avec toi… Humm, je peux me faire ça moi-même avec ta bite !’ Elle a encore des découvertes de pucelle, ça m’excite encore plus. Ma verge bat spasmodiquement dans son ventre, Marine a du mal à maîtriser le jeu. Elle recommence ses mouvements verticaux, tour à tour se dégageant et s’empalant sur mon sexe, haletante, les yeux à moitié fermés. Elle parvient à contenir la montée de son plaisir en ralentissant par moments ses mouvements, ou en leur donnant moins d’ampleur. Elle apprend vite, la coquine ! Amplifiant son mouvement, elle en vient à dégager complètement mon sexe de sa vulve, et un très court instant, j’aperçois son visage un peu décontenancé, comme déçu, et sa chatte à quelques centimètres au-dessus de mon gland luisant, rouge, tendu. Tout de suite elle s’abaisse rapidement, engloutissant brutalement et d’un coup toute la longueur de ma bite ! – ’Ahhh !…’ Cette pénétration massive et violente lui coupe le souffle, elle pousse un cri, mélange de surprise, de plaisir et peut-être de douleur, reste un moment comme tétanisée. Je vois qu’elle se retient de toutes ses forces pour ne pas jouir, et j’en fais j’essaye d’en faire autant, bien que submergé par la sensation et le spectacle qu’elle m’offre. Après un moment, deux fois, trois fois, elle recommence ce même envahissement brutal, réprimant de plus en plus difficilement un orgasme tout proche. Devant l’imminence de sa jouissance, elle se contente de se soulever de ma bite, puis à petits coups de ventre, fait juste entrer et sortir mon gland de sa vulve. Mais le résultat n’est pas moins excitant pour nous deux. Mon sexe tendu à éclater frappe à chaque fois sa fente et je suis aussi au bord de l’orgasme, le souffle me manque. Elle parvient à cesser tout mouvement, plantée sur mon sexe qu’elle n’a jamais senti aussi gros, aussi envahissant dans son vagin. Elle a un hoquet, et se penchant vers moi, réfugie son visage dans mon cou, fond en larmes. – ’Ohhh, Tom, c’est bon, c’est bon…’ balbutie-t-elle au milieu de sanglots saccadés. ’C’est trop bon, je vais éclater… Oh, j’aime ça, j’aime tant ça… Il ne faut pas arrêter, mais je vais partir comme une fusée…’ – ’Mais vas-y, continue, jouis, jouis de ton plaisir, Marine !…’ – ’Oui, mais je voudrais que ça dure, que ça dure, que ça ne s’arrête pas… Je découvre tellement de choses, y en a encore beaucoup, Tom, je voudrais tout découvrir…’ Et puis Marine se soulève, rampe en arrière vers le bas de mon corps jusqu’à ce que sa bouche soit au bon niveau pour engloutir ma bite qu’elle rafraîchit de coups de langue larges et bien appliqués. Elle pompe littéralement mon sexe, et je sens quelques gouttes de sperme qui s’en écoule, dont Marine reconnaît immédiatement le goût. Elle dégage sa bouche, sort sa langue, pose mon gland dessus et presse mon sexe pour en extraire un peu de sperme, et me regarde avec innocence en tirant la langue pour bien me montrer la traînée blanchâtre qu’elle avale ensuite. Ce scandaleux spectacle fait jaillir à nouveau quelques gouttes de mon gland, qui s’écoulent le long de ma verge, et que Marine s’empresse de lécher. Elle reprend mon sexe dans sa bouche et me le pompe à nouveau, mais la sensation est si forte que pour ne pas éjaculer immédiatement je suis obligé de la repousser avec fermeté. – ’Arrête, j’en peux plus, tu vas me faire jouir trop vite, reviens sur moi !’ – ’Ah bon, ça te fait tant de choses que ça ?’ – ’T’es qu’une diablesse, une petite vicieuse !’ – ’Ah ben ça mon bon monsieur, qui est-ce qui m’a appris tout ça ? Sans vous, je serais encore une pauvre petite pucelle bien sage et bien ignorante…’ Ce n’est pas le moment d’entamer une polémique pour savoir d’où elle tire son vice, bien qu’à mon avis, je n’ai été qu’un simple détonateur, et je la tire vers moi. Elle reprend position sur moi, s’empale à nouveau et me serre encore dans ses bras. Sa bouche est mouillée de salive et de nos sécrétions, sa langue fouille dans ma bouche. En même temps, je la cajole, je caresse son dos, ses fesses. Je passe une main entre ses deux globes fermes et trempés de sueur, et je chatouille d’un doigt mutin son petit trou serré qui résiste. Marine a un petit rire frais et coquin, mais se contorsionne pour échapper à ce début de sodomie. Oh, tiens, un de ces jours… Faudra que… Mais en gesticulant de tous côtés, elle découvre de nouvelles sensations, celle de tourniquer autour de ma bite : ’oh, ça aussi c’est bon !’