Je m’étais réveillé avec une forte envie de baiser. Allongée dans mon lit, je me se repassais les derniers événements de la matinée de la veille. Pour calmer cette soif sexuelle j’avais pris une douche froide. Alors que je déjeunais le téléphone se mit à sonner.
— Alain c’est madame.
— Oui bonjour madame.
— Je vous téléphone pour vous prévenir que je serai là ce soir. – Oui pas de problème. J’appelle sur-le-champ la femme de ménage.
— Très bien Alain. De mon côté j’appelle Michelle pour lui donner les menus. Surtout que ce soir j’ai une invitée.
— Je fais préparer quelle chambre.
— La rose lui suffira.
— Très bien à ce soir.
À peine raccroché je me mis en route jusqu’à la belle propriété. Du côté de chez la voisine, la voiture du mari n’était pas en stationnement. Cela me réjouissait. Je montais l’allée bordée de superbes arbres centenaires. Alors que je marchais une multitude d’images pornographiques pas plus vieille que la veille explosèrent sous son crâne. Tout de suite des envies brûlantes et démesurées me submergeaient une fois encore. Ce fut vitesse grand V que je fis les quatre, cinq bricoles qui incomber
J’étais dans un tel état d’excitation à cause d’elle. La tête pleine d’idées salaces. J’avais beau me répéter que c’était ridicule, j’ajoutais malgré moi une connotation cochonne aux mots de Mauricette.
Il n’en fallait pas plus pour faire galoper mon imagination. Ne voyant pas de voiture du mari, je m’étais engagé sur le sentier qui menait devant la demeure de la voisine.
J’arrivais devant le buisson épais je la vis sur sa terrasse. Elle m’avait souri en me voyant. Certaine que je venais pour elle. Elle était appétissante dans sa jupe bleu marine qui la moulait un peu trop et ajoutait une touche de vulgarité à son allure de femme intègre. Elle profita de ma présence pour trifouiller avec sa main droite sous sa jupe. Ses yeux brillaient divresse et de plaisir. Nous étions tous deux impatients de retrouver le corps de l’autre. Je me rappelle lui avoir souri. Comme pour la remercier d’avoir osé.
— Tu vois, ce que je dois faire par ta faute, souffla-t-elle. Je n’ai pas cessé un seul moment de penser à toi pendant toute la soirée. Et même ce matin au réveil. J’en ai mouillé ma culotte.
Elle retroussa sa jupe, me révélant sa culotte dont une large tache d’humidité s’était formée sur le devant. En bon samaritain je tendais ma main pour la toucher, mais elle me l’interdit.
— Que veux-tu faire là ! Pas touche. Je veux seulement que tu regardes…
Elle prit place sur un des nombreux fauteuils. Se bascula légèrement en arrière sur le dossier. Écartant les jambes pour exhiber sa lingerie. Sans perdre plus de temps, elle fit basculer son tee-shirt au-dessus de sa poitrine. Qu’elle avait nue. Deux beaux gros seins blancs. Sa respiration s’accélérait. D’une main elle se mit à se massait la vulve à travers sa culotte et de l’autre un sein. Ses gestes étaient un étrange. Mélange de tendresse et de brutalité contenue. Les doigts sur sa culotte tournaient de plus en plus vite. Faisant que sa respiration se faisait sifflante.
— Oh ! Râla-t-elle… que c’est bon…
Écarta son sous-vêtement. Exhibant son sexe béant. Se caressant le bouton avec une allure frénétique. Avant de le négliger pour les enfoncer dans son antre criant famine, luisant de mouille. Un second doigt se joignit au premier. Qu’elle faisait voyager à grands coups de poignet. En émettant un râle continu. J’entendais mon cur battre d’impatience. Et soudain elle se raidit. Ses yeux s’écarquillaient comme devant un spectacle inattendu. Un rugissement sourd sortait de sa bouche alors quelle avait les doigts profondément plantés dans son sexe. Elle jouissait le corps secoué de spasmes nerveux. Je crus un moment qu’elle allait tomber de son fauteuil. Mais elle se reprit. Elle se leva de son fauteuil. Sa jupe retomba. Rabattit le pull sur ses seins.
