Nous partîmes le surlendemain. Nous avions réservé une chambre d’hôtel à la Réunion pour 10 jours mais nous devions passer cinq jours d’abord avec William, chez son père, qui y habite. Seulement, au dernier moment, William ayant trouvé un nouveau boulot,  il ne put venir. Son père, Athanase, nous offrit quand même l’hospitalité.

Athanase, indisponible, ne vint nous chercher à l’aéroport. Nous devions nous rendre directement chez lui. Nous avions les clefs.

Il arriva deux heures après nous. Nous fîmes connaissance et il s’excusa, le temps de prendre une douche. Il revint, en short en toile un peu serré et torse-nu. C’était un homme de 60 à 65 ans, grand, comme William, plus black que William vu que ce dernier est métis. Il était très musclé avec un ventre un peu gros mais ferme, des pectoraux parfaitement dessinés et de gros tétons ronds, et ses poils blancs sur sa poitrine et le bas de son ventre, s’il accusaient son âge, ne cachaient pas les formes solides des muscles. Il nous offrit l’apéro et nous dinâmes sur la terrasse. Je m’étais mis en short aussi et Sylvia en paréo. Lorsqu’il s’absenta pour aller chercher les desserts, elle me dit :

 "Il doit être bon à baiser."

— Tu rigoles ?

— On peut toujours lui proposer…

— Tu ne voudrais pas, pour une fois, ne t"occuper que de moi ?

— Je suis sûr qu’il est très bien monté… j’ai très envie…

— Que va-t-il penser ?

— Je suis sûre que William l’a mis au courant..

Il arriva à ce moment là.

"Au courant de quoi ?"

— Je me demandais si vous saviez que votre fils et moi nous étions sortis ensemble ?

— Vous savez, je vois William une  fois par an et il ne me dit pas tout… mais le connaissant et vous voyant, je ne suis pas surpris. Et vous, le mari, cela ne vous gène pas de savoir qu’il y a eu une aventure entre votre épouse et mon fils ?

— L’amitié est forte. Nous partageons beaucoup de choses. Il n’y a aucun problème.

Sylvia repris :

"Et, vous, il y a une femme dans votre vie ?"

Je m’exclamai : "Sylvia!, Enfin, cela ne te regarde pas ! Tu vas gêner Athanase"

— Non, non, laissez. Pas de chichi entre nous. Et pour répondre, depuis mon divorce, je n’ai eu que quelques aventures sans lendemain. En fait, je n’ai pas envie de me remettre en couple.

Il y eu un long moment de silence. Nous regardions, en contrebas, la ville éclairée et la mer de plus en plus enténébrée. La nuit était presque totalement tombée. Il faisait chaud et humide.

"Je vais me mettre à l’aise si cela ne vous gène pas" dit Sylvia en enlevant son paréo. Sans soutien-gorge, ses seins se déployèrent dans leur magnifique blancheur sous la lumière tamisée de l’éclairage. Son string en dentelle blanche, qu’elle avait délibérément choisi trop petit, laissait voir la tache sombre du triangle parfaitement taillé des poils pubiens rasés très courts  et la blancheur de ses chairs. La boursouflure de la moule débordait de part et d’autre du frêle morceau de tissu qui disparaissait presque dans l’anfractuosité de la fente épilée. C’était d’une terrible indécence et d’une parfaite vulgarité. Je la regardai d’un air réprobateur. Athanase avait détourné son regard pour n’être pas trop insistant mais la pose lascive qu’elle avait pris sur le fauteuil et ses formes généreuses excitaient le mâle. Il regardait du coin de l’il.

Il s’était mis à bander. Il ne pouvait pas le cacher même s’il s’employait à tout faire pour que je ne m’en rende pas compte.

Sylvia reprit : "Comment vous remercier de votre hospitalité?"

— On pourrait peut-être commencer par se tutoyer.

— OK. Qu’est-ce qui te ferait plaisir ?

Elle dit cela en écartant ses cuisses au maximum de ce que les accoudoirs pouvaient permettre. Il fit mine de ne pas s’en apercevoir.

Il répondit que c’était un plaisir de nous accueillir et que nous ne devions nous préoccuper de rien.

"ça te dirait de me bouffer la chatte?"

Je m’écriais : "Sylvia ! Qu’est ce que notre hôte va penser de toi, enfin ?"

Là il est en train de penser avec sa queue. T’as vu comme il bande? Je suis sûre que sa bite est plus grosse que la tienne.

Et, en disant cela elle mouilla ses doigts de la main droite et les introduit sous le string. "J’suis chaude là les mecs, allez, sortez vos manches!"

Athanase me regardait incrédule. Certes il avait déjà dû penser, quand elle s’était foutu à poil, que c’était une sacrée allumeuse mais les choses étaient allées trop vite pour qu’il réalise complètement où elle voulait en venir.

