Ça a commencé lentement.
Il y a longtemps, très longtemps. Dans un 1er temps ce sont les effluves des culottes de ma sur aînée qui m’attiraient. Elle avait déjà 35 ans et moi 15 de moins. Elle était chaudasse, moi un chien renifleur.
Était-ce un don ? Je n’en sais fichtre rien. En revanche ce que je sais, c’est que dès qu’elle planquait une culotte après une aventure amoureuse, je sentais comme une senteur particulière qui m’attirait. Je suivais la piste de cette exhalaison jusqu’à ce que tombe sur ma proie. Alors je prenais ce morceau de tissu si précieux, je me cachais au fond d’une tanière, je le froissais dans le creux de ma main, le respirais, j’y déposais de tendres bisous amoureux puis pris par des pulsions incontrôlables je léchais ce vernis qui tapissait ce bijou sans en connaître la provenance et mon sexe d’enfant gonflait.
Puis ça m’est passé. J’ai eu des copines plus ou moins proches. Comme tous les copains un jour je me suis marié et j’ai eu des enfants.
Et puis, allez savoir pourquoi, un jour ce fumet qui m’avait tant bercé revient me chatouiller les narines. Je viens de prendre ma douche, je me rase et cette odeur familière que je pensais avoir oubliée est revenue. Je souris en me disant que c’est incroyable qu’après tant d’années, c’est toujours autant présent dans mon esprit. Quand même. Ça m’excite et éveille ma curiosité. J’ouvre le panier à linge, soulève 2 ou 3 vêtements, elle est là, présente, enivrante, arrogante et tellement tentante. Étalé sur un tanga de ma femme, une magnifique maculation encore humide de sperme. Un peu étonné, je sors tout d’abord la pièce de lingerie. Non, non, je réfléchis encore. Nous n’avons pas fait l’amour hier. Et cette fois je ne suis plus un gamin, nu assis sur le bord de la baignoire, mon sexe commence à se redresser. Ça me tente. C’est irrésistible. J’approche ce dessous si coquin vers mes lèvres. Je tends timidement ma langue, j’hésite, à quoi ça va me servir, mon sperme ou celui d’un autre, comment le reconnaître ?
Cette fois ma langue touche la salissure visqueuse, pas suffisamment toutefois pour en percevoir un quelconque goût. Je reviens à la charge. Je suis un peu plus gourmand, je lape. Pas mal. J’en reprends une tournée. C’est bon cette liqueur. D’un côté c’est le bouquet salé du désir de ma femme, de l’autre un petit côté fade pas désagréable. Cette fois je bande à m’en faire mal. J’enfile le tanga et je me branle dedans jusqu’à ce que j’éjacule. De toute façon ma femme ne verra pas la différence. Je le conserve sur moi quelques dizaines de minutes, le lèche à nouveau puis je le replace où je l’ai trouvé.
Le soir venu, je caresse ma femme en repensant à l’incident de ce matin. Ma femme est contrariée puis, après quelques caresses bien placées, elle est chaude comme la braise. Direct je place ma tête entre ses cuisses, je lui broute son minou si délicat. C’est dingue ça! J’ai la même perception d’odeur et de bouquet que lorsque j’ai léché son tanga. Va falloir que je me calme quand même, je me fais trop de film.
Enfin ce n’est pas grave car ça décuple mon désir, je passe de sa chatte à son illet, reviens vers son clitoris et à la fin elle explose de bonheur. Ma bite est dure comme du bois. Je lui demande de se placer en levrette et je la pénètre avec douceur. Après quelques va-et-vient, elle me demande d’aller plus loin, plus fort, plus vite, ralentir, sortir, entrer. Dans le même temps je lui doigte le cul avec la première phalange de mes deux pouces. Elle enfouit sa tête dans l’oreiller en gémissant puis elle hurle une nouvelle jouissance lorsque je me vide les couilles dans sa cramouille.
Un quart d’heure/vingt minutes plus tard je vais dans la salle de bain pour me laver le sexe. L’odeur de fumet est toujours présente. J’ouvre le panier à linge. Cette fois c’est un shorty à dentelle rouge qui domine le tas de linge, lui aussi est maculé de sperme. Je tiens la porte de la salle de bain pour ne pas que Martine entre à l’improviste et je me caresse la bite avec le foutre qui sali le sous vêtement de ma femme. Ça me fait bander à nouveau. Une fois que je suis bien sûr d’avoir transféré la semence sur ma queue, j’enfile le shorty et je retourne dans la chambre le chibre bien raide. Je me mets à califourchon sur la poitrine de Martine et lui caresse les lèvres avec mon gland sorti du shorty.
« Quest-ce qui te prend, elle pue ta bite et pourquoi tu as mis mon shorty ? »
« Suce sale pute »
« Tes malade »
« Suce salope, c’est le foutre de ton amant »
Alors elle suce, elle suce bien, profond, comme jamais. Sa langue tournoie autour de mon gland. Lorsqu’elle étouffe un peu, elle bave pour aussitôt avaler sa salive. J’en ai plein les couilles, ça coule sur mon cul. Je prends sa main pour qu’elle doigte mon cul. Je me penche en arrière et lui caresse son bouton plein de cyprine. Je jouis avant elle. De longs et copieux jets. J’enlève ses doigts de mon cul pour les lécher. Je l’embrasse à pleine bouche pour avaler mon jus et sa bave qui macule ses lèvres et son menton. Je me retourne crache ce mélange sur son con et je le déguste avec avidité. Elle hurle de plaisir, elle hurle le prénom de son amant.
« Vas-y Domi fait moi exploser ». Et elle explose.
Elle me dit qu’elle m’aime, je lui dis que je l’aime. Je lui demande de continuer à voir son ou ses amants mais cette fois c’est sa fente que je veux lécher quand elle reviendra. J’exige aussi de porter ses sous-vêtements, propres, je veux qu’elle drague pour moi et qu’elle me trouve un amant. Je veux absolument boire à la source.
Mon désir sera bientôt comblé.