JINCITE MON ÉPOUSE A ME FAIRE COCU 2
Cette histoire en partie réelle sest passée il y a de cela plusieurs années.
Mon épouse Bernadette et moi avons décidé de participer à un voyage organisé pour visiter la ville de La Rochelle, nous sommes un groupe dune bonne quarantaine de personnes.
Bernadette petite blondinette de 35 ans est une jolie femme qui selon ce que me dise mes amis : plaît aux hommes.
Il est vrai quavec ses longs cheveux blonds qui lui descendent sur les épaules, ses petits seins en forme de poire, son petit cul légèrement rebondi elle a tout pour plaire et donner des envies.
Lors de la visite, un type sest mis à draguer mon épouse, lhomme ne sembarrasse pas, il y va franchement, Bernadette se laisse faire ce qui encourage Serge à aller de plus en plus loin !
Les deux tourtereaux sembrassent et se pelotent à la vue de tous le groupe, ils sont la risée de ceux qui nous entourent et qui partagent cette visite.
Vexé et honteux, je reprends les choses en main en sermonnant mon épouse, il est vrai comme me le reproche Bernadette que cest moi qui lui ai donné ces idées de me tromper lorsque nous faisons lamour, pour pimenter nos ébats.
Tout en réfléchissant, jai trop fantasmé sur çà pour laisser passer pareille occasion, tout en visitant, je méloigne de ma femme, qui a bien compris ce que cela voulait dire et se dirige vers son amant qui nattendait que çà.
La visite terminée, ma chérie me demande damener Serge dans la villa ou nous avons élu domicile, un peu réticent au début, je cède sous la pression de la belle.
Elle sest installée à larrière du véhicule, Serge à sa droite. Jai fait mine de régler le rétroviseur avant de démarrer, mais en fait je lai positionné directement sur le couple pour épier ce quils font, car je me doute bien de ce quil va se passer sur la banquette arrière.
À peine avais-je commencé à rouler que mon épouse lattirait déjà à lui.
À mon grand émoi, je les ai vus sembrasser fiévreusement, les deux corps emboîtes lun dans lautre.
Javais un mal fou à fixer ma route avec attention, tant mon regard se trouvait irrésistiblement attiré par les deux individus qui à larrière, sétreignaient tout en se touchant.
Je le voyais, assez troublé, tripoter les seins de ma blondinette. Il avait, avec adresse, déboutonné les deux boutons du haut du petit haut de ma femme, et il massait sa petite poitrine dont les tétons pointaient.
Je les écoutais geindre et haleter, avec une excitation allant grandissante et ma conduite en devenait dangereuse. Il avait maintenant glissé une main entre ses cuisses et javais un grand mal à détourner mes yeux du spectacle de mon épouse se faisant doigter franchement sa petite chatte .les jambes grandes ouvertes, sa petite culotte descendue jusquen bas des chevilles.
Heureusement que la distance nous séparant de la résidence ou nous logions nétait que dune dizaine de kilomètres, car je pense que nous aurions fini hors du chemin !
Serge a demandé de faire une halte à la pharmacie. Il devait se fournir en préservatifs.
Nous nous sommes retrouvés seuls un bref moment. En me retournant vers elle, jai constaté avec trouble son débraillé vestimentaire. Heureusement que la rue était vide de monde, car elle était restée telle quil lavait laissée. Totalement impudique, les seins presque sortis, la jupe relevée sur ses cuisses franchement écartées, ses chairs roses exposées de manière obscène.
Jai glissé ma main entre les deux sièges, le doigt tendu vers larrière. Elle a glissé son bassin pour venir au-devant de moi. Jai fouillé la fourche de ses deux cuisses, il était tout gluant de mouille.
— Tu nas pas honte, ma chérie, tu as la chatte toute baveuse ! Ça ne ta pas gênée de te faire caresser ainsi devant ton mari ?
— Nullement, au contraire, ça ma énormément excitée. Dailleurs je suis certaine que tu es dans le même état.
— Jai apporté des munitions, nous a-t-il annoncé en exhibant sa boîte de préservatifs.
Nous avons ri tous les trois de bon cur. Puis nous avons repris la route, Bernadette déjà lovée entre les bras de son amant lui butinait sa bouche tout en passant ses mains que je sentais impatiente sur son sexe qui formait une belle bosse, il doit être assez bien monté pensais-je en contemplant la protubérance qui tendait son pantalon.
Un ami nous avait prêté pour une semaine une somptueuse demeure. Et nous nous apprêtions à la partager avec un autre homme. Et cela menchantait.