Je me levai en baissant mon froc.

"Tu n’es pas forcé de te joindre à nous Athanase, mais tu peux. Nous sommes un couple très très libre."

Il ne se le fit pas dire deux fois. Tout de suite, il baissa son froc et libéra sa verge turgescente. Elle n’était pas plus longue que la mienne et paraissait même un peu plus courte comme c’est souvent le cas pour les vits de gros diamètre et c’était le cas. Le gland était énorme et sculptural. Les couilles, pendaient de façon impressionnante. Le tout émergeait d’un épaisse toison poivre et sel toute crépue. C’était une belle bête et je sus que ma femme allait en profiter.

"On va s’allonger les hommes ?"

Et sans rien demander, elle se leva, se rendit dans la chambre d’Athanase comme si elle était chez elle, défit son string qu’elle vint mettre sous le nez de sa nouvelle conquête donc la queue très dure se dressait comme un comète vers le ciel, et elle se mit à quatre pattes sur le lit. D’un geste elle m’invita à la saillir tout en se penchant pour avaler le gros nud créole. J’approchai et mis mes doigts dans la vulve déjà humide. Je caressai le clitoris, enfonçai deux doigts dans le trou mouillé puis mis mon gland entre les grandes lèvres et jouai un peu avec le bout de ma queue dans cette vallée de plaisir. La garce ondulait du cul pour m’inviter à la pénétrer sans plus attendre. Elle pompait déjà le gros dard d’Athanase en masturbant le long manche avec lenteur ou en soupesant les couilles de sa main droite. J’enfonçai mon pieu.

Athanase avait écarté ses jambes pour se tendre à fond. Il agrippait maintenant la tête pour pousser son chibre jusqu’au fond de la gorge sans beaucoup de difficulté tant ma petite salope de femme excelle à avaler une bite même très grosse. Il soufflait comme un buf.  J’accélérai ma cadence. Mes cuisses claquaient sur l’arrière-train de Sylvia et mes couilles ballotaient dans une danse lubrique.

Il y avait à peine quelques minutes qu’elle avait commencé à draguer ce mâle que nous ne connaissions même pas, ce qui m’avait choqué. Et à ce moment là je n’étais pas excité le moins du monde… mais elle avait allumé mes sens en un rien de temps et maintenant je ne songeai qu’à la baiser et à la voir jouir de nos deux queues.

Je me retirai de la chatte, mis mes doigts dans la moule pour les lubrifier et les glissai dans le cul. Je crachai dessus pour l’enduire de salive puis je pressai les chairs avec mon zob raide comme jamais.

Athanase ne perdit rien de la scène : "Tu l’encules? Ah, ah… vous ne vous arrêtez à rien… Bordel vous me chauffez drôlement. Si ça continue je vais lui jouir dans la bouche directement." Il avait dit cela mi plaisantant mi sérieux.

"Tu peux y aller. Cette petite chienne est une vraie pompe à sperme… Hein t’aime le foutre petite pute !"

Pour toute réponse, elle sortit la pine de sa bouche, la masturba avec vigueur, fit danser s langue sur le gland et l’avala de nouveau presqu’en entier.

Toujours cramponné à la nuque, il s’agitait dans la gueule comme sil était dans une chatte. La salive coulait à flot mais ma femme supportait cette grosse tige qui l’agressait violemment avec une remarquable endurance. Je ralentis un peu pour profiter de la scène. Athanase se raidit. Je vis tous ses muscles se tendre, les jambes campées, les bras gonflés, la tête en arrière. Il bandait de tous ses membres, de tout son corps. Il n’était plus qu’une gigantesque érection au moment où il éjacula dans là bouche en beuglant de plaisir.

Ma femme eut un haut le cur devant cette abondance de foutre qui se déversait en elle mais elle sut  tout gober quand même. Les couilles vidées, l’homme retira son énorme vit noir ruisselant de bave et de jute qui s’étirait en longue pendeloques dégoulinantes dont les larmes les plus lourdes se détachaient pour tomber sur les nichons, le matelas où le sol.

Je me retirai et vins me faire sucer dans cette cavité pleine et chaude. C’était agréable. Ma bite coulissait allègrement dans ce mélange de liquides.

Athanase s’avachit sur le lit, vaincu et satisfait. Il étendit un bras et se tripota le sexe de l’autre. Même mou, celui -ci restait de belle proportion. Je décidai d’allonger Sylvia à côté de notre hôte pour la saillir en missionnaire. Pendant que je la montai, il vint lui peloter les nibards. Il l’embrassa, se fit lécher les couilles, remit son zob flaccide dans la bouche. Il écarta ses fesses pour se faire reluire la rondelle. Je retins mon éjaculation, juste à temps pour sortir ma trique du vagin et venir jouir sur les boops ronds et fermes. Mon jus se répandit sur les mamelons dressés et exultants. Je me fis décrasser le nud par la bouche avide.