. Elle se redresse complètement, empalée sur mon sexe comme sur un pivot, et entame des mouvements en cercle avec son bas-ventre. En relevant un peu la tête, je peux voir ses yeux fermés, ses narines pincées, sa bouche grande ouverte qui respire à grands coups, les muscles de son ventre eux aussi luisants de transpiration qui se contractent et travaillent pour frotter en rond sa chatte sur mon pubis, ma bite fouillant profondément son vagin, frottant sur toutes ses parois, trouvant les moindres parcelles de plaisir. Jusqu’à son clitoris largement sorti de son capuchon, qui frottent les poils de mon pubis. Le spectacle est tellement excitant que je ne peux m’empêcher de mêler à ses mouvements mes propres coups de boutoir, plantant mon gland au plus profond de son vagin. Le corps raidi, Marine geint à haute voix, halète, précipite son mouvement. Puis, avec un long cri étouffé, elle repose ses mains sur ma poitrine, semble s’étirer tout en s’écrasant sur mon sexe, et jouit longuement, agitée de sursaut incontrôlables. Ce feux d’artifice déclenche mon propre orgasme avec un instant de retard, et je la rejoins dans un torrent de plaisir, le dos et les reins cambrés, arqués, la soulevant haut au bout de ma bite, déversant un flot de sperme au fond de son vagin. – ’Ahhhhhhhh !…’ C’est un cri de jouissance pure que pousse Marine, en même temps que de triomphe pour m’avoir amené à un pareil orgasme et de plaisir d’avoir découvert tant de sensations. Je la garde comme ça sur moi un moment, perchée sur mon ventre, les bras ballants, ma verge enfoncée en elle. Puis lorsqu’elle rouvre les yeux et me regarde avec un sourire d’une infinie tendresse, je me détends, reposant à nouveau sur le sol et je lui tends les bras. Elle se couche sur moi, étend les jambes en enserrant les miennes, couvre mon cou de baisers. – ’Hummm, mon Tom, ça peut être aussi fort que ça ? J’ai pas rêvé ? J’ai joui comme ça ?’ – ’Hum oui ma Marine, tu as joui comme une reine, comme une déesse, et tu m’as fais jouir comme tu peux pas imaginer !’ – ’C’est toi qui m’a donné ton plaisir, j’ai senti tout ton foutre gicler au fond de moi, tu m’as tout donné…’ Je nous fais basculer d’un demi tour, et Marine se retrouve maintenant sous moi, mon sexe toujours planté dans son ventre, pas encore dégonflé. Pour la taquiner, je vais et je viens un peu dans son vagin, mais elle proteste en riant : ’stop ! Arrête, enfin ça y est, je suis comblée, j’en peux plus, je suis moulue, je demande grâce ! Heu, jusqu’à la prochaine fois seulement, hein ?!?’ Je ris aussi, et doucement je me retire d’elle, puis je m’étends à ses côtés. Cette fois, les caresses que je lui fais nous laissent ne réveillent pas tout de suite nos appétits, et nous nous disons des tendresses, les yeux dans le vague, tout à notre bonheur. Longtemps, longtemps après, enfin reposée de nos fatigues, Marine se lève et s’éloigne de quelques pas pour un petit besoin qu’elle s’en va satisfaire discrètement, bien que complètement nue. Ses petites fesses musclées et fermes qui s’éloignent me font monter le sang à la tête, enfin pas tout à fait à la tête… Et quand je la vois revenir, exposant sans pudeur tout son corps nu, ses seins magnifiques et fermes bougeant à peine, la petite tache blonde de sa toison les lèvres de son sexe encore gonflées de nos coïts, je sens mon sexe se redresser, gonfler à nouveau. Je me relève pour l’accueillir, la serre contre moi, frottant ses seins durs contre ma poitrine. L’effet est foudroyant, ma bite se raidit brutalement et pousse contre le ventre de Marine. La coquine sourit de surprise et se met à frotter son ventre contre ma verge, la faisant gonfler et raidir encore plus. – ’Je te fais encore bander, hein mon coquin ! T’as encore envie de moi ! Qu’est-ce que tu vas me faire découvrir encore, cette fois ?’ Se haussant sur la pointe des pieds, elle a passé ma bite entre ses cuisses serrées, et ondulant du bassin, elle se masturbe doucement sur mon sexe long et raide. Je la saisis sous les aisselles, la monte un peu plus haut, et d’instinct elle ouvre les jambes et les enroule sur mes hanches, passe ses bras autour de mon cou. A bonne hauteur, elle m’embrasse divinement, tout en continuant à se masturber sur mon sexe. Je bande de plus en plus fort, presque douloureusement tellement ses frottements m’excitent. D’une main , je guide le bout de ma verge vers sa fente, et le mouvement suivant de son bassin me fait pénétrer profondément dans son sexe encore tout lubrifié de mon sperme. De surprise, elle manque me lâcher, m’enfonçant encore plus en elle. Le plaisir brutal la tétanise une seconde, puis immédiatement elle déchaîne les mouvements de son bassin, faisant pénétrer et sortir ma verge de son vagin brûlant, ses lèvres toujours plaquées aux miennes. Elle mordille mes lèvres, alternant les mots d’amour, des mots plus crûs et des halètements. – ’J’aime ! Ohhh… J’aime ta bite dans mon ventre ! Pousse fort ! Ohh, je t’aime, je t’aime… Ouuf ! Doucement, viens, recule, viens ! C’est bon, ce que c’est bon !… Ta queue dans mon ventre, ta queue… Ahhh !… Ahhh ! Arrête un instant, oh non continue… Viens, viens ! Plante moi ta bite, jouis ! Je vais jouir, me laisse pas, viens !…’ Nous jouissons presque ensemble, le plaisir est tellement fulgurant que je suis obligé de m’agenouiller, incapable de nous porter. Je gicle encore en elle alors que nous sommes tous deux agenouillés au sol, mon sexe rivé dans le sien. Le souffle court, étonnés de la rapidité et de la force de notre jouissance, nous revenons peu à peu sur terre. Marine me pousse doucement en arrière pour m’allonger sur le dos, et vient s’installer sur mon ventre, sa chatte humide sur mon nombril. Pendant qu’elle caresse tendrement ma poitrine et mon cou, je caresse aussi doucement sa toison blonde, sa douce fourrure claire et soyeuse. Je frôle le capuchon de son clitoris maintenant calmé, je passe le pouce le long de sa fente trempée. Nos sens sont calmés, repus. Amoureusement, Marine frotte sa toison sur ma poitrine, comme avec une petite brosse, riant doucement. Je la regarde faire, et elle ne s’aperçoit pas que de son sexe enfin détendu, s’écoule tout le sperme que j’y ai déversé. Jusqu’à ce que cette humidité inattendue contre son ventre la surprenne : ’oh, je coule sur toi ! Ton sperme coule de mon ventre… Et c’est vrai qu’une large flaque blanche couvre maintenant mon ventre. Marine se baisse, hume mon foutre, passe sa langue et en ramasse un peu, le goûte, l’avale. Puis c’est toute sa joue, sa bouche, son nez, son front qu’elle barbouille de mon sperme, avant de me lécher le ventre jusqu’à ce qu’il n’en reste plus une trace. Gavée, elle me regarde avec un air de contentement, la figure couverte de trace blanchâtres. – ’Te voilà propre, ma Marine, tu en as plein la figure !’ – ’Humm, j’en ai plein la bouche, plein le ventre, plein la gorge et plein la figure, mais je me l’enlèverai sûrement pas ! Je vais rentrer comme ça à la maison ! Et si on rentrait tous les deux nus comme ça à la maison ? Juste avant d’arriver, je te caresserai pour te faire bien bander, et puis on verrait la tête des autres !’ Oh, elle en serait bien capable ! – ’Pas question ma coquine, si tu veux encore pouvoir faire l’amour avec moi, t’as intérêt à faire disparaître toutes les traces, et n’oublie pas de remettre ta culotte, cette fois-ci !’ Ronchonnant pour le plaisir, elle se nettoie la figure, puis, la faim nous tiraillant, nous nous rhabillons paresseusement. Qu’elle est belle, ma nièce ! Nue ou habillée, elle est jolie ! Je l’aime mieux nue, mais même habillée, elle me fait aussi bander. Un jour, je vais la violer !

—– La suite dans ’ma nièce’ chapitre 6 !

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