Après ma crise de jalousie du départ, mes fantasmes avaient repris le dessus et je rêvais de la voir prise par cet autre, sa queue qui paraissait assez conséquente nallait pas manquer de faire crier ma compagne qui est assez bruyante au lit…
Quand nous sommes parvenus au salon, jai proposé un verre. Ma femme a demandé un whisky bien dosé, la même chose a rajouté Serge. Ils sétaient déjà assis côte à côte sur le canapé, se tenant toujours par la main.
Volontairement, jai mis du temps à servir nos trois verres dalcool. Javais généreusement rempli celui de ma femme, car je savais par expérience que lalcool la rendait toujours plus amoureuse.
Je les avais laissés seuls un long moment, pour faciliter encore plus leur approche.
Surpris, jai failli renverser mon plateau quand je suis rentré au salon. Les choses avaient drôlement évolué entre eux !
Il tétait goulûment un de ses seins et de sa main gauche, avait largement écarté le fond de culotte de ma chérie. Je voyais avec fascination ses doigts habiles sactiver avec douceur entre les lèvres humides de la fente béante. Ma femme, la tête renversée, les yeux clos, gémissait doucement, cependant quil titillait avec douceur son petit bouton rose. Ses cuisses étaient largement écartées pour mieux apprécier la caresse et ses chairs luisaient de mouille odorante.
Mon irruption dans la pièce ne la semble-t-il pas gêné, car après avoir brièvement relevé la tête, il a continué à glisser de plus en plus vigoureusement ses doigts dans le minou luisant de mon épouse qui lencourageait à aller encore plus en elle.
Ça me faisait bizarre de regarder lêtre le plus cher et le plus intime qui soit, se laisser aller ainsi, entre les bras dun autre. Ma queue sétait du coup tendue et faisait une bosse obscène sous mon pantalon de toile.
Jai posé le plateau sur la table basse, ne sachant quoi dire, mais me sentant obliger, je lançais :
Je vois que vous avez plus ample connaissance, est ce quelle te plaît lançais-je à Serge qui ne répondit pas !
Je fixais avec trouble, le doigt allant et venant entre les chairs humides de ma chérie. Ma femme ondulait du bassin de manière obscène, son clitoris visiblement durci avait doublé de volume.
Javais pensé que mon irruption dans le salon, avec les boissons, allait les interrompre un peu.
Mais au contraire, mon épouse, jusque là passive, a glissé sa main vers lentrecuisse de son amant et a étreint vigoureusement son sexe entre ses doigts.
Cétait la première fois que je voyais Bernadette branler un homme devant moi. Je nen croyais pas mes yeux. Lémotion me suffoquait. Un instant, elle a entrouvert ses yeux et, comme nos regards se sont croisés, elle ma souri avec complicité et en me disant.
Il est bien monté, je pense que ma petite chatte va se régaler
Maintenant ils se prodiguaient lun à lautre du plaisir et leurs deux souffles sexprimaient bruyamment et à lunisson. Jétais en transes et mon cur battait la chamade.
Nous avions tant rêvé de vivre une situation pareille. Tant fantasmé, tous les deux, elle dun nouvel homme et moi, de la voir entre les bras dun autre !
Son regard toujours accroché au mien, un léger sourire narquois aux lèvres, elle astiquait avec un plaisir non dissimulé la belle tige vivante. Sa main habile malaxait, triturait, englobait avec adresse et sensualité la splendide queue. Ses doigts manucurés virevoltaient sur la longue tige, englobant par moment, lénorme gland luisant du liquide pré-séminal.
Javais souvent imaginé ce genre de situation, jétais comme hypnotisés, mes yeux ne quittaient pas la main experte de mon épouse.
Serge geignait de plus en plus bruyamment. Il ondulait du bassin, alors, comme au ralenti, jai vu mon épouse se pencher vers le sexe durci et la bouche entrouverte, lengloutir avec douceur !
Gourmande et aimant les belles queues, ma femme sefforçait dengloutir lénorme engin de Serge. Avec délices, visiblement, elle lavalait du mieux quelle pouvait. Je le voyais entrer et sortir de sa bouche, de plus en plus gonflé.
Je nen pouvais plus, jai extrait ma queue et me suis mis à me masturber tout en regardant les deux amants se faire du bien.
Ma chérie était courbée, à quatre pattes et comme sa jupe légère la recouvrait à nouveau, Serge dun geste ample la remontée franchement découvrant son petit cul à peine couvert. Puis, pendant que ma garce de femme le pompait avidement, sa main a parcouru en tous sens son splendide derrière. Avec dextérité il a baissé son mini slip et ses doigts se sont immiscés le long de sa raie, la fouillant vicieusement.