Sylvia dit à Athanase, sur un ton qui n’admettait pas la réplique : "Bouffe-moi les nichons".

Il considéra les deux montagnes de chair ruisselantes de sauce et les prit goulûment comme elle le voulait. Puis il s’allongea sur son corps et lui roula des pelles violentes et profondes.

Il était tard.

"Je vais me coucher" dis-je.

— Moi je vais rester avec lui. C’est bien le diable si je n’arrive pas à le faire bander à nouveau. J’ai envie de sentir ce que cette grosse tringle peut me faire dans le cul ou dans le con.

Athanase répliqua qu’il n’était pas sûr de pouvoir se remettre au garde à vous aussitôt.

"C’est pas grave. Je vais attendre ton piquet de tente demain matin. Tu me sailliras au réveil"

— Si tu veux.

J’allais donc me coucher seul.

Le lendemain matin je fus réveillé par les cris d’orgasme. Il y mettait un coup! Ma gaule était tendue. Je décidai d’aller les rejoindre.

Elle était debout, le corps plié, Athanase dans son cul et un type que je ne connaissais pas, beaucoup plus jeune, bien membré également, en train de se faire sucer.

Athanase me prévint : "C’est Pacôme, mon dernier fils, le demi-frère de William"

Celui -ci me tendit la main : "Salut. Putain elle est cool ta meuf là. Je viens voir le père et je le trouve au plumard en train de sauter cette bombasse. Comme ils m’ont invité…"

— Ben voyons. !

Ma présence changea la donne. Il en fallait pour tout le monde. A chacun son trou. Je préférai le cul. Athanase s’allongea donc. Elle vint s’empaler sur sa longue tige luisante et me présenta sa rondelle qu’il était en train de forcer à mon arrivée. J’entrai sans peine dans la place toute chaude et détendue. Pacôme présentait son chibre tout courbé à la langue agile de Sylvia.

Il y eut du sperme. Elle en fut encore couverte.

Du coup, Pacôme s’invita chez son père pendant les quatre jours restant de notre séjour. Les soirées ne furent pas consacrées qu’à jouer aux cartes, on le pense bien. Pour faire bonne mesure, sans nous prévenir, le père et le fils invitèrent des copains pour notre dernier soir. Dix hommes en tout, plus nous. Au début, bien sûr c’était juste pour boire un coup mais les conversations me démontrèrent vite qu’ils étaient venus pour en tirer un aussi. Les tenues légères moule-bites, et les mains de ces mâles qui  tripotaient chacun leur sexe pendant les discussions, démontraient que tout se petit monde était partant pour un gangbang dont ma femme serait la vedette. C’est Pacôme qui ouvrit le bal en se foutant à poil sans préambule puis, la queue en l’air, il s’approcha de Sylvia et se mit à la presser. Elle n’avait rien mis sous sa robe et fut nue en un clin d’il. Il caressa la chatte sous l’il excité des mâles qui, les uns après les autres, sortaient leur bite et commençaient à se déloquer. Debout, elle écarta les jambes. Il fléchit les genoux et vint la prendre par devant. Très vite des mecs vinrent les entourer. Ils la soulevèrent et la tinrent le temps que Pacôme voulût bien leur laisser. Puis il se retira laissant sa place à un autre type. Elle se retrouva ensuite sur la table. Le gangbang dura longtemps. J’avoue que ne restai pas. J’en avais un peu marre de la voir se faire mettre comme cela. Je n’avais pas eu conscience de me marier avec une nympho de cette espèce. Je voulais bien partager un peu et m’amuser de temps en temps avec quelqu’un, mais trop c’est trop.

Le lendemain au réveil, mon lit était encore vide. Je me levai. Des mecs nus dormaient sur le canapé, les transats, sur le sol même, avec juste une couverture et un coussin. Dans la piaule d’Athanase, elle était sur le lit, nue, deux mecs allongés de part et d’autre. Ils dormaient. Je la réveillai. Il était temps de partir à l’hôtel. J’étais pressé. Nous ne prîmes pas le temps de nous doucher. Ma piaule étant restée vide, nous n’eûmes aucun mal à boucler nos valises. J’appelai un taxi.

Tous les mecs dormaient encore. Je cherchai Athanase. Il était introuvable. Je m’apprêtai à lui laisser un mot quand il arriva avec ce qu’il fallait pour se restaurer. Nous prîmes congé à l’extérieur pour ne pas sortir les mecs de leur sommeil et ne pas entamer une autre partouze de plusieurs heures.

A suivre

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