– J’espère que je t’ai donné l’envie de me baiser. Me lança-t-elle d’une voix rauque, tout en m’attirant à elle.
Les doigts longs et roses se posaient sur ma ceinture noire. Qu’ils se mirent lentement à défaire. Puis vint le tour des boutons de ma braguette. J’avais l’impression qu’il y en avait plusieurs dizaines tellement c’était long.
Puis elle s’occupa de sa jupe, tout en gesticulant elle la fit tomber à ses pieds. Faisant volte-face elle me présenta sa croupe. Proéminentes, saillantes. Deux magnifiques masses de chair claires. Qui allaient d’avant en arrière. Pivotant sur ses sandales, elle me présenta à nouveau le côté face. Elle fit passer par-dessus sa tête le lainage. Ses seins jaillissaient comme plus tôt. Drus, blanc et palpitants. Elle se mit à se caresser lentement du bout des paumes, se frôlant, s’effleurant, faisant encore doubler le volume des bouts framboise qui dardaient entre ses doigts qui les pinçaient doucement.
Puis elle reprit place sur son fauteuil. Elle se saisit dans le plateau qui contenait son petit déjeuner un tube de lait Nestlé. Elle défit le bouchon. Pressant le tube au-dessus de sa poitrine, elle décora le bout de chacun de ses seins de crème sucrée. Je m’étais léché les babines en la regardant faire.
— Mange-moi…
Je me jetais sur elle comme un mort de faim et suçais à grands coups de langue, la crème qui dégoulinait du bout de ses seins. Je la lapais et l’avalais goulûment. Son ventre se contractait. Je me goinfrais, alors qu’elle se tordait sous la caresse de ma langue.
Avec une souplesse surprenante, elle replia ses jambes. Ses genoux touchant ses épaules. La position faisait bâiller sa fente aux lèvres fines et aux nymphes minuscules. Par sa petitesse, son sexe appelait le mien.
Je perçus agréablement l’anus, une auréole bistre. Il ne m’en fallait pas plus pour émettre un grognement de satisfaction, en mapprochant delle jusqu’à la toucher. Alors qu’elle se dandinait sur sa place de façon obscène. J’avais froissé les lèvres poisseuses de sa chatte en les étirant vers le haut. Son vagin bâillait à présent comme une bouche. Je n’avais pas pu résister au désir de glisser deux doigts à l’intérieur de sa chatte. Bien au fond, en les repliant. Un spasme lui avait soulevé le ventre. Après avoir longuement voyagé dans ses entrailles, je les retirais tout gluants. Comme si je les avais trempés dans un pot de miel. Je n’avais pas pu m’empêcher de les porter à ma bouche pour les sucer. Comme je laurais fait avec un bonbon. L’odeur de marée qui s’en dégageait me saoulait un peu plus les sens.
— Tu es vraiment un grand dégoûtant Alain.
— À défaut d’autre chose… répliquais-je.
— Tu désires quoi ?
— Que tu te doigtes le cul…
— Tu es vraiment… vraiment un sacré cochon. Bon c’est bien parce que c’est toi… fit-elle en glissant sa main entre ses fesses en sueur.
Poussant à l’intérieur du ventre pour faire ressortir son anus. Les chairs tièdes s’étaient épanouies pour laisser le passage à l’index.
Enveloppant le bout du doigt. Je m’étais penché pour le voir disparaître dans son anus.
— Bon Dieu, j’ai une de ces triques. Lui confessais-je, avant de lui laper sa touffe de poils toute ruisselante de mouille. Puis allant titiller son clitoris. Avant de plonger mon nez dans son vagin. M’enivrant de son arôme, alors que ma langue léchait l’index de Mauricette qui entrait en sortait de l’anus.
Je pinçais ses lèvres. Les aspirais dans ma bouche pour les suçoter. Le calme, le silence qui nous entouraient étaient remplis de ses gémissements de plaisir. Inquiet à l’idée qu’on pouvait nous entendre,
— Enfonce-le bien au fond du trou. Oui, comme ça… fais-le aller et venir.
— Le parfum du cul, c’est celui que je préfère, fis-je en attrapant son poignet et en le tirant en arrière, faisant ressortir le doigt. Que j’avais avancé au-devant de mon nez. Une odeur forte s’en dégageait. Un goût poivré.
— Tu es vraiment un grand malade… Alain… baise-moi maintenant je ne tiens plus…
Je me plaçais entre ses jambes. Puis pointa ma verge tendue vers l’orifice recouvert de mouille, et elle glissa sans effort. J’étais resté longtemps, immobile, en elle. Puis avec des mouvements souples, ma queue avait eu le bonheur de voyager dans le conduit moelleux. A chacune des pénétrations, j’éprouvais le même émerveillement. Le même bonheur absolu. Mauricette me murmura à l’oreille :
— Tu bandes encore comme un taureau, mon cochon !
Pour toute réponse je lui mordis le téton.
– Oui, c’est ça, Alain, mords-moi les tétons… suce-les, ça me rend folle conjuguais à une bonne baise ! J’aspirai les pointes de ses seins. Les mordillai jusqu’à ce qu’ils deviennent congestionnés. Mauricette reprit, haletante :
— Putain ! Que c’est bon…
Encore quelques allers et retours puis je sortais mon sexe de son fourreau douillet. Je la fis basculer en arrière sur son fauteuil. Ecartant d’autorité ses cuisses avec mes mains, je lui plantai ma queue à l’entrée de l’anus. Ruisselante, Mauricette captant parfaitement mon intention s’ouvrait pour moi. Consentante à mon désir. Elle se prit d’elle-même ses jambes afin de mieux offrir son cul à mon regard. La tenant fermement par les hanches, je m’enfonçai sans mal dans son orifice anal. Le conduit, plus étroit côté pile que face, enserrait mon sexe gorgé de sang. Elle soutenait mon regard.
— Je te sens bien… défonce-moi… c’est bon…
Comme pour m’exhorter, elle enfonça sa langue dans mon oreille. C’était magique, mille picotements me submergeaient. S’en suivit un va-et-vient plus brutal, plus profond. Elle ne tarda pas à avoir un orgasme, et moi, je jouis à sa suite. Propulsant de longs jets au fond de son cul. Elle gémissait en sentant mon sperme heurter son rectum. J’étais comblé.
Devant une tasse de café, elle me proposa de venir la rejoindre pour le dîner.
— Et ton mari ? Qu’est-ce que tu en fais ?
— T’inquiète. Je lui ai donné l’autorisation d’aller chez sa mère. Tu ne peux pas savoir comment cela lui a plu. Tu en es sûre que cela ne t’ennuie pas ? M’a-t-il dit ce con. Mais non lui ai-je répondu, en se parlera au téléphone. Cela l’avait ravi. D’ailleurs ce matin avant de partir travailler et après avoir préparé sa valise il m’a même emmené le petit déjeuner au lit. Ce qu’il ne faisait plus ses derniers temps pour te dire dans l’état jouissif qu’il se trouvait d’aller passer le week-end avec maman. Pour huit heures cela t’ira.
— Oui, très bien cela me laisse du temps pour d’installer ma patronne.
— Ah ! Parce qu’elle vient !
— Oui ce soir. Avec une amie.
— T’es sûre que cela va aller.
— Oui, j’ai juste à monter les valises. J’y retournerais le soir pour fermer les volets. Voilà tout…
— Bon alors faisant comme ça…