Les yeux clos, le souffle court, tout en appréciant la caresse buccale qui lui était prodiguée, il sétait davantage étendu pour la doigter plus aisément.
Je ne savais plus où donner des yeux. Pendant un moment, je me suis senti hypnotisé par la grosse tige allant et venant dans la gorge affamée de Bernadette, puis je me suis déplacé pour mieux profiter du spectacle des doigts fureteurs qui fouillaient allégrement le minou luisant.
Elle était comme une chienne dans lattente dêtre saillie. Je métais déplacé pour ne rien perdre du spectacle.
Pensez, voir sa femme se faire baiser par un autre homme ! Depuis le temps que je rêvais de ça !
Quand il la prise par les hanches, elle a largement écarté ses cuisses, offerte, la croupe cambrée, les lèvres de sa fente entrouvertes et gonflées étaient en position pour accueillir lénorme pieu.
Je nen croyais pas mes yeux, quand le gland gorgé de sang sest pointé contre les chairs toutes rose. Jai crié malgré moi, quand, lentement il la pénétrée, comme si cétait en moi quil sintroduisait.
Quelque chose dirrémédiable sétait produit, un autre mâle que moi la baisait. Et elle semblait apprécier la garce ! Elle se donnait sans retenue aux coups de boutoirs de son amant.
Le gros sexe allait et venait en rythme maintenant, je le voyais sortir et rentrer de plus en plus violemment, luisant de sa mouille abondante.
Ma femme geignait et criait. Elle poussait du bassin pour aller au-devant du plaisir de plus en plus violent qui la submergeait. Elle hurlait même :
— Oui ! Cest bon, vas y, baise-moi, baise-moi plus fort !
Je ne lavais jamais vue comme ça, fondante de plaisir, tremblante, cassée par moments, au gré de la montée de son orgasme.
Moi, je me masturbais toujours face au spectacle. Parfois, il extrayait totalement sa queue du trou damour de la mignonne, comme pour la faire languir. Puis, devant son impatience à le sentir, senfonçait à nouveau.
– Je vais jouir, je vais jouir ! a soudain crié Serge.
— Non, attends ! Pas encore ! a renchéri ma femme.
Serge pour reprendre son souffle, sétait retiré.
– Attends un instant, il faut que je me calme.
Ma femme en aurait presque pleuré de dépit !
Elle sest alors retournée vers moi, en me disant :
— Prends-moi, ne me laisse pas comme ça !
Je ne me le suis pas fait répéter deux fois. Jai écarté mon rival dun coup dépaule et, avec bonheur, je me suis glissé dans lantre chaud et gluant de ma chérie.
Quelle était bonne ! Cétait incroyable de plaisir. Je ne la remplissais sans doute pas autant que lautre, mais je la connaissais si bien !
Je lai retournée sur le dos, les cuisses relevées et je me suis enfoncé tout du long.
Je lai pilonnée comme un forcené.
Pris un moment au dépourvu, Serge pour ne pas être en manque de plaisir, a, dun geste vif, ôté son préservatif et sest faufilé entre les lèvres douces de Bernadette.
Enfin prise des deux côtés ! Combien de fois navions nous pas fantasmé sur cette scène ?
Comblée par la bouche, le minou rempli, elle se donnait désormais sans retenue. Nous formions un groupe de sexe en folie.
Cest Serge qui a cédé le premier. Il sest vidé dans la gorge de ma femme en un long feulement de tigre. Il a rempli sa bouche de son sperme épais et onctueux.
Ma femme avec gourmandise, semblait sen délecter.
Dans un cri rauque, je me suis alors vidé dans son ventre chaud.
Jamais nous navions éprouvé de telles sensations. Nous nous sommes serrés fortement pour mieux partager ce plaisir inouï. La réalité avait dépassé le rêve !
Serge, un instant exclu, nous a vite rejoints. Bernadette, amoureusement, avait tendu sa main pour lattirer à elle.
Elle nous partageait indifféremment dans ses baisers.
Repus pour un moment, nous avons trinqués enfin.
Insatiable, ma femme adultère, après nous avoir redonné vigueur, sempalait sur Serge.
Je vous laisse imaginer la nuit que nous avons passée.
Le point culminant a été lorsquelle sest empalée sur la bite de son amant qui était couché, il ma fait signe de venir la prendre par derrière dans son étroit canal.
Nous lavons besogné ensemble, elle gesticulait et criait son plaisir sous les assauts des queux de son amant et du mari, la salope !
Une nuit de folie où ma femme cest comportée comme une vraie pute !