Après avoir fait l’amour dans son lit (voir récit précédent), nous sommes restés couchés longtemps l’un contre l’autre. Nous étions bien tous les deux à se caliner et às’embrasser. Une fois debout, nous allions nous laver chacun à notre tour, même pas ensemble, comme si une pudeur s’était installée tout d’un coup. Une fois rhabillés, nous étions redevenus comme avant, c’était irrééel. C’était comme si on avait chacun une double personnalité, mère amante et fils amant.

Et puis plus rien pendant des semaines, le train train quotidien s’était réinstallé jusqu’à un beau jour d’été, il faisait très chaud chez nous. J’étais au jardin, je tondais la pelouse comme d’habitude. Ma mère venait voir de temps en temps si ça allait, si je n’avais pas soif. Une après-midi d’été normale jusqu’à un moment où je ramassais l’herbe. Ma mère arrive avec une boisson rafraichissante et s’abaisse pour me la donner. Je prend le verre et en regardant plus haut, quelque chose m’a attiré d’un coup. Je voyais les têtons de ma mère pointés à travers son tee-shirt. La voir comme çà, ce n’était pas normal du tout, ma mère ne porte habituellement que des soutien-gorge assez classiques rembourrés qui ne laissent jamais rien transparaître. Avais-je une insolation ou était-ce ma mère qui avait changé de soutient gorge?

Une fois la pelouse tondue, je pars me laver en passant par la cuisine où se trouvait ma mère, elle était de dos. Je regarde en vitesse, aucune traces de bretelles ou d’attaches de soutien dans son dos. Je vais prendre une douche tout en pensant à ça. Rien qu’à penser que ma mère ne portait pas de soutien-gorge, ça m’électrisa. L’envie de ma mère était à nouveau présente.

Après m’être habillé, je la rejoins dans la cuisine. Elle est debout face à l’évier, j’arrive derrière elle et je lui fais des petits bisous dans le cou. Elle se laisse faire, j’en déduis que je pouvais encore une fois aller plus loin avec elle. Je pose mes mains sur ses hanches, toujours pas de réaction, je continue. J’ai de la chance, son tee-shirt flotte en dehors de son pantalon, je remonte mes mains par dessous, toujours pas de réaction et toujours pas de soutien gorge, je remonte et j’arrive enfin à ses têtons, je joue avec ses deux gros bouts, je continue à l’embrasser dans le cou et puis je lui dis: "pas de soutien gorge aujourd’hui", elle me répond: "il fait trop chaud pour en mettre". Je l’ai prise par la main direction le canapé, nous nous sommes embrassés tendrement. Je me suis déshabillé et comme d’habitude ma mère devait aller aux toilettes avant de me rejoindre, c’était une vraie manie! J’étais donc nu et je l’attendais allongé sur le canapé, je prenais toute la place. Là voilà, elle est nue et toujours aussi excitante. Elle essaye de s’assoir à côté de moi mais je la prend sur moi, son corps colle au mien, je sens bien ses tetines sur moi. Nous commençons par nous embrasser, puis d’elle même elle descend pour me lècher.

Je lui dis: "Tu ne veux toujours pas me sucer". Sa réponse fut rapide : "J’ai une trop petite bouche" (pourtant, je n’ai pas un membre exceptionnel en largeur???). Encore une fois tant pis pour la fellation. Pour mieux me lècher, ma mère avait mis les genoux par terre et moi j’étais couché comme un pacha sur le canapé. Ca durait et ça durait, ma mère s’appliquait avec sa langue sur mon sexe. Soudain, elle me dit: "J’arrête, j’ai mal aux genoux". Elle se releva, je lui dit qu’on pourrait se mettre autrement tout en se faisant plaisir, l’heure du 69 avait sonné. Ma mère se glissa sur moi, c’est la première fois que sa chatte était aussi près de moi, j’ai pu la lècher à mon tour. Quelle touffe, elle n’a jamais du la raser tellement il y avait des poils. J’ai pu introduire ma langue dans sa fente et lui sucer les grandes lèvres, ma mère halletait, c’était aussi la première fois que j’entendais des sons de plaisir sortir si fort de la bouche de ma mère. Elle aimait donc ça. C’était un nouveau bon point pour moi. Après le soixante neuf, elle est venue d’elle même se positionner sur moi. Elle a guidé mon sexe en elle. Elle se demandait si elle allait pouvoir tenir longtemps dans cette position tellement les vas et vient étaient endiablés. La vision de ma mère qui se faisait aller sur mon baton, ca vaut de l’or. Elle poussait des petits cris. C’était merveilleux de la voir comme ça. Elle m’a fait vite jouir, comme d’habitude.(molose